Roncherolles-sur-le-Vivier

commune française du département de la Seine-Maritime

Roncherolles-sur-le-Vivier est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Roncherolles-sur-le-Vivier
Roncherolles-sur-le-Vivier
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Sylvaine Santo
2020-2026
Code postal 76160
Code commune 76536
Démographie
Gentilé Roncherollais, Roncherollaise
Population
municipale
1 231 hab. (2021 en augmentation de 16,02 % par rapport à 2015)
Densité 230 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 04″ nord, 1° 11′ 04″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 169 m
Superficie 5,35 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Roncherolles-sur-le-Vivier
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Roncherolles-sur-le-Vivier
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Roncherolles-sur-le-Vivier
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Roncherolles-sur-le-Vivier
Liens
Site web mairie-roncherollesvivier.fr

Géographie

modifier
Communes limitrophes de Roncherolles-sur-le-Vivier
Fontaine-sous-Préaux Préaux
Saint-Martin-du-Vivier  
Darnetal Saint-Jacques-sur-Darnetal

Situation

modifier

Commune boisée située près du Robec, sur le plateau de la Ronce.

Transports

modifier

Roncherolles-sur-le-Vivier est desservie par des lignes scolaires qui desservent les collèges de Darnetal (342) et Isneauville (322), ainsi que le lycée Flaubert à Rouen (301). La commune est également desservie par un service de transport à la demande, le Filo'r. Cette ligne permet de rejoindre plusieurs villes ou villages comme Darnétal (correspondance avec la ligne T3 de l'infrastructure TEOR) ou Isneauville (correspondance avec la ligne F1 de l'infrastructure FAST).

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Roncherolles-sur-le-Vivier est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46 %), forêts (34,4 %), zones urbanisées (13,4 %), prairies (6,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Ronceroles en 1191 ; Ecclesia de Roncherolis super Vivarium vers 1240 ; Apud Ronqueroles en 1258 ; In parrochia Sancte Trinitatis de Roncherolis en 1277[13] ; Roncheroles sus le Vivier en 1297[14], en 1306[15] et en 1319[16] ; Roncherolles supra Vivarium en 1337 ; Roncherolles sur le Vivier en 1431[17].

*ronchière, variante normande de la langue d'oil roncière « lieu plein de ronces » avec le suffixe diminutif -ole au pluriel[18].

Le déterminant locatif est emprunté à Le Vivier, ancienne appellation de Saint-Martin-du-Vivier, paroisse voisine qui tire son nom du petit ruisseau qui s'y trouve et qui se jette dans le Robec[19]. Vivier est issu du latin vivarium, ce mot désignait une pièce d'eau d'abord aménagée par un simple barrage de branchages ou de pierres puis maçonné sur un cours d'eau où l'on se contentait de nourrir le poisson avant de le pêcher.

Histoire

modifier

Politique et administration

modifier
Liste des maires et mairesses successives
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1791 François Hautemer    
1791 1792 Jacques Cordonnier    
1792 1793 Jean Maleuvre    
1793 1795 Jacques Cordonnier    
juillet 1795 novembre 1795 François Hautemer    
1800 1803 François Logez    
1808 1813 François Pelgas    
1813 1815 Alexandre Dominique Le Painturier   Baron de Guillerville, chevalier de Saint-Louis[20]
mai 1815 juillet 1815 César Damour    
1815 1830 Alexandre Dominique Le Painturier   Baron de Guillerville, chevalier de Saint-Louis
1830 1846 César Damour    
1846 1853 Adolphe Poignant    
1853 1871 Alexandre Le Painturier   Baron de Guillerville
1871 1874 Pierre Delahaye    
1874 1878 Alexandre Le Painturier   Baron de Guillerville
1878 1903 Alexandre Damour    
1903 1925 Georges Henri Lormier   Avocat
1925 1929 Albert Edeline    
1929 1934 Marin Béné    
1934 1935 Jean Beaurain    
1935 1945 Julien Vergne    
1945 1949 Albert Edeline    
1949 1965 Alphonse Dormesnil    
1965 1977 Jean Saint-Martin    
mars 1977 2014 Bernard Jeanne[21] PS Professeur agrégé de géographie
2014 En cours
(au 18 juillet 2024)
Sylvaine Santo DVG Vice-présidente de la Métropole Rouen Normandie (2020 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[22],[23]

Cette liste est présente sur une plaque située dans la mairie de la commune[20].

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 1 231 habitants[Note 2], en augmentation de 16,02 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
481473497539570583597601574
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
485462438445426389388386360
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
395396366356381391362398438
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3873785058451 0691 0921 0771 1071 094
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0721 2091 231------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine/matrimoine

modifier

Manoir de Bimare

modifier
 
Entrée du manoir avec vue sur les Sequoias géants

Le Manoir de Bimare est un ancien pavillon de convalescence des moines de l'Abbaye de Saint-Ouen de Rouen. Richard Le Brument, un négociant, l'acquit en 1743 et le transforma en y ajoutant une aile et en plantant une allée de tilleuls. Un de ses descendants, Louis Boutillier remplaça, en 1858, les tilleuls par des "Wellingtonia" ou "Séquoia géant" qui permettent de repérer Roncherolles-sur-le-Vivier depuis tout le plateau environnant[19]. Le manoir est toujours une propriété privée aujourd'hui.

Château de Guillerville

modifier

Vers 1730, Messire Alexandre Dominique Le Painturier, conseiller secrétaire du roi, Directeur De La Monnaie De Rouen[28], Seigneur de Guillerville et de Ricarville, fit l'acquisition d'une bâtisse qu'il allait, pendant dix ans, transformer pour en faire un château : Le château de Guillerville. Il construisit deux ailes imposantes, une chapelle privée et une écurie. Le caveau familial se situe au cimetière du Père Lachaise[29].

Deux Barons de Guillerville furent maires de Roncherolles au XIXème siècle :

  • Alexandre Dominique Le Painturier, son petit-fils, de 1813 à 1815 puis de 1815 à 1830
  • Alexandre Le Painturier, son arrière petit-fils, de 1853 à 1871 puis de 1874 à 1878.


Georges Henri Lormier (voir ci-dessous), maire de la commune de 1903 à 1925 habita le château jusqu'en 1925[19].

Une mine de plomb sur papier du château datant de 1865 est conservée au musée départemental breton de Quimper[30].

 
Blason de l'Abbé de Saint-Ouen sur la façade de l'immeuble de L'Orme

Depuis la restauration de l'Immeuble de l'Orme, en face de la bibliothèque municipale et de l'épicerie de la commune, en 1985, un blason orne sa façade. Il reproduit les armoiries de l'Abbé de Saint-Ouen, celles qui figurent sur le plan terrier de 1664 exposé dans le hall de la mairie. L'abbaye de Saint-Ouen possédait la plus grande partie du village, église, terres et maisons d'habitation.

L'épée rappelle l'origine noble de l'Abbé et la clé sa charge. Le blason, un écu d'azur à trois fleurs de Lys d'or, est surmonté d'une couronne[19].

Église de la Trinité

modifier
 
L'église de la Trinité.

Dédiée à la Sainte Trinité, l'église de Roncherolles-sur-le-Vivier est située au centre du village. Dans le prolongement de l'immeuble de l'Orme, elle limite, au nord, la place Georges Lormier. Le matériau employé dans le mur nord, du silex taillé, et son appareillage permettent de penser que les parties les plus anciennes de l'église datent du XIIIe siècle. La plus ancienne représentation de l'église date du plan terrier de 1664 (XVIIe siècle). Le clocher était au centre de l'église. Il y est probablement resté jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.

En 1836, le chœur fut démoli et reconstruit avec une largeur égale à celle de la nef. En 1886, c'est la nef qui fut restaurée. Les tuiles qui la couvraient furent remplacées par des ardoises. Les deux lucarnes qui font le charme de l'église furent heureusement conservées. À partir de 1980 commença une restauration complète : toiture, clocher, coq, pignon ouest et réfection de l'intérieur avec mise à jour des boiseries.

 
Cadran solaire de l’église.

Avec le réaménagement de la place Georges-Lormier en 2007, la restauration de l'église a été engagée. Elle permet d'apprécier son architecture. La façade raconte son histoire. La nef a subi de nombreux remaniements. Certains pans de mur datent du XVe ou du XVIe siècle. Le chœur est plus récent : il a été reconstruit, avec la sacristie, en 1836. L'éclairage intérieur de l'église met en valeur les vitraux.

Cadran solaire

modifier

Depuis 1717, un cadran solaire orne la façade sud de l'église. L'inscription en latin "ULTIMA VENIET CAVE" ("Ta dernière heure approche, prends garde") s'adressait aux vivants traversant le cimetière qui a entouré l'église jusqu'à 1854[19].

Les Ronces de la Liberté

modifier

Les Ronces de la Liberté est une sculpture réalisée par José Torres[31], sculpteur et habitant de la commune, en 1989 à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française.

 
Les Ronces de la Liberté

"Comme l'unité du corps se fait de la présence de toutes ses cellules, la Nation est le corps unitaire et vivant de l'assemblée des citoyens. Cette réalité n'est pas quelque chose de passif, mais l'action vibrante et passionnée d'un peuple en marche.

1789 à Roncherolles-sur-le-Vivier, ce sont des femmes et des hommes, chair de travail et chair de sentiments, qui sont partis à la conquête de leur dignité. Ces gens simples ne demandaient qu'à vivre honnêtement de leur travail. Celà, ils le voulaient avec force et avec générosité. Ils l'obtinrent au prix de sacrifices et de sang. Ce monument veut rappeler ce qu'on fait les Roncherollais de 1789, nos aïeux par le labeur et par la peine.

Enracinés dans le terroir, vivaces et foisonnantes, les ronces s'élèvent en s'entrecroisant. Les plus fortes soutiennent les plus fragiles. Le buisson se dresse au-dessus de l'eau, le Robec, où se concentre désormais le travail des filatures mûes par le courant de la rivière.

Les ronces s'unissent et se solidarisent pour brandir la pique, l'instrument de la révolte contre les abus, et le bonnet phrygien, la coiffe réservée dans l'Antiquité aux Hommes libres.

Éprouver la montée grondante de l'exigence humaine qui emplit nos aïeux et qui les fit grands, c'est les comprendre et assumer la sauvegarde de notre bien commun : la Liberté."[19]

Hirondelles

modifier
 
Hirondelle revenant au nid pour nourrir ses enfants sur la façade de l'immeuble de l'Orme



Lieux et monuments

modifier
  • Mairie de Roncherolles-sur-le-Vivier.
  • La margelle et "L'enfant et L'oiseau"
  • Monument aux morts
  • Mare de Bimare
  • Association "Moutontond"
  • Centre bourg
  • Ancienne entrée de la ferme du bourg
     
    Mare de Bimare



Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Roncherolles-sur-le-Vivier et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Roncherolles-sur-le-Vivier ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H 376.
  14. Archives de Seine-Maritime 55 H.
  15. Archives de Seine-Maritime 14 H 374.
  16. Archives de Seine-Maritime G 3267.
  17. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 853.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1258.
  19. a b c d e et f « Histoire & Patrimoine | La commune de Roncherolles-sur-le-Vivier », sur www.mairie-roncherollesvivier.fr (consulté le )
  20. a et b « Généalogie de Alexandre Dominique LE PAINTURIER DE GUILLERVILLE (1) », sur Geneanet (consulté le )
  21. « À la tête de Roncherolles-sur-le-Vivier pendant plus de trente ans, Bernard Jeanne est nommé maire honoraire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Né en 1947 à Darnétal, Bernard Jeanne est arrivé en 1972 à Roncherolles-sur-le-Vivier, après deux années de coopération en Algérie. À 25 ans, ce professeur d’histoire-géographie est un passionné d’urbanisation (...) L’accroissement disparate des lotissements pavillonnaires et sa volonté de s’engager le feront devenir maire en 1977 à 29 ans. Le village compte à l’époque 500 habitants ».
  22. « Municipales. La maire Sylvaine Santo s’allie avec son adversaire de 2014, près de Rouen : Sylvaine Santo, maire de Roncherolles-sur-le-Vivier, près de Rouen (Seine-Maritime) est candidat à sa succession. Elle sera soutenue par Gilles Hatrel, son adversaire en 2014 », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 2014, Gilles Hatrel était candidat… et opposé à Sylvaine Santo, actuelle maire de Roncherolles-sur-le-Vivier, près de Rouen (Seine-Maritime). Tous les deux repartent aujourd’hui ensemble, pour les prochaines élections municipales de mars 2020. « Certains avaient exprimé des doutes et accumulé quelques rancœurs sur la manière de faire du maire sortant Bernard Jeanne, en place depuis de 36 ans », explique Gilles Hatrel. En se présentant en 2014, ce dernier voulait apporter un nouvel élan, convaincu que la gestion poursuivie par Sylvaine Santo en cas d’élection, serait dans la lignée du maire sortant (Sylvaine Santo était adjointe aux affaires scolaires auprès de Bernard Jeanne) ».
  23. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Généalogie de Alexandre Le PAINTURIER de GUILLERVILLE (1) », sur Geneanet (consulté le )
  29. appl, « Cimetière du Père Lachaise - APPL - GUILLERVILLE Alexandre Dominique LE PAINTURIER, baron de (1779-1836) », sur Cimetière du Père Lachaise - APPL, (consulté le )
  30. « Vue de la façade du Château de Guillerville à Roncherolles-sur-le-Vivier (près Darnétal) - Dessin », sur musee-breton.finistere.fr (consulté le )
  31. a et b « José Torres, un sculpteur de fer », sur Franceinfo, (consulté le )
  32. « [LH/1660/32] - Paris (Paris, France) - Ordre de la Légion d'honneur », sur Geneanet (consulté le )
  33. « Cote LH/1660/32 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  34. « Près de Rouen, l'artiste sculpteur révolutionnaire José Torres est décédé », sur actu.fr, (consulté le )
  35. « Pierre Torres libéré : l'émotion de son père », sur France 3 Normandie, (consulté le )