Périgny (Val-de-Marne)
Périgny, aussi appelée Périgny-sur-Yerres, est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.
Périgny | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | Créteil | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Grand Paris Sud Est Avenir |
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Maire Mandat |
Arnaud Védie (Divers droite) 2020-2026 |
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Code postal | 94520 | ||||
Code commune | 94056 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pérignons | ||||
Population municipale |
2 725 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 980 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 41′ 43″ nord, 2° 33′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 97 m |
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Superficie | 2,78 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Plateau briard | ||||
Législatives | 3e circonscription du Val-de-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.perigny-sur-yerres.fr | ||||
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Géographie
modifierSituation
modifierPérigny est une petite ville périurbaine française située à environ 30 kilomètres au sud-est de Paris, dans le Val-de-Marne. Sa population est d'environ 2 500 habitants.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierLa commune, qui est limitée à l'est par un méandre de l'Yerres (affluent de la rive droite de la Seine), est également drainée par la Rigaude.
Géologie et relief
modifierLa commune de Périgny domine une boucle de l'Yerres et s’étend modestement sur le plateau de Brie : elle jouxte les départements de l’Essonne au sud et de la Seine-et-Marne à l’est.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 1 km à vol d'oiseau[3], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 1,6 | 3,8 | 5,8 | 9,6 | 12,7 | 14,5 | 14 | 10,8 | 8,2 | 4,7 | 2,4 | 7,5 |
Température moyenne (°C) | 4,5 | 5 | 8,2 | 11 | 14,8 | 18,1 | 20,2 | 20 | 16,3 | 12,4 | 7,8 | 5 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,2 | 8,6 | 12,7 | 16,4 | 19,9 | 23,5 | 25,9 | 26,1 | 21,8 | 16,6 | 10,9 | 7,5 | 16,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−16 08.01.10 |
−13 07.02.1991 |
−10,5 01.03.05 |
−3 07.04.21 |
0,5 07.05.1997 |
1,8 04.06.1991 |
6,1 04.07.1990 |
6 28.08.1998 |
1 30.09.12 |
−3,8 30.10.1997 |
−10,4 24.11.1998 |
−10,3 29.12.1996 |
−16 2010 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,1 27.01.03 |
22 27.02.19 |
25 31.03.21 |
29 20.04.18 |
33 28.05.17 |
38 22.06.17 |
39,5 31.07.20 |
40,1 06.08.03 |
35 15.09.20 |
29,5 01.10.11 |
23 08.11.15 |
17,3 16.12.1989 |
40,1 2003 |
Précipitations (mm) | 57,2 | 50,9 | 49,8 | 50,6 | 67,4 | 58,6 | 60 | 61,1 | 52,4 | 58 | 61,8 | 70,5 | 698,3 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Périgny est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Morphologie urbaine
modifierContrairement à bon nombre de communes proches, Périgny a su garder le cadre champêtre d'antan tout en gardant l'avantage d'être située à proximité de la capitale.
Habitat
modifierLe parc de logements de la commune, principalement pavillonnaire, est en croissance soutenue, passant de 171 logements en 1968 à 1064 en 2017, et a augmenté d'un quart entre 2007 et 2017[12].
Logements[13] | Nombre en 2007 | % en 2007 | nombre en 2012 | % en 2012 | nombre en 2017 | % en 2017 |
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Total | 851 | 100 % | 970 | 100 % | 1064 | 100 % |
Résidences principales | 820 | 96,3 % | 935 | 96,4 % | 1 002 | 94,2 % |
→ Dont HLM | 1 | 0,1 % | 27 | 2,8 % | 64 | 6,4 % |
Résidences secondaires et logements occasionnels |
7 | 0,8 % | 4 | 0,4 % | 11 | 1,0 % |
Logements vacants[Note 4] | 24 | 2,8 % | 31 | 3,2 % | 51 | 4,8 % |
Dont : | ||||||
→ maisons | 732 | 86,1 % | 797 | 82,2 % | 852 | 80,1 % |
→ appartements | 115 | 13,5 % | 169 | 17,4 % | 209 | 19,7% |
La commune, qui ne respecte pas les obligations prévues à l'article 55 de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (Loi SRU) qui prescrit qu'elle doit atteindre 25 % de son parc de résidences principales en logements sociaux, a engagé un effort de mise en conformité depuis 2007 et a signé avec l'État un contrat de mixité sociale afin d'atteindre environ 17 % de logements sociaux en 2030[14].
Toponymie
modifierParriniacum en 1200[15], Parrigniacum en 1177, Perrigniacum en 1352, Perigny en 1370[16].
Du patronyme romain *Patrinius dérivé du latin Patrinus « qui vient du père » + -acum[16].
Histoire
modifierPréhistoire
modifierLes éléments concernant cette période sont à peu près inexistants. En effet, un menhir aurait existé sur le territoire de la commune mais cette information n’a pu encore être confirmée.
Périodes historiques
modifierDes trois petits fiefs groupés autour de l’église Saint-Leu-et-Saint-Gilles, Périgny-le-Grand et Montigny ne sont perceptibles qu’au début de l’époque moderne et seul Périgny-le-Petit apparaît, semble-t-il, sur des documents médiévaux. Sur le plan archéologique, des canalisations anciennes sont mentionnées dans le domaine de Périgny-le-Petit.
S’il risque fort d’être d’origine plus ancienne, le moulin sur l’Yerres n’est attesté qu’à l’époque moderne.
Le toponyme Pont Fêtu, déplacé sur les plans actuels mais situé en limite de plateau au XVIIIe siècle, déformation probable du latin Pons vetus, vieux pont, se rapporte peut-être au ponceau de la Chaussée de Varennes. Ce dernier permet encore à la Chaussée de Varennes de franchir un ru descendant vers l’Yerres : il semble figuré sur le plan cadastral de 1810.
L’église, bien que reconstruite au XVIIIe siècle, est mentionnée au XIIIe siècle : l’ancien cimetière qui devait l’entourer présente donc de fortes potentialités médiévales.
Indices périphériques
modifierIls sont rares faute de connaître les découvertes dans les départements limitrophes : à noter toutefois la fouille d’un domaine de la fin de l’Antiquité et du Haut Moyen Âge à Servon.
Dans le département, ont été révélées des potentialités préhistoriques et antiques au sud de la commune de Santeny, à peu de distance de Périgny.
La commune voisine de Mandres-les-Roses a été un important fief médiéval.
Il est vraisemblable qu’une ancienne voirie venant de Villecresnes passe par Périgny, mais aucune hypothèse ne peut actuellement être avancée sur son tracé.
Histoire contemporaine
modifierC'est à Périgny-sur-Yerres qu'a été fondée la IVe Internationale par Léon Trotski en , dans une grange prêtée par Alfred Rosmer.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifier- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du [17], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Créteil après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Boissy-Saint-Léger de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, elle intègre en 1967 le canton de Villecresnes[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Plateau briard.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Val-de-Marne.
Intercommunalité
modifierLa commune était, jusqu'en 2015, le siège de la communauté de communes du Plateau briard (CCPB), créée fin 2002.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[19].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté de communes du Plateau briard[20].
Tendances politiques et résultats
modifierLors des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste UMP du maire sortant Georges Urlacher est la seule candidate et obtient donc la totalité des 725 suffrages exprimés au premier tour. Les 19 colistiers sont donc élus conseillers municipaux, dont 4 conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin, 50,49 % des électeurs se sont abstenus, et 15,80 % ont voté blanc ou nul[21].
Lors des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste DVD menée par Arnaud Védié — qui avait le soutien du maire sortant Georges Urlacher — est la seule candidate et obtient donc la totalité des 455 suffrages exprimés au premier tour. Les 23 colistiers sont donc élus conseillers municipaux, dont 1 conseiller à la métropole du Grand Paris.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 70,009 % des électeurs se sont abstenus, et 3,00 % ont voté blanc ou nul[22].
Liste des maires
modifierJumelages
modifierPérigny est jumelée avec Teana (province de Potenza en Italie) et avec Boécourt (canton du Jura en Suisse).
Équipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLes écoles de Périgny sont rattachés à l'académie de Créteil.
La commune possède deux établissements scolaires[Quand ?] : l'école maternelle Suzanne-Heinrich et l'école élémentaire Georges-Huré.
Santé
modifierPérigny dispose d'une pharmacie[Quand ?].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 2 725 habitants[Note 5], en évolution de +4,65 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le château de Périgny-le-Petit - XVIIe siècle.
- L'église Saint-Leu-et-Saint-Gilles, reconstruite au XVIe siècle.
Personnalités liées à la commune
modifier- Gustave Cariot (1872-1950), peintre paysagiste français, y a vécu et a peint de nombreuses vues de la campagne avoisinante ;
- Jean Dubuffet (1901 - 1985) acheta un terrain à Périgny pour y créer son œuvre, La Closerie, dans le cadre de son travail à la Fondation Dubuffet ;
- Mika Etchebéhère (1902 - 1992), militante anarchiste puis marxiste libertaire, combattante du POUM pendant la révolution sociale espagnole de 1936, y a vécu ;
- Marino di Teana (1920 - 2012), sculpteur, y avait son atelier, et y est décédé ;
- Juan Carlos Caceres (1936 - 2015), musicien, y a vécu et y est décédé.
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Michel Lucas, Périgny ou les aventures d'un maire. (Période 1967-1995).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Périgny (94056) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Périgny »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Périgny » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Périgny et Mandres-les-Roses », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Périgny ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Tableau LOG T1, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
- Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
- Marine Legrand, « Municipales : à Périgny-sur-Yerres, Arnaud Védie seul face aux électeurs : Il est le seul candidat en lice pour prendre la suite du maire sortant, Georges Urlacher (LR), qui soutient sa liste. Une situation unique dans le département du Val-de-Marne », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « C'est la ville la moins peuplée du département et la 2e moins peuplée du Grand Paris. Périgny-sur-Yerres est un joli village du plateau briard composé à 60 % de champs. Georges Urlacher (LR), le maire depuis 25 ans, a décidé de raccrocher les crampons et de passer le flambeau lors des élections municipales de mars ».
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Page 578
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- Décret n° 2015-1664 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Créteil sur Légifrance.
- Résultats officiels pour la commune Périgny-sur-Yerres
- « Val-de-Marne (94) - Périgny-sur-Yerres », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Un peu d'histoire sur Périgny
- Marine Legrand, « Val-de-Marne : voici les cinq nouveaux maires du plateau briard : Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Périgny-sur-Yerres, Santeny et Villecresnes ont élu de nouveaux maires. Mais le plateau briard conserve son ancrage de centre droit. Portraits de ces élus aux parcours parfois étonnants », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat, il est élu avec 100 % des suffrages le 15 mars ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.