Rouage (impôt)

impôt de l'Ancien Régime

Au Moyen Âge, le rouage correspond au paiement de la location des places occupées dans les foires ou les marchés par les marchands étrangers, ou à un droit de péage sur les routes. Le terme apparaît ainsi en 1253 sous la forme « roiage », une « taxe perçue pour le charroi des vins »[1]. Le Centre National de Ressources textuelles et Léxicales mentionne que « le sens « impôt » est très ancien comme le montrent les nombreuses attest. en lat. médiév. (cf. FEW t. 10, p. 495b, note 29) ; Fréq. abs. littér.: 330. Fréq. rel. littér.: XIXe s.: a) 294, b) 373; XXes.: a) 565, b) 612.; Bbg. Wexler 1955, p. 54; pp. 59-60; p. 127, 129»[2].

Histoire

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Notes et références

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  1. Charte de Rethel, I, 228, 13 ds Runk., p. 127
  2. CNRTL, « Rouage » (consulté le )

Liens externes

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  Rouage (impôt) sur Wikidata