Ceci est la page des Lumières du portail de Tarbes.

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L'article actuellement utilisé est l'article de la semaine n°48. Il est affiché ci-contre.

Le parc des expositions de Tarbes ou Tarbes Pyrénées Congrés est le parc des expositions de Tarbes qui est consacré aux salons événementiels et aux compétitions sportives dans les Hautes-Pyrénées. Il est situé sur les communes de Tarbes et de Laloubère, dans le quartier de la Zone d'Activité Kennedy.

Inauguré le16 mai 1974, l'exploitant du parc des expositions est la chambre de commerce et d'industrie de Tarbes.

Lumières de la semaine

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Sous le mandat de Georges Magnoac, il est décidé par délibération du conseil municipal du , de la construction d’une nouvelle mairie, dont l'idée datait de 1890.

L'emplacement choisi est la place de la République et le projet bénéficie d’un crédit de 100 000 francs pour l'achat du terrain et de 500 000 francs pour la bâtisse.

La mairie de Tarbes est située dans le quartier du centre-ville place Jean-Jaurès ou l'on trouve le Monument à Danton entre la rue Brauhauban.

Le , c’est l’architecte palois Gabarret qui est choisi avec son projet «Gavarnie» pour la construction de la nouvelle mairie qui est inaugurée le .

 

La halle Marcadieu de Tarbes est un bâtiment public, à vocation de marchés couverts situé dans le quartier du centre-ville entre la place Parmentier à l’ouest et la place du marché Marcadieu à l’est et au sud de l’église Sainte-Thérèse.

Étymologiquement, en occitan, « marcat » signifie marché et du suffixe « iu » intégrant la notion de fonction.

Un premier projet de halle abritant le marché est envisagé dès 1836, mais ce n'est qu'en 1880 que la municipalité Molard décide de consacrer un budget de 400 000 francs à cette construction

Elle est typique de l’architecture du modèle parisien dessiné par Victor Baltard. Les travaux se déroulent de 1880 à 1882, la réception définitive ayant lieu le . Elle est constituée de trois nefs contiguës, quatre petits pavillons angulaires sont destinés à la loge du concierge, le poste de police, le bureau de pesage et celui de la vérification.

 

La maison natale du maréchal Foch est un musée consacré à la mémoire de Ferdinand Foch, situé à dans le quartier du centre-ville au n° 2 rue de la Victoire. La maison est classée aux monuments historiques en 1938 et elle a le label Maisons des Illustres depuis 2011.

La maison présente des caractéristiques de la fin d'époque Louis XV, le tout est construit en galets. Le corps de bâtiment comprend une aile en retour sur cour avec une galerie. Porte d'entrée en chêne avec imposte découpée et sculptée. Des pièces conservent des cheminées en noyer de style Louis XV.

Le maréchal Foch y vécut les douze premières années de sa vie, son père, Bertrand Jules Napoléon Foch, étant alors secrétaire général de la préfecture des Hautes-Pyrénées, elle est devenue musée en à l’occasion du centenaire de la naissance de Foch.

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L'église Sainte-Thérèse de Tarbes est une église catholique du XIXe siècle située dans le quartier du centre-ville au nord de la halle du Marcadieu à l’extrémité est de la rue du Maréchal-Foch. Elle est inscrite au titre des monuments historiques le

La nouvelle église a été inaugurée en , elle devient alors église paroissiale et c'est à cette date qu’elle change de nom pour passer d'église des Carmes à église Sainte Thérèse d'Avila.

La sacristie, construite au XIXe siècle en continuité du chevet polygonal, a été reconstruite en 1941 et complétée d'annexes latérales, le tout remodelé dans un style Art Déco.

 

Le quartier Ormeau-Figarol est un quartier de la ville de Tarbes situé au sud-est de la ville et contient les secteurs : Bel Air, Figarol, Quartier Larrey, Lourdes

Figarol tient son nom en l'honneur de Lucien Théophile Figarol (1814 - 1881) avocat puis juge de première instance au tribunal de Tarbes et conseiller municipal à la mairie.

Le secteur comprend une grande majorité de tours et de barres HLM, en majorité construites au milieu des années 1960 dans le secteur Bel Air, le reste du quartier est essentiellement composé par des pavillons et des maisons traditionnelles et en partie sud-est la ZAC de l'Ormeau.

 

Le stade Maurice-Trélut est un stade situé dans le quartier Ormeau-Figarol, il est le stade attitré du Stado Tarbes Pyrénées rugby depuis 1969.

Le stade accueille également les matches du Tarbes Pyrénées Football sur un terrain annexe, il peut accueillir 15 000 spectateurs pour le rugby et 3 000 pour le football.

Son nom a été donné en hommage à Maurice Trélut, ancien joueur du Stadoceste tarbais qui fut le premier président du comité Armagnac-Bigorre, en 1912 et maire de Tarbes (1935-1944), héros de la Résistance en Bigorre. Mort en déportation pour avoir sauvé de nombreux juifs, Israël lui a décerné le titre de juste parmi les nations et son nom est inscrit au mémorial de yad vashem.

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Le lycée Théophile-Gautier est un établissement d'enseignement secondaire et supérieur français au statut d'établissement public local d'enseignement, situé près de la place de Verdun dans le quartier du centre-ville au no 15 de la rue Abbé-Torné

En , le collège est confié aux Pères Doctrinaires dont leur mission d'enseignement est officialisée par lettres patentes de Louis XIV. C'est une école Centrale après la Révolution, puis un collège municipal en , et en devient un lycée impérial puis un lycée national en .

À la demande du conseil municipal en , le lycée de Tarbes reçoit officiellement le nom de Lycée Théophile-Gautier qui veut honorer la mémoire de Théophile Gautier, à l’occasion du centenaire de sa naissance, poète et romancier né à Tarbes en .

 

Le jardin Massey est un jardin public situé dans le quartier du centre-ville, il a été dessiné et artistiquement composé au XIXe siècle, par le botaniste Placide Massey (1777-1853), directeur des pépinières du Trianon et du potager de la Reine à Versailles, natif de Tarbes qui en fit don à sa ville natale à sa mort en 1853.

Il bénéficie du label « Jardin remarquable » décerné par le Ministère de la Culture.

On y trouve beaucoup d'animaux rares et intéressants, de belles fleurs, des arbres datant de 1830, une calèche ainsi que les vestiges d'un cloître qui proviennent de l'abbaye de Saint-Sever-de-Rustan. Parmi d'autres vieux bâtiments se trouve le musée Massey et une serre (l'orangerie) de construction métallique qui étaient en vogue au XIXe siècle avec un dôme demi-sphérique et un clocheton. La serre fut réhabilitée en 1980.

 

L'arsenal de Tarbes est un ancien arsenal. C'était un lieu de fabrication d'armes et de munitions et un dépôt de matériel militaire qui est resté en fonction de à installé pour la fabrication des canons à balles et autres canons par le lieutenant-colonel Verchère de Reffye qui en assure la direction. Il fait appel à l'architecte Adrien Fleuret pour la conduite et la surveillance de la construction des bâtiments. En , les 1.641 ouvriers et 482 femmes sont répartis en 15 ateliers ou services.

Les dernières années l'Arsenal change de nom en A.T.S ou Giat Industries mais après 20 ans d'agonie et 5 plans sociaux c'est le que se clôt 135 ans d’histoire.

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La gare de Tarbes est une gare ferroviaire des lignes de Toulouse à Bayonne et de Morcenx à Bagnères-de-Bigorre, située quartier Sainte-Anne.

Elle est mise en service en 1859 par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne.

C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par le TGV, des trains de grandes lignes, des trains régionaux TER Occitanie et par le réseau TLP Mobilités (lignes T1, T2, T5, T7 et TL) et le réseau régional liO (lignes 960, 961, 963, 965, 966 et 967).

 

Le conservatoire Henri Duparc est une école principalement vouée à l’enseignement artistique de la musique et de la danse, située dans le quartier du centre-ville.

Il est nommé en l'honneur d'Henri Duparc qui réside à Tarbes en 1913, à cent mètres du Conservatoire, jusqu'en 1919.

Le conservatoire de Tarbes est installé dans une ancienne chapelle fin XIXe siècle des Pères de la Grotte. Anciennement école de musique depuis 1989, devenue intercommunale en 2003, le conservatoire de Tarbes est un conservatoire à rayonnement départemental qui reçoit des élèves de toutes les communes du département, accueillant en priorité les élèves de l'agglomération Tarbaise.

Le Tarbes Gespe Bigorre est un club de basket-ball qui évolue au palais des sports du quai de l'Adour, à Tarbes, et dont l’équipe féminine appartient à la Ligue féminine de basket-ball. Il est habitué des compétitions européennes.

Issu de la fusion de l’équipe masculine de l’Association sportive et culturelle de la Gespe et du Basket Club tarbais féminin, le Tarbes Gespe Basket voit le jour en , en 1992 le TGB est champion de France de NF1B et accède au plus haut niveau français, la NF1A; le club change de nom pour celui de Tarbes Gespe Bigorre.

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Le centre hospitalier de Bigorre est un centre hospitalier situé dans le quartier du centre-ville à fonction gériatrique.

L'hôpital est inscrit aux monuments historiques en 1979.

La création d'un "hôpital de la Clôture" est décidée à Tarbes en . Le site choisi se trouve au lieu-dit de la Sède, au bord du canal de l'Ayguerote, et les travaux de construction vont durer de à . L'hôpital Saint Joseph devient l'hôpital de l'Ayguerote puis le Centre Hospitalier de Tarbes en 1956 et s'agrandit peu à peu jusqu'en .

 

Le théâtre des Nouveautés de Tarbes est un théâtre à l'italienne réalisé par l’architecte G. Labat et inauguré en par le spectacle de La Périchole d'Offenbach.

En le théâtre est attribué en gérance à une société d'exploitation cinématographique de Pau, qui va faire de la salle un cinéma classé X, en la ville de Tarbes le rachète et le rénove pour en faire le Théâtre municipal de Tarbes.

Il comprend une scène classique de 16 mètres de longueur et 10 de profondeur. La capacité de la salle est d’environ 588 places. La fosse d'orchestre et le parterre en forme de rampe permettent une visibilité et une acoustique parfaites. Les 3 balcons en encorbellement sont en forme de fer à cheval.

 

Le parc Bel-Air est un jardin public situé dans le quartier d'Ormeau-Figarol.

Le parc a été aménagé en 1860 avec la construction de la villa Bel-Air, ancien château Delong; il couvrait à l'origine une superficie de 6,5 ha. Il comprenait, outre le jardin d'agrément : un jardin potager, une orangerie, des serres, un pavillon de concierge, des remises, des écuries et dépendances diverses. Acheté par la ville de Tarbes en 1932, le château est transformé en crèche municipale; le parc est amputé d'une partie de sa surface avec la construction du lycée Marie Curie et du stade Maurice Trélut. Les abords du château sont réhabilités à partir de 1985 et transformé en jardin public.

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La place Marcadieu est une place publique situé dans le quartier du centre-ville,au lieu-dit Sainte-Thérèse. C'est l'emplacement du plus grand marché de la ville. Elle est dénommée sous ce nom car étymologiquement, en occitan, «marcat» signifie marché et du suffixe «iu» intégrant la notion de fonction.

La place forme un quasi triangle de 230 mètres de long sur 150 mètres de côté, elle est entourée de bâtiments monumentaux datant, pour la plupart, et bordée de grands cafés, de restaurants et d'hôtels. Elle accueille deux monuments imposants ; la halle Marcadieu et l'église Sainte-Thérèse.

On y trouve deux fontaines, à l'ouest la « fontaine des quatre vallées » ; œuvre des sculpteurs Edmond Desca, Jean Escoula, Louis Mathet et la petite fontaine (partie est), baptisée « les Sources de l'Amour » est de Jean-Jules Frère.

 

La Halle Brauhauban de Tarbes est un bâtiment public, à vocation de marchés couverts.

C'est en 1880 que le Conseil Municipal de Tarbes décide de faire construire un marché ouvert situé dans le parc Buron près de la rue des Grands Fossés qui portera le nom d'Antoine Jean Brauhauban (ancien maire de Tarbes ) en reconnaissance des legs faits à la ville.

Les travaux effectués sur une surface de 4 000  s'élevèrent à 450 000 francs et furent achevés en .

C’est une halle dont la surface couverte est de 5300 m², composée en rez-de-chaussée d’une superette, des étals permanents des commerçants et artisans et un garage ouvert par l'extérieur.

 

Bertrand Barère dit Barère de Vieuzac, né le à Tarbes, où il est mort le , est un homme politique de la Révolution française et juriste français.

Lors de la création des départements en 1790, il se bat pour que la Bigorre, de trop petite taille et menacée par les exigences du Béarn et de l'Armagnac, devienne le département des Hautes-Pyrénées, en prenant le complément de superficie aux alentours et pour que Tarbes en soit le chef-lieu.

Conseiller général à Tarbes il sera élu à trois reprises député des Hautes-Pyrénées.

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La cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède de Tarbes est une cathédrale catholique romaine située dans le quartier du centre-ville.

Le mot « sède » provient du latin sede qui signifie trône. La Sedes Sapientia (le trône de la sagesse) est Marie qui est représentée avec Jésus (la sagesse) qu’elle tient sur ses genoux. D’où le nom de la cathédrale - Notre-Dame de la Sède - consacrée à Marie, trône de la sagesse.

Elle date du XIIe siècle. Il en reste deux absides du chœur. Une première extension est faite au XIVe siècle par l'ajout d'une nef gothique. Son extension s’est prolongée jusqu’au XVIIIe siècle avec la travée extérieure.

La cathédrale est classée depuis le au titre des monuments historiques

 

La place de Verdun est une place publique située dans le quartier du centre-ville, dénommée sous ce nom depuis le , en souvenir de la bataille de Verdun.

La place forme un rectangle de 150 mètres de long, elle est entourée de bâtiments monumentaux datant, pour la plupart, de la fin du XIXe siècle et bordée de grands cafés, de restaurants et d'hôtels.

On y trouve depuis deux fontaines modernes conçues par Jean Max Llorca. La fontaine monumentale est franchissable par les piétons et la petite fontaine, baptisée « les Droits de l'enfant », est entourée de palmiers et est constituée d’une boule de granit poli de 1,5 t soutenue par un film d’eau sous pression.

 

La fontaine des quatre vallées ou fontaine Duvignau est une fontaine commandée en à la suite du legs fait à la ville de Tarbes par Mme Duvignau, située sur la place Marcadieu sur un emmarchement de granite sur un soubassement de marbre gris clair, de plan carré, aux angles tréflés, animé de légères courbes.

Elle est conçue et dessinée par l'architecte Louis Caddau, et sculpté par Edmond Desca qui a réalisé la composition du monument (enrochements et bassins), par Jean Escoula qui a sculpté les statues de l'Aurore et de la vallée de Bagnères et par Louis Mathet qui a créé les statues de l'Aure, d'Argelès et de Tarbes.

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La voie verte du CaminAdour est une voie verte du sud de la France, c'est-à-dire à la fois un chemin de randonnée, une piste cyclable et un espace vert long de 11,5 km.

Elle emprunte le tracé de halage parallèle à l'Adour qui traverse Tarbes juste derrière le palais des sports du quai de l'Adour, puis le long du site de l'ancien arsenal.

Le revêtement est intégralement réalisé en enrobé lisse, l’itinéraire assez urbain, comprend des traversées de carrefour, avec barrières très sécurisées et d’un franchissement aisé, des points pique-nique, bancs et accroche-vélos ont été installés tout le long du tracé.

 

Le haras national de Tarbes est, jusqu'en 2016, l'un des Haras nationaux français. Créé en 1806 sous Napoléon Ier, il donne naissance au meilleur cheval d'armes européen, le cheval navarrin.

Le Haras national de Tarbes est le berceau de race de l’Anglo-arabe français, cheval de course ou de sport. Le haras détient aussi des Pur-sang arabes, poney landais, Mérens, Trait breton et Comtois. L'élevage actuel est orienté vers les chevaux de compétition.

Le haras accueille chaque année le festival Equestria dédié au spectacle équestre.

 

Le haricot tarbais est une production locale de haricots (Phaseolus vulgaris) du Sud-Ouest de la France. Il s'agit d'un haricot blanc de grande taille, à la peau filante très fine, dont l'aire de production s'étend principalement dans les Hautes-Pyrénées, consacré par le Label rouge depuis 1997 et l'IGP depuis 2000, sa spécificité est garantie par des cahiers des charges spécifiques.

Originaire du Nouveau Monde, le haricot traverse les Pyrénées et s'implante dans la plaine de Tarbes au début du XVIIIe siècle. Après avoir décliné dans les années 1950, la culture du haricot tarbais renaît en 1986.

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L'école nationale d'ingénieurs de Tarbes est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur.

Elle voit le jour sur les terres d'une ancienne ferme dans le quartier de Solazur du sud-ouest de la ville, durant l'été 1963,

En 1976, l'ENI de Tarbes reçoit son habilitation à délivrer le diplôme d'ingénieur par voie de formation continue, en 1989, le laboratoire de recherche de l'école voit le jour, en 2000 il prend le statut d'établissement public à caractère administratif (EPA) et en 2007, l'école délivre pour la première fois le diplôme européen qui permet notamment : une reconnaissance du diplôme, une validation des compétences et des enseignements avec les autres pays d'Europe.

 

La statue équestre du Maréchal Foch (Tarbes) est une statue équestre du maréchal Ferdinand Foch, située à l’intersection des allées du général Leclerc et de la rue de Cronstadt) devant le 1er régiment de hussards parachutistes au quartier Larrey.

Commandée par la ville de Tarbes en l’honneur de son plus illustre enfant, c'est une statue sculptée par Firmin Michelet (1875-1951) qui a été inaugurée le .

Le cheval n'est en réalité pas celui de Foch (Bengali) mais un anglo-arabe de l'élevage Fould (Marboré).

 

L'église Saint-Jean-Baptiste de Tarbes est une église de style gothique rayonnant, l'édifice actuel n'est pourtant daté que de la fin du XVe siècle grâce à une caractéristique notable, qui est la présence de dix chapiteaux qui couronnent les piliers des murs et reçoivent les travées de la voûte, ils sont situés à neuf mètres du sol et décorent la face et les deux côtés du sommet des piliers.

Elle est orientée, mais le chevet formé par un large mur droit, percé de larges fenêtre ogivales, ne possède qu'une nef, garnie de chapelles latérales logées entre les piliers des arcs doubleaux. L'église est divisée en six travées, deux correspondant au sanctuaire, trois à la nef, la sixième à la tribune.

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La rue Larrey est une voie de la commune de Tarbes, situé dans le quartier du Centre-ville, longue de 950 mètres à sens unique dans le sens ouest-est, représentant une des artères principale.

La rue commence à l'ouest à l’intersection de l'avenue du Régiment de Bigorre, elle est coupée par le cours Gambetta et les allées du général-Leclerc, passe au sud de la halle Brauhauban. Elle longe au nord la place au Bois et se termine à l'est en face de la halle Marcadieu.

 

Le transports en commun de Tarbes-Lourdes-Pyrénées est le réseau de transport en commun desservant les communes de la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées depuis le . Il est né de la fusion des réseaux Alezan de l'ancienne communauté d’agglomération du Grand Tarbes, Moncitybus de la ville de Lourdes et de la navette TLP de la région Occitanie à l'intérieur de l'agglomération TLP.

Le réseau TLP Mobilités comporte 13 lignes autour de Tarbes, dénommées T1 à T13 (T pour Tarbes), 1 ligne reliant Tarbes à Lourdes.

 

Le Musée Massey est un musée d'art et d'histoire situé dans le quartier du centre-ville.

Le musée est né de la volonté du botaniste Placide Massey de doter sa ville d’un muséum d’histoire naturelle.

La collection « historique des hussards », rassemble plus de 15 000 objets évoquant 400 ans d’histoire, du XVIe au XXe siècle, dans trente pays différents.

La collection « beaux-arts » a été constituée à partir de la donation d'Achille Jubinal, qui rassemble des œuvres majeures de l'école italienne, espagnole ainsi que hollandaise.

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Le centre-ville de Tarbes est un quartier de la ville de Tarbes situé au centre de la ville et contient les secteurs : Brauhauban , Marcadieu, Saint-Jean, Sainte-Thérèse, Massey, La Sède .

Le secteur comprend la grande majorité des établissement publics principaux : la Mairie-Hôtel de ville, l’Préfecture des Hautes-Pyrénées, le Conseil départemental des Hautes-Pyrénées, les Archives départementales des Hautes-Pyrénées, le centre hospitalier de Bigorre : Ayguerote. Les halles de marchés alimentaire ; Brauhauban et Marcadieu. Le Lycée public Théophile-Gautier. La cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède, l’église Sainte-Thérèse, l’église Saint-Jean-Baptiste. Les différentes sculptures ; le monument à Danton le monument à Larrey, la statue du Maréchal Foch, la fontaine des quatre vallées et la fontaine Montaut.

 

Le palais des sports du quai de l'Adour est la principale salle de sports de la ville de Tarbes.

Elle est particulièrement dédiée au Tarbes Gespe Bigorre, le grand club de basket-ball de la ville, dont l’équipe féminine évolue en Ligue féminine de basket et dispute les coupes d’Europe (actuellement l’EuroLeague), mais accueille aussi des rencontres de l’Union Tarbes-Lourdes Pyrénées Basket qui évolue en 2015-2016 en Nationale Masculine 1.

 

Le monument à Danton de Tarbes est un groupe sculptural réalisé par Edmond Desca en 1903 situé sur la place Jean Jaurès à Tarbes devant la mairie inaugurée le .

La sculpture représente, sur le piédestal, Danton debout dans une attitude de tribun en train d'entonner un discours. Deux haut-relief de pierre sont placés à gauche et à droite du socle : le départ des Volontaires (un jeune tambour avance, guidant cinq soldats qui se mettent en marche en chantant, portant drapeau, épées, uniformes) et Danton haranguant les femmes de la halle.

Sont présents aussi les symboles de la République et de la Loi : l'épée, le bonnet phrygien, la branche de chêne et les symboles des Droits de l'homme et de l'Instruction du peuple : les livres, la plume.

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Le cimetière Saint-Jean est un cimetière communal de la ville de Tarbes rectangulaire qui s'étend sur 21 500 m2.

Il est agrandi une première fois en à la suite de la délibération du conseil municipal du et autorise l'exécution des travaux pour l'agrandissement du cimetière des paroisses Saint-Jean et Sainte-Thérèse. Un troisième agrandissement est décidé en comprenant le déclassement et l'incorporation au cimetière d'une partie de la rue du Cardinal d'Ossat

De nombreuses personnalités y sont inhumées. Pierre-Benoît Soult, Bertrand Barère, Paul Chastellain, Jean-Marie Joseph Deville, Famille Mouysset, Lucien Théophile Figarol, Paul Boyrie.

 

La rue du Maréchal-Foch est une voie de la commune de Tarbes, situé dans le quartier du Centre-ville, longue de 700 mètres à sens unique dans le sens ouest-est, représentant une des artères principale.

Dans le passé la rue Maréchal-Foch se nommait la rue des Grands-Fossés (carrèra deus grans varats) et fut prolongée en 1867 du vieux bourg (borg vielh) jusqu’à la place Marcadieu au bourg neuf (borg nau). C’est le que la rue fut renommée lors d'une cérémonie en présence du Maréchal Foch.

La rue commence à l'ouest par la place de Verdun, elle est coupée par la place Jean-Jaurès (place de la mairie) et se termine à l'est par la place Marcadieu entre la halle Marcadieu et l'église Sainte-Thérèse.

 

Le Navarre est un édifice collectif conçu en 1964 et achevé en 1973 par Edmond Lay.

Ce bâtiment est commandé par la société de construction HLM Le Nid Bigourdan et le permis de construire est obtenu en composé de 112 logements qui est un témoin de l’architecture brutaliste des années 1960. Le projet est composé de trois corps de bâtiments autonomes, disposés en L sur la parcelle. C’est un immeuble à la silhouette massive et brute, connu de tous sous le nom de "blockhaus".

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Le parc Raymond-Erraçarret est un jardin public de la ville de Tarbes qui porte le nom de l'ancien maire de Tarbes Raymond Erraçarret depuis son décès en 2019. C’était anciennement le parc de l'Échez. Il a une superficie de 7 ha.

C’est un parc moderne aménagé entre 2000 et 2003, qui a été créé lors de l’extension de la zone universitaire du quartier de Solazur.

Une passerelle piétonne qui enjambe l'Echez relie les différents équipements entre eux : plaine de jeux, jeux d'enfants, aire de pique-nique, boisements, coulée verte, jardins de quartier et parcours de santé.

 

L'église Sainte-Bernadette de Tarbes est une église catholique du XXe siècle située à Tarbes, dans le quartier d'Ormeau-Figarol (canton de Tarbes 3) au sud-est de la place Anatole-France, rue de la Concorde.

La nouvelle église a été inaugurée en , elle est l' œuvre de l'architecte Pierre Ducoloner.

 

Le 1er régiment de hussards parachutistes (ou 1er RHP) est une unité de cavalerie blindée de l'armée française, créé sous la Révolution à partir du régiment de Berchény hussards, un régiment de cavalerie français d'Ancien Régime créé en 1719.

Il est basé dans le quartier d'Ormeau-Figarol à Tarbes (canton de Tarbes 3), au sein du secteur Larrey de 1858 à 1866 et depuis 1961.

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Le salon régional de l'agriculture de Tarbes (couramment désigné, en abrégé, Foire agricole) est une foire-exposition annuelle organisée à Tarbes au parc des expositions de Tarbes dans la première semaine du mois de mars, le week-end suivant le salon de l'agriculture de Paris.

La première Foire-Expo organisée par la chambre de commerce eut lieu en 1932 à la halle Marcadieu. C'est un mélange de foire agricole et de foire d’exposition qui reprend après la Seconde Guerre mondiale, sans interruption jusqu'en 1973. Le succès est formidable : avec en 1950, 355 exposants et plus de 150 000visiteurs.

La halle Marcadieu devenant trop petite la foire d’exposition est déménagée en 1974 dans le tout nouveau parc des expositions de Tarbes et le premier salon régional de l'agriculture de Tarbes est créé en 1977.

 

Laubadère est un quartier de la ville de Tarbes, situé au nord de la ville, limitrophe de Bordères-sur-l'Échez, entre les quartiers de Saint-Antoine et de l'Arsenal à l'est, d'Urac-Sendère à l'ouest et de Sainte-Anne au sud.

Le secteur comprend une grande majorité de tours et de barres HLM, en majorité construites au milieu des années 1960. Le reste du quartier est essentiellement urbanisé par des pavillons et des maisons traditionnelles.

Le quartier contient les secteurs : Laubadère, La Providence, La Planète, Sain Vincent, Perseigna

Le quartier inclut des bâtiments Sportifs ; le gymnase de Laubadère, de La Providence, la piscine Tournesol, le Complexe de Pelote Basque les stades de Laubadère et de La Providence.

 

Le centre hospitalier de La Gespe, ou centre hospitalier de Tarbes, est un centre hospitalier situé dans le quartier de La Gespe à Tarbes (canton de Tarbes 3).

Le centre hospitalier de Bigorre (La Gespe) était situé sur le site de l'Ayguerote, quartier Centre-ville,créé par le roi Louis XIV en , l'hôpital Saint Joseph devient l'hôpital de l’Ayguerote puis le Centre Hospitalier de Tarbes en 1956 et s'agrandit peu à peu jusqu'en . La construction du nouvel hôpital périurbain, situé au bord du ruisseau de la Gespe, est inauguré le et devient le site de court séjour du centre hospitalier de Bigorre (La Gespe)

Le centre hospitalier a une capacité de 345 lits et places, dont : Court-séjour : 345 (Médecine : 172, Chirurgie : 72, Urgence : 8, Obstétrique : 21…)

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Le mémorial des martyrs de la déportation est un monument de Tarbes dédié au souvenir de l'ensemble des déportés de France entre 1941 et 1944, situé à Tarbes dans le quartier du centre-ville (canton de Tarbes 2) sur les allées du général Leclerc, en face du monument aux morts des Hautes-Pyrénées

Le projet, réalisé par l'architecte Jean-Charles Lallement, a été inauguré le par Victorin Mazic, le Président des Déportés.

Le monument se compose d’un plan d'eau avec des jets, une grande frise représentant les horreurs de la guerre, et un imposant gisant entre les 2 piliers de soutien de l'immense frise. Le gisant pèse 24 tonnes, la frise mesure près de 200 

 

La rue Massey est une voie de la commune de Tarbes, situé dans le quartier du Centre-ville, longue de 700 mètres à sens unique dans le sens nord-sud.

La rue commence au nord de la place de Verdun, elle est coupée par la rue Jean-Larcher et l’avenue Maréchal-Joffre et se termine au passage souterrain de la voie ferrée.

La rue tient son nom en l'honneur de Placide Massey, botaniste, natif de la ville, qui légua ses terres et immeubles à la ville de Tarbes.

 

Le cimetière de la Sède est un cimetière communal de la ville de Tarbes rectangulaire qui s'étend sur 30 300 .

Du début du christianisme à 1776 les paroissiens de la Sède furent inhumés dans la cathédrale de-la-Sède. Louis XVI signe une ordonnance interdisant les sépultures dans les églises, le 10 septembre 1776, relatives à l'établissement des cimetières loin des habitations, on décide d'utiliser le cimetière de la rue Saint-Martin, dit "des pauvres".

C’est en qu’est créé le cimetière et est agrandi en .

De nombreuses personnalités y sont inhumées ; Charles-Joseph Colomès de Juillan, Armand Achille-Fould, Maurice Trélut, Henri Borde, Martial Caumont, Jean Clément,Aimé Cassayet-Armagnac, René Valmy

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Le conseil départemental des Hautes-Pyrénées est l'assemblée délibérante du département français des Hautes-Pyrénées, collectivité territoriale décentralisée.

L'édifice est situé dans le quartier du centre-ville à Tarbes (canton de Tarbes 3), le conseil général des Hautes-Pyrénées est dirigé par Michel Pélieu (PRG) depuis le , l'un des nombreux centristes à diriger ce département historiquement acquis au PRG.

 

Le parc Paul-Chastellain est un jardin public de la ville de Tarbes, qui porte le nom du maire de Tarbes qui est à l'origine du projet, Paul Chastellain et a une superficie de 2,3 ha et combine des arbres centenaires avec de nouvelles plantations.

Le parc fait partie de l'ancienne propriété de la famille Fould, meublée dans les années 1840, qui a été achetée par la ville de Tarbes en 1978, il a été rénové et modernisé entre 1981 et 1982. Dans le parc, nous trouvons la villa Fould, avec ses vestiges historiques et impériaux, construite par Achille Fould, ministre d'État de Napoléon III.

 

Le parc des expositions de Tarbes ou Tarbes Pyrénées Congrés est le parc des expositions de Tarbes qui est consacré aux salons événementiels et aux compétitions sportives dans les Hautes-Pyrénées. Il est situé sur les communes de Tarbes et de Laloubère, dans le quartier de la Zone d'Activité Kennedy.

Inauguré le16 mai 1974, l'exploitant du parc des expositions est la chambre de commerce et d'industrie de Tarbes.

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La maison d'arrêt de Tarbes est une maison d'arrêt située à Tarbes dans le quartier du Martinet (canton de Tarbes 2), mise en service en avec une capacité de 69 places et située au 17 rue Eugéne-Tenot.

Son architecture est en forme de " Y ". Les locaux de détention se composent d'un quartier sur 3 niveaux et d'un quartier dans l'aile gauche sur 2 niveaux. Dans le demi-cercle se répartissent les cours de promenade

La maison d'arrêt reçoit les personnes en détention provisoire (avant leur jugement), les détenus condamnés dont la peine est inférieure à 3 ans, ainsi que les condamnés à une longue peine en attente de transfert. Elle est rattachée à la cour d'appel de Pau, à la cour d'assises et au tribunal judiciaire de Tarbes.

 

La Gespe est un quartier de la ville de Tarbes, situé au sud de la ville, au nord des communes d'Odos et Laloubère à l'est des quartiers de Solazur au sud, de Sainte-Anne et du centre-ville et à l'ouest d'Ormeau-Figarol.

Le secteur comprend une grande majorité de pavillons et de maisons traditionnelles, et quelques résidences traditionnelles.

Le quartier contient les secteurs : Courte Boule, Pradeau, Séminaire, Route de Lourdes

Le quartier inclut le centre hospitalier de La Gespe, les lycées public Jean-Dupuy et privé Saint-Pierre.

Le tournoi des Petits As est une compétition de tennis internationale se déroulant chaque année depuis 1982 au parc des expositions de Tarbes. Ouvert aux minimes, il est l'un des tournois les plus importants dans cette catégorie d'âge au point d'être souvent considéré, sans en avoir le titre officiel, comme le Championnat du monde des 12-14 ans.

L'idée de ce tournoi vient de Jacques Dutrey, alors employé dans un magasin de sports appartenant à Jean-Claude Knaebel. Ce dernier crée alors le tournoi aux côtés de Hervé Siméon et l'épouse de ce dernier, Claudine, qui est aussi la sœur de Jacques Dutrey. Hervé Siméon meurt quelques années plus tard et Claudine se remarie ensuite avec Jean-Claude Knaebel, le couple dirigeant le tournoi avec Jacques Dutrey

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La fontaine Montaut est une fontaine située sur la place Montaut dans le quartier du centre-ville (Tarbes-2), au nord de la halle métallique (halle Marcadieu), sur un emmarchement de pavé.

Elle est construite en calcaire de la région de Lourdes que l'on appelle communément « pierre de Lourdes », elle est constituée d'une colonne située au centre d'un bassin circulaire ; qui porte le blason de Tarbes et a été sculpté par Henri Nelli, tandis que les têtes de lions formant une couronne autour du bassin intérieur qui lancent des jets d’eau ont été taillés par Edmond Desca

Elle doit son nom à Pierre Montaut qui en lègue à la ville de Tarbes une somme conséquente pour la construction de cette fontaine. À l'origine elle devait siéger au centre de la place Marcadieu mais la construction de la fontaine des quatre vallées à sa place la relègue en face de la rue du Portail-d'Avant sur la place aux Balais.