Troisgros

entreprise de restauration et d'hôtellerie française
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Troisgros est une entreprise de restauration et d'hôtellerie française dont l'établissement principal est situé à Ouches dans la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Troisgros
Image illustrative de l’article Troisgros
La salle du restaurant Le Bois sans feuilles.
Présentation
Coordonnées 46° 00′ 36″ nord, 3° 59′ 32″ est
Pays Drapeau de la France France
Ville Ouches, Loire
Adresse 728 route de Villerest
Fondation 1930
Site web http://www.troisgros.com
Informations
Chef cuisinier Michel et César Troisgros
Type de cuisine Cuisine française
Critique Guide Michelin
4 toques au Gault et Millau
(Voir situation sur carte : France)
Troisgros
Troisgros
Géolocalisation sur la carte : Loire
(Voir situation sur carte : Loire)
Troisgros
Troisgros

Elle tire son origine d'un restaurant tenu à partir de 1930 à Roanne par Jean-Baptiste Troisgros et son épouse Marie, puis par leurs fils Jean et Pierre sous le nom Les Frères Troisgros en 1957, enfin par leur petit-fils Michel, propriétaire de l'actuel restaurant Le Bois sans feuilles à Ouches, près de Roanne. Il est classé trois étoiles au Guide Michelin depuis 1968[1].

L'hôtel est membre de Relais & Châteaux depuis 1966[2].

Historique

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Jean-Baptiste et Marie Troisgros

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L'hôtel-restaurant Troisgros à Roanne du temps de l’Hôtel Moderne.

Jean-Baptiste Troisgros (1898-1974) et son épouse Marie Badaut (1900-1968)[3], limonadiers d'origine bourguignonne, tiennent le Café des négociants à Chalon-sur-Saône en Bourgogne. Ils ont trois enfants : Jean (né le à Chalon-sur-Saône[4],[5]), Pierre (né le à Chalon-sur-Saône) et Madeleine (née le à Roanne). En 1930, la famille Troisgros s'installe à Roanne, aux frontières de la Bourgogne, de la vallée du Rhône et de l'Auvergne, sur la route nationale 7, alors grand itinéraire. Ils achètent l’Hôtel-Restaurant des Platanes qui s'élève en face de la gare.

Le couple, totalement autodidacte en restauration, assure une table d'hôtes régionale et bourgeoise. Marie Troisgros est aux fourneaux, Jean-Baptiste s'occupe de la salle et de la cave.

Leurs deux fils, Jean et Pierre, sont élevés dans les éloges quasi sacrés de la grande cuisine française. Chacun à 15 ans, ils entrent en cuisine presque « comme on entre en religion ». Jean fait son apprentissage à Paris, Pierre à l’Hôtel du Golf à Étretat en Normandie ; il travaille aussi à Saint-Jean-de-Luz au Pays basque. En 1948, Pierre Troisgros fait son service militaire au 62e régiment d'artillerie d'Afrique à Tunis[6].

Leur CAP obtenu, ils travaillent ensemble au Lucas Carton, un prestigieux restaurant de la place de la Madeleine dans le 8e arrondissement de Paris avec le grand chef cuisinier Gaston Richard. Ils s'y lient d'une amitié solide, qui devait s'avérer très durable, avec leur camarade de fourneau Paul Bocuse.

Les Frères Troisgros (Jean et Pierre)

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Jean, Jean-Baptiste et Pierre Troisgros.

En 1957, l’Hôtel Moderne devient Les Frères Troisgros, avec Pierre au fourneau, Jean le maître saucier et leur père Jean-Baptiste comme maître d'hôtel et sommelier.

Le Guide Michelin leur décerne leur première étoile en 1955, la seconde en 1965 et leur troisième étoile en 1968[1] ; 18/20 au Gault et Millau[7] et 4 étoiles au Bottin gourmand[8]. En 1965, Jean Troisgros obtient le titre de Meilleur ouvrier de France (catégorie cuisine)[9],[10]. En 1966, Pierre Troisgros officie comme chef de cuisine pendant 5 mois au restaurant Maxim's de Tokyo au Japon[6],[11],[12].

En 1968, Christian Millau titre en couverture de son magazine Gault et Millau : « J'ai découvert le meilleur restaurant du monde »[13].

En 1970, le restaurant s'agrandit avec le rachat d'un bâtiment voisin[14]. En 1976, ils construisent une grande cuisine.

Le à Vittel (Vosges), Jean Troisgros décède brutalement d'une crise cardiaque sur un court de tennis à l'âge de 56 ans[5],[15],[16],[17]. Le , la place de la gare à Roanne est rebaptisée à son nom (inaugurée par François Mitterrand). Au centre est installée une œuvre du sculpteur Arman datant de 1992 : Les Gourmandes, qui représente un empilement de fourchettes[18].

De 1987 à 1990, Pierre et Michel Troisgros font partie des invités de l'émission culinaire hebdomadaire Quand c'est bon ?... Il n'y a pas meilleur ! diffusée sur FR3 et animée par François Roboth[19].

Jean Troisgros

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Jean Troisgros était marié et père de deux enfants. Son fils Georges fut notamment cuisinier aux restaurants Lutèce (en) et Le Relais à New York[17],[20].

Pierre Troisgros

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Pierre Troisgros en 2012.

Pierre Troisgros, mort le au Coteau, près de Roanne, à l'âge de 92 ans[21],[22],[23],[24], et son épouse Olympe Forté, d'origine italienne, rencontrée à Paris (née le à 1928 à Pont-Sainte-Maxence et décédée le au Coteau[25]), ont trois enfants : Claude (né en 1956), Michel (né en 1958) et Anne-Marie (née en 1964)[6].

Claude (ancien élève de l’école hôtelière de Thonon-les-Bains[6]) tient le restaurant gastronomique Olympe à Rio de Janeiro et trois bistrots, dont un à Miami Beach en Floride. Il est père de deux enfants dont son fils Thomas Troisgros qui prend la relève[26],[27].

Anne-Marie (ancienne élève de l'École hôtelière de Lausanne), avec son mari Yves Gravelier, était propriétaire du Restaurant Gravelier à Bordeaux de 1993 à 2014[6],[28].

Michel Troisgros

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Michel Troisgros en 2018.

Michel, né le à Roanne, fils de Pierre et Olympe Troisgros, fait l'école hôtelière de Grenoble entre 1973 et 1976 où il rencontre Marie-Pierre, sa future épouse. Ils partent faire le tour du monde pour apprendre le métier dans les grandes maisons comme Alain Chapel à Mionnay, Frédy Girardet à Crissier, Taillevent à Paris, Michel Guérard à Eugénie-les-Bains et New York, Comme chez soi à Bruxelles, Chez Panisse à Berkeley et The Connaught (hôtel) à Londres[réf. souhaitée].

Marie-Pierre Troisgros

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Marie-Pierre Troisgros en 2017.

Marie-Pierre Lambert, née le à Sainte-Colombe (Rhône), suit également l'école hôtelière de Grenoble de 1973 à 1976. Lors de leur tour du monde, elle travaille dans différents pays, notamment en Allemagne dans la Forêt-Noire, à l'hôtel Hilton de Bruxelles, à l'hôtel The Connaught à Londres, au restaurant Lapérouse à Paris, chez Petrossian à New York, chez Michel Guérard à Eugénie-les-Bains et chez la famille François en Suisse. Michel et Marie-Pierre se marient en 1983. Ensemble Marie-Pierre et Michel ont trois enfants, Marion (née en 1983), César (né en 1986) et Léo (né en 1993)[réf. souhaitée].

César Troisgros

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César Troisgros en 2018.


César Troisgros, né le 5 novembre 1986 à Roanne, est le fils aîné de Michel et Marie-Pierre Troisgros. Il est cuisinier[29].

2004 à 2007 : Formation à l'Institut Paul Bocuse avant de poursuivre son apprentissage culinaire dans de grandes maisons telles que Michel Rostang à Paris en 2007[30],[31]. 2009-2010 : Thomas Keller « The French Laundry » dans la Napa Valley[32]. 2011 : Retour à Roanne. Chef de partie, sous-chef, chef de cuisine[33]. Quelques mois chez Claude Troisgros à Rio de Janeiro[34]. En 2017 il s'engage avec Vivre bio en Roannais dans la sauvegarde d'une variété menacée de disparition, la fève d'Auvergne[35]. 2019 : Il est nommé chevalier de l’Ordre du Mérite agricole[36]. 2020 : Étoile verte[37]. César est sportif, musicien, se passionne pour l’art, la connaissance des vins et les cuisines du monde[38]. En 2023, il devient officiellement le chef de cuisine de la maison[39].

Le film Menus-Plaisirs de Frederick Wiseman est centré sur son travail[40].

Léo Troisgros

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César, Michel, Marie-Pierre et Léo Troisgros en 2020.

Léo Troisgros, né le à Roanne, étudie à l'Institut Paul Bocuse entre 2012 et 2015. Pour compléter sa formation, il intègre de grandes maisons comme Guy Savoy à Paris, Benoît Violier à Crissier, La Grenouillère d'Alexandre Gauthier à La Madelaine-sous-Montreuil et l'Hôtel Adlon à Berlin. En 2017, il fait partie de l'équipe en cuisine pour l'ouverture du nouvel établissement à Ouches, avant de rejoindre comme second La Colline du Colombier où Lisa Roche, sa compagne, est chef de rang. En , il part avec sa compagne pour un an au Japon[41]. Le , Léo et Lisa prennent la direction de La Colline du Colombier[42].

Restaurants

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L'ancien restaurant La Maison Troisgros à Roanne.

Après la disparition de Jean, Michel et Marie-Pierre font équipe avec leurs parents. Le tandem père-fils dure 13 ans, il se prolonge jusqu'en 1996. L'étroitesse des lieux, l'impossibilité d'y nourrir un projet d'avenir pour leurs fils César et Léo, tous deux cuisiniers, amènent Marie-Pierre et Michel à quitter la place de la gare le . Le nouvel établissement, Le Bois sans feuilles, ouvre le suivant dans le calme d'un domaine situé à Ouches, à 8 km à l'ouest de Roanne[réf. souhaitée].

 
Le Central à Roanne.

En 1995, Michel et Marie-Pierre ont ouvert un « café-restaurant-épicerie » face à la gare à Roanne.

En 2001, Michel Troisgros ouvre le restaurant Koumir (en français : « diva ») à Moscou, dans un hôtel particulier du XIXe siècle, entre la place Pouchkine et la place Rouge[43]. Cette présence en Russie dure trois ans. Devant la difficulté à s'approvisionner en ingrédients de qualité, Michel ne renouvelle pas son contrat[44].

En 2004, Michel Troisgros ouvre La Table à l'Hôtel Lancaster dans le 8e arrondissement de Paris. Un an plus tard, il est récompensé d'une étoile par le Guide Michelin[45]. En 2014, le changement de propriétaire met un terme à 10 ans de collaboration[46].

En , Michel Troisgros ouvre le restaurant Cuisine(s) Michel Troisgros dans l'hôtel Hyatt Regency de Tokyo[47]. L'adresse se fait rapidement une belle réputation et obtient 2 étoiles au Guide Michelin en 2008. La cuisine proposée est proche de l'esprit de Roanne, mais Michel laisse à ses chefs la liberté de créer de nouveaux plats, qui sont élaborés à partir de produits locaux et de saison. Cela fait une cuisine française avec un léger accent oriental. Le restaurant a fermé ses portes fin 2019[48].

 
La Colline du Colombier à Iguerande.

En , Marie-Pierre et Michel ouvrent à quelques kilomètres de Roanne, à Iguerande en Saône-et-Loire dans le Brionnais un nouvel établissement, La Colline du Colombier[49].

 
La salle du restaurant Le Bois sans feuilles et le manoir.

Le , ouvre le nouvel établissement Troisgros : Le Bois sans feuilles.

Le , César et Léo installent leur « Petite cuisine » établie dans un fourgon Citroën Type H place Clemenceau à Roanne[50].

Faits marquants

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Distinctions et décorations

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Distinctions

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  • 1965 : Jean Troisgros obtient le titre de Meilleur ouvrier de France (section cuisine)[9].
  • 1968 : trois étoiles   au Guide Michelin[1].
  • 1972 : qualifié de « Meilleur restaurant du monde » par Christian Millau du Gault et Millau[13].
  • 1988 : Pierre Troisgros devient membre honoris causa des Meilleurs ouvriers de France[6].
  • 2003 : Michel Troisgros est sacré « Chef de l'année 2003 » par le guide Gault et Millau[64].
  • 2017 : Michel Troisgros est élu « Chef de l'année 2018 » par ses pairs au Chefs World Summit 2017 (Classement « Les 100 Chefs » par le magazine Le Chef)[65],[66].
  • 19/20 au Gault et Millau[7].
  • 29/30 par le guide Zagat aux États-Unis, qui le dit à son tour « Meilleur restaurant du monde »[13].

Décorations

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Décorations françaises

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Élèves célèbres

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Ouvrages

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  • Jean et Pierre Troisgros, Cuisiniers à Roanne, Robert Laffont, coll. « Recettes originales », 1977, 342 p. (ISBN 978-2221112984).
  • Pierre et Michel Troisgros, Les Petits Plats des Troisgros, Robert Laffont, coll. « Les recettes originales de… », 1985, 391 p. (ISBN 978-2221084878).
  • Jean-Bernard Naudin, Jean-Michel Charbonnier et Pierre Troisgros, Renoir. À la table d'un impressionniste, Éditions du Chêne, coll. « À la table de… », 1994, 191 p. (ISBN 978-2851087928).
  • Pierre et Michel Troisgros, Cuisine de famille. Chez les Troisgros, Flammarion, 1997, 193 p. (ISBN 978-2082005708).
  • Pierre et Michel Troisgros, Les Meilleures Recettes familiales des Troisgros, Flammarion, coll. « Gastronomie », 2002, 118 p. (ISBN 978-2082009287).
  • Michel Troisgros, La Cuisine acidulée, Le Cherche midi, coll. « Les aventuriers du goût », 2005, 287 p. (ISBN 978-2749100227).
  • Michel Troisgros et Bénédict Beaugé, Michel Troisgros et l'Italie (photographies de Marie-Pierre Morel), Glénat Livres, coll. « Hommes et montagnes », 2009, 313 p.
  • Fabienne Croze et Laurence Duquesne, Balade buissonnière et gourmande… en Bourgogne du sud, rencontre avec Pierre Troisgros, Thoba's Éditions, 126 illustrations et images couleurs, 2010, 168 p. (ISBN 2-916393-37-4).
  • Michel et Marie-Pierre Troisgros, La Colline du Colombier (texte de Bénédict Beaugé, photographies de Marie-Pierre Morel), 2012, 286 p.
  • Michel et Marie-Pierre Troisgros, La cuisine du Central (texte de Bénédict Beaugé, photographies de Marie-Pierre Morel), 2016, 190 p.
  • Michel Troisgros, La joie de créer (dialogue avec Denis Lafay, illustré par Pascal Lemaître), Éditions de l'Aube, 2017, 192 p.
  • Michel Troisgros, Vingt-trois soupes de bienvenue de la Colline du Colombier, Fabelio, 2019.
  • Michel et César Troisgros, Servez citron (ensemble de photographies par Éric Poitevin d'assiettes desservies chez Troisgros, accompagné des recettes afférentes, piqué de « Restes de table », essai de Jean-Claude Lebensztejn), Éditions Macula, Paris, 2020 (ISBN 978-2-86589-122-1).

Vidéographie

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Notes et références

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  1. a b et c « Troisgros - Le Bois sans Feuilles - Ouches - Un restaurant du guide MICHELIN », sur guide.michelin.com (consulté le )
  2. « Troisgros, Hôtel de luxe et Restaurant gastronomique étoilé à la campagne 3 étoiles Ouches – Relais & Châteaux », sur www.relaischateaux.com (consulté le )
  3. « ROANNE (42) : cimetière Saint-Claude - Cimetières de France et d'ailleurs », sur www.landrucimetieres.fr, (consulté le )
  4. « Jean Troisgros (auteur de Cuisiniers à Roanne) - Babelio », sur www.babelio.com (consulté le )
  5. a et b « Jean Georges TROISGROS », sur geneafrance.com (consulté le )
  6. a b c d e f g et h « Pierre Troisgros ou la passion de l'innovation », sur L'Hôtellerie Restauration, (consulté le )
  7. a et b « Gault&Millau - Troisgros », sur fr.gaultmillau.com (consulté le )
  8. « La Maison Troisgros | Guide hôtels | Bottin Gourmand », sur www.bottingourmand.com (consulté le )
  9. a et b « Pierre, Jean et Michel TROISGROS – Maison Troisgros à Roanne (France). », sur è molto goloso (consulté le )
  10. Christian Millau, Dictionnaire amoureux de la gastronomie, Place des éditeurs, , 527 p. (ISBN 978-2-259-21171-0, lire en ligne)
  11. Le coeur au ventre, « Pierre Troisgros : un pionnier au Japon », sur lecoeurauventre.com, (consulté le )
  12. a et b Martine Goubatian, « Cuisinier : le plus beau métier », sur Le Progrès, (consulté le )
  13. a b et c « Troisgros, la toque dans les étoiles », sur Les Échos, (consulté le )
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  16. Albert Nahmias, Petites histoires de grands chefs, Hugo & Cie, , 223 p. (ISBN 978-2-7556-1972-0, lire en ligne)
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  28. Anne-Marie Siméon, « Troisgros au naturel », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  44. « Michel Troisgros cède sa place de chef à son fils César », sur mesinfos, (consulté le )
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  46. Marjolaine Daguerre, « Michel Troisgros quitte La Table du Lancaster - Elle à Table », sur Elle (consulté le )
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  48. Franck Pinay-Rabaroust, « Le restaurant Cuisine(s) Michel Troisgros va fermer ses portes à Tokyo », sur ATABULA - Edition générale, (consulté le )
  49. « Dans les coulisses du Colombier, chez Michel et Marie-Pierre Troisgros », sur Madame Figaro (consulté le )
  50. https://www.leprogres.fr/culture-loisirs/2021/03/24/a-roanne-la-cuisine-du-restaurant-troisgros-dans-un-foodtruck
  51. « Michel Troisgros : « Mon père s’interroge encore sur le succès du saumon à l’oseille ! » – ATABULA » (consulté le )
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  62. « KM 418 / Apéritif avec (et chez) Pierre Troisgros », sur ATABULA, (consulté le )
  63. Thierry Nélias, Histoire de la Nationale 7 : De l'Antiquité à la route des vacances, Pygmalion, , 425 p. (ISBN 978-2-7564-1464-5, lire en ligne)
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  68. « La médaille de la Ville pour René Vic et Pierre Troisgros », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )
  69. Décret du 13 juillet 2004 portant promotion et nomination (lire en ligne)
  70. Décret du 2 mai 2012 portant promotion et nomination (lire en ligne)
  71. « Disparition de Pierre Troisgros : le chef Guy Martin se souvient de son "côté humain" dans une famille qui a su "donner l'amour et la transmission" », sur Franceinfo, (consulté le )

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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