Plateau-des-Petites-Roches

commune nouvelle de l'Isère, France

Plateau-des-Petites-Roches est une commune nouvelle française résultant de la fusion — au  — des communes de Saint-Bernard, Saint-Hilaire et Saint-Pancrasse, située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Plateau-des-Petites-Roches
Plateau-des-Petites-Roches
Vue de Saint-Hilaire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Dominique Clouzeau
2020-2026
Code postal 38660
Code commune 38395
Démographie
Gentilé Petit-Rochois, Petite-Rochoise
Population
municipale
2 415 hab. (2021)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 39″ nord, 5° 53′ 15″ est
Altitude Min. 593 m
Max. 2 060 m
Superficie 36,91 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Moyen Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Plateau-des-Petites-Roches
Liens
Site web petites-roches.org

Géographie

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Localisation et topographie

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Cette commune nouvelle est située dans la partie orientale du massif de la Chartreuse, en balcon au-dessus du Grésivaudan, face à la chaîne de Belledonne à l'est, entre les agglomérations de Chambéry au nord et de Grenoble au sud.

Son territoire communal est centré sur le plateau des Petites Roches qui lui a donné son nom. Le rebord de la falaise dominant le Grésivaudan forme ainsi la limite communale au sud et à l'est. À l'ouest, elle passe par la ligne de crête jalonnée du Pravouta, du col des Ayes, de la dent de Crolles et des rochers de Bellefont qui s'étirent vers le nord. Au dôme de Bellefont, le territoire communal déborde sur le versant occidental de l'aulp du Seuil jusqu'aux Lances de Malissard. Au nord, il s'arrête côté Chartreuse à la pointe de Blonnière, aux portes du cirque de Saint-Même, et côté Grésivaudan il s'appuie sur le torrent de Bresson jusqu'à la cascade de l'Enversin. Son territoire communal est ainsi relativement élevé en altitude, s'étageant entre environ 600 mètres à la cascade de l'Enversin et 2 062 mètres à la dent de Crolles ; la majorité des fermes, hameaux et villages se trouvent à une altitude de 900 à 1 000 mètres.

Communes limitrophes

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Géologie

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Schéma de l'hydrosystème karstique.

La Chartreuse est un massif subalpin calcaire appartenant à l'ensemble des Préalpes françaises. Ce type de massif culmine généralement autour de 2 000 m d'altitude, bien que le massif de la Chartreuse soit, en moyenne moins élevé que ses deux principaux massifs préalpins voisins, le Massif des Bauges et le Massif du Vercors, mais son relief en est pour autant bien plus prononcé[1].

En effet, par rapport à ces autres massifs, la Chartreuse est caractérisée par un relief inversé car des roches calcaires ont été plissées, au moment de la grande poussée alpine et ont entrainé des formes en dépressions dites synclinaux qui se trouvent être perchés au sommets des plateaux. Ces formes géologiques originales sont une des principales caractéristiques géologiques de ce massif.

La Chartreuse est également caractérisée par son relief fracturé, avec notamment des failles transversales et de nombreuses types de fractures. Ce massif subit également d'importantes précipitations et l'eau qui en est la résultante a une action très érosive sur les calcaires transformant ainsi le sous-sol de la Chartreuse en véritable gruyère qui se caractérise par des vides souterrains assez importants. Le côté oriental du massif présente un des plus grands réseaux karstiques de France comme au niveau de la Dent de Crolles mais également du côté de la commune de Sainte-Marie-du-Mont qui possède son propre réseau de galeries en sous-sol.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 369 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Pierre-les Egaux », sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 8,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 787,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Plateau-des-Petites-Roches est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Plateau-des-Petites-Roches est situé en zone de sismicité n°4, à l'instar de l'ensemble des territoires des communes du massif de la Chartreuse et de la vallée du Gréisvaudan[12].

Terminologie des zones sismiques[13]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques

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Toponymie

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Le nom de la commune nouvelle fait référence à sa situation géographique : les trois communes déléguées sont situées sur le plateau des Petites Roches.

Histoire

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Pour la période précédant la fusion, Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes concernées.

Préhistoire

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Durant la période de l'âge du bronze, des hommes fréquentèrent le plateau des petites Roches. Cette présence est attestée sur le sol de la commune par la découverte d’objets en bronze sur le site de la grotte de la Rousse à 1 550 m d'altitude. Dans cette cavité, il a été effectivement trouvé sept vases du bronze final, entièrement conservés, provenant du nord de la Lombardie[14].

Antiquité

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Le territoire de Sainte-Marie-du-Mont, dominant la vallée du Grésivaudan, au pied des plus hauts sommets du massif de la Chartreuse se situait, durant cette période, en plein cœur du territoire des Allobroges, ensemble de tribus gauloises qui occupaient l'ancienne Savoie, le nord et le centre du Dauphiné.

Époque contemporaine

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L’école de Saint-Pancrasse est la première à être ouverte sur le plateau en 1833. Le bâtiment de l’école est construit en 1890, avant ça, l’école se fait dans un grenier. L’école des filles se fait dans une grange à partir de 1858[15]. À Saint-Bernard, l’école des filles est créée dès 1835 dans la paroisse du curé du village. Le maire fait construire une maison en pierre en 1840 et, déclarée insalubre en 1875, elle est remplacée par l’actuelle en 1881[15]. L’école de Saint-Hilaire est créée en 1836, la classe se fait dans divers locaux loués à des particuliers. Après de nombreuses discussions entre les autorités civiles et religieuses sur l'emplacement de l’école, elle est construite sur un terrain paroissial en 1862. L’école des filles est ouverte en 1840, située sur le chemin qui conduit au pas de Fret. Elle est transférée en 1872 à l’emplacement de la poste actuelle, sur un terrain paroissial également[15].

La commune est créée au par un arrêté préfectoral du [16].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
8 janvier 2019[17] mai 2020 Alain Rougier SE Cadre du secteur privé, Guide Haute montagne
Ancien maire-adjoint de Saint-Pancrasse
mai 2020 En cours Mme Dominique Clouzeau-Germain    

Communes déléguées

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Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Saint-Hilaire
(siège)
38395 CC Le Grésivaudan 8,61 1 367 (2016) 159
Saint-Bernard 38367 CC du Pays du Grésivaudan 21,59 630 (2016) 29
Saint-Pancrasse 38435 CC du Pays du Grésivaudan 6,71 463 (2016) 69

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 2 415 habitants[Note 2].

Évolution de la population  [ modifier ]
2016 2021
2 4602 415
(Sources : Insee à partir de 2016[18].)

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Économie

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Activités touristiques

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Commune déléguée de Saint-Bernard

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Patrimoine religieux
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Carte postale montrant l'église de Saint-Bernard vers 1930.

À Saint-Bernard, se trouve l'ancien monastère Notre-Dame-des-Petites-Roches qui n'est désormais plus en activité, géré anciennement par des sœurs cisterciennes bernardines d'Esquermes[25] venant de Lille.

Trois édifices religieux se situent sur le territoire communal : une église traditionnelle dans le village, une chapelle récemment restaurée au lieu-dit Saint-Michel près du col de Marcieu[26], et une chapelle en bois dans le monastère des sœurs cisterciennes. L'église d'origine, bâtie par les religieux de Saint-Martin-de-Miséré et dédiée à Saint Bernard de Clairvaux, est documentée à partir du XIe siècle. L'église actuelle, aux Pelloux, date de 1836[26].

Patrimoine civil
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Le hameau de la Bâtie, dont le toponyme pourrait révéler la présence d'une maison forte (une bâtie médiévale fortifiée) qui n'a pas laissé de traces[27], recèle des vieilles maisons[26].

Commune déléguée de Saint-Hilaire

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Patrimoine religieux
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En 1827 fut prise la décision de remplacer l’ancienne église devenue insalubre par une nouvelle. François Gerente curé de Saint-Hilaire fut le principal artisan de cette décision. Après de longues tergiversations il fut décidé de construire la nouvelle église sur les ruines de l’ancienne. Pierre Chatain de Saint-Hilaire dirigea les travaux. Une grande partie des matériaux utilisés furent pris sur les ruines du château épiscopal. La construction fut financée par le curé François Gerente lui-même et par les habitants de Saint-Hilaire. Le l’évêque consacra cette nouvelle église. Peu de temps après Pierre Gerente quitta le plateau pour entrer au couvent de la Grande Chartreuse.
En 1832 furent fondues et installées les deux cloches, une en si bémol et l'autre en ré.
En 1836 un orgue mécanique fut installé derrière l'autel.
En 1855 la nef de l'église qui était enterrée fut remise au niveau du sol et l'église a acquis son aspect actuel.
Les vitraux des chapelles latérales datent de 1964.
Patrimoine civil
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Prise de vue du funiculaire depuis le sentier du Pal de Fer. En arrière-plan : le hameau de Montfort (Crolles) au centre et Froges de l'autre côté de l'Isère.
Construit dans les années 1920, il réalise l'exploit de gravir la pente la plus forte d'Europe (83 % par endroits) et permet de gravir les 740 mètres de dénivellation en 20 minutes. Ouvert d'avril à mi-décembre avec possibilité de visiter la machinerie à la gare haute, ce funiculaire réalisé à voie unique sur 1 480 mètres comporte une courte section à doubles voies à mi-parcours pour autoriser le croisement des deux voitures.
  • Établissements hospitaliers
La commune abrite trois anciens sanatoriums reconvertis en établissements hospitaliers de convalescence et de rééducation. La construction de ces établissements remonte au début du XXe siècle, la ligne du funiculaire fut construite pour pouvoir amener les matériaux pour la construction de Rocheplane, le plus ancien des trois, sur le site du plateau des Petites Roches, difficile d'accès. Ils sont maintenant détruits et l'espace ainsi libéré est reconverti en zone verte.
  1. AMM Rocheplane : ancien sanatorium de l'Association métallurgique et minière ouvert en 1929.
  2. Centre médico-chirurgical (CMC) Les Petites-Roches : ancien sanatorium des Petites-Roches ouvert en 1933.
  3. Centre médico-universitaire Daniel-Douady (CMUDD) : ancien Centre universitaire de cure, ancien sanatorium des étudiants de France ouvert en 1935.
  • La pierre à cupules de Saint-Hilaire-du-Touvet a été déplacée. Actuellement elle se trouve déposée au flanc de l'église[28]

Commune déléguée de Saint-Pancrasse

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Patrimoine religieux
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Patrimoine civil
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  • Les typiques maisons cartusiennes[29]

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Plateau-des-Petites-Roches possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références

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  1. Site de camptocamp, page sur la géologie du massif de la Chartreuse
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Plateau-des-Petites-Roches et Saint-Pierre-de-Chartreuse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-Pierre-les Egaux », sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St-Pierre-les Egaux », sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Plateau-des-Petites-Roches ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  13. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  14. Site du Parc de la Chartreuse sur l'Histoire des premiers hommes
  15. a b et c Bruno Guirimand, Si les Petites Roches m'étaient contées, Grenoble, Imprimerie Guirimand, , 341 p. (ISBN 978-2952681872), « Les chemins du XXe siècle », p. 186-188
  16. Lionel Beffre, « Recueil des actes administratifs n°38-2018-150 : Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle Plateau-des-Petites-Roches » [PDF], sur isere.gouv.fr, , p. 138-141.
  17. « Les trois communes du Plateau des Petites-Roches ne font plus qu’une, Alain Rougier élu maire », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne).
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. Voler, sur le site chartreuse-tourisme.com, consulté le 20 octobre 2015
  20. Le funiculaire, sur le site funiculaire.fr, consulté le 20 octobre 2015
  21. « Fermeture du Funiculaire | Le funiculaire de Saint Hilaire du Touvet | Venir à Saint Hilaire du Touvet par le Funiculaire » (consulté le )
  22. Vous allez aimer St Hilaire !, sur le site station-ski-saint-hilaire.fr, consulté le 20 octobre 2015
  23. Via-ferrata, sur le site funiculaire.fr, consulté le 20 octobre 2015
  24. « Été - Col de Marcieu », sur www.col-marcieu.com (consulté le )
  25. Site internet du monastère Notre-Dame-des-Petites-Roches
  26. a b et c Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 978-2-911148-66-8), pp. 435-436.
  27. L'hypothèse avancée par Tasset, comme suggéré par lui-même, nécessiterait d'une confirmation plus rigoureuse du simple toponyme.
  28. Localisation de la pierre à cupules de Saint-Hilaire-du-Touvet : 45° 18′ 29″ N, 5° 53′ 13″ E
  29. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 501-502