Quelneuc

ancienne commune française du département du Morbihan

Quelneuc [kɛlnœk] est une ancienne commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne, devenue, le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Carentoir[1].

Quelneuc
Quelneuc
L'église Saint-François-de-Sales.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Loïc Hervy
2017-2020
Code postal 56910
Code commune 56183
Démographie
Gentilé Quelneucois, Quelneucoise
Population 548 hab. (2014 en augmentation de 0 % par rapport à 2009)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 49′ 27″ nord, 2° 03′ 55″ ouest
Altitude 35 m
Min. 7 m
Max. 95 m
Superficie 13,85 km2
Élections
Départementales Guer
Historique
Fusion
Intégrée à Carentoir
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Quelneuc

Géographie

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Situation

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À quelques kilomètres de La Gacilly, Quelneuc est située à l'extrême est du Morbihan, à la limite de l'Ille-et-Vilaine.

Relief et hydrographie

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Toponymie

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Le nom de la localité est mentionné sous la forme Quellenneuc au XVe siècle[2], Quelenec[3] en 1513.

Le nom de la localité se décompose, selon certains toponymistes, en kelen qui signifie « houx » en breton, suivi du suffixe -ec de même origine[4],[5],[6]. Ce suffixe, qui dérive du suffixe locatif proto-celtique *-akos cf. gaulois latinisé -acum, abouti à -eg en breton moderne, mais a aussi produit des formes écrites en -oc, -euc et -ec[7].

Les suffixes en -ec se trouvent en Basse-Bretagne et sont généralement considérés comme une évolution des suffixes en -euc qui serait intervenue aux alentours du XIVe siècle. Les formes toponymiques en -euc témoigneraient de la disparition du breton, ce qui aurait rendu impossible leur évolution vers la forme -ec[6].

Si la forme de la finale de Quelneuc n'est pas -ec, mais en -euc contrairement à celle de l'homonyme Quélennec en Châteaulin (Finistère), c'est qu'elle est une forme francisée du moyen breton Kelenneuc qui aurait donc dû évoluer en * Kelennec si le breton avait continué à être parlé dans cette zone.

Les suffixes en -euc remontent au suffixe brittonique -og, d'où une forme primitive probable en brittonique * colaennog. Le suffixe brittonique -og a la même origine celtique qu’-acum en zone de langue romane (issu du gaulois), ils remontent tous deux à une forme proto-celtique -āko(n)[8].

Ce toponyme a pour correspondant en brittonique, le gallois Clynnog, en gaélique, l'irlandais Cuilneach et en gaulois, peut-être, les toponymes romans Coligny et Colligny de France[9].

Le nom de la localité est Tcheuneu en gallo [10].

La forme bretonne Kelenneg est attestée depuis 1985[11],[12],[13],[14],[15],[16].

Histoire

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Préhistoire

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Un menhir, signalé en 1847 par François-Marie Cayot-Délandre, est situé au sud du château du Mur, dans une prairie[17] ; il est de nos jours dénommé "menhir du Bas-Marsac" ou encore "menhir de la Saude : c'est un menhir en roche éruptive de 2,20 mètres de haut, à la limite des communes de Carentoir (ancienne commune), Quelneuc et Comblessac[18].

Antiquité

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La voie romaine de Juliomagus (Angers) à Vorgium (Carhaix), dénommée par la suite Chaussée d'Ahès suit la limite de la commune de Quelneuc avec celles de Comblessac, passant plus à l'ouest par le château du Mur[19].

Moyen-Âge

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Quelneuc est issu d'un démembrement de la paroisse primitive de Carentoir[20].

Au Moyen-Âge sa principale seigneurie était La Ville-Quéno[20].

Temps modernes

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Carte de Cassini de la paroisse de Carentoir, incluant la trève de Quelneuc (1775).

Quelneuc est une ancienne trève de la paroisse de Carentoir depuis 1618, portant le titre de Quelneuc et Corson qui représente les deux villages de la trève. Elle fait partie de la commune de Carentoir à sa création. En 1842, elle devient une paroisse succursale. Puis le , la commune de Quelneuc est créée, rattachée aussi au canton de La Gacilly.

Selon l'abbé Jacques Marie Le Claire, « dans la trève de Quelneuc, en Carentoir, les nouvelles mariées doivent un « devoir de chanson » à l'issue de la messe des épousailles, sous le chêne au devant de l'église ; à défaut le seigneur ou ses « commis » ont le droit de prendre l'accoutrement de la tête de ladite mariée et la découvrir, mettre le chef au vent, sans qu'on puisse faire action [opposition] au dit seigneur »[21].

Le XIXe siècle

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Le Quelneuc est érigé en paroisse succursale [20].

Le le Corps législatif adopte le projet de loi portant création de la commune de Quelneuc, distraite de celle de Carentoir, et le Sénat vote en faveur le  ; la loi est promulguée par Napoléon III le [22].

En 1872 la commune de Quelneuc était encore dépourvue d'école et de mairie. «Ses ressources, qui sont fort restreintes, ne lui permettraient pas d'entreprendre les constructions dont il s'agit » ; le département accepte de voter une subvention pour aider la commune à acheter une maison qui lui est vendue par M. De Talhouët[23].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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Par arrêté préfectoral du l'école publique de filles de Quelneuc est laïcisée[24].

En mars 1906 au Temple, à Carentoir, à Quelneuc, les paroissiens empêchent l'inventaire des biens d'église. « Dans ces deux dernières paroisses, l'agent du fisc a été tenu par la foule, armée de bâtons, à plus de 400 mètres de distance des églises[25]. Henri de Talhouët, alors maire, fut suspendu de ses fonctions le par le gouvernement[26].

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Quelneuc porte les noms de 33 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux trois sont morts en Belgique (dont Auguste François dès le et Joseph Daniel le lendemain, le troisième étant Joseph Bouchet le , donc peu avant l'armistice) ; Louis Bouchet et Jean Daret sont morts alors qu'ils étaient en captivité en Allemagne ; tous les autres sont morts sur le sol français (dont René de Talhouët de Boishorand, chevalier de la Légion d'honneur et décoré de la Croix de guerre ; Mathurin Corduan, Joseph Hervy, Julien Provost et Joseph Rocher, tous les quatre décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Jean Corduan décoré de la Médaille, militaire et Gilles de Talhouët de Boishorand de la Croix de guerre)[27].

L'Entre-deux-guerres

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La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Quelneuc porte les noms de 4 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale : Joseph Joly, soldat tué à l'ennemi au printemps 1940 lors de la Campagne de France ; Gilles de Talhouët de Boishorand, sous-lieutenant au Régiment de marche du Tchad, tué à l'ennemi le à Eckbolsheim (Bas-Rhin) ; Émile Goueraud et François Hochet[27].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Dans la décennie 1950, le bourg de Quelneuc conserve encore quelques commerces (8 commerces alimentaires (cafés, épiceries, charcutier, boucher) et artisans (cordonnier, sabotier, deux forgerons, tisserand) ; huit autres artisans sont recensés dans la campagne (sabotier, forgeron, bouilleur de cru, meunier, .. ainsi qu'une scierie) ; mais la commune est en proie à l'exode rural et se dépeuple[28].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1863 1870 François Rocher[Note 1]   Propriétaire. Premier maire de Quelneuc.
1870 1881 Mathurin Joly[Note 2]   Cultivateur.
1881 1887 Pierre Leblanc    
1887 1906 Henri de Talhouët[Note 3] Libéral Comte. Propriétaire
Conseiller d'arrondissement (1904 → 1913)
1906 mai 1912 Joseph Prévert[Note 4]   Cultivateur.
mai 1912 mars 1959 François de Talhouët[Note 5]   Fils d'Henri de Talhouët de Boishorand, maire entre 1887 et 1906. Croix de guerre. Chevalier de la Légion d'honneur.
mars 1959 août 1959 Georges Tessier[Note 6]    
septembre 1959 février 1986 René Soulaine[Note 7]    
1986 juin 1995 Raymonde Larcher    
juin 1995 mars 2014 René Leblanc DVG Retraité directeur départemental des marques de l'INPI.Sous son mandat survient la fermeture de l’usine de couture, ce qui entraîne le licenciement d’une centaine de personnes[29].
mars 2014 décembre 2016 Loïc Hervy SE Agriculteur

Le , Quelneuc fusionne avec Carentoir pour former la commune nouvelle de Carentoir. À cette date, Loïc Hervy devient maire délégué de l'ancienne commune, avant d'être formellement élu le 11 janvier[30].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
11 janvier 2017 23 mai 2020 Loïc Hervy SE Agriculteur
23 mai 2020 En cours Claude Jouen SE Chef d'entreprise retraité

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32],[Note 8].

En 2014, la commune comptait 548 habitants, en évolution de 0 % par rapport à 2009 (Morbihan : +3,47 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
835785815812811848895913878
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
872775787751769766692606590
1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 - -
612581530485528548548--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Un cyclo-cross renommé s'y déroule depuis 1992 sur le circuit du Houx. Il a été le support de deux championnats de France de cyclo-cross (2012 et 2018), ainsi que de cinq manches du Challenge la France cycliste de cyclo-cross (2007, 2008, 2009, 2013 et 2015).

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château de la Ville-Quéno :le château actuel a été construit vers 1890 sur des vestiges antérieurs ; ce fut le siège d'une seigneurie dès le XIVe siècle[35] ;
  • Église Saint-François-de-Sales : en forme de croix latine, elle date de 1875 et a remplacé une église antérieure construite en 168 et qui était dédiée à saint Nicolas[36] ; elle possède un mobilier religieux d'intérêt patrimonial (croix de procession, ciboires, calice, patène, statues, etc..)[37]
  • La chapelle Notre-Dame du Ronseray : en ruine au début du XXe siècle, elle a été reconstruite vers 1960.
  • Le manoir de la Chouannière (il date du XVe siècle sauf sa tour carrée qui date du XVIe siècle) et sa chapelle (elle date du XVIIIe siècle)[38].
  • Le manoir de Quelneuc (XVe siècle-XVIe siècle): il fut le siège d'une ancienne seigneurie.
  • Le manoir de Ronseray, siège aussi d'une ancienne seigneurie.
  • La croix du cimetière : une croix remontant au XVe siècle ou au XVIe siècle[39].
  • Des croix de chemin : celle du Pont de la Fosse[40], celle de la Rimandaie[41], etc..
  • Le moulin à eau du Pont de la Fosse[42] ;
  • Plusieurs maisons et fermes présentent un intérêt patrimonial[43], par exemple celles de Corson, de la Boissière, de Gourdelaie, etc..

Héraldique

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. François Rocher, né le ä Carentoir, décédé le à Quelneuc.
  2. Mathurin Joly, né le à Carentoir, décédé le à Quelneuc ou Mathurin Joly, né le à Quelneuc, décédé le à Ezel en Quelneuc.
  3. Henri de Talhouët de Boishorand, né le à Niort, décédé le à Quelneuc.
  4. Joseph Prévert, né le à Quelneuc en Carentoir, décédé.
  5. François de Talhouët de Boishorand, né le à Paris, décédé le à Paris.
  6. Georges Tessier, décédé en août 1959.
  7. René Soulaine, décédé en février 1986.
  8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. Préfecture du Morbihan, « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Carentoir [archive] »,
  2. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France: essai de toponymie, p. 133.
  3. (br) Vallerie, Erwan, 1944-, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne - Annexe, Ar Releg-Kerhuon, An Here, , 560 p. (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne [archive]), p. 168
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 551b.
  5. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) [archive]
  6. Revenir plus haut en : a et b Jean-Yves LeMoing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 978-2-903708-04-7), p. 207 et 236
  7. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, (ISBN 978-2-86843-153-0), p. 53
  8. Pierre-Yves Lambert, La Langue gauloise, édition errance 1994, p. 28.
  9. Pierre-Yves Lambert, op. cit.
  10. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne - Annexe, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 168
  11. Hemon Roparz et Ronan Huon, Dictionnaire breton-français français-breton, Al Liamm, (ISBN 2-7368-0052-4), p. 436b
  12. Francis Favereau, Geriadur krenn ar brezhoneg a-vremañ : brezhoneg-galleg, galleg-brezhoneg = Dictionnaire usuel du breton contemporain : bilingue, Skol Vreizh, (ISBN 9782877474825), p. 935a
  13. Hervé Abalain, Les noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot, (ISBN 9782877474825), p. 100
  14. Martial Ménard, Dictionnaire français-breton, Éditions Palantines, (ISBN 978-2-35678069-0), p. 1451b
  15. Breizh : carte routière en langue bretonne = kartenn-hent e brezhoneg, Blay-Foldex, (ISBN 978-2-309-01040-9)
  16. « Résultats concernant « Quelneuc » [archive] », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
  17. François-Marie Cayot-Délandre, Le Morbihan. Son histoire et ses monuments, Les éditions du Bastion, , p. 283-284.
  18. « Menhir de la Saude. Bas Marsac. Quelneuc [archive] », sur t4t35.fr (consulté le ).
  19. « Tramway de Plélan à Redon », L'Ouest-Éclair,‎ , p. 3 (lire en ligne [archive], consulté le ).
  20. Revenir plus haut en : a b et c « Étymologie et histoire de Quelneuc [archive] », sur infobretagne.com (consulté le ).
  21. Abbé Jacques Marie Le Claire, L'ancienne paroisse de Carentoir, Lafolye, , p. 350 et suivantes.
  22. « Loi qui érige en commune la section de Quelneuc, distraite de la commune de Carentoir (Morbihan) », Gazette nationale ou le Moniteur universel,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).
  23. Morbihan. Conseil général, « Commune de Quelneuc. Projet d'acquisition de maison d'école », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , p. 24-25 (lire en ligne [archive], consulté le ).
  24. « Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5605 (lire en ligne [archive], consulté le ).
  25. « Les inventaires. Morbihan », Le Nouvelliste des Vosges,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).
  26. « La séparation. L'inventaire », L'Express du Midi,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).
  27. Revenir plus haut en : a et b « Carentoir (commune nouvelle). Monument aux Morts [Quelneuc] (Relevé n° 64566) [archive] », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  28. « Le bourg de Quelneuc dans les années 50 [archive] », sur carentoirpatrimoine.fr (consulté le ).
  29. « Carentoir. Quatre anciens maires honorés », Ouest-France,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).
  30. « Carentoir. Catherine Lamour élue maire de la commune nouvelle », Ouest-France,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )
  31. L'organisation du recensement [archive], sur le site de l'Insee.
  32. Calendrier départemental des recensements [archive], sur le site de l'Insee [archive].
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui [archive] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006 [archive]2007 [archive] 2008 [archive] 2009 [archive] 2010 [archive] 2011 [archive]2012 [archive]2013 [archive]2014 [archive] .
  35. « Château de la Ville Quéno (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  36. « Église paroissiale Saint-François-de-Sales (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  37. « Le patrimoine mobilier de l'église Saint-François-de-Sales (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  38. « Manoir, la Chouannière (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  39. « Croix de cimetière (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  40. « Croix de chemin, le Pont de la Fosse (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  41. « Croix de chemin, près de la Rimandaie (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  42. « Moulin à eau, le Pont de la Fosse (Quelneuc fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  43. « Les maisons sur la commune de Quelneuc (fusionnée en Carentoir en 2017) [archive] », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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