Lamothe (Haute-Loire)
Lamothe est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Lamothe | |||||
Lamothe vue de l'ouest. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Brioude Sud Auvergne | ||||
Maire Mandat |
Alain Jarlier 2020-2026 |
||||
Code postal | 43100 | ||||
Code commune | 43110 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lamothois | ||||
Population municipale |
828 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 68 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 18′ 50″ nord, 3° 25′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 417 m Max. 645 m |
||||
Superficie | 12,24 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Brioude (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brioude | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | lamothe43.fr | ||||
modifier |
Ses habitants sont appelés les Lamothois et les Lamothoises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Lamothe se trouve à 446 mètres d'altitude dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 40 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 3,6 km de Brioude[2], sous-préfecture
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Fontannes (2,7 km), Brioude (3,8 km), Agnat (3,9 km), Chaniat (4,7 km), Cohade (4,8 km), Javaugues (5,2 km), Vieille-Brioude (5,5 km), Lavaudieu (6,0 km).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 674 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontannes », sur la commune de Fontannes à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 611,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Hydrographie
modifierL'Allier passe à Cougeac, principal hameau de la commune de Lamothe.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lamothe est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brioude, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,9 %), terres arables (23,5 %), prairies (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (5,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits
modifier- Cougeac
- le Pont de Lamothe
- les Flottes
- Pougheon
- Saint Cirgues
- la Tullière
- Vialle
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 487, alors qu'il était de 483 en 2013 et de 461 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 78,5 % étaient des résidences principales, 12 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lamothe en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,5 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Lamothe[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 78,5 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 12 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,5 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
modifierHistoire
modifierDe Mota à Lamothe
modifierLa Mothe doit simplement son nom à la butte sur laquelle se situait le château primitif, isolé par un ravin du reste du promontoire occupé aujourd'hui par le village.
On ne peut dissocier le petit hameau de Vialle, qui aujourd'hui ne forme plus qu'un quartier, de l'histoire de la vicomté de la Mothe. Lieu d'un établissement agricole gallo-romain, une « villa », Vialle (qui a conservé le nom) apparaît au cartulaire de Brioude dès 925. Son église y est mentionnée dans le premier tiers du XIe siècle, placée sous le vocable de Saint-Saturnin, elle pourrait remonter à l'époque mérovingienne. Un édifice plus vaste succède à la première église, sur le même emplacement. En 1072, les droits de l'église furent cédés au monastère de Pébrac et elle devint un prieuré. La paroisse fit partie à l'origine du diocèse de Clermont-Ferrand, puis dépendit de l'évêché de Saint-Flour en 1317, et fut enfin rattachée en 1823 à celui du Puy. En 1773, l'église s'écroula de vétusté, et ce n'est qu'en 1902 que la nouvelle église de style néo-roman, édifiée sur l'ancienne motte, fut bénie.
Le château originel existait encore en 1072, lorsque pour la première fois apparaît (sur la charte du cartulaire de Pébrac) le nom de la mota, châtellenie qui appartenait à Pierre de Bulhon, mais sur laquelle trois frères conservaient des droits : Bertrand, Rodolphe et Dalmas de Mota.
Au XIIe siècle, le château passa sous la domination du comte et du dauphin d'Auvergne. En 1198, le dauphin Robert fit donation de ses droits à Pons IV de Polignac. En 1206, Guy II, comte d'Auvergne, tint un plaid à La Mothe.
Les bases du château actuel, construit sur le ravin, remontent sans doute au XIIIe, au cours duquel plusieurs Polignac se distinguèrent. En 1248, Pons V, vicomte de Polignac et de La Mothe, se croisa avec Saint-Louis et mourut en terre sainte.
En 1304, Guillaume, dit Armand VII de Polignac, fit dresser un terrier de La Mothe. En 1312, il attaqua avec une troupe armée le village d'Alvier. Cette action lui valut une condamnation par le Parlement de Paris.
En 1344, Guillaume II Rog(i)er, frère aîné du pape Clément VI, acquit la vicomté de La Mothe. Il est probable qu'il fit alors reconstruire le château, en utilisant les équipes de bâtisseurs qui travaillaient à La Chaise-Dieu. Une ordonnance du dauphin Charles du prescrivait d'ailleurs au bailli d'Auvergne de « faire réparer les forteresses et les mettre en état pour obvier aux courses des Anglais et Routiers » qui dévastaient le pays.
En 1366, Marquis/Marquès Rog(i)er de Beaufort, seigneur de Canilhac, fils de Guillaume II, frère de Pierre Rog(i)er - élu pape en 1370 sous le nom de Grégoire XI - de Guillaume III vicomte de Turenne, de Nicolas, de Jean et du bâtard Tristan, reçut La Mothe, qui devint La Mothe-Canilhac. Il épousa, en 1369, Catherine, fille du dauphin d'Auvergne, qui lui apporta les droits que ce dernier possédait sur sa terre. En 1386, il fut nommé par Charles VI de France, lieutenant en Rouergue.
Son fils Louis de Beaufort Canilhac, vicomte de La Mothe, se fit remarquer par sa turbulence. En 1445, il menaça de faire jeter dans le puits de la cour du château son petit-cousin Hector, bâtard de Turenne (fils naturel du vicomte Raimond-Louis, lui-même fils de Guillaume III), avec qui il était en procès. Chambellan du roi, il fut nommé bailli de Montferrand et d'Usson de 1468 à 1472.
Son neveu Jacques de Montboissier-Beaufort-Canilhac devint vicomte de La Mothe et épousa en secondes noces le Charlotte de Vienne (sœur de François de Vienne : deux des enfants de Gérard seigneur de Ruffey et Montmorot, et de Bénigne de Dinteville dame de Commarin et d'Antigny). À cette occasion, il fit réaliser le plafond à caissons de la chambre dite papale. Après sa mort, en 1543, son épouse se remaria avec Joachim de Chabannes, seigneur de Curton, et c'est sous ce nom de Curton[14] qu'elle passa à la postérité, devenant gouvernante, puis dame d'honneur de la reine Marguerite de Valois, surnommée reine Margot.
Gabriel de Montboissier Beaufort Canilhac participa activement à la Fronde et fut condamné à mort et décapité aux Grands Jours d'Auvergne de 1665. Ses biens confisqués furent attribués au sieur Bartillat, garde du trésor royal. Ce dernier les restitua en 1673 à Anne de Laubespin, veuve de Gabriel.
En 1680, La Mothe passa par mariage à la famille de Barentin, puisque Madeleine Perrot, nièce d'Anne de Laubespin épousa Jacques Honoré Barentin, président de la cour. Il fit subir au château d'importantes transformations, ouvrant en particulier l'actuelle cour intérieure.
Les Barentin possédèrent La Mothe jusqu'à la Révolution. Charles-Paul-Nicolas Barentin de Montchal, dernier seigneur, émigra en 1790.
Au XIXe siècle, le château fut transformé en couvent, puis cédé en partie à la commune qui y installa l'école et le presbytère. Aujourd'hui propriété privée, le château est peu à peu restauré, notamment une importante partie il y a, à peu près cinquante ans. Le château ne peut cependant pas se visiter.
Le village se développe autour du château en commençant par le nord-est, où se situe aujourd'hui le quartier « le fort », puis il s'étend jusqu'à l'actuel quartier de la Côterie. Entouré de remparts, le village était protégé du côté le plus accessible par « le grand vallat » percé encore aujourd'hui de deux portes : « le théron » et « le soulard ». Grâce à l'utilisation des sapins de la forêt de La Chaise-Dieu pour la fabrication des mâts des bateaux de la Marine royale, un trafic intense se développe sur la route traversant le village, voyant, certains jours, deux cents charrois se rendre au port de Lamothe : Cougeac. Les arbres sont acheminés par l'Allier via la Loire jusqu'à Nantes. Au XVIIIe siècle, les habitants, au nombre de 1100, jouissent d'une certaine aisance. Au sein de la cité, l'industrie est très bien représentée par des tanneries, des tuileries, des moulins…
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Lamothe est membre de la communauté de communes Brioude Sud Auvergne[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Brioude. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Brioude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[16].
Liste des maires
modifierLe conseil municipal est composé de quinze membres, dont quatre adjoints[17].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].
En 2022, la commune comptait 828 habitants[Note 4], en évolution de −4,83 % par rapport à 2016 (Haute-Loire : +0,36 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,2 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 427 hommes pour 425 femmes, soit un taux de 50,12 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 354 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 819 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 450 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 4,3 % | 7,7 % | 5,4 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 526 personnes, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (68,7 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Brioude, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 92 emplois en 2018, contre 101 en 2013 et 94 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 363, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,8 %[I 15].
Sur ces 363 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 52 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château de Lamothe ( Inscrit MH (1988))[26].
- Prieuré fontevriste de Lamothe : Fondé le 20 octobre 1688, il est établi au lieudit de Lamothe-Barentin, où sont envoyées les religieuses professes de Sainte-Florine ; cette implantation prend fin en 1748 lorsque les onze religieuses sont réunies à la communauté de Brioude[27].[pertinence contestée]
- Ancien pont suspendu de Lamothe : un premier pont suspendu sur l'Allier a été construit en 1835-1836[28]. Ce pont a résisté aux crues de 1846 et 1856, mais la crue de 1866 a déplacé le lit de l'Allier en rive droite. Comme la rivière ne passe plus sous le pont, un pont provisoire mis en place est emporté au cours des crues de 1866 et 1872. La traversée de l'Allier ne se fait plus alors que par bac. Un second pont suspendu[29] est construit entre 1882 et 1887 par Ferdinand Arnodin[30], d'une portée principale de 115 m pour une longueur totale de 185,60 m[31]. Il n'en reste plus que les pylônes après la dépose du tablier et des câbles en 1977. En 1989 un pont en béton précontraint est construit à proximité[32].
Site naturel
modifierLa commune de Lamothe abrite le site naturel du méandre de Précaillé. Situé en bord d'Allier, cet espace naturel est actuellement préservé par le Conservatoire des Espaces et Paysages d'Auvergne et appartient au réseau des espaces naturels sensibles du département de la Haute-Loire. L'intérêt du site est lié aux habitats alluviaux (forêts de bord d'Allier, bras mort, prairie...) et aux espèces présentes. Le Héron cendré et le Milan noir se reproduisent sur le site. Pour plus d'informations, le site du Conservatoire des Espaces et Paysages d'Auvergne : [1]
Personnalités liées à la commune
modifierBibliographie
modifier- Francisque Micolon, « Notes historiques sur la vicomté de la Mothe près de Brioude », Almanach de Brioude, Brioude,
- Francisque Micolon, « Un frère de Clément VI : Guillaume Roger de Beaufort, vicomte de Lamothe », Almanach de Brioude, Brioude,
- Francisque Micolon, « La Mothe », Almanach de Brioude, Brioude,
- Francisque Micolon, « Une dame de la Mothe : la présidente Barentin », Almanach de Brioude, Brioude,
- Francisque Micolon, « Le dernier vicomte de Lamothe : Charles-Paul-Nicolas Barentin de Montchal », Almanach de Brioude, Brioude,
- Francisque Micolon, « Madame de Curton, vicomtesse de Lamothe », Almanach de Brioude, Brioude,
- Paul Pialoux, Jean Pougheon, « Les plaques de foyer de Lamothe », Almanach de Brioude, Brioude,
- [33]
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Lamothe ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Lamothe » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lamothe - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lamothe - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lamothe (43110) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lamothe » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lamothe » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lamothe » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Lamothe et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lamothe et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lamothe », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lamothe et Fontannes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontannes », sur la commune de Fontannes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontannes », sur la commune de Fontannes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brioude », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Francisque Micolon, « Madame de Curton, vicomtesse de Lamothe », Almanach de Brioude, Brioude,
- « communauté de communes Brioude Sud Auvergne - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Conseil municipal de Lamothe (Haute-Loire) », sur lamothe43.fr (consulté le ).
- https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
- Liste des maires de la Haute-Loire [PDF], sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- Lamothe sur le site du quotidien Le Monde.
- « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Notice no PA00092680, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Joelle Ernoul, « Prieurés fontevristes de Rhône Alpes » (consulté le )
- « Construction d'un pont suspendu sur l'Allier, au port de Lamothe, près de Brioude, route départementale no 5, de Saint-Flour à Lyon (Haute-Loire) », Annales des ponts et chaussées. Lois, décrets, arrêtés et autres actes, , p. 129-131 (lire en ligne).
- Pont suspendu de Lamothe.
- Michel Barres, Les premiers ponts suspendus de Ferdinand Arnodin à Saint-Ilpize et Chilhac : in Cahiers de la Haute-Loire 1992, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
- Pont suspendu de Lamothe sur Structurae..
- Pont suspendu de Lamothe sur Structurae..
- Joelle Ernoul, « Prieurés fontevristes » (consulté le )
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :