Livet-en-Saosnois

commune française du département de la Sarthe

Livet-en-Saosnois est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 68 habitants[Note 1].

Livet-en-Saosnois
Livet-en-Saosnois
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Mamers
Intercommunalité Communauté de communes Haute Sarthe Alpes Mancelles
Maire
Mandat
Bruno Geslin
2020-2026
Code postal 72610
Code commune 72164
Démographie
Gentilé Livetain
Population
municipale
68 hab. (2021 en évolution de −4,23 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 35″ nord, 0° 12′ 39″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 203 m
Superficie 1,60 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sillé-le-Guillaume
Législatives Première circonscription
Localisation
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Livet-en-Saosnois
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Livet-en-Saosnois

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Saosnois.

Géographie

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Localisation

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La commune se situe au nord-est du département de la Sarthe dans la région naturelle le Saosnois à 45 km de la préfecture Le Mans et 13 km de la souspréfecture Mamers. Sillé-le-Guillaume, chef-lieu du canton, est à 35 km.

Communes limitrophes de Livet-en-Saosnois
Ancinnes
Ancinnes   Saint-Rémy-du-Val
Louvigny

Hydrographie

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Deux petits ruisseaux ont leur source dans Livet-en-Saosnois: le ruisseau de Bécherel, affluent de la Bienne, et le ruisseau de Valbray qui prend sa source dans l'étang de Valbray et qui débouche dans le Bécherel.

Géologie et relief

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Terrasse des jeux derrière la salle polyvalente, surplombant la dépression du ruisseau de Bécherel.

Le village est construit sur une cuesta à 160 à 220 m de hauteur, orientée sud-sud-ouest/nord-nord-est. La cuesta domine de 50 m ou davantage la dépression où coulent les ruisseaux de Bécherel et de Valbray. La cuesta est formée de calcaire jurassique du bassin Parisien et dans la dépression se trouvent des schistes précambriens de Perseigne, qui trouvent leur origine dans le massif armoricain[2]. Le village est adossé à la forêt de Perseigne au nord.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Fresnaye », sur la commune de Villeneuve-en-Perseigne à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 770,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones d'intérêt

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Le territoire communal ne comprend ni espaces protéges, ni zones de protection du Réseau Natura 2000, mais comprend deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) du type 1 (secteur d’une superficie limitée)[9] :

Urbanisme

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Typologie

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Au , Livet-en-Saosnois est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,6 %), prairies (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), forêts (2,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Du gaulois ivos, "if" : lieu où poussent des ifs, l'« ivaie », avec agglutination de l'article défini. Livet signifie alors le petit if. Les toponymes de ce type sont nombreux dans le centre-ouest de la France avec plusieurs exemples dans l'Eure, le Calvados, l'Orne, la Sarthe et la Mayenne. Le gentilé est Livetain.

Histoire

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Une charte de la fin du XIIe siècle fait mention de la paroisse de Livet (latin: Livetum, forme conjugée Liveto)[15].

En 1193 et 1203, il y a eu des transactions entre le curé d'Ancinnes et celui de Livet[16],[17].

La seigneurie de Valbray était un fief dans la paroisse. Au Grand-Valbray il y avait un site castral médiéval, dont le château a disparu. Le Petit-Valbray était probablement la ferme du château. Le , la terre de Valbray est vendu par la famille Guillon (de Valbray) à la famille de Julienne, qui prend le nom de Julienne de Valbray. Par mariage, Valbray passe à la famille de Cormaille dont la branche à Livet-en-Saosnois prend le nom de Cormaille de Valbray. Cette branche construit en 1771-1772 le logis de Valbray. Plusieurs membres de cette branche ont été maire de Livet.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1808 1818 Louis Michel Cormaille de Valbray    
1819 1840 Louis Pierre Aimé Cormaille de Valbray    
         
... 1871 Cousard    
1871 1890 Jules de Caignan    
1890 1890 Philibien    
1890 1919 Modeste Juignet    
1919 1925 Alphonse Philibien    
1925 (après février 1945) Auguste Rousseau    
         
1971 1989 Pierre Pottier    
1989 1997 Bruno Cormaille de Valbray DVD  
1997 mars 2001 Daniel Geslin    
mars 2001 juillet 2020 Robert Gosnet[18] SE  
juillet 2020[19] En cours Bruno Geslin SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant inférieur à 100, le nombre de membres du conseil municipal est de 7[20].

Répartitions administratives et électorales

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Sur le plan administratif, Livet-en-Saosnois fait partie de l'arrondissement de Mamers et avant la réforme territoriale de 2014 faisait partie du canton de Saint-Paterne. Livet-en-Saosnois fait partie de la communauté de communes Haute Sarthe Alpes Mancelles, créée au et qui regroupe 38 communes. Ceci a comme effet que le conseil municipal doit se concerter avec ceux de nombreuses communes. En , dans la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) est inséré l'obligation des communautés de communes d'informer les élus des villages sur les sujets à voter plus en détail plusieurs jours avant les votes.

Sur le plan électoral, Livet-en-Saosnois est l'une des 75 communes de la première circonscription de la Sarthe et depuis le redécoupage cantonal de 2014, l'une des 50 communes du canton de Sillé-le-Guillaume.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 68 habitants[Note 3], en évolution de −4,23 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
158177178171172179188198190
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
191172180172163171171176150
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11811711710610790889398
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
958688896371737572
2017 2021 - - - - - - -
7068-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie associative et sportive

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  • Association Amis de Livet-en-Saosnois.
  • La commune possède une salle polyvalente, équipée d'un bar et d'une cuisine.
  • Derrière la salle est une terrasse de jeux, équipée d'un terrain de pétanque et d'une table de tennis.
  • Circuit Bleu Vtt de la Forêt de Perseigne, un boucle de 12,5 km à partir du bourg de Livet.

Le territoire de la commune de Livet-en-Saosnois fait partie de l'ensemble paroissial de Mamers du diocèse du Mans.

Économie

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Martin : cette église ancienne pourrait dater du XIe ou XIIe siècle. Petite église romane avec sa simple nef, son chevet plat et ses petites ouvertures. Une statue de la Vierge à l'Enfant date du XVIe siècle. Dans le chœur, au-dessus du maître-autel, un grand retable du Christ gisant.
  • Logis de la Chatterie (propriété privée) : souvent assimilée au château, cette belle demeure du début XIXe a été construite pour Louis Cormaille. Sa famille possédait le véritable château de la commune qui a été totalement dispersé à la Révolution.
  • Lavoir Saint-Martin, chemin du lavoir Saint-Martin (l'ancien chemin qui descendait de l'église au château de Valbray).
  • Monument aux morts.
  • Cimetière.
  • Croix de mission de 1961.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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  • Hector Léveillé (1864-1918), botaniste du Mans, qui passait ses vacances au domaine de Valbray, Livet-en-Saosnais. Il y détermine en 1907 le Juncus x valbrayi, variante du jonc à deux faces (Juncus anceps), et il publie en 1911 une Florule du Livet[25].
  • Suzanne Benoist-Guesde (Paris, 1909 - ?), poétesse et publiciste, titulaire de plusieurs prix de poésie, auteur des recueils Ombres et Reflets, Cœur multiple, a habité Livet-en-Saosnois. Elle est la petite-fille de Jules Guesde et la mère de Jean-Marie Benoist[26].

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Julien-Rémy Pesche, Dictionnaire statistique de la Sarthe,Monnoyer, 1829 p. 615-616[lire en ligne]

Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 376
  2. Les caractères des plaines d’Alençon et du saosnois in : Atlas de paysages des pays de la Loire 2016
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Livet-en-Saosnois et Villeneuve-en-Perseigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Fresnaye », sur la commune de Villeneuve-en-Perseigne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « La Fresnaye », sur la commune de Villeneuve-en-Perseigne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. Liste des ZNIEFF de la commune sur le site INPN. L’inventaire des ZNIEFF a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Livet-en-Saosnois ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Alençon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. E. Bilard, Analyse des documents historiques conservés dans les archives du departement de la Sarthe, Monnoyer, 1854
  16. Thomas Cauvin, Géographie ancienne du diocèse du Mans, Paris 1845, p. 371, 530
  17. René Jean Francois Lottin, Chartularium insignis ecclesiæ cenomanensis quod dicitur Liber albus capituli, E. Monnoyer, impr., 1869 p. 75
  18. Réélection 2014 : « Les maires élus suite aux élections municipales de mars 2014 », sur le site de la Préfecture de la Sarthe (consulté le ).
  19. Répertoire national des élus : les maires (data.gouv.fr, téléchargement du 18 juillet 2020).
  20. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Jacques Moret et Gérard Hunault, Atlas de la flore sauvage du département de la Sarthe, 2009
  26. Suzanne Benoist-Guesde, catalogue BNF

Liens externes

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