Essé

commune française d'Ille-et-Vilaine

Essé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne, peuplée de 1 036 habitants[Note 1].

Essé
Essé
Le village d'Essé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Roche aux Fées Communauté
Maire
Mandat
Joseph Geslin
2020-2026
Code postal 35150
Code commune 35108
Démographie
Gentilé Esséen
Population
municipale
1 036 hab. (2021 en évolution de −6,75 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 27″ nord, 1° 25′ 28″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 92 m
Superficie 23,19 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Essé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Essé
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
Essé
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Essé
Liens
Site web www.esse-larocheauxfees.fr

Géographie

modifier

Localisation

modifier
 
Carte de la commune d'Essé.

Description

modifier

Le finage d'Essé est limité au nord par la Seiche, un affluent de rive gauche de la Vilaine ; plusieurs petits affluents de rive gauche de la Seiche drainent son territoire comme le ruisseau de Ricordel qui alimente dans sa partie amont l'étang de la Rigaudière (en Le Theil-de-Bretagne), le ruisseau du Loroux qui forme la limite communale avec Janzé et possède ses propres affluents, notamment le ruisseau de la Morinière qui traverse la partie sud-ouest de la commune ; la commune est limitée à l'est par la branche sud-ouest de l'étang de Marcillé-Robert, alimenté par l'Ardenne, autre affluent de rive gauche de la Seiche.

Essé est situé au sud-est du Bassin de Rennes. Le territoire communal forme un plan incliné vers le nord, en direction de la vallée de la Seiche, à peine échancré par les vallées de ses affluents précités. Les altitudes vont de 91 mètres pour le point le plus haut (entre les hameaux de Mérillé et la Nachardière, vers le sud-ouest de la commune) et 32 mètres dans la vallée de la Seiche à l'endroit où celle-ci quitte le territoire communal.

Essé présente traditionnellement un paysage rural de bocage ave un habitat dispersé en de nombreux hameaux et fermes isolées. Le bourg, traditionnellement de faible importance et étiré en longueur dans le sens ouest-est le long de la D 48, a grossi depuis les dernières décennies du XXe siècle avec la création de lotissements au nord et au sud du bourg ; le reste du territoire communal a été préservé de la rurbanisation.

Le bourg d'Essé et ses façades en grès rouge

Le bourd d'Essé n'est desservi que par des routes départementales de modeste imortance (D 48 dans le sens ouest-est, en direction de Janzé vers l'ouest et de Marcillé-Robert vers l'est) et la D 341 dans le sens nord-sud, en direction de Piré-sur-Seiche vers le nord, de Retiers vers le sud. L'axe routier le plus important, la D 173 (de Janzé à Retiers, à quatre voies), ne fait qu'écorner la partie sud-ouest du territoire communal.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbrissel à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Essé est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), prairies (11,9 %), zones urbanisées (1,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Esceio au XIVe siècle puis Esseyum en 1516[13]. Le nom proviendrait du dieu gaulois Esus[[#cite_note-Dictionnaire_historique_et_g�ographique_de_la_province_de_Bretagne_..._-_Jean_Og�e_-_Google_Livres-17|[14]]].

Histoire

modifier

Préhistoire et Antiquité

modifier

Essé est traversé d'ouest en est par un très ancien chemin existant dès le Néolithique ; ce chemin protohistorique, fut dénommé par la suite chemin des Saulniers[15], le long duquel on recense de nombreux mégalithes, dont le plus célèbre est un dolmen en allée couverte, traditionnellement appelé « la Roche-aux-Fées ». La communauté de communes à laquelle appartient Essé porte ce nom.

Le ruisseau des Trousselières [désormais dénommé ruisseau de Ricordel], dénommé aussi par le passé localement Ruisseau du Sang, dans le lit et au voisinage duquel on trouve des mégalithes, dont la Roche-aux-Fées, aurait été, selon ce qui est rapporté par A. Marteville et P. Varin dans la première moitié du XIXe siècle, un lieu où « les sacrifices des funérailles se célébraient chez les Gaulois sur une pierre carrée, souvent placée dans le lit des rivières, et sous laquelle on déposait les cendres des chefs, à l'abri de toute profanation »[[#cite_note-Dictionnaire_historique_et_g�ographique_de_la_province_de_Bretagne_..._-_Jean_Og�e_-_Google_Livres-17|[14]]].

Moyen-Âge

modifier

Au Moyen-Âge, les seigneurs du Loroux y avaient droit de justice[réf. nécessaire].

Les dîmes étaient partagées entre les chanoines de la cathédrale de Rennes et les moines du prieuré de Béré[[#cite_note-Ess�_:_Histoire,_Patrimoine,_Noblesse_(commune_du_canton_de_Retiers)-19|[16]]].

Temps modernes

modifier

Les plus anciennes familles nobles ayant leurs armoiries dans l’église d'Essé, remaniée en 1639 par l'adjonction d'un nouveau clocher, sont les familles de Lépinay de Mauperrier[Note 3] et de la Boitellière-Hardi[Note 4] ; c'est aussi en 1639 que deux chapelles sont construites aux extrémités du transept, celle du nord par la famille du Rouiray et celle du sud par la famille du Loroux ; lorsque le seigneur du Loroux se rendait à l'église, les cloches devaient sonner jusqu'à ce qu'il soit installé sur son banc seigneurial ; les seigneurs du Loroux avaient leurs enfeux devant le chœur[17].

Le prince de Condé, baron de Châteaubriant, le seigneur de la Rigaudière (en Le Theil), depuis la réunion des seigneuries du Loroux et de la Rigaudière au XVIIe siècle ; les princes de Condé possédaient cette seigneurie au XVIIIe siècle[18] et le seigneur du Rouvray[Note 5] se partageaient les droits seigneuriaux sur les terres de la paroisse[[#cite_note-Ess�_:_Histoire,_Patrimoine,_Noblesse_(commune_du_canton_de_Retiers)-19|[16]]].

Plusieurs chapelles existaient dans la paroisse : la chapelle de l'Arturais (des vestiges subsistent), celle de Sainte-Anne du Rouvray (détruite lors des Guerres de religion), du Bois Clérissay (détruite en 1763), de Sainte-Anne-de-la-Coudre et celle de Sainte-Anne-de-la-Tremblay (toutes disparues)[17].

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Essé en 1778 :

« Essé ; à six lieues au Sud-Est de Rennes, son évêché et son ressort ; et à deux lieues trois quarts de La Guerche, sa subdélégation. On y compte 2 000 communiants[Note 6] : la cure est à l'alternative. M. le Prince de Condé en est le seigneur. Les maisons nobles de cette paroisse sont  : en 1480, la Housselière [en fait Trousselières], à René Jaret[Note 7] ; la Rouverais [Rouvray], en 1600 à Gilles le Duc[Note 8] ; cette terre et celle de Sucé forment une haute justice et appartiennent à M. de Kerouan[Note 9], qui possède aussi la terre de la Rigaudière, avec haute justice ; en 1650 le Bois Clérissais, à Jean de Montalembert[Note 10]. (...). Ce territoire est coupé par la rivière de Seiche et de plusieurs ruisseaux qui vont s'y perdre ; c'est un pays couvert d'arbres et de buissons, où l'on voit de bonnes terres, d'excellents pâturages, des arbres à fruits et des landes.[19]. »

Révolution française

modifier

L'assemblée des paroissiens d'Essé, préalable à la réunion des États généraux, se tint le sous la présidence de René-François Ducrest de Villeneuve[Note 11], sénéchal et juge de la châtellenie du Theil, en présence de 16 paroissiens ; un cahier de doléances fut rédigé (il reprend en bonne partie celui de la paroisse voisine du Theil[20]) ; deux députés (Jean-Baptiste Rubillon[Note 12], du Lattay et Jacques Debroize[Note 13], de la Touche Philippe) furent élus pour représenter la paroisse à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée[21].

Le XIXe siècle

modifier

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Essé en 1843 :

« Essé (Ecclesia de Eseio, sous l'invocation de la Vierge, le 15 août) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : les Boitelières, la Bussonnais, le Lattay, Courgeon, le grand et le petit Calaché, Montalembert, la Cour-Morel, la Huberdière, Merillé, la Morinière, la Poulinière, Lande-Ronde. Maisons remarquables :le Rouvray, l'Arturais, le Rozay, la Coudre. Superficie totale 2 318 ha 91 ares dont (...) terreslabourables 1 592 ha, prés et pâturages 554 ha, bois 56 ha, vergers et jardins 90 ha, landes et incultes 145 ha (...). Moulins : 5 (du Loroux, de la Lande, à eau ; de la Rigaudière, de la Lande du Saule, à vent. (...). La commune est limitée au nord par la rivière de Seiche ; elle contient au sud le petit bois de la Rigaudière. Géologie : schiste argileux ; quartzite à l'ouest. On parle le français [en fait le gallo][[#cite_note-Dictionnaire_historique_et_g�ographique_de_la_province_de_Bretagne_..._-_Jean_Og�e_-_Google_Livres-17|[14]]]. »

Le XXe siècle

modifier

La Belle Époque

modifier
 
La croix de mission de 1907.

Une mission paroissiale fut organisée en 1907. Une croix de mission en perpétue le souvenir.

La Première Guerre mondiale

modifier

Le monument aux morts d' Essé porte les noms de 41 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; 5 d'entre eux sont morts en Belgique, tous les autres sur le sol français ; trois (Théophile Barbotin, Ernest Deboize et Prosper Louis) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, un (Louis Morel) de la Médaille militaire et deux (Jean Bonnenfant et Victor Louis) de la Médaille militaire[[#cite_note-M�morialGenWeb_Relev�_v21-36|[22]]].

La Seconde Guerre mondiale

modifier

Le monument aux morts d'Essé porte les noms de 2 hommes (A. Trouvé et G. Valais) morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[[#cite_note-M�morialGenWeb_Relev�_v21-36|[22]]]. .

Politique et administration

modifier
 
La mairie d'Essé.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1830 1830 Morel    
1830 1835 Lange    
1835   François Lamy[Note 14]   Propriétaire cultivateur.
avant 1860 1865 Constant Lamy[Note 15]   Cultivateur. Fils probable du maire précédent.
1865 1876 Honoré Demé[Note 16]    
1876 1890 Joseph Prodhomme   Cultivateur
1890 1895 Arsène Laurent[Note 17]   Marchand drapier.
1895 1905 Laurent Brebion[Note 18]   Propriétaire cultivateur.
1905 après 1920 Pierre Demé[Note 19]   Cultivateur.
         
1983[23] mars 2008 Laurent Beuchée UDF-CDS Agriculteur, président de la communauté de communes
mars 2008[24] En cours Joseph Geslin[25] DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 036 habitants[Note 20], en évolution de −6,75 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5511 6121 5761 6231 7031 6441 6741 7561 604
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5501 4891 4951 4861 4021 3561 3241 2911 270
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2161 1611 1561 0431 0521 0181 0481 003949
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8818317297478168489529951 107
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1141 0611 036------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Le nouveau et premier logo de la commune représente au premier plan le mégalithe de la Roche-aux-Fées, situé sur le territoire de la commune, par-dessus une représentation du drapeau de la Bretagne (Gwenn ha Du). Emblème du territoire, une petite fée vient terminer la composition, en bas à droite du visuel. Le logo a été réalisé par la commission communication de l'équipe municipale, dont le maire est Joseph Geslin, et l'adjoint au maire à la communication est Frédéric Gilhodes.

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • L'église paroissiale Notre-Dame, située au centre du village, partiellement romane[31]. Elle est édifiée au XIIe siècle, de style roman et se compose alors d'une simple nef séparée d'un chœur à chevet plat par un arc diaphragme . Au XVIIe siècle, l'édifice est remanié : on ajoute les deux chapelles seigneuriales formant transept. Estimant que l'arc triomphal qui supporte le clocher bouche la vue sur le chœur, on le supprime et on édifie un nouveau clocher à l'ouest de la nef. La porte sud du milieu de la nef, précédée d’un porche, que l'on nommait chapiteau, sous lequel les trésoriers rendaient les comptes de la fabrique[32]. L'aménagement intérieur du chœur date de 1872-1875[31]. Un tableau du Rosaire, don de la famille de la Rigaudière en 1660, figurant la marquise de Sévigné, décore la nef[33].

On trouve aussi le manoir de la Trousselière.

 
Le "Musée des arts et traditions populaires" d'Essé.

Le musée des arts et traditions populaires se trouve à 50 m du café-alimentation, rue des Artisans. Crée en 1975 par l'abbé Léon Méhaignerie, il est ouvert d'avril à octobre, les dimanches après-midi et en juillet-août, tous les jours après-midi sauf les lundis[40]. Il présente une collection d'outils, de costumes, d'objets du quotidien et d'ustensiles d’époque[41].

Activité et manifestations

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Pierre de Lépinay s'est marié le avec Renée Jarret de la Trousselière. Un autre Pierre de Lépinay, sieur de Mauperrier est dénombré comme écuyer à Essé en 1682.
  4. Siméon Hardy, sieur de la Boitelière, né le est cité comme écuyer lors de son mariage le en l'église de Brie avec Perrine Perry's, dame de la Rougerays
  5. La seigneurie du Rouvray appartint successivement aux familles Frade (en 1434), Morel (en 1513), du Rouvray (entre 1539 et 1675), de Kerouan (à la fin du XVIIIe siècle.
  6. Personnes en âge de communier.
  7. Un autre René Jarret, né le à Essé, fut seigneur de La Trousseliere et du Menant.
  8. Probablement Gilles Leduc en fait.
  9. Probablement Ignace Hyacinthe Mahé de Kerouan, ancien capitaine du régiment de Piémont.
  10. Jean de Montalembet, sieur du Bois, écuyer, né le à Brie, décédé le à Essé.
  11. René François Ducret, sieur de Villeneuve, né le au Theil, décédé le au Theil.
  12. Jean Baptiste Rubillon, né le à Janzé, décédé le à Essé, cultivateur.
  13. Jacques Debroize, né le à Essé, décédé le à la Touche Philippe en Essé.
  14. Probablement François Lamy, né le à Essé, décédé le à Essé.
  15. Constant Lamy, né le à Essé, décédé le à Essé.
  16. Honoré Demé, marié le à Boistrudan avec Adélaïde Belloir.
  17. Arsène Laurent, né le à Essé, décédé le à Essé.
  18. Laurent Brebion, né le à la Rousselière en Essé, décédé le à Essé.
  19. Pierre Demé, né le à la Bussonnière en Essé, décédé le à Essé.
  20. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Essé et Arbrissel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 349
  14. [[#cite_ref-Dictionnaire_historique_et_g�ographique_de_la_province_de_Bretagne_..._-_Jean_Og�e_-_Google_Livres_17-0|a]] [[#cite_ref-Dictionnaire_historique_et_g�ographique_de_la_province_de_Bretagne_..._-_Jean_Og�e_-_Google_Livres_17-1|b]] et [[#cite_ref-Dictionnaire_historique_et_g�ographique_de_la_province_de_Bretagne_..._-_Jean_Og�e_-_Google_Livres_17-2|c]] A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 1, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 271.
  15. « 3-c est-ouest canton de retiers, chemin des saulniers », sur e-monsite.com (consulté le ).
  16. [[#cite_ref-Ess�_:_Histoire,_Patrimoine,_Noblesse_(commune_du_canton_de_Retiers)_19-0|a]] et [[#cite_ref-Ess�_:_Histoire,_Patrimoine,_Noblesse_(commune_du_canton_de_Retiers)_19-1|b]] « Étymologie et histoire d'Essé », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  17. a et b http://www.esse-larocheauxfees.fr/patrimoine/.
  18. « Étymologie et histoire du Theil-de-Bretagne », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  19. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 93 et 94.
  20. « Cahier de doléances du Theil-de-Bretagne en 1789 », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  21. « Cahier de doléances d'Essé en 1789 », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  22. [[#cite_ref-M�morialGenWeb_Relev�_v21_36-0|a]] et [[#cite_ref-M�morialGenWeb_Relev�_v21_36-1|b]] « Essé. Monument aux Morts (Relevé n° 17159) », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
  23. « Essé : Laurent Beuchée ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. « Le nouveau maire est Joseph Geslin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. Réélection 2014 : « Municipales à Essé. Joseph Geslin réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Notice no PA00090553, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture et Notice no IA00007313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. a et b Notice no IA00007312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Essé », sur infobretagne.com (consulté le ).
  33. « Eglise paroissiale Notre-Dame (Essé) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ). .
  34. Notice no IA00007310, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no IA00007311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no IA00007309, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no IA00131035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Notice no IA00007308, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Notice no IA00007307, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Musée des arts et traditions populaires, Balado.fr
  41. Frederic GILHODES, « 35150 », sur esse-larocheauxfees.fr (consulté le ).