Lanneuffret
Lanneuffret [lanøfʁɛt] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Lanneuffret | |||||
La mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Finistère | ||||
Arrondissement | Brest | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du pays de Landerneau-Daoulas | ||||
Maire Mandat |
André Sergent 2020-2026 |
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Code postal | 29400 | ||||
Code commune | 29116 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lanneuffrétais | ||||
Population municipale |
150 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 67 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
44 395 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 54″ nord, 4° 12′ 05″ ouest | ||||
Altitude | 90 m Min. 46 m Max. 106 m |
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Superficie | 2,24 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Landerneau | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Géographie
modifierLocalisation et présentation
modifierEn 2023 Lanneuffret est la plus petite commune du département du Finistère pour le nombre de ses habitants (136 habitants). La commune n'a plus de commerce, ni d'entreprise, et son école est fermée depuis 1972. Elle possède encore 3 exploitations agricoles[1].
Relief et hydrographie
modifierLanneuffet, commune de petite superficie (2,24 km²) a une altitude maximale de 106 mètres (près du hameau de Kerprigent, à peu près ay centre du finage communal) ; l'alttitude la plus basse s'abaisse à 46 mètres dans la vallée du Justicou, petite affluent de rive droite de l'Élorn, qui forme un temps la limite ouest avec Plouédern, à l'endroit où cette rivière quitte la commune. Un autre modeste affluent de l'Élorn, le ruisseau de Kerantraon, sert pendant une partie de son tracé de limite orientale à la commune, la séparant de Plounéventer.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 °C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 133 mm, avec 17,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Servais à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 160,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Transports
modifierLa voie express Route nationale 12 travernse la commune approximativement en son milieu, passant au ud du bourg, mais aucun échangeur ne se trouve sur le territoire communal, les plus proches étant en direction de l'ouest celui de Kériel (en Plouédern) et en direction de l'est celui de Prat Lédan (en Plounéventer).
La commune n'est desservie par ailleurs que par des routes secondaires, la plus importante étant la D 86 qui côté sud, va en direction de Landerneau.
Paysages et habitat
modifierLanneuffret présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé formé de hameaux (dénommés loclement "villages") et fermes isolées. Le bourg, excentré dans la partie ouest du territoire communal, est tout petit.
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Bourg de Lanneuffret : la place Saint-Guévroc et la mairie.
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Bourg de Lanneuffret : la salle communale.
Le château de Kerantraon est situé dans la partie sud de la commune, ainsi qu'une partie du monastère de Kerbénéat dont la partie la plus importante est en Plounéventer.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lanneuffret est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (35,6 %), forêts (17,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Lan Uuiurett au XIe siècle, Languefret vers 1330, Lanevret en 1467, Laneuffret en 1516, Laneuvret en 1689, Lanneuffret en 1924[14].
Lanneufret vient du breton lann (ermitage) et de saint Gwévret.
Histoire
modifierOrigines
modifierLa paroisse de Lanneuffret faisait partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily relevant de l'évêché de Léon et était sous le vocable de saint Guévroc. Elle est issue d'un démembrement de la paroisse primitive de Plounéventer.
Un prieuré de l'Ordre de Saint-Benoît aurait existé sur des terres données par le comte Even à saint Guénolé en 955 et qui seraient à l'origine de la création de la trève de Lan-Sancti-Wivreti [Lanneuffret], citée dans le Cartulaire de Landévennec ; les moines auraient résidé dans la ferme de Keranmanach, dénommée Caer-Menedech dans le Cartulaire ; d'autres noms de lieux-dits de la commune de Lanneuffret attestent de la présence du prieuré : un champ est dénommé 'le Cloître', une ferme Ar Prioldi ("la maison du prieur")[14]. « On montre encore (..;) l'emplacement et le cloître de ce monastère » écrit l'abbé Le Guen en 1888[15].
Avec ses 223 ha enclavés dans la paroisse de l'Armorique primitive de Plounéventer et son nom commençant par lann, le nom de la paroisse de Lanneuffret rappelle son origine monastique. Selon la notice 38 du cartulaire de Landévennec, le tref de lann Uuivret, comprenant 12 fermes au XIIe siècle aurait été donné, avec ses revenus et ses dépendances qui s'étendaient jusqu'à l'Élorn et à l'est jusqu'au gué de Rodoed Carn et un chemin se dirigeant vers le sud par le comte Even à saint Guénolé[16].
Voici le texte en latin de la « notice 38 » du cartulaire de Landévennec :
« De Tribu Lan Uuivrett. Haec memoria retinet, quod felix et nobilis comes Euuenus nomine dedit sancto Uuingualoeo tribum quandam nomine Lan sancti [f° 156 r°] Uuiuureti, XII villas, cum omni debito et decima et omnibus ei apendiciis, Laedti superior et Laedti inferior, Caer Guingualtuc, cujus divisio est usque ad flumen Helorn ; Caer Menedech : divisio ejus est ad occasum ; Rodoed Carn id est vadum corneum* : divisio ad orientem et ruga quae pergit contra meridiem [Les mots id est vadum corneum sont une glose interlinéaire][17]. »
Du XVIe siècle au XVIIIe siècle
modifierPendant les Guerres de la Ligue, le , Yves du Liscouët, après avoir pris et pillé le manoir de Mézarnou, s'empara « des croix, calices et patènes d'or massif, enrichis de pierreries, des églises de Plounéventer, Lanneuffret, Plouédern et Trémaouézan » qui avaient été confiés à la garde du sieur de Mézarnou[18].
Le manoir de Kerantraon appartenait à la famille de Penancoët, puis à la famille de Kerléan, avant de passer aux mains de la famille de Rodellec du Porzic lors du mariage en 1731 à Lanneuffret de Roberte de Kerléan[Note 1] avec Ronan Le Rodellec du Portzic[Note 2].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Lanneufret en 1778 :
« Lanneuvret ; à 5 lieues un tiers au sud-sud-ouest de Saint-Pol-de-Léon, son évêché ; à 40 lieues trois-quarts de Rennes ; et à 1 lieue et demie de Landerneau, sa subdélégation. Cette paroisse relève du Roi et ressortit au Siège royal de Lesneven. On y compte 250 communiants[Note 3] ; la cure est présentée par l'évêque. Son territoire est fort peu étendu, et forme une plaine, à quelques monticules près ; on y voit des terres en labeur, des landes et les maisons nobles de Ker-Aret et de Keranguriec[19]. »
Des lettres et autres documents d'Yves Kerdoncuff[Note 4], , qui habitait le manoir de Kerloual (un manoir désormais disparu) dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, sont évoqués dans un article publié en 1940[20].
D'après l'"Enquête sur la mendicité dans le Léon" qui date de 1774, la paroisse de Lanneuffret « compte trente-deux feus, vingt-huit aisés, huit qui achètent le blé et n'en vendent pas, un seul mendiant laboureur journalier devenu infirme depuis sept ou huit mois. Sa femme est tisserande, ils ont quatre enfants dont l'aîné âgé d'environ douze ans sera en état d'être aussi tisserand à l'âge de quatorze ou quinze ans tout au plus tard »[21].
La cure de Lanneuffret était en 1786 l'une des plus pauvres du diocèse de Léon avec moins de 300 livres de revenu, pas plus que la portion congrue à cette date[22].
Huit kanndi pour le blanchiment du lin et du chanvre ont été recensés sur le territoire de la commune de Lanneuffret.
La Révolution française
modifierLes deux députés représentant la paroisse de « Laneuvret » (Lanneuffret), lors de la rédaction du cahier de doléances de la sénéchaussée de Lesneven le , étaient Jacques Mével et Jacques Troadet[23].
Jean Cadiou, recteur de Lanneuffret depuis le , fut insermenté en 1791 et s'exila depuis Roscoff en Angleterre[24].
Le XIXe siècle
modifierA. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Lanneuffret en 1843 :
« Lanneufret (sous l'invocation de saint Guevroc, ou Guevrec, ou Kyrec, solitaire) ; autrefois Lanneuvret, ou Lan-Guevrec (...). Principaux villages : Kerillé, Kermanac'h, Kerprigent, Kerantram, Keramval, Kerdyven, Kerioual. Superficie totale : 224 hectares, dont (...) terres labourables 118 ha, prés et pâturages 21 ha, bois 11 ha, vergers et jardins 6 ha, landes et incultes 49 ha (...). Moulins : 4 (de Poulbron, de Kermanac'h, de Kerarsant, de Kerantraon. Cette paroisse est nommée [par Dom Lobineau] Lan Sancti Winwreti. Ce saint Winwret ou Wenwret ne serait-il pas le même que Guevroc ou Guevrec ? Géologie : granite ; micaschiste au nord du bourg ; quelques points de granite amphibolique. On parle le breton[25]. »
En 1844, six communes du Finistère (Rumengol, Guipronvel, Lanneuffret, Le Drennec, Loc-Eguiner et Tréouergat) refusèrent d'ouvrir une école, refusant d'appliquer la loi Guizot de 1833[26].
Lanneuffret fut à nouveau érigée en paroisse par l'ordonnance du .
En 1878 des moines bénédictins venus de l'Abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire s'installent aux confins des communes de Plounéventer et Lanneuffret, créant le monastère de Kerbénéat, dont ils furent expulsés en 1903 en vertu de la loi sur les congrégations.
En 1879 la maison d'école mixte étant en très mauvais état, la commune de Lanneuffret, « dénuée de toute ressource », « une des plus pauvres du département », sollicite l'aide du département pour son projet de construction nouvelle[27].
Le XXe siècle
modifierLa Belle Époque
modifierLe journal Le Petit Parisien raconte ainsi la querelle des inventaires à Lanneufret en novembre 1906 :
« Dans la petite commune de Lanneufret, deux cents habitants étaient rassemblés dans le cimetière et entassés sous le porche autour de leur curé. La gendarmerie a dû refouler les fidèles. Le prêtre, resté seul devant la porte, a été appréhendé par les gendarmes. Après les trois sommations faites par le commissaire, les portes de l'église ont été enfoncées par les sapeurs du génie. L'inventaire a pu être opéré tandis que des hussards et des gendarmes gardaient les abords de l'édifice[28]. »
Le journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest publie le un récit détaillé des événements survenus lors des opérations d'inventaire des biens du clergé à Lanneuffret le [29]. Une première tentaive d'inventaire avait eu lieu le , mais avait échoué, le recteur, l'abbé Richard, et les membres du conseil de fabrique refusèrent d'ouvrir les portes de l'église et l'agent du fisc n'insista pas ce jour-là[30].
Le pardon de Saint-Guévroc, « un des plus importants de la région (...), attire chaque année beaucoup de monde », indique un article de journal en septembre 1907[31]. Un article de presse indique que le « les routes de Lanneuffret présentaient une vive animation, en raison de la multitude de promeneurs de Landerneau, La Roche, Plounéventer, Saint-Servais, Plouédern » venant au pardon[32].
La petitesse de la commune explique que pour l'année 1909 la commune de Lanneuffret n'eût aucun conscrit à présenter au conseil de révision[33].
La Première Guerre mondiale
modifierUn article publié le dans le journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest décrit la générosité des habitants de la « bretonnante commune de Lanneuffret, d'une population si minime de 206 habitants » à l'occasion des diverses œuvres de soutien pour les blessés et orphelins de la guerre[34].
En l'absence de monument aux morts, la plaque commémorative située dans l'église en tient lieu : elle indique les noms de 5 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : Pierre Mével (mort de maladie en novembre 1914) ; Jean Berthou (tué à l'ennemi en septembre 1915 à Sommepy-Tahure (Marne)), Jean Le Bras (mort des suites de ses blessures le dans la Somme) et Jean Péron (mort le lendemain dans le même département) et Olivier Mével (mort de maladie le dans l'Oise)[35].
L'Entre-deux-guerres
modifierLe dimanche 9 novembre 1919 une grande fête célébra le retour dans leurs foyers des poilus de la Grande Guerre. Un comité avait été formé, avec à sa tête comme président d'honneur Édouard de Rodellec du Portzic, capitaine de frégate dans les fusiliers marins, mutilé lors des combats de Dixmude, chevalier de la Légion d'honneur et avec Jean-Pierre Broudin[Note 5] comme président effectif[36].
Une mission fut prêchëe en 1921 ; le recteur était alors M. Guéguen.
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Plaque commémorative de la mission de 1921 apposée à la bade du calvaire de l'enclos paroissial.
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Article publié dans le journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest indiquant l'absence de décès et une seule naissance dans la commune en 1931.
La Seconde Guerre mondiale
modifierJean Kerdoncuff est mort pour la France pendant la Bataille de France le à Raismes (Nord)[35].
L'Après Seconde Guerre mondiale
modifierDeux soldats originaires de Lanneuffret (François Martin et Henri de Rodellec du Portzic, capitaine au 10e régiment d'artillerie coloniale, tous les deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de la Valeur Militaire, Henri de Rodellec du Portzic l'étant aussi de la Légion d'honneur) sont morts pour la France en 1957 pendant la Guerre d'Algérie[35].
En 1988 la revue Sites et monuments écrit que le manoir de Kerantraon risque de disparaître sous peu à la suite d'une absence d'entretien[37].
Démographie
modifierPolitique et administration
modifierHéraldique
modifierLe blason de Lanneuffet : |
Liste des maires
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Guévroc et son enclos paroissial. L'église date de 1585 et est en forme de tau ; son clocher-mur est construit en 1734. La chaire à prêcher date du XVIIe siècle et présente en médaillons les quatre évangélistes ; son confessionnal date aussi du XVIIe siècle ; l'église possède aussi quelques statues anciennes dont un Ecce Homo[40] et un groupe statuaire de sainte Anne appremant à lire à la Vierge. L'église possède aussi une croix de procession en argent massif, qui date probablement du XVIe siècle. Le calvaire de l'enclos paroissial date de 1650.
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L'église paroissiale Saint-Guévroc.
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Église Saint-Guévroc : le clocher.
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Église Saint-Guévroc : vue intérieure d'ensemble.
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Église Saint-Guévroc : le chœur.
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Église Saint-Guévroc : bas-relief.
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L'église Saint-Guévroc au sein de l'enclos paroissial.
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Échalier et portail de l'extérieur.
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Le calvaire de l'enclos paroissial : vue d'ensemble.
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Le calvaire de l'enclos paroissial : partie sommitale.
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La tombe de François Mével : partie basse, le saint graal.
- Château de Kerantraon (1864), propriété de la famille de Rodellec du Porzic.
- La fontaine Saint-Guévroc, déplacée récemment dans le centre bourg.
- Cinq croix ont été recensées dans la commune dont celle située sur la place du bourg et les deux croix de l'enclos paroissial.
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Croix de chemin à Lanneuffret.
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Croix située sur la tombe de François Mével dans l'enclos paroissial.
Événements
modifierPersonnalités liées à la commune
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Collecte de journaux au profit de l'association Les Enfants du Jardin[41] Pour plus d'informations, cliquer ici
Notes et références
modifierNotes
modifier- Roberte de Kerléan, née le au manoir de Kerantraon en Lanneuffret, décédée le au château du Porzic en Saint-Pierre-Quilbignon.
- Ronan Le Rodellec du Porzic, né vers 1702 au château du Porzic en Saint-Pierre-Quilbignon, décédé le au château du Porzic en Saint-Pierre-Quilbignon.
- Personnes en âge de communier.
- Yves Kerdoncuff, né le au bourg de Plouédern, décédé le au manoir de Kerrioual [Kerloual] en Lanneuffret.
- Jean-Pierre Broudin, né le à Lanneuffret, décédé le à Landerneau.
- Pierre Jean Le Quélennec, baptisé le à Keramanach en Lanneuffret, décédé le à Keramanach en Lanneuffret.
- Jacques Mével, né le à Kerimoal en Lanneuffret, décédé le 16 floréal an VIII () à Kerellé en Lanneuffret.
- Guillaume Morry, baptisé le au manoir de Kerantraon en Lanneuffret, décédé le à Lesneven.
- Yves Le Bras, né le à Saint-Servais (Finistère), décédé le à Lanneuffret.
- Joseph-Marie Kerdoncuff, né le à Lanneuffret, décédé le à Lanneuffret.
- Maurice de Rodellec du Portzic, né le à Saint-Pol-de-Léon, décédé le à Lanneuffret.
- Peut-être Pierre Léost, né le à Plounéventer, décédé le à Lanneuffret.
- Guillaume Kerdoncuff, né le à Kerbérénès en Lanneuffret, décédé le à Kerbérénès en Lanneuffret.
- Jean-Louis Mével, né le à Kermanach en Lanneuffret, décédé le à Keramanach en Lanneuffret.
- Jean-Marie Kerdoncuff, né le à Kerbérénès en Lanneufret, décédé le à Kerbérénès en Lanneufret.
- Isidore Kerdoncuff, né le à Kerbérénès en Lanneuffret, décédé le à Keryvon en Lanneuffret.
- Joseph Ollivier, né le à Kerdanoc en Plounéventer, décédé le à Kelaret en Lanneuffret.
- Probablement Ambroise Carn, né le à Crozon, décédé le à Brest, quartier de Recouvrance.
- Édouard de Rodellec du Portzic, né le à Brest, décédé le à Lanneuffret.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Lanneuffret », sur pays-landerneau-daoulas.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « Station Météo-France « Landivisiau » (commune de Saint-Servais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- Abbé Le Guen, « Antiquités du Léon. Origine de quelques paroisses du Léonnais. Lanneuffret », Bulletin de la Société archéologique du Finistère, , page 133 (lire en ligne, consulté le ).
- Notice d'information se trouvant dans le Musée de l'ancienne abbaye de Landévennec
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- Journal Le Petit Parisien n°10982 du 22 novembre 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k562339c/f1.image.r=Loperhet.langFR
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- « L'agitation catholique. À Lanneuffret », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest, , page 2 (lire en ligne, consulté le ).
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- Sites et monuments, « Finistère. Manoirs à vendre... Ou à démolir ! », Sites et monuments, , page 64 (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Statue : Christ aux outrages, Eglise Saint-Guévroc (Lanneuffret) », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
- « collecte de journaux | Les enfants du jardin », sur lesenfantsdujardin.fr (consulté le ).