Paroisse de Dundas
La paroisse de Dundas est à la fois une paroisse civile[note 1] et un ancien district de services locaux (DSL) canadien du comté de Kent, situé au sud-est du Nouveau-Brunswick.
Paroisse de Dundas | ||
Administration | ||
---|---|---|
Pays | Canada | |
Province | Nouveau-Brunswick | |
Subdivision régionale | Kent | |
Statut municipal | District de services locaux | |
Maire Mandat |
Aucun Aucun |
|
Fondateur Date de fondation |
John Armour 1825 |
|
Constitution | ||
Démographie | ||
Population | 1 628 hab. (2011 ) | |
Densité | 14 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 46° 16′ 12″ nord, 64° 51′ 36″ ouest | |
Superficie | 11 622 ha = 116,22 km2 | |
Divers | ||
Langue(s) | Français, minorité anglaise | |
Fuseau horaire | UTC-4 | |
Indicatif | +1-506 | |
Code géographique | 1308001 | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : Nouveau-Brunswick
| ||
modifier |
Le DSL regroupe une partie seulement de la paroisse civile, le reste étant compris dans les DSL de Grande-Digue, Grand-Saint-Antoine et Cocagne ainsi que dans une partie du village de Saint-Antoine. Le DSL de la paroisse de Dundas comprend notamment le hameau de Notre-Dame-de-Kent et est généralement appelé par ce nom.
Dans le cadre de la réforme de la gouvernance locale du , le territoire du DSL a été réparti entre la ville Champdoré et les communautés rurales de Beausoleil[1] et Maple Hills[2].
Toponyme
modifierIl y a généralement deux théories tentant d'expliquer l'origine du nom Dundas. La première veut que ce soit en l'honneur d'Ann Dundas, l'épouse de Sir Howard Douglas, lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick de 1823 à 1832. La seconde veut que ce soit en l'honneur de Robert Saunders Dundas, 1er lord de l'Amirauté. La paroisse n'est pas nommée d'après son hameau de Dundas car ce dernier s'appelait à l'origine Trafalgar[3].
Géographie
modifierSituation
modifierDundas est situé à 20 kilomètres à vol d'oiseau au nord de Moncton, dans le pays de Gédaïque. Le DSL a une superficie de 116,22 km2.
Le territoire de Dundas à généralement la forme d'un trapèze et, à cause de diverses cessions de territoire, possède également deux queues de poèle. Dundas est limitrophe de Saint-Paul à l'ouest, de Sainte-Marie au nord-ouest, du Grand-Saint-Antoine au nord, de Cocagne à l'est, de la paroisse de Shédiac au sud et de la paroisse de Moncton au sud-ouest.
La queue de poêle du nord-est est limitrophe du Grand-Saint-Antoine à l'ouest, de Wellington au nord et de Cocagne à l'est. Celle au sud-est est limitrophe de Cocagne et de Grande-Digue au nord ainsi que de Pont-de-Shédiac–Rivière-Shédiac au sud.
Le territoire comprend également l'île de Cocagne, à l'est, qui est séparée par le village de Cocagne.
La paroisse de Dundas est généralement considérée comme faisant partie de l'Acadie[4].
Topographie
modifierLe relief est accidenté. La vallée de la rivière Cocagne est abrupte jusque vers Notre-Dame-de-Kent, où elle s'aplanit de plus en plus vers l'est. Il y a quelques autres vallées, tous d'affluents de la Cocagne. Le reste du territoire comprend plusieurs collines, atteignant jusqu'à 100 mètres d'altitude.
Hydrographie
modifierLe principal cours d'eau est la rivière Cocagne, qui coule du sud-ouest vers le nord-est. Après Notre-Dame-de-Kent, la rivière forme un petit delta avant de s'élargir fortement, passant d'environ 50 mètres a 500 mètres de large. Son seul affluent important sur la rive gauche est la Branche Nord-Ouest de la Rivière Cocagne. Sur la rive droite, les principaux sont, d'amont en aval, le ruisseau des Ormeaux et la rivière à l'anguille, qui est en fait une baie dans laquelle se jettent le ruisseau Dupuis et le ruisseau Babineau.
Géologie
modifierLe sous-sol de Dundas est composé principalement de roches sédimentaires du groupe de Pictou datant du Pennsylvanien (entre 300 et 311 millions d'années)[5].
Villages et hameaux
modifierLe principal village, Notre-Dame-de-Kent[6], est situé au bord de la rivière Cocagne, au niveau de la route 115. Le village s'étend vers l'ouest, sur la rive droite (sud) par le quartier de Dufourville et à l'est, sur la rive gauche, par Cocagne-Nord. Ce quartier est en partie compris dans Cocagne. En face, sur la rive droite, se trouve Whites Settlement. Dans les terres, au sud de Notre-Dame-de-Kent, se trouve le hameau de Petit-Pré. Les résidences au sud du chemin sont comprises dans la paroisse de Shédiac. Dundas se trouve à l'extrémité ouest, le long de la route 490. Les résidences du côté ouest du chemin sont dans le territoire de Saint-Paul. Goudalie est situé dans la « queue de poêle » au nord, au bord de l'autoroute 11. Au nord de Notre-Dame-de-Kent, le chemin Murray est en quelque sorte une continuation de l'agglomération de Saint-Antoine.
Un hameau maintenant abandonné, Alexandrina, était situé à quatre kilomètres et demi au nord-ouest de Notre-Dame.
Les hameaux de Leblancville et Village-des-Poirier, de la paroisse de Moncton ainsi que le hameau de MacDougall de la paroisse de Shédiac font historiquement et géographiquement partie de l'agglomération de Notre-Dame-de-Kent[7].
Histoire
modifierOrigines
modifierLa paroisse de Dundas est située dans le territoire historique des Micmacs, plus précisément dans le district de Sigenigteoag, qui comprend l'actuel côte Est du Nouveau-Brunswick, jusqu'à la baie de Fundy[8].
Un village acadien du nom de Belair est mentionné en 1756 dans une lettre de François Le Guerne; il était situé sur la rive Nord de la rivière Cocgane, à six ou sept miles dans les terres, soit en amont de Notre-Dame-de-Kent[9].
George Gibson, originaire du Royaume-Uni, reçut une concession au site actuel de Notre-Dame en 1817. Étant insatisfait de sa terre, il écrit une lettre au lieutenant-gouverneur Thomas Carleton, où l'on apprend qu'il est le seul résidant à des kilomètres à la ronde. Gibson abandonne ensuite sa terre et John Armour, un Écossais, reçoit le titre de propriété en 1819 mais viens seulement s'établir en 1825, en même temps qu'un compatriote, Alex MacWilliam. Andrew Johnston les rejoint en 1831. En 1850, Pierre et François Bourque, originaires de Memramcook, furent les premiers Acadiens à s'établir au village. Memramcook était alors en pleine croissance et plusieurs autres familles les suivirent en quête de nouvelles terres. Parmi eux, notons la famille Leblanc, dont le premier représentant fut Bénoni Leblanc en 1851. Le hameau de Guéguin fut fondé vers les années 1830 par Basile Goguen. Whites Settlement fut fondé par des familles anglaises telles que les Crawford, West, Webb, Teed, Riley, Hope et Coburne. Ceux-ci pensaient que la ligne Moncton-Bouctouche allait passer dans leur villages. Lorsque le trajet fut dévié, une partie déménagea à Notre-Dame. Suretteville fut fondé en 1872 ou plus tôt par Sylvain LeBlanc. Dufourville fut fondé en 1857 par Olivier et Annie Robichaud[7].
Développement du village
modifierLa première école fut construite à Notre-Dame en 1841, suivie par d'autres petites écoles à Dufourville, Hayes, Village-des-Poirier et Alexandrina. L'éducation se faisait auparavant par des particuliers. Après un incendie, l'école de Notre-dame fut remplacée par une école régionale, ouverte le et remplaçant toutes les autres du village et des environs. Trafalgar est arpenté en 1856 mais n'est colonisé que plusieurs années plus tard par des Acadiens, sous le nom de Dundas[10]. Le premier bureau de poste ouvrit ses portes à Notre-Dame en 1866[7].
Commencée en 1886, la construction de la ligne Moncton-Bouctouche se termina en 1888. Une gare se trouvait à Notre-dame et une autre, la North Side Station, fut abandonnée peu de temps après, trop près de cette dernière. Le chemin de fer contribua à la croissance du village. Il y avait déjà un moulin important dans les années 1840. Une carrière se trouvant à Notre-Dame donnait une pierre de qualité dont ont construit de nombreux édifices tels que l'église de Saint-Antoine et la Old Mary's Home de Moncton. Un embranchement du chemin de fer fut construit jusqu'à la carrière. Il y avait une autre carrière à Suretteville. La conserverie de fruit et légumes Maritime Products Ltd. fonctionna durant les années 1920. Il y eut d'autres industries et commerces tels qu'un moulin à bardeaux, une tonnellerie, une banque et un hôtel[7].
La première Caisse populaire acadienne du comté de Kent fut fondée à Notre-Dame le , durant la Grande Dépression. la Caisse populaire opère une coopérative alimentaire pendant quelques mois, avant d'abandonner en 1939 cette pratique interdite par le règlement de l'institution[7].
Un pont suspendu pour piétons fut construit à Notre-Dame en 1935 mais fut emporté un an et demi plus tard par les embâcles. L'école Notre-Dame est inaugurée en 1958[11]. Le pont couvert de Notre-Dame s'effondra en 1972. Le pont ferroviaire, situé en amont, fut alors démoli pour laisser place à une chaussée[7].
La caisse populaire fusionne avec les caisses de Cocagne, Grande-Digue et Saint-Antoine en 2000 pour former la Caisse populaire Kent-Sud. Celle-ci fusionne avec la Caisse populaire Kent-Beauséjour en 2008 mais conserve son nom[12].
Le , les résidents de la paroisse de Dudas votent à égalité pour et contre, à 420 voix pour chaque option, lors du plébiscite sur la constitution du DSL en communauté rurale[13]. Selon la loi électorale, le non l'emporte donc[réf. nécessaire].
Religion
modifierLa construction de la première chapelle débuta en 1861 à Dufourville mais elle fut détruite par une tempête avant d'être terminée. L'église Saint-Pierre fut construite en 1866. Elle fut remplacée par l'église Sainte-Agathe en 1888. le premier presbytère fut construit en 1890. De mauvaise qualité, il fut reconstruit en 1897. Il fut remplacé en 1980. L'église Sainte-Agathe prit feu le à cause d'un problème électrique. Elle fut reconstruite et inaugurée en 1951[7].
- Honoré Ouellet 1889-1897
- Paul Dufour 1897-1913
- Joseph Lapointe 1913-1918
- Vital LeBlanc 1917-1918
- Philippe Hébert 1918-1920
- Désiré Allain 1920-1940
- Arthur Léger 1940-1943
- Germain Lemire 1943-1944
- Emile Ouellet 1944-1946
- Emery Doucet 1947-1956
- Jean Gaudet 1956-1957
- Désiré Melanson 1957-1975
- Eric Cormier 1975-1983
- Daniel Gauthier 1983-1989
- Fidèle LeBlanc 1989-1992
- George LeBlanc 1992-
Chronologie municipale
modifier1825 : Fondation de Notre-Dame-de-Kent, dans la paroisse de Wellington, du comté de Kent, au Nouveau-Brunswick.
1826 : Création de la paroisse de Dundas à partir d'une portion de la paroisse de Wellington. La paroisse comprend aussi des secteurs plus anciens que Notre-Dame, soit Cocagne et Grande-Digue.
1828 : Le territoire de la paroisse de Dundas est réduit en superficie.
La municipalité du comté de Kent est dissoute en 1966[14]. Une petite portion au nord de la paroisse est annexée au nouveau village de Saint-Antoine. La paroisse de Dundas devient un district de services locaux en 1967[14].
1984: Les DSL de Cocagne, Grande-Digue et du Grand-Saint-Antoine sont formés à partir de portions de la paroisse de Dundas[15],[16].
Démographie
modifierÉconomie
modifierEntreprise Kent, membre du Réseau Entreprise, a la responsabilité du développement économique[19].
Allain Equipment Manufacturing Ltd. est une entreprise fabriquant ou modifiant des véhicules d'urgence, des remorques, des camions, des convoyeurs, des réservoirs, des fournaises, des quais flottants et d'autres équipements. Elle compte environ 50 employés[20]. Il y a plusieurs autres usines fabriquant notamment du café, des escaliers en bois et des portes et fenêtres.
Administration
modifierComité consultatif
modifierEn tant que district de services locaux, Dundas est administré directement par le Ministère des Gouvernements locaux du Nouveau-Brunswick, secondé par un comité consultatif élu composé de cinq membres dont un président.
Budget et fiscalité
modifierCommission de services régionaux
modifierLa paroisse de Dundas fait partie de la Région 6[21], une commission de services régionaux (CSR) devant commencer officiellement ses activités le [22]. Contrairement aux municipalités, les DSL sont représentés au conseil par un nombre de représentants proportionnel à leur population et leur assiette fiscale[23]. Ces représentants sont élus par les présidents des DSL mais sont nommés par le gouvernement s'il n'y a pas assez de présidents en fonction[23]. Les services obligatoirement offerts par les CSR sont l'aménagement régional, l'aménagement local dans le cas des DSL, la gestion des déchets solides, la planification des mesures d'urgence ainsi que la collaboration en matière de services de police, la planification et le partage des coûts des infrastructures régionales de sport, de loisirs et de culture; d'autres services pourraient s'ajouter à cette liste[24].
Représentation et tendances politiques
modifierNouveau-Brunswick: La majeure partie de Dundas est comprise dans la circonscription provinciale de Kent-Sud, qui est représentée à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick par Claude Williams, du Parti progressiste-conservateur. Il fut élu en 2001 puis réélu en 2003, en 2006 et en 2010. Le hameau de Dundas fait quant à lui partie de la circonscription provinciale de Kent, qui est représentée à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick par Shawn Graham, ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick. Il fut élu en 1999 puis réélu en 1999, en 2003, en 2006 et en 2010.
Canada: Dundas fait partie de la circonscription fédérale de Beauséjour. Cette circonscription est représentée à la Chambre des communes du Canada par Dominic LeBlanc, du Parti libéral.
Ancienne administration paroissiale
modifierListe des conseillers successifs de la paroisse de Dundas | |||||
---|---|---|---|---|---|
Parti | Mandat | Nom | |||
Indépendant | 1944 - 194? | Placide Robichaud Antoine-W. Donelle[25] | |||
Indépendant | 19?? - 195? | Antoine-W. Donelle Simon Daigle[26] |
Infrastructures et services
modifierLe village est desservi par la route 115. Le détachement de la Gendarmerie royale du Canada le plus proche est situé à Irishtown.
À Notre-Dame-de-Kent, l'école Notre-Dame accueille les élèves de la maternelle à la 8e année en français. Le village possède également un bureau de poste et une caisse populaire. D'autres services comme les soins de santé ou la bibliothèque sont situés dans la municipalité limitrophe de Saint-Antoine.
Les francophones bénéficient du quotidien L'Acadie nouvelle, publié à Caraquet, ainsi que des hebdomadaires L'Étoile, de Dieppe, et Le Moniteur acadien, de Shédiac. Les anglophones bénéficient quant à eux des quotidiens Telegraph-Journal, publié à Saint-Jean et Times & Transcript, de Moncton.
Culture
modifierPersonnalités
modifier- Alexandre Doucet (1880-1951), député fédéral, mort à Notre-Dame-de-Kent ;
- Dyane Léger (1954-), artiste peintre et poétesse, née à Notre-Dame-de-Kent.
Municipalités limitrophes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Au Nouveau-Brunswick, une paroisse civile est une subdivision territoriale ayant perdu toute signification administrative en 1966 mais étant toujours utilisée à des fins de recensement.
Références
modifier- Ministère de la Gouvernance locale du Nouveau-Brunswick, « CSR 6 – Commission de services régionaux de Kent » (consulté le ).
- Ministère de la Gouvernance locale du Nouveau-Brunswick, « CSR 7 – Commission de services régionaux du Sud-Est » (consulté le ).
- Rayburn 1975, p. 98
- Murielle K. Roy et Jean Daigle (dir.), Démographie et démolinguistique en Acadie, 1871-1991, L'Acadie des Maritimes, Moncton, Centre d'études acadiennes, Université de Moncton, , 908 p. (ISBN 2-921166-06-2), p. 141.
- (en) [PDF] Ministère des Ressources naturelles et de l'énergie du Nouveau-Brunswick, « Bedrock Geology of New Brunswick », (consulté le ).
- ou simplement Notre-Dame, tel qu'il est souvent épelé sur les cartes
- Histoire de Notre-Dame, résumé et mise à jour du livre Notre-Dame de Kent: Son histoire.
- (en) Philip K. Bock et William C. Sturtevant (dir.), Handbook of North American Indians, vol. 13, t. 1, Government Printing Office, , 777 p., p. 109-110
- (en) William Gagnong, A Monograph of historic sites in the province of New Brunswick, Ottawa, J. Hope, (lire en ligne), p. 291
- Ganong 1904, p. 176
- [PDF] « Francophone Sud », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Caisse populaire Kent-Sud », sur Caisses populaires acadiennes (consulté le ).
- « Les résultats non officiels des élections (2014-05-12) », sur Élections N.-B. (consulté le ).
- Jean-Guy Finn, Bâtir des gouvernements locaux et des régions viables : plan d'action pour l'avenir de la gouvernance locale au Nouveau-Brunswick, Fredericton, , 83 p. (ISBN 978-1-55471-181-9, lire en ligne [PDF]), p. 30
- (en) http://homepages.rootsweb.com/~nbpast/localhistory/parishes.html , consulté le .
- (en) Territorial Division Act (1786), consulté le .
- « Statistique Canada - Profils des communautés de 2006 - Dundas, paroisse de » (consulté le ).
- « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Dundas, paroisse de » (consulté le ).
- « Carte », sur Entreprise Kent (consulté le ).
- « La région de Kent ________ Allain Equipment », sur kent.nb.ca via Wikiwix (consulté le ).
- « Les communautés dans chacune des 12 Commissions de services régionaux (CSR) », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Conseils d'administration des commissions de services régionaux annoncés », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Gouvernance des nouvelles commissions de services régionaux », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Services obligatoires », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Procès-verbaux de la session de janvier 1944 du conseil municipal de Kent », La Voix d'Évangéline, , p. 15 (lire en ligne)
- « Procès-verbaux de la session de janvier 1953 du conseil municipal de Kent », L'Évangéline, , p. 15 (lire en ligne)
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Denise Bourgeois, Roméo Gagnon, Paul LeBlanc et Louise Richard, Notre-Dame de Kent: Son histoire, 1978.
- (en) William F. Ganong, A Monograph of the Origins of the Settlements in New Brunswick, Ottawa, J. Hope, , 185 p.
- (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Ottawa, Énergie, Mines et Ressources Canada,
Liens externes
modifier- École Notre-Dame, comprend un article sur l'histoire de l'école et un autre sur l'histoire du village.