Mouvement pro-vie

mouvement social contre l'interruption volontaire de grossesse (anti-avortement) et l'euthanasie

Le mouvement pro-vie (calque du néologisme anglais pro-life) est un mouvement regroupant associations et personnes, souvent proches des mouvements religieux, défendant le « droit à la vie », à travers l’opposition au « droit à l'avortement » (d'où un fort lien avec les mouvements anti-avortement[1],[2]), mais également à la contragestion, à l’euthanasie, et parfois à certaines formes de contraceptions.

Le terme « pro-vie », utilisé par les membres du mouvement, provient du choix de préférer la vie à la mort : l’avortement volontaire comme l’euthanasie sont ainsi vus comme des actes s’opposant à la vie. Les tenants du mouvement pro-choix préfèrent quant à eux employer le terme « anti-avortement »[3] ou, de manière plus explicitement critique, « anti-choix »[4] en mettant l'accent sur les modalités d’exécution de l'avortement (choisi ou imposé)[5],[6].

Dans le monde

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Quelques mouvements politiques canadiens ont demandé une révision des conditions d'avortement, et notamment la Campagne Québec-Vie ; le Parti de l'héritage chrétien du Canada[réf. souhaitée].

Espagne

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L'association reconnue d'utilité publique Hazte Oír est « pro-vie »[réf. souhaitée].

États-Unis

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Marche « prolife », Washington.

Associations

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Le National Right to Life Committee, le Family Research Council ou Concerned Women for America (en), incluent la lutte contre l'avortement dans un conservatisme plus large touchant à d'autres questions de société telles que le mariage homosexuel. À l'inverse, des organisations de taille plus réduite telles que l'Alliance Pro-vie des Gays et Lesbiens ont des positions inverses sur d'autres questions de société[réf. souhaitée].

L'association Operation Rescue a mené au début des années 1990 des actions très médiatiques à base de sit-ins massifs aux abords de cliniques pratiquant l'avortement, en bloquant parfois l'accès. Ces actions ont culminé à l'été 1991 avec plusieurs milliers de manifestants arrêtés à Wichita, dans le Kansas. Ces actions ont en partie inspiré en France, à la même époque, les commandos anti-IVG[7]. Ces actions par Operation Rescue ont cessé au cours des années 1990 avec le passage d'une loi spécifique, la Freedom of Access to Clinic Entrances Act (en) en 1994.

Dans le monde politique

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Au contraire du Parti démocrate, la position officielle du Parti républicain est pro-vie[8], tout comme celle de la plupart de ses personnalités, par exemple Sarah Palin[9]. Toutefois, il existe dans chaque parti une minorité divergente. Chez les Républicains, l'association Republicans for Choice milite pour l'avortement légal, position partagée par des élus tels que l'ancien gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger. Chez les Démocrates, on trouve à l'inverse l'association Democrats for Life et des élus tels que le sénateur Bob Casey Jr, qui se revendiquent pro-vie.

Le Parti de la Constitution[10], de tendance paléo-conservatrice, est également pro-vie. Le Parti libertarien, majoritairement pro-choix, comprend une importante minorité pro-vie, représentée par le mouvement Libertarians for Life[11] créé en 1976.

Violences

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On dénombre de nombreux actes de violence et d'intimidation de la part de certains militants anti-avortement[12] : des attentats à la bombe[13],[14], des dégradations par liquide malodorant et des lettres de menace[15],[16], des meurtres[17] ou même des fusillades[18]. Huit médecins et employés de cliniques pratiquant l'avortement ont ainsi été tués: sept entre 1993 et 1998, et le Dr George Tiller en 2009.

En 2009, l'homicide de James Pouillon est interprété par une partie de la presse américaine comme le premier homicide d'un militant pro-vie, la police a expliqué que le suspect, un chauffeur de camion, en avait assez des pancartes militantes montrant des fœtus aux enfants qui allaient à l'école. Le suspect est aussi accusé d'un autre meurtre commis le même jour sur un homme d'affaires local pour une autre histoire, complètement indépendante du premier meurtre[19],[20].

État de l'opinion publique américaine

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D'après un sondage paru en août 2008 dans le Washington Post, aux États-Unis, 44 % des sondés se définissent comme étant plutôt « pro-vie » contre 50 % plutôt « pro-choix », mais seuls 18 % se déclarent formellement contre toute forme d'avortement[21]. Dans un sondage[22] du , on compte pour la première fois plus d'Américains « pro-vie » (51 %) que « pro-choix » (42 %).

Années 1970 et 1980

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Le premier mouvement français spécifiquement pro-vie, créé en 1971 lors de l'ouverture du débat sur la dépénalisation de l'avortement, fut Laissez-les-vivre, animé par le professeur Jérôme Lejeune. Cette association participe du succès de l'opposition au projet de loi de dépénalisation Messmer-Taittinger-Poniatowski en 1973, mais ne put empêcher le vote, un an plus tard, de la loi Veil.

En 1979, l'opposition au projet de loi Pelletier donna lieu à une mobilisation importante. Le , Laissez-les-vivre et les Associations familiales catholiques organisèrent une manifestation de Montparnasse à l'Assemblée nationale qui aurait rassemblé, selon les associations organisatrices, entre 40 000 et 50 000 personnes[23].

Le , en opposition au projet de loi Roudy instituant le remboursement de l'IVG par la Sécurité sociale, une manifestation de la Bastille à la Concorde aurait rassemblé, toujours selon les organisateurs, entre 30 000 et 40 000 participants[23].

Les « commandos anti-IVG »

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Entre 1987 et 1995, en partie sous l'inspiration de mouvements américains pro-life, une partie du mouvement pro-vie français a cherché une plus grande visibilité en manifestant devant ou à l'intérieur d'établissements pratiquant des IVG. Ces actions ont été communément désignées sous le terme de commandos anti-IVG, terme récusé par leurs auteurs qui se revendiquaient non-violents. Les organisations pro-choix ont dénoncé la "violence psychologique" de ces actions[24]. En , à l’hôpital de Clamart, Xavier Dor fait irruption en hurlant dans une salle d’opération pendant une intervention et saccage le matériel. En janvier et , ses adeptes blessent des policiers devant une clinique des Yvelines[24].

Avec le renforcement de la législation en faveur de l'IVG par les lois Neïertz de 1993[25] puis Aubry de 2001[26], et après le passage de Xavier Dor par la prison pour manifestation illégale[27], ce type d'action a fini par cesser.

Principales associations

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Manifestants de la Marche pour la vie à Paris le 2009.

Parmi les associations engagées dans ce mouvement, on recense des associations catholiques telles la Fondation Jérôme-Lejeune[28], le Centre Billings France, l'association Mère de Miséricorde, de tendance charismatique et rattachée à la Communauté des Béatitudes[29], et SOS tout-petits.

L'ACPERVIE (Association des Chrétiens Protestants Évangéliques pour le Respect de la Vie) est évangélique[30].

Des associations aconfessionnelles regroupent Choisir la vie, le Comité pour Sauver l'Enfant à Naître, Les Survivants, mouvement composé de « jeunes nés après 75 » qui militent contre l'avortement au nom du « Syndrome du survivant »[31],[32].

Initiatives communes

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Rassemblant plusieurs associations dites pour la culture de vie, la Life Parade émerge en 2004[réf. souhaitée].

Né d'abord en Italie mais se voulant un mouvement politique européen, « Solidarité - Liberté, justice et paix » a présenté deux listes (Île-de-France et Sud-Est) aux élections européennes de [réf. nécessaire].

Des mouvements pro-vie se donnant pour but de défendre la vie de la conception à la mort naturelle, telle l'Alliance pour les droits de la vie, mènent leur combat par des actions de lobbying politiques et de presse. Ils militent pour les soins palliatifs, la mise en place d'alternatives à l'avortement pour les femmes enceintes en difficulté et la hausse des aides sociales[réf. souhaitée].

Des associations (Étudiants pro-Vie, Médecins pour la Vie…) préfèrent centrer leurs actions au sein d'un milieu spécifique comme les étudiants, les lycéens et les jeunes professionnel ou encore les soignants, les médecins, le monde médical et de la recherche[réf. souhaitée].

Depuis 2005, la majorité des associations pro-vie coorganise la Marche pour la vie, une manifestation annuelle unitaire à Paris. L'édition 2011 a rassemblé 6 500 personnes selon la police et entre 30 000 et 40 000 selon les organisateurs[33].

Lien avec les positions religieuses

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L'Église catholique

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Le magistère de l'Église catholique a toujours rejeté absolument l'avortement direct, qui fait encourir une peine d'excommunication automatique (latæ sententiæ) à ceux qui le pratiquent. Il le distingue de l'avortement indirect, où la mort du fœtus n’est pas voulue mais est la conséquence de soins prodigués à la mère, et qui n'est pas sanctionné[34].

Plusieurs documents du magistère récent ont réaffirmé cet interdit. Ainsi le pape Paul VI a été un modèle pour certains militants pro-vie en raison de son encyclique Humanæ Vitæ[35]. De même, Jean-Paul II a renouvelé solennellement cet interdit dans Evangelium vitæ, après avoir consulté les évêques du monde à ce sujet. Il y dénonce la mise en place d'une « culture de mort » s'opposant à la « culture de la Vie ». Cette culture de mort serait issue de la promotion d'une « conception utilitariste de la société » qui débouche sur la « guerre des puissants contre les faibles ».

Le , la Congrégation pour la doctrine de la foi publie l'instruction Dignitas Personæ qui « vise à promouvoir et à défendre la dignité de la personne qui doit être reconnue en tout être humain depuis sa conception jusqu'à sa mort naturelle » (Interview de Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux et membre de la Congrégation pour la doctrine de la foi au journal La Croix[36]).

Le , lors de son audience générale le pape François, concernant le commandement biblique « Tu ne tueras point », il fait le rapprochement entre l'avortement et un tueur à gage. L'avortement est ainsi qualifié comme un meurtre « tout simplement inhumain »[37],[38],[39].

Ce rejet ferme de l'avortement est remis en cause par certains mouvements catholiques réformateurs. Il donne lieu également à des controverses sur certaines affaires à fort impact médiatique. Ainsi, en , l’archevêque Sobrinho affirme que sont frappés d'excommunication la mère d'une fillette de neuf ans ayant avorté après avoir été violée par son beau-père, ainsi que les médecins ayant pratiqué l'avortement[40],[41]. L'affaire donnera lieu à des prises de position divergentes de dignitaires de l'Église, notamment la confirmation de l'excommunication par le cardinal Re, préfet de la congrégation des évêques et sa critique par le président de l'Académie pontificale pour la vie, Mgr Fisichella[42]. Peu après, la Conférence nationale des évêques du Brésil désavoue Sobrinho et explique que personne n'est excommunié et que seuls le seront « ceux qui pratiquent l’avortement systématiquement »[43].

Certains mouvements catholiques, comme Catholics for Choice, s'opposent aux mouvements pro-vie, et demandent une remise en cause de la ligne dure prônée par le Vatican.

Christianisme évangélique

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La majorité des églises chrétiennes évangéliques sont pro-vie et sont contre l’interruption volontaire de grossesse et soutiennent les agences d’adoption et les agences de support social pour les jeunes mères [44]. Des organisations évangéliques comme Focus on the Family sont engagées dans le mouvement pro-vie[45].

Controverses avec le mouvement pro-choix

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Insigne pro-life américain représentant les empreintes de pieds d'un fœtus

Les mouvements pro-choix émettent plusieurs critiques :

  • certaines associations pro-choix accusent les associations pro-vie françaises d'appuyer certaines de leurs actions par le biais d'images choquantes qui, selon elles, feraient appel aux émotions de l'auditoire qui s'opposeraient à sa raison ;
  • certaines images visibles dans de nombreuses vidéos et articles pro-vie ne seraient pas toujours des photos d'interruptions volontaires de grossesse pratiquées dans un cadre légal, les plus choquantes d'entre elles représentant des avortements clandestins (au sel, à l'aiguille), pratiquées dans certains pays plus tardivement qu'en France ou plus simplement des prématurés mort-nés[réf. nécessaire] ;
  • les organisations pro-choix reprochent aussi au mouvement pro-vie ses liens avec les mouvements religieux intégristes et traditionalistes comme le montrent les slogans des manifestants pro-choix lors de manifestations pro-vie, en particulier face aux « rosaires pour la vie » et autres prières publiques.

Positions sur l'euthanasie

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Positions sur la peine de mort

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Les associations se réclamant du mouvement pro-vie n’ont souvent pas de position officielle sur la peine de mort. Certaines associations expriment toutefois une position contre la peine de mort, assimilée alors à un « meurtre légal » par les tenants du droit à la vie[46]. Ainsi, l’association pro-vie américaine Feminists for Life est activement engagée contre la peine de mort[47], comme l’organisation Democrats for Life[48] ou les prélats catholiques parmi les plus engagés contre l’avortement, tels le cardinal Joseph Bernardin[49] ou le pape Jean-Paul II[50]. L’Église catholique, pro-vie, est officiellement contre la peine de mort, énoncée comme peu conforme à la dignité humaine[51].

Malgré tout, d’autres personnalités pro-vie, notamment des personnalités politiques américaines[52], sont en revanche favorables à la peine de mort selon l’argument que celle-ci permet la protection de la vie des autres citoyens.

Critiques

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En 2023, dans son livre Rethinking Life: Embracing the Sacredness of Every Person, Shane Claiborne, dirigeant américain des Chrétiens des lettres rouges, appelle à étendre la définition chrétienne du mouvement "pro-vie" à d'autres questions que la lutte contre l’avortement, telles que la violence armée, la pauvreté, la peine de mort et l’ouverture à l’immigration[53].

Notes et références

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  1. « Plusieurs milliers de militants anti-avortement ont défilé à Paris », Le Monde, .
  2. « Les anti-IVG se mobilisent avant le vote symbolique à l'Assemblée nationale », Le Figaro, .
  3. Caroline Jacquet, Geneviève Pagé et Magaly Pirotte, « Continuités et ruptures dans le mouvement féministe québécois francophone pour des droits sexuels et reproductifs », Nouvelles Questions féministes, vol. 36, no 2,‎ , p. 16-33 (ISSN 0248-4951, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Retrouver l’élan du féminisme », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « Argentine : les députés votent la légalisation de l’avortement », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « Véronique Séhier : « L'information des « anti-choix » est mensongère » », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  7. Claire Fontana, Lettres aux Sauveteurs, DMM, Bouère, 1993 (ISBN 2856521835).
  8. (en) Maintaining The Sanctity and Dignity of Human Life.
  9. « Quand Sarah Palin ne se gêne pas pour draguer les fans d'Hillary Clinton », Le Point, .
  10. (en) « Constitution Party : The Party of “Integrity, Liberty, & Prosperity!” », sur constitutionparty.com, site du Parti de la Constitution (consulté le ).
  11. (en) Libertarians for Life.
  12. [PDF](en) résumé des violences par la National Abortion Federation.
  13. « Nouvel attentat dans un centre d’IVG », L'Humanité, 21 janvier 1997.
  14. « prochoice.org/about_abortion/v… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. « prochoice.org/about_abortion/v… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  16. « prochoice.org/about_abortion/v… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  17. « prochoice.org/about_abortion/v… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  18. « Attaque d'un planning familial aux États-Unis : le suspect ne voulait « plus de bébés en morceaux » », sur Le Monde, (consulté le ).
  19. Memorial Held for Slain Anti-Abortion Protester, New York Times, 16 septembre 2009.
  20. Pro-Life Advocates Condemn Shooting of Abortion Protestor James Pouillon sur un site militant pro-life.
  21. Abortion and Birth Control.
  22. La société de sondages américaine The Gallup Organization.
  23. a et b Courrier de Laissez-les-vivre no 158, décembre 2008.
  24. a et b Aline Andrea, « Xavier Dor évite la prison », L'Humanité, .
  25. Loi no 93-121 du portant diverses mesures d'ordre social, Titre 2.
  26. Loi no 2001-588 du 4 juillet 2001 relative à l'interruption volontaire de grossesse et à la contraception.
  27. « La revue pour le droit de choisir », sur prochoix.org (consulté le ).
  28. « Affaire Vincent Lambert. Qu’est-ce que la Fondation Lejeune qui finance les frais d’avocat des parents ? », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. Site officiel de Mère de Miséricorde.
  30. Site officiel de l'ACPERVIE.
  31. « Les « survivants » anti-IVG de retour, 20 ans après », sur Prochoix, .
  32. « Le retour des “Survivants” », Famille chrétienne no 2009 du au , p. 18.
  33. L'Express du .
  34. L’Église admet des cas d’avortement thérapeutique.
  35. « […] est absolument à exclure […] l'interruption directe du processus de génération déjà engagé, et surtout l'avortement directement voulu et procuré, même pour des raisons thérapeutiques », « Est exclue également toute action qui […] se proposerait comme but ou comme moyen de rendre impossible la procréation ». Voir le texte intégral de l'encyclique pour le contexte et les détails.
  36. « Jean-Pierre Ricard : “Promouvoir et défendre la dignité de la personne” », La Croix, 11 décembre 2008.
  37. « Le pape compare l'avortement au recours à un "tueur à gages" », sur RTL.fr (consulté le ).
  38. « Le pape François compare l'avortement au recours à un «tueur à gages» », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le ).
  39. « Le pape François compare l’avortement au recours à un « tueur à gages » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « L'excommunication de médecins brésiliens aggrave le trouble des catholiques », Le Monde, 11 mars 2009.
  41. « Vatican backs excommunication of Brazilian MDs over child's abortion », CBC News, 7 mars 2009.
  42. Tribune de Mgr Fisichella sur l'affaire de la fillette ayant avorté au Brésil dans l'organe semi-officiel du Vatican, l'Osservatore Romano.
  43. « Viol : les évêques brésiliens reviennent sur l'excommunication », agence AFP, in Libération, 13 mars 2009.
  44. Robert Woods, Evangelical Christians and Popular Culture: Pop Goes the Gospel, Volume 1, ABC-CLIO, USA, 2013, p. 44.
  45. Hilde Løvdal Stephens, Family Matters: James Dobson and Focus on the Family's Crusade for the Christian Home, University of Alabama Press, USA, 2019, p. 100.
  46. http://www.memoireonline.com/03/12/5590/m_Des-obligations-positives-de-letat-congolais-face--la-protection-du-droit--la-vie-de-2007-2011.html
  47. (en) Penn for Life, ACLU join against death penalty.
  48. (en) [1].
  49. « Barack Obama : "La tradition catholique a eu une grande influence sur ma vie" », La Croix, 5 juillet 2009.
  50. « Déclaration du Saint-Siège sur la peine de mort », sur news.catholique.org, .
  51. Le chapitre 2267 du Catéchisme de l’Église catholique exprime que les seuls recours défendables à la peine de mort sont « si celle-ci est l’unique moyen praticable pour protéger efficacement de l’injuste agresseur la vie d’êtres humains » (comme les cas de légitime défense) et note que ces recours « sont désormais assez rares, sinon même pratiquement inexistants » pour les autorités. Il est donc demandé par l’Église catholique à ces autorités de privilégier des « moyens non sanglants » (la peine de mort étant considérée comme un moyen sanglant) qui « suffisent à défendre et à protéger la sécurité des personnes contre l’agresseur » et qui « correspondent mieux aux conditions concrètes du bien commun et sont plus conformes à la dignité de la personne humaine ».
  52. (en) Jeff Schweitzer, « Pro-Death: The Anti-Life Policies of Bush/McCain », sur huffpost.com, .
  53. Leah MarieAnn Klett, Activist Shane Claiborne challenges Christians to expand view of what constitutes 'pro-life' issues, christianpost.com, USA, 07 mars 2023

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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