Richardménil

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Richardménil est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est, près de Nancy.

Richardménil
Richardménil
La mairie.
Blason de Richardménil
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes Moselle et Madon
Maire
Mandat
Xavier Boussert
2020-2026
Code postal 54630
Code commune 54459
Démographie
Gentilé Richardménilois, Richardméniloises[1]
Population
municipale
2 335 hab. (2021 en évolution de −1,06 % par rapport à 2015)
Densité 326 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 41″ nord, 6° 10′ 11″ est
Altitude Min. 222 m
Max. 315 m
Superficie 7,17 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Richardménil
(ville-centre)
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neuves-Maisons
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Richardménil
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Richardménil
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Richardménil

Géographie

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Richardménil se trouve sur la Moselle, à environ 20 minutes au sud de Nancy via l'autoroute A330. La commune fait partie de la communauté de communes Moselle et Madon[2].

Richardménil est aussi traversée par le canal des Vosges (anciennement canal de l'Est).

Communes limitrophes de Richardménil
Messein Ludres
Méréville   Lupcourt
Flavigny-sur-Moselle

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, la rigole d'Alimentation du Bassin de Virement, le canal de jonction (embranchement de Nancy), le canal de l'Est (Branche Sud), le ruisseau de la Borne et le ruisseau d'Hurpont[3],[Carte 1].

La Moselle, d'une longueur totale de 560 kilomètres dont 314 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[4].

 
Réseau hydrographique de Richardménil[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : la gravière la Grande Saussaie, d'une superficie totale de 52,6 ha (48,1 ha sur la commune)[Carte 1],[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Richardménil est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Richardménil[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (34,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (35,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,7 %), terres arables (23,9 %), zones urbanisées (17,6 %), eaux continentales[Note 6] (12,9 %), prairies (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Les quartiers et lieux-dits de la commune sont :

  • le Haut du lac,
  • le Vert Village,
  • le Bois Impérial,
  • le Bas du lac,
  • les Bachots.

Toponymie

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D'un nom de personne Richard + mansionile.

Richartmesnil (1198), Richartmainil (1242), Richardi menillum (1402).

Histoire

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  • Faisait partie de la villa gallo-romaine de Ludres.
  • Château mentionné au XIVe siècle, détruit en 1820.
  • Pris par Jean de Châlons[Lequel ?] en 1442.
  • L'armée de Napoléon y campa lors de la retraite de Russie en 1812.

Politique et administration

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Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1814   Antoine Drappier    
    Fery de Ludre Act.lib. Propriétaire, agriculteur
Député (1902-1915)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 1989 Jean-Pierre Weiss[20]    
mars 1989 juin 1995 Christian Coignus    
juin 1995 avril 2008 René Colotte DVG Retraité
avril 2008 mars 2014 Henri Noirel (1948-2017)    
mars 2014 En cours
(au 23 mai 2020)
Xavier Boussert[21]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Contremaitre
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 2 335 habitants[Note 7], en évolution de −1,06 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
184195179243251261278294321
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
314336318361329322338366341
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
322327345315361334338393524
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
6281 1042 4793 0402 8892 6152 5752 4222 355
2021 - - - - - - - -
2 335--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Cette ville compte également deux écoles.

Richardménil possède un parcours de santé, deux stades de football, un city ainsi que des courts de tennis et un skatepark. Le club de foot local est le FCRF2M (Football Club Richardménil Flavigny Méréville Messein).

« Les Foulées De La Solidarité » sont organisées le jour du Téléthon sur un parcours de 10,4 km composé de 4 boucles de 2,6 km.

Économie

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Entreprises et commerces

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Une zone où quelques dizaines d'entreprises sont implantées se trouve à côté de la route nationale. On trouve, rue du Général de Gaulle, une boulangerie pâtisserie, un bureau de tabac, un coiffeur, une agence d'assurance, une cave à vin mais également tous les mardis soirs un Food truck à burger[26]. On peut aussi retrouver de nombreux professionnels de santé ainsi qu'une pharmacie.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Georges.
 
Chapelle du Vieux-Château.

Édifices civils

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  • Un château d'eau construit en 1938 et détruit le jeudi à 20 h 30. La police et les journaux locaux ont diffusé l'information pour l'occasion. L'édifice renfermait un petit bout d'histoire du XXe siècle, selon Serge Triffault : « Il a été mitraillé par l'aviation américaine en août 44 en préparation de l'assaut du pont de Flavigny car il pouvait servir de poste d'observation et de défense aux Allemands ». S'il a survécu à la guerre, les projets immobiliers et les tractations politiques auront finalement eu raison de ce vieux vétéran de 81 ans qui se couchera ce jeudi[27].
  • Une ancienne motte castrale du Moyen Âge a été inscrite monument historique en 1991[28].
  • Tumulus du bois de Grève.
  • Château des Armoises construit au XIVe siècle au sud de l’église, à l'ouest d'un premier habitat noble mentionné au XIIIe siècle. La maison-forte a probablement été édifiée par Renaud de Nancy. Elle entre dans le patrimoine des sires des Armoises par mariage en 1430. À la suite d'exactions commises par Collard des Armoises sur leur territoire, la maison-forte est attaquée et incendiée par les Messins en 1443. Elle est rapidement réparée et d'importants travaux sont entrepris dans la maison d'après les comptes des années 1545-1549. La famille d'Armoises cède le château des Armoises en 1613 à Henri de Ludres, coseigneur de Richardménil, qui le démolit entièrement pour réaménager son château. Des fouilles ont été entreprises sur le site en 1984-1988 par Gérard Giuliato et son équipe[29],[30],[31].
  • Vieux château actuel XIVe reconstruit en 1613 à l'emplacement du château du bas, restauré après 1677 pour effacer les ruines de la guerre de Trente Ans. Il appartenait à la famille de Ludre. Vendu à la Révolution comme bien d'émigré et démoli. Une fois l'orage révolutionnaire passé, Théodore de Ludre, marquis de Frolois, passa sa vie à reconstituer l'ancien domaine familial. Il racheta la maison de maître qui avait remplacé le château, la fit modifier (notamment la toiture) et apposer les armes de ses parents alors toujours en vie, les Ludre-Custines, sur le fronton. Le château existe toujours avec sa chapelle.
  • Château XIVe appartenant aux Haraucourt (on ne sait rien sur ce dernier).
  • Château Rouge, construit vers 1860 par Prosper Morey pour Gaston de Ludres fit construire un nouveau château, incendié par les troupes américaines au cours de l'hiver 1944-1945 ; les ruines en ont été rasées. Le nom du château lui venait de ses encadrements de portes et fenêtres en briques.
  • Canal de l'Est et canal latéral de la Moselle : jonction, écluses, port.

Édifices religieux

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  • Église Saint-Georges XIXe siècle : boiseries et tableau.
  • Chapelle (Vieux-château).

Équipements

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Passerelle Mangin au-dessus du canal à Richardménil.

Une halte nautique est implantée au niveau de la passerelle Mangin (élève de Gustave Eiffel)[32], elle est gérée par l'Association pour le développement de l'environnement à Richardménil (ADER). Sa capacité d'accueil est de 10 à 15 bateaux, l'électricité, l'eau sont mises à disposition des navigateurs pour quelques euros.

Un commerce principalement alimentaire est situé à quelques centaines de mètres de la halte, avec un service permettant aux navigateurs de ne pas porter leurs courses puisque transporté par voiture directement au bateau.

Richardménil dispose également d'une halte camping-car. Celle-ci est située en bas de la rue du Lac (anciennement chemin de la Levrette) ; elle est réservée aux véhicules de moins de 3,5 T et est gérée par la municipalité.

Personnalités liées à la commune

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Nicolas de Ludres (1464-1539) : seigneur de Richardménil et comte d'Affrique (en souvenir d'une colline appelée le Mont d'Affrique en Bourgogne et d’où sa famille était originaire). Autrefois, un tableau dans l'église de Richarménil rappelait sa mémoire en ces termes : "Anno 1526. Nicolas de Frolois, comte de Ludres et d'Afrique et sa famille défendirent la religion et la foi catholique avec Antoine, duc de Lorraine, contre les luthériens d'Allemagne au combat de Saverne et sauvèrent la Lorraine de leur invasion". À la mort de Nicolas de Ludres, on construisit pour lui un somptueux mausolée à la collégiale Saint Georges de Nancy.

Héraldique, logotype et devise

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  Blason
De sable au lion d'or, lampassé et couronné de gueules.
Détails
Ce sont les armes de la famille de Richardménil, d'ancienne chevalerie. Cette famille s'éteignit au XIVe siècle et la terre passa dans les maisons de Lenoncourt puis de Ludres. (UCGL)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Richardménil comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Richardménil » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Site de la communauté de communes
  3. « Fiche communale de Richardménil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. Sandre, « la Moselle »
  5. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Richardménil et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Richardménil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Richardménil ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Liste des maires d'après MairesGenWeb
  20. [1]
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Annuaire des entreprises - Vie économique - Mairie de Richardménil », sur richardmenil.fr (consulté le ).
  27. « Richardménil. Démolition : fin de partie pour le château d’eau », sur estrepublicain.fr (consulté le ).
  28. « Motte castrale (ancienne) », notice no PA00106448, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Compte-rendu des fouilles : Richardménil », dans Le Pays lorrain, 86e année, 1989, no 1, p. 62 (lire en ligne)
  30. Sous la direction de Gérard Giulato, Le « Château des Armoises » à Richardménil (XIVe – XVIIe siècle). Archéologie d’une maison forte lorraine, Presses universitaires de Nancy (collection « Archéologie, Espaces, Patrimoines »), 2007, (ISBN 978-2-86480754-4) (compte-rendu par Charles Kraemer, « Gérard Giuliato (dir.), Le « Château des Armoises » à Richardménil (XIVe – XVIIe siècle). Archéologie d’une maison forte lorraine », Archéologie médiévale, no 38, 2008, p. 325-326
  31. Ville de Richarménil : histoire de Richardménil
  32. « Sauvons la Passerelle Mangin - Mairie de Richardménil », sur richardmenil.fr via Internet Archive (consulté le ).