Le Theil-de-Bretagne

commune française d'Ille-et-Vilaine

Le Theil-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 710 habitants[Note 1].

Le Theil-de-Bretagne
Le Theil-de-Bretagne
Mairie du Theil-de-Bretagne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Roche aux Fées Communauté
Maire
Mandat
Benoit Clément
2020-2026
Code postal 35240
Code commune 35333
Démographie
Gentilé Theillais
Population
municipale
1 710 hab. (2021 en évolution de −3,72 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 10″ nord, 1° 25′ 47″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 106 m
Superficie 24,20 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Retiers
(banlieue)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web letheildebretagne.fr

Géographie

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Localisation

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Le Theil de Bretagne est situé à 30 km environ au sud-est de Rennes. La commune fait partie de la Roche aux Fées Communauté qui compte dix-neuf communes.

Communes limitrophes du Theil de Bretagne
Essé Marcillé-Robert
Janzé   Retiers
Sainte-Colombe Coësmes
 
Carte de la commune.

Description

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Au nord-ouest du territoire communal le Ruisseau du Ricordel est un affluent de rive gauche de la Seiche ; il alimente l'étang de la Rigaudière (un étang riche en poissons[1] ), forme un moment la limite communale avec Essé et reçoit un affluent qui traverse la partie nord de la commune, le Ruisseau du Pont Guesdon.

Zones naturelles

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Il existe plusieurs sites naturels :

  • La Rigaudière, en face du château, l'étang de la Rigaudière offre aux promeneurs ses 13 ha de promenade ;
  • la Forêt du Theil de 400 ha recouvre la partie sud de la commune[2]. On y observe un curieux alignement de blocs de pierres qui pourrait dater du Néolithique. Le menhir dit Pierre de Rumfort, à l'ouest de la forêt, est un vestige de schiste rouge à propos duquel on dit qu'il a été laissé là par les fées quand ces dernières édifièrent La Roche-aux-Fées.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbrissel à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Theil-de-Bretagne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Retiers[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones agricoles hétérogènes (24,9 %), forêts (17,2 %), prairies (11,9 %), zones urbanisées (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

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La ligne ferroviaire de Châteaubriant à Rennes traverse la commune.

La commune est traversée par une route départementale : la RD 173.

La RD 173 est une voie express à 2×2 voies faisant partie de la liaison entre Rennes et Angers, via Corps-Nuds, Janzé, Retiers, Martigné-Ferchaud, Pouancé, Segré et Le Lion-d'Angers.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Tillia en 1330[16], Le Tai en 1465, parochia de Tillia en 1516[17].

Le nom « Theil » vient du latin tillia, signifiant « lieu planté de tilleul »[17]. Tillia est attesté en 1330[16].

En 1920, le nom de la commune du Theil a été modifié en Le Theil-de-Bretagne.

Le nom de la commune traduit en breton est An Tilh[16]. En gallo, le nom s’écrit Le Teilh[18].

Histoire

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Préhistoire

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L'occupation du territoire de la commune dès le Néolithique est attestée par l'existence de plusieurs sites mégalithiques : le menhir dit de la Pierre de Rumfort ou l'Homme Fort, avec les mégalithes couchés alentour, probables vestiges de l'alignement signalé par J. Ogée en 1779 dans son Dictionnaire historique et géographique de la Provence de Bretagne ; une enceinte mégalithique au lieu-dit Saint-Lyphard ; et deux menhirs à La Motte-Robert[19]. Ces sites sont aussi à mettre en relation avec la célèbre allée couverte de La Roche-aux-Fées située sur la commune limitrophe d'Essé.

Moyen Âge et Ancien Régime

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La seigneurie du Teil, dans la paroisse de ce nom appartenait à la famille de Rougé. L’un d’eux, Bonabes[Lequel ?], seigneur de Rougé, donne en 1243 un terrain aux moines cisterciens de Melleray un emplacement convenable pour construire une grange dîmière dans son bourg du Teil. La châtellenie du Teil suivit le sort de celle de Rougé et appartint successivement aux seigneurs de Rougé de Derval, de Chateaugiron, de Rieux, de Laval-Châteaubriand, aux ducs de Montmorency et aux princes de Condé.

 
Armoiries de la famille de Rougé

Quoique la châtellenie du Teil semble avoir toujours appartenu aux sires de Rougé, elle formait cependant une seigneurie distincte, étant séparée de Rougé par la baronnie de Vitré et la châtellenie du Désert, et se trouvant dans le diocèse de Rennes, tandis que Rougé appartenait à l'évêché de Nantes. Le Teil avait son château particulier et sa juridiction distincte de celle de Rougé.

Châtellenie d'ancienneté, la seigneurie du Teil se composait de six principaux bailliages : le grand bailliage du Teil et celui de la Bûcherie en Le Teil et Coësmes, le grand bailliage d'Essé en Essé, et les bailliages de Piré, de Janzé et d'Arbrissel.

Au XVIIIe siècle, les revenus de ces fiefs étaient d'environ 600 livres, plus 205 boisseaux d'avoine, 37 poules, une paire de gants et deux éteufs ou balles de jeu de paume[20].

La haute justice attachée à ces fiefs s'exerçait encore au XVIIIe siècle « dans la ville du Teil, estant néanmoins du ressort de la juridiction de la ville de Châteaubriant, à laquelle viennent les appellations des sentences du Teil » (Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 1819). Son gibet, composé de quatre piliers, se dressait sur la lande du Sauldre, au bord du chemin du Teil à Marcillé-Robert. Le sire du Teil était seigneur supérieur et fondateur de l'église du Teil et seulement supérieur des églises d'Essé et d'Arbrissel. Il avait droit de tenir des foires chaque année et un marché tous les lundis « dans sa ville du Teil ».

Enfin, de nombreux seigneurs relevaient du seigneur du Theil, savoir ceux de Sucé, le Loroux, le Boisrouvray, le Boistaillé, Lasse-jambe, le Plessis-Baume, la Trousselière, etc. Le domaine proche de la châtellenie consistait surtout en la forêt du Teil, contenant en 1680 environ 1 150 journaux de terre.

À l'entrée de cette forêt et au bord d'un étang se trouvait le château de la Motte-du-Teil, qui avait dû servir de résidence aux juveigneurs de Rougé, tels que ce Geffroy de Rougé du Teil signalé en 1243. Mais depuis plusieurs siècles cette forteresse n'existait plus, et un aveu de 1628 mentionne seulement l’emplacement de l'ancien château de la Motte du Teil, à présent ruiné. La métairie de la Motte et deux moulins (le moulin de la Motte et celui de Ramet) dépendaient aussi de ce château. Au XVIIe siècle le prince de Condé, baron de Châteaubriant, afféaga les ruines du château de la Motte, aussi bien que la métairie et les moulins, et le tout appartenait en 1680 à René de Lopriac, seigneur de la Rigaudière en la paroisse de Teil (Déclaration de Rougé-au-Teil en 1680).

Révolution française

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La terre de la Motte-du-Teil est confisquée aux émigrés François Viard de Mouillemusse et Charles Viard de Jussé. Elle est vendue comme bien national de seconde origine le . Dès lors, le domaine de la châtellenie ne se composa plus que de la forêt du Teil, des halles, de l'auditoire et de la geôle, construits au bourg du Teil : cette geôle ou prison seigneuriale est elle aussi vendue le [21].

La population de la commune était, parait-il, favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[22].

Le curé assermenté du Theil fut assassiné pendant la Révolution[23].

Époque contemporaine

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Politique et administration

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 Mathurin Delaune    
1792 1794 Jacques-Joseph Gaucher    
1794 1795 M. Houssayais    
1795 1795 Mathurin Lépignac    
1795 1798 Jean-Baptiste L'Hoir    
1798 1813 Pierre Bouttier    
1813 1821 Jean-Baptiste L'Hoir    
1821 1842 Jean Hervouin    
1843 1858 Jean Briand-Destrèces    
1858 1896 Félix Loüin    
1896 1899 Amand de Léon des Ormeaux    
1899 1922 Louis Bordais    
1922 1937 Joseph Garnier    
1937 1945 André Hoisnard    
1945 1947 Jean-Marie Garnier (père)    
1947 1965 Rosalie Lebreton    
1965 1989 Jean-Marie Garnier (fils)   Retraité
1989 1995 Henri Plassier    
juin 1995[24] mars 2014 Jean-Claude Blouin DVD Directeur d'entreprise, conseiller général
mars 2014[25] mai 2020 Marie-Annick Boué DVD Retraitée arboricultrice
mai 2020 En cours Benoît Clément DVC Responsable logistique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 710 habitants[Note 5], en évolution de −3,72 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3961 4771 3871 3001 4811 5091 4461 5441 576
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6011 5571 5461 4521 4211 4101 4071 4151 330
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2191 1921 1811 0881 1201 1271 0631 0731 029
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0181 0161 0891 1331 1231 1301 4451 5341 706
2018 2021 - - - - - - -
1 7171 710-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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L'église paroissiale Saint-Maimbœuf.
 
La chapelle Notre-Dame de Beauvais.

La commune compte un monument historique :

  • la chapelle Notre-Dame de Beauvais, inscrite par arrêté du [30] est située à la sortie du bourg en direction de Coësmes, elle fut édifiée entre 1893 et 1894 par Henri Mellet à l'emplacement d'une ancienne chapelle du XVe siècle. Un calvaire situé sur les lieux est d'ailleurs devenu le siège d'une tradition : ceux qui baisent le pied du calvaire se marient dans l'année.

Il y a aussi neuf bâtiments inventoriés dont :

  • l'église Saint-Maimbœuf[31] ;
  • le château de la Rigaudière, remontant au XVIIe siècle[32] ;
  • la maison Beauchène située en face de la mairie ; cette maison ancienne a été rénovée par la commune, de même que le four à pain située sur la placette.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Retiers, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le Theil-de-Bretagne. L'étang de la Rigaudière, riche en poissons », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Le Theil-de-Bretagne. Vingt hectares de forêt pour courir et apprendre », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Le Theil-de-Bretagne et Arbrissel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Retiers », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Résultats concernant « Theil-de-Bretagne » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
  17. a et b « Etymologie et Histoire de Le Theil-de-Bretagne », sur infobretagne (consulté le ).
  18. Fiche descriptive de la ville du Theil-de-Bretagne sur Geobreizh.
  19. Jacques Briard, Loïc Langouët et Yvan Onnée, Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Rennes, Institut culturel de Bretagne et Centre régional d'archéologie d'Alet, coll. « Patrimoine archéologique de Bretagne », , 122 p. (ISBN 9782868220929), p. 115-117.
  20. Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 2157.
  21. Archives d'Ille-et-Vilaine, 1Q. 329.
  22. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 21, t. 4,‎ , p. 398-399.
  23. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
  24. « Un troisième mandat pour Jean-Claude Blouin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. « Marie-Annick Boué devient le nouveau maire du Theil », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Chapelle Notre-Dame », notice no PA35000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Église paroissiale Saint-Maimboeuf », notice no IA00007374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Château », notice no IA00007371, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.