Puget-sur-Argens

commune française du département du Var
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Puget-sur-Argens (prononcé [pyʒɛ syʁ aʁʒɑ̃] Écouter) est une commune française dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Puget-sur-Argens
Puget-sur-Argens
L'hôtel de ville.
Blason de Puget-sur-Argens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Estérel Côte d'Azur Agglomération
Maire
Mandat
Paul Boudoube (DVD)
2020-2026
Code postal 83480
Code commune 83099
Démographie
Gentilé Pugétois
Population
municipale
8 195 hab. (2021 en évolution de +8,86 % par rapport à 2015)
Densité 305 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 23″ nord, 6° 40′ 58″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 180 m
Superficie 26,9 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Fréjus
(banlieue)
Aire d'attraction Fréjus
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Roquebrune-sur-Argens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Puget-sur-Argens
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Puget-sur-Argens
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Puget-sur-Argens
Liens
Site web http://www.pugetsurargens.fr/

Village provençal libre depuis la fin du XVIe siècle, situé au croisement de la route nationale 7 et de l’autoroute A8, Puget-sur-Argens a vu sa population multipliée par quatre ces soixante dernières années et de nombreuses entreprises ou grandes enseignes de distribution s’installer au sud du territoire.

Ses habitants sont appelés les Pugétois[1].

Géographie

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Situation

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Puget-sur-Argens est située à l’est du département du Var dans la vallée de l’Argens entre le massif des Maures au sud et les contreforts de l’Esterel au nord, à l’est du vignoble de Côtes de Provence. Le territoire de Puget-sur-Argens s’inscrit approximativement dans un rectangle de huit kilomètres du nord au sud et quatre kilomètres d’est en ouest pour une superficie de deux-mille-six-cent-quatre-vingt-dix hectares. Toutefois, ce territoire est très inégalement occupé, les constructions se concentrant dans la partie sud tandis que la moitié nord est occupée par quelques cultures et le vaste bois de Malvoisin. L’Institut national de l'information géographique et forestière donne les coordonnées géographiques 43°27'24" N et 06°41'05" E au point central de son territoire[2]. La commune est en totalité comprise dans l’espace urbain Nice-Côte d'Azur, dans l’aire urbaine de Fréjus et le territoire Var Esterel du conseil général du Var[3].

Le territoire de Puget-sur-Argens est traversé dans sa partie sud par un couloir d’un kilomètre de large groupant trois axes majeurs de communication en parallèle à l’Argens : la voie ferrée de la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière), l’ancienne route nationale 7 (devenue RDN 7 dans le Var) et plus au nord, l’autoroute A8 (La Provençale). Du sud au nord à partir de la nationale 7, la départementale 4 monte vers Bagnols-en-Forêt et plus loin Fayence en passant à l’extrême nord-est du territoire communal.

Puget-sur-Argens est située à six-cent-quatre-vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, cent-sept kilomètres au nord-est de Marseille, soixante-et-onze kilomètres au nord-est de Toulon, vingt kilomètres au sud-est de Draguignan, cinquante-et-un kilomètres au nord-est de Brignoles, vingt-et-un kilomètres au nord de Saint-Tropez, vingt-huit kilomètres au sud-ouest de Cannes et soixante-dix-huit kilomètres de la frontière franco-italienne.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie et eaux souterraines

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Cours d'eau sur la commune[4] ou à son aval :

  • le territoire du Puget-sur-Argens est limité au sud par l'Argens ;
  • depuis le nord coulent les ruisseaux du Réal, du Gabron et de la Vernède ;
  • rivière La Grande-Garonne ;
  • un torrent, le Raphael[5] ;
  • un petit lac se trouve à l'ouest entre la nationale 7 et l'Argens, un bassin de retenue des eaux de pluie est installé au sud-est, près de la voie ferrée.

Géologie et relief

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La partie sud de la commune dans la plaine alluviale de l’Argens est au niveau de la mer (niveau 0). Le territoire vers le nord s’élève peu à peu sur les contreforts de l’Esterel pour atteindre 180 mètres à la frontière avec Bagnols-en-Forêt, sans pic ou butte notables.

Risques naturels et technologiques

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  • 8 risques potentiels sont signalés par les services de l'état[6].

Communes limitrophes

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Le Puget-sur-Argens est entourée de villes relativement importantes par leur espace au sol. Ainsi, toute la façade Est est limitrophe de Fréjus, la ville à l’est et sud-est et le quartier militaire de Caïs occupé par le 21e RIMa au nord-est. Au nord se trouve le village de Bagnols-en-Forêt. Du nord-ouest au sud en passant par l’ouest et le sud-ouest, l’Argens fait office de frontière avec Roquebrune-sur-Argens.

  Roquebrune-sur-Argens Bagnols-en-Forêt Fréjus,
Quartier militaire Lecoq
 
Roquebrune-sur-Argens,
La Bouverie
N Fréjus,
Quartier Caïs
O    Puget-sur-Argens    E
S
Roquebrune-sur-Argens Roquebrune-sur-Argens,
Étangs de Villepey
Fréjus,
Zone d’activité La Palud

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 1,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fréjus », sur la commune de Fréjus à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 15,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 785,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −12 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Statistiques 1991-2020 et records FREJUS (83) - alt : 7m, lat : 43°25'24"N, lon : 6°44'16"E
Records établis sur la période du 01-01-1919 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 4 3,8 6,1 8,6 12,5 16,2 18,6 18,7 15,4 12,2 8 4,9 10,8
Température moyenne (°C) 8,6 8,9 11,2 13,6 17,4 21,2 23,8 24 20,5 16,9 12,5 9,3 15,7
Température maximale moyenne (°C) 13,3 14 16,3 18,6 22,4 26,3 29,1 29,3 25,6 21,5 16,9 13,7 20,6
Record de froid (°C)
date du record
−9
09.01.1985
−12
12.02.1956
−8,6
07.03.1971
−1,8
02.04.1967
1,1
06.05.1979
5,5
19.06.1923
7,5
11.07.1919
7,7
20.08.1968
4,5
28.09.1972
0,1
31.10.1974
−3,3
20.11.1977
−7
17.12.1920
−12
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
22,8
19.01.07
26,4
03.02.20
27,3
22.03.02
28,3
24.04.1970
32,7
27.05.22
37,7
20.06.03
42,5
29.07.1983
41,5
17.08.1932
35,4
21.09.18
35,9
09.10.1935
26,6
06.11.13
23,2
04.12.1961
42,5
1983
Précipitations (mm) 69,8 51,6 49,6 70,2 43,9 31,8 15,6 27,2 81 115,5 132,5 96,9 785,6
Source : « Fiche 83061001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
13,3
4
69,8
 
 
 
14
3,8
51,6
 
 
 
16,3
6,1
49,6
 
 
 
18,6
8,6
70,2
 
 
 
22,4
12,5
43,9
 
 
 
26,3
16,2
31,8
 
 
 
29,1
18,6
15,6
 
 
 
29,3
18,7
27,2
 
 
 
25,6
15,4
81
 
 
 
21,5
12,2
115,5
 
 
 
16,9
8
132,5
 
 
 
13,7
4,9
96,9
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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Puget-sur-Argens est accessible en voiture par l'autoroute A8 (E80) avec la sortie « Puget-sur-Argens - Fréjus-Quartiers-Ouest », par l’ancienne route nationale 7 devenue RD N7 ou encore par la RD 4 qui monte vers le nord jusqu’à la route Napoléon.

Transports en commun

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Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![14].

En autobus, la ville est connectée au réseau départemental Sodetrav et aux lignes 4 et 11 du réseau AggloBus de la communauté d'agglomération de Fréjus Saint-Raphaël.

Lignes SNCF

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En train, la gare de Fréjus à cinq kilomètres permet l’accès au réseau TER Provence-Alpes-Côte d'Azur, la gare de Saint-Raphaël-Valescure à huit kilomètres offre l’accès aux réseaux TGV, iDTGV et Intercités.

Transports aériens

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En avion, l’aéroport international le plus proche est celui de Nice-Côte d'Azur situé à quarante-neuf kilomètres, mais les aéroports de Cannes - Mandelieu à vingt-six kilomètres et La Môle - Saint-Tropez à trente-et-un kilomètres accueillent aussi le trafic international.

Quartiers et lieux-dits

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Puget-sur-Argens est séparée en différents quartiers. Le centre-ville ancien, autour de l’église paroissiale, les hameaux excentrés du Gabre et de la Lieutenante en allant vers le nord. S’ajoutent les nouveaux quartiers industriels et commerciaux au sud-est, et les quartiers résidentiels les Costes, Barestes, la Bastiane.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Puget-sur-Argens est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fréjus[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fréjus, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,6 %), zones urbanisées (15,4 %), forêts (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), cultures permanentes (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), terres arables (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la commune est issu du mot latin podium (cf. puy), petite butte, sur laquelle était bâtie la villa romaine Pogito dépendante de la colonie de Forum Julii. La référence au fleuve Argens qui court sur le territoire de la commune a été décidée en 1886 pour distinguer la commune du Puget-Ville située à quarante-huit kilomètres dans le même département du Var. Pour la même raison, elle est aussi surnommée le Pugeton. Le nom de la commune s’écrit Lo Puget d’Argens en provençal selon la norme classique, Lou Puget d’Argèns selon la norme mistralienne (prononcé [lu pyd͡ʒe daʀd͡ʒs]). Elle est surnommée Le Pugeton en français et El Petit Puig en provençal pour la distinguer de la ville jadis plus importante du Puget-Ville.

Ses habitants sont appelés les Pugetan(s) en provençal selon les normes classique et mistralienne[réf. nécessaire].

Histoire

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Les origines

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Carte du « Puget »[21].

La première mention du Puget intervint en l’an 940 quand les Sarrasins rasèrent ce qui était alors la villa Pogito. Chassés en 973 par Guillaume Ier de Provence, ce dernier, pieux à la fin de sa vie donna la moitié du domaine à l’évêque de Fréjus Riculphe[22].

En 1203, l’évêque Raimond de Capella[23] obtint d’Alphonse II la totalité du domaine et le fortin situé sur le pic, qui prend alors le nom de Castrum de Pogito. Ce que confirma en 1235 son fils Raimond Bérenger.

De la Renaissance à l’Empire

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En 1482, Puget-sur-Argens est comme le reste de la Provence rattaché au royaume de France. En 1524, Charles Quint occupa le village une première fois. Pour éviter qu’il ne récidive, en 1536 François Ier ordonna d’appliquer la politique de la terre brûlée, les habitants allant même jusqu’à polluer l’eau des puits.

Pourtant, entre 1530 et 1598, confronté aux guerres de religion, le village fut fortifié. Durant cette période, les Pugétois ligueurs fournirent des combattants contre le pouvoir royal.

C’est en 1599 que Barthélémy Camelin, évêque de Fréjus abandonna une partie de ses droits féodaux sur le domaine et notamment l’usage du four, le Puget devenant une commune et se dotant d’un blason.

En 1707, la commune fut dévastée lors du passage des troupes de Victor-Amédée Ier de Savoie revenant du siège de Toulon. En , les Autrichiens envahirent la Provence et donc le Puget. En 1774, la maison communale fut installée dans la maison du pavillon, puis en 1775, le beffroi et son campanile furent construits.

En 1799, Bonaparte traversa la commune après avoir débarqué à Saint-Raphaël de retour de sa campagne d'Égypte[24].

Histoire récente

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La grande inondation du 15 juin 2010 au Puget-sur-Argens.

En 1886, la commune ajouta la mention du cours d’eau l’Argens pour se différencier de son homonyme du Puget-Ville.

En 1918, l'Armée d’Orient y dispose d'un camp de transit.

Le s’ouvrit le premier tronçon de l’autoroute Esterel-Côte d'Azur entre Puget-sur-Argens et Mandelieu-la-Napoule.

Le éclate l'Affaire Saint-Aubin. Sur la nationale 7, à Puget-sur-Argens, au lieu-dit Les Esclapes, deux jeunes gens, Jean-Claude Saint-Aubin et Dominique Kaydasch, trouvent la mort dans un accident de la route. Sur la foi d'un témoin, les parents de Jean-Claude Saint-Aubin se battent pendant plus de trente ans devant les tribunaux pour faire reconnaître qu'il s'agit d'un attentat des services secrets français.

Le , un grave incendie se déclara dans les pinèdes de la commune mobilisant 400 pompiers et nécessitant l’évacuation de six campings (soit 10 000 personnes)[25],[26]. Une dizaine de villas ou caravanes furent détruites.

Le , un épisode pluvieux violent s'est abattu dans la région provoquant d’importants dégâts.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 8 195 habitants[Note 5], en évolution de +8,86 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9659499411 0341 0531 004918921838
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8108319048698579261 0451 1421 104
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2511 2141 4021 2491 5511 5361 5761 5583 423
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 3993 0333 8494 5095 8656 3686 9146 9776 587
2015 2020 2021 - - - - - -
7 5288 0618 195------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

La courbe démographique du Puget-sur-Argens laisse apparaître une relative stabilité du nombre d’habitants autour de mille jusqu’au début du XXe siècle. À partir du début du siècle, la population a crû modérément pour atteindre un peu plus de mille-cinq-cents résidents au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Le recensement de 1954 marque un premier bond avec le doublement de la population au-delà de trois mille habitants, correspondant à la première vague d’expansion de la commune. Durant les vingt années qui suivirent la croissance reprit un rythme modéré, pour ne dépasser les quatre mille habitants qu’en 1982. Les vingt années suivantes marquèrent une nouvelle forte augmentation, la commune devenant une sorte de banlieue de l’agglomération de Fréjus-Saint-Raphaël avec près de sept-mille habitants en 2006. En 1999, 7,7 % des Pugetois étaient étrangers, 11,8 % des foyers étaient composés de familles monoparentales[31]. Parmi cette population étrangère permanente, 2,1 % étaient originaires de Tunisie, 1,5 % d’Italie, 1,4 % d’Algérie, 0,8 % du Maroc et 0,5 % d’Espagne et du Portugal[32].[Passage à actualiser]

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 850 hommes pour 4 214 femmes, soit un taux de 52,26 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,95 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,7 
7,9 
75-89 ans
11,1 
15,8 
60-74 ans
16,9 
20,1 
45-59 ans
18,9 
19,8 
30-44 ans
19,5 
15,4 
15-29 ans
13,3 
20,1 
0-14 ans
17,5 
Pyramide des âges du département du Var en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,3 
10,1 
75-89 ans
12,6 
19,7 
60-74 ans
21 
20 
45-59 ans
19,9 
17,3 
30-44 ans
16,7 
15,4 
15-29 ans
13,2 
16,4 
0-14 ans
14,3 

Politique et administration

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Politique locale

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Puget-sur-Argens est rattaché au canton du Muy représenté par la conseiller général Jean-Pierre Serra (UMP) et à la cinquième circonscription du Var représentée par le député-maire de Saint-Raphaël Georges Ginesta (UMP). La commune dépend des tribunaux d’instance, de commerce et du conseil de prud’hommes de Fréjus, du tribunal de grande instance de Draguignan et de la cour d'appel d'Aix-en-Provence. Vingt-neuf élus siègent au conseil municipal dont vingt-deux pour la majorité divers droite et sept pour l’opposition UMP. La commune a mis en place un conseil municipal des jeunes[35]. L’Insee lui attribue le code 83 1 37 099[36].

En 2008, la commune disposait d’un budget de 16 662 000 euros dont 11 019 000 euros de fonctionnement et 5 643 000 euros d’investissement[37], financés à 45,62 % par les impôts locaux[38], la dette municipale s’élevait la même année à 6 470 000 euros[39]. En 2008, les taux d’imposition s’élevaient à 10,46 % pour la taxe d'habitation, 8,86 % et 38,31 % pour la taxe foncière (bâti et non-bâti) et 13,93 % pour la taxe professionnelle[40].

Intercommunalité

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La commune n’adhérait à aucune communauté de communes ou d’agglomération jusqu’au , date de création de la communauté de communes Pays Mer Estérel[41] et est liée au SMiTOM avec Saint-Raphaël, Fréjus, Roquebrune-sur-Argens, Bagnols-en-Forêt et Les Adrets-de-l'Estérel pour le traitement des ordures ménagères.

Elle s’est dotée d’un office de tourisme commun avec Roquebrune-sur-Argens[42] et d’un centre communal d'action sociale[43].

Conseil municipal de Puget-sur-Argens (mandature 2008-2014)[44].
Liste Tendance Président Effectif Statut
« Penser et agir ensemble » DVD Paul Boudoube 22 Majorité
« Continuons ensemble » UMP Jean-Marie Del Gallo 7 Opposition

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Depuis 1790, trente-et-un maires se sont succédé à la tête de la commune du Puget-sur-Argens :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Baptistin Iperty[47] SFIO Boucher puis distillateur
Président de la délégation municipale
Jean Roland    
Théophile Héraud[48] SFIO Cultivateur, propriétaire
Guillaume Le Bigot   Haut fonctionnaire et industriel
[49]
(démission)
Robert Lassagne Gaulliste Entrepreneur du BTP
Jean-Marie Del Gallo UMP Gérant de sociétés
en cours Paul Boudoube DVD ingénieur géophysicien retraité
1er vice-président de la CA Var Estérel Méditerranée (2014 → )

Tendances et résultats politiques

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La tendance politique du Puget-sur-Argens est caractérisée par sa situation géographique en région PACA et sa population à dominance d’employés, ouvriers et dans une moindre mesure retraités. Ainsi, lors des derniers scrutins, si l’électorat communal a suivi la tendance nationale, cette dernière a souvent été amplifiée. Le vote d’extrême droite a été très fort même au second tour de l’élection présidentielle de 2002, mais aussi au second tour des élections législatives de la même année, atteignant le tiers des suffrages dans les deux cas. Si le Puget-sur-Argens a grandement participé à l’élection au premier tour du député UMP sortant, le vote FN représentait encore plus de 15 % en 2007. A contrario, lors des élections européennes et régionales, les électeurs ont privilégié les listes de gauche, et ont rejeté massivement le traité constitutionnel européen. Sur un plan local, des divisions importantes sont apparues entre les tendances de l’équipe communale, conduisant à la constitution de listes dissidentes Divers droite face au maire UMP.

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
Élections référendaires

Enseignement

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La commune est rattachée à l’académie de Nice et dispose sur son territoire des écoles maternelles Mory et Alphonse-Daudet, élémentaires des Pins parasols et des Oliviers, du collège Gabrielle-Colette[64].

Les crèches « Les Pitchouns 1 », « Les Pitchouns 2 », et « L’archipel des bambins » accueillent les jeunes enfants.

La FCPE est représentée dans les établissements de la commune.

Les urgences sont traitées par le SMUR du centre hospitalier Bonnet de Fréjus-Saint-Raphaël[65].

Une maison de retraite et une résidence pour personnes âgées sont installées sur la commune[66].

Treize médecins, sept chirurgiens-dentistes, deux pharmacies et une sage-femme exercent sur la commune[67].

La commune dispose également d'un ESAT ou Établissement et service d'aide par le travail nommé Le Bercail.

Services publics

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La commune dispose d’une agence postale[68], d’une caserne de gendarmerie et d’une office notarial[69].

Jumelages

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La commune n’a pas développé de lien de jumelage.

Vie quotidienne à Puget-sur-Argens

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Culture

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Les espaces Paul-Cézanne et le théâtre Victor-Hugo accueillent des expositions, manifestations culturelles et spectacles. La commune dispose aussi d’une bibliothèque municipale et de la salle de cinéma Roger-Legrand.

Treize associations participent à l’animation culturelle de la commune.

La commune dispose d’un stade municipal, complété par le stade des Devins, par le gymnase Paul-Cavalier, par le dojo Sabrina-Riccino, les terrains de tennis, le boulodrome et la salle de danse du Studio 480.

Onze associations participent à l’animation et à l’organisation sportive de la commune.

Lieux de culte

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Médias

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Le quotidien Var-Matin diffuse une édition locale spécifique à l’agglomération de Fréjus - Saint-Raphaël. La commune est aussi dans le bassin d’émission de TMC Monte Carlo et France 3 Méditerranée.

Économie

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Nom de rue en mémoire de l’industrie bouchonnière d’antan.

Puget-sur-Argens est intégrée par l’Insee au bassin d'emploi de Fréjus-Saint-Raphaël qui regroupe dix-neuf communes[71]. La commune est située sur le trajet de la route nationale 7 et de l’autoroute A8. Elle est ainsi facilement accessible pour les activités économiques et la route nationale 7 est bordée par de nombreuses grandes enseignes. Cent-quarante-sept entreprises sont installées sur la commune, principalement sur les zones d’activités les Salles, la Tuilière, les Plaines, les Meissugnes, du Camp Dessert et le Jas Neuf. Les trois plus importantes sont Intexalu qui réalisait 88 000 000 euros de chiffre d'affaires en 2004, la concession BMW et Toyota JPV avec 22 000 000 euros et la concession Mazda Mia Automobiles avec 21 000 000 euros[72]. Toutefois, c’est le centre commercial Carrefour de 20 000 m2 ouvert en 1991 sous l’enseigne Continent qui est le plus important employeur de la commune. À noter aussi, la présence de la succursale varoise du groupe de négoce industriel Descours & Cabaud.

La commune accueille sur son territoire un terminal de stockage pétrolier et gazier[73]. Trois sites sensibles dont les dépôts de carburant à proximité de la route nationale 7 sont classés Seveso II[74] et inscrits au répertoire du registre des émissions polluantes, composés de l’entrepôt pétrolier pour ses rejets de boues chargées d’hydrocarbures[75], du terminal pétrolier[76] et du groupement pétrolier de la Côte d’Azur[77]. S’ajoute l’établissement de la Sapa Profilés Puget classé au répertoire pour ses rejets d’hydrocarbures, de fluor et de boues d’hydroxyde[78].

En 1999, 16,9 % de la population active était au chômage et 49,1 % des foyers n’étaient pas imposables[79]. Pourtant, le revenu moyen s’élevait à 16 166 euros en 1999, dénotant une certaine disparité sociale[80].

Un marché se tient les mercredis et samedis.

Répartition des emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Puget-sur-Argens 0,2 % 8,6 % 9,0 % 20,5 % 30,9 % 30,9 %
Zone d’emploi de Fréjus-Saint-Raphaël 0,8 % 12,9 % 9,4 % 21,1 % 33,3 % 22,5 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteur d'activité en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Puget-sur-Argens 1,8 % 12,6 % 11,9 % 35,1 % 12,7 % 6,4 %
Zone d’emploi de Fréjus-Saint-Raphaël 3,8 % 7,4 % 11,3 % 18,5 % 10,0 % 13,4 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[81]

Budget et fiscalité 2020

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En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[82] :

  • total des produits de fonctionnement : 12 352 000 , soit 1 625  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 12 434 000 , soit 1 513  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 4 132 000 , soit 503  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 3 078 000 , soit 375  par habitant ;
  • endettement : 8 662 000 , soit 1 054  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,30 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,49 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,46 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 880 [83].

Tourisme

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Quatre campings sont répartis sur la commune pour un total de 730 emplacements, dont 180 classés quatre étoiles[84].

Agriculture

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Cinq domaines regroupés au sein de la coopérative, La Pugétoise[85] , produisent du Côtes de provence labellisé AOC[86],[87],[88] dont certains labellisés Côtes-de-provence Fréjus[89],[90]. La commune est aussi réputée pour l’apiculture avec la classification IGP Miel de Provence[91], l’oléiculture avec la classification AOC Huile d'olive de Provence[92] et l'élevage ovin avec la production d'agneau de Sisteron[93].

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine environnemental

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Le bois de Malvoisin est en partie situé sur le territoire communal. Les bords de l’Argens, notamment l’embouchure et les étangs de Villepey à la frontière avec Fréjus sont inscrits au titre du Réseau Natura 2000[94].

Puget-sur-Argens dispose de la station d'épuration intercommunale Fréjus-Reyran d'une capacité de 347 000 équivalent-habitants[95].

Patrimoine architectural

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Personnalités

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Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu au Puget-sur-Argens :

Héraldique

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Les armes du Puget-sur-Argens se blasonnent : D’or au cœur de gueules sommé d’une croisette haussée de sable[109].

Ce blason[110] aurait été enregistré en 1696[111].

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Fréjus comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 18/05/2008.
  2. Fiche du Puget-sur-Argens sur le site de l’IGN. Consulté le 06/09/2008.
  3. Contrat de territoire Var Esterel sur le site du conseil général du Var. Consulté le 08/09/2008.
  4. « Cours d’eau de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  5. L'eau dans la commune
  6. Information Acquéreurs Locataires
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Puget-sur-Argens et Fréjus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Fréjus », sur la commune de Fréjus - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Fréjus », sur la commune de Fréjus - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. Réseau régional de transports en commun
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Fréjus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Puget-sur-Argens ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fréjus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Navigation : cartes de Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
  22. Riculphe (au plus tard 973- 1er mars 998 ?)
  23. Succession des évêques de Fréjus
  24. Histoire du Puget-sur-Argens sur le site de la radio amateur de la commune. Consulté le 02/03/2008.
  25. Archive vidéo sur le journal de 20h France 2 traitant de l’incendie de 2005 à Puget-sur-Argens sur le site de l’INA
  26. Archive vidéo sur le journal de 20h France 2 traitant de l’incendie de 2005 à Puget-sur-Argens sur le site de l’INA
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Fiche de synthèse démographique sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 06/04/2008.
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  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Var (83) », (consulté le ).
  35. Présentation du conseil municipal des jeunes sur le site officiel de la commune. Consulté le 15/01/2010.
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  41. Fiche de la CC Pays Mer Estérel sur la base Aspic du ministère de l'Intérieur. Consulté le 04/07/2011.
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  44. Liste des élus au conseil municipal en 2008 sur le site linternaute.com Consulté le 06/07/2009.
  45. Liste des maires du Puget-sur-Argens
  46. Courrier du 23/03/2009 adressé par la mairie, extrait de la revue « Puget-sur-Argens, Histoire d’une communauté ».
  47. a et b La fiche de IPERTY Baptistin sur le Maitron en ligne
  48. La fiche de HÉRAUD Théophile, Henri, Albert sur le Maitron en ligne
  49. Démissionnaire pour raisons de santé.
  50. Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  51. Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  52. Résultats de l’élection présidentielle 2012 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
  53. Résultats de l’élection législative 2002 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  54. Résultats de l’élection législative 2007 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  55. Résultats de l’élection législative 2012 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 28/06/2012.
  56. Résultats de l’élection européenne 2004 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  57. Résultats de l’élection européenne 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 12/06/2009.
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  59. Résultats de l’élection régionale 2010 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 22/03/2010.
  60. Résultats de l’élection cantonale 2004 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  61. Résultats de l’élection municipale 2008 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 19/03/2008.
  62. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 09/05/2009.
  63. Résultats du référendum 2005 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
  64. Établissements d'enseignements
  65. Centre Hospitalier Intercommunal de Fréjus / Saint-Raphael (Frejus)
  66. Établissements hébergeant des personnes âgées
  67. Professionnels et établissements de santé
  68. Coordonnées de l'agence postale de Puget-sur-Argens sur le site officiel de La Poste. Consulté le 13/11/2010.
  69. Annuaire des notaires sur le site Notaires de France. Consulté le 01/03/2008.
  70. Saint Raphaël, église réformée de l'Est Varois
  71. Fiche statistique de la zone d’emploi de Fréjus-Saint-Raphaël sur le site de l’Insee. Consulté le 31/08/2009.
  72. Données économiques d’entreprises sur le site de l’internaute.com Consulté le 03/03/2008.
  73. fiche du terminal de Puget-sur-Argens sur le site du Ministère de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durable Consulté le 19/12/2007
  74. Liste des sites classés Seveso II en région PACA. Consulté le 03/03/2008.
  75. Fiche de l’entrepôt pétrolier de Puget-sur-Argens sur la base iREP du Ministère de l’écologie. Consulté le 29/03/2008.
  76. Fiche du terminal pétrolier de Puget-sur-Argens sur la base iREP du Ministère de l’écologie. Consulté le 29/03/2008.
  77. Fiche du Groupement Pétrolier de la Côte d’Azur sur la base iREP du Ministère de l’écologie. Consulté le 29/03/2008.
  78. Fiche de l’établissement Sapa Profilés Puget sur la base iREP du Ministère de l’écologie. Consulté le 29/03/2008.
  79. Fiche statistique du Puget-sur-Argens sur le site de l’Insee. Consulté le 03/03/2008.
  80. Données démographiques et économiques sur le site de l’internaute.com Consulté le 03/03/2008.
  81. Rapport statistique national sur le site de l’Insee. Consulté le 05/07/2009.
  82. Les comptes de la commune
  83. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  84. Données touristiques sur le site de l’internaute.com Consulté le 03/03/2008.
  85. « coopérative vinicole La Pugetoise », notice no IA83001363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  86. Fiche du Côtes de Provence blanc AOC sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
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  88. Fiche du Côtes de Provence rouge AOC sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
  89. Fiche du Côtes de Provence Fréjus rosé AOC sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
  90. Fiche du Côtes de Provence Fréjus rouge AOC sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
  91. Fiche du Miel de Provence IGP sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
  92. Fiche de l'Huile d'olive de Provence AOC sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
  93. Fiche de l'Agneau de Sisteron IGP sur le site de l'Inao. Consulté le 19/08/2010.
  94. Fiche de l’embouchure de l’Argens sur le site du réseau Natura 2000. Consulté le 03/03/2008.
  95. Description de la station Reyran
  96. Paroisse Saint Jacques de Puget sur Argens
  97. Inventaire du patrimoine sur www.pop.culture.gouv.fr/
  98. Notice no PM83000428, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Jacques-le-Majeur
  99. Notice no PM83001243, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture retable de saint Joseph, 2 tableaux : Saint Joseph, saint Valère et saint Pons, Vierge à l'Enfant
  100. Notice no AP83W00975, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Retable, tableau, statue : 'Saint Roch', retable architecturé à fronton cintré sculpté en bas-relief de Dieu le Père, bois sculpté, peint, doré
  101. Notice no AP83W00972, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Statue : 'Saint Thomas d'Aquin', bois sculpté, peint, doré
  102. Patrimoine mobilier
  103. Notice no PM83000429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la tour de l'horloge
  104. Notice no MHR93_04835865, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Monument aux morts
  105. Notice no MHR93_20108300456, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Monument aux morts
  106. Plaque commémorative
  107. Borne milliaire
  108. Notice no ARR93_05831565ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Tumulus lieu-dit Canavere
  109. Gaso, la banque du blason.
  110. Pays Mer Estérel : Puget-sur-Argens, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  111. Histoire de la commune sur son site officiel. Consulté le 15/01/2010.

Voir aussi

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Bibliographie

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Article connexe

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Liens externes

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