La Hérelle
La Hérelle est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
La Hérelle | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise picarde | ||||
Maire Mandat |
Simon Callais 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60311 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
238 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 29″ nord, 2° 24′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 99 m Max. 147 m |
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Superficie | 5,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierDescription
modifierLouis Graves indiquait en 1843 que La Hérelle était alors une « petite commune traversée, au tiers inférieur de son étendue, par un vallon qui descend au nord-ouest vers la vallée de la Noye. Des terres labourables occupent la faible partie située au sud-ouest du ravin; l'autre section est couverte presque entièrement par la foret dite de La Hérelle.
Le village constitue une rue longue et sinueuse, pratiquée sur la roche dans l'axe du vallon[1] ».
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Chepoix, Gannes, Mory-Montcrux, Plainville, Sains-Morainvillers et Welles-Pérennes.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , La Hérelle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[9],[10].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,3 %), forêts (24,3 %), zones urbanisées (5,4 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 122, alors qu'il était de 106 en 2013 et de 97 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 83 % étaient des résidences principales, 8,5 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,8 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Hérelle en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais comparable à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | La Hérelle[I 2] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 83 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 8,5 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,5 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille, mais la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Gannes, desservie par des trains TER Hauts-de-France assurant des missions entre les gares de Paris-Nord et d'Amiens.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619, 624, 6122 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[12].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Herella (1199) ; de Harelloe (1199) ; de harella (vers 1200) ; Herele (1228) ; Herele Fosse Theobaldi (vers 1240) ; sires de Hairele (1248) ; la harele (1289) ; Osmundi de Harella (XIIIe) ; le Herele (1311) ; la Herielle (1358) ; forteresse de le herele (1359) ; la Harelle (XIVe) ; le chastel de la herelle (1359) ; la herelle (1374) ; la Hérelle (XVIe) ; la Chérelle (XIVe) ; Laherelle (XVIe) ; Herelle (1667)[13].
Nom d'un château, forteresse importante qui joua un grand rôle dans les guerres des XIVe XVe siècles, et d'une forêt[14].
La Hérelle correspond à une prononciation locale de la forme francisée de l'érable, exemples tels que l'héraule à Songeons et à Essuiles, l'Hérauble à Ourcel-Maison, qui semble être qu'une variante graphique. D'après l'étude de M. Lebègue sur les parlers de la Hérelle (Nos parlers du Nord, 1961-1962)[15]. Les noms d'arbres sont encore souvent féminin en picard[16].
Histoire
modifierMoyen-Âge
modifierLouis Graves indiquait « La Hérelle était dans l'origine un domaine royal dont Philippe-Auguste fit présent en 1199 à Barthélemy de Roye qui lui avait rendu des services signalés, et qui devint en 1209 chambrier de France. Alix de Roye sa fille aînée apporta cette seigneurie en dot en 1214 à Raoul de Nesle seigneur de Flavy, de la maison duquel elle passa dans celle de Pecquigny, par le mariage do Béatrix de Nesle avec Ferry de Pecquigny seigneur d'Ailly-sur-Somme.
Marguerite do Pecquigny leur petite-fille et héritière, épousa en 1360 Hugues de Melun seigneur d'Antoing et d'Epinoy qui fut ainsi seigneur de La Hérelle. Isabelle de Melun leur fille s'étant mariée à Bertrand seigneur de La Bouverie ; ils cédèrent ensemble en 1396 cette terre à Louis duc de Bourbon et comte de Clermont en Beauvoisis.
La Hérelle devint alors une châtellenie du comté, comprenant dans son ressort la paroisse de Mory-Maucrux.[1] »
Temps modernes
modifierSelon la même source, « le connétable de Bourbon vendit le vingt-quatre mai 1517 la châtellenie à Jeanne de Poix veuve de Raoul de Lannoy, mais cette aliénation ne tint guère, et Henri II rentré en possession de La llérelle, en donna l'usufruit, dabord à Madeleine de la Suze veuve de Joachim de la Bretonnière seigneur de Warty, puis à la reine Catherine de Médicis.
La terre fut engagée en 1569 au duc de Brunswick avec le comté de Clermont, et suivit depuis la fortune de ce comté.
La seigneurie relevait du fief des grandes Tournelles de Montdidier, possédé par la maison du Soyécourt[1] ».
Durant les Guerres de Religion, le village est brûlé par les Espagnols dans l'invasion do 1656. La forteresse était située entre le village et la forêt au-dessus de l'église[1].
Époque contemporaine
modifierLa commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe fugacement de 1825 à 1833 celle de Mory-Montcrux[17].
En 1843, on trouvait dans l'étendue du territoire communal deux moulins à vent, une tuilerie, une brasserie, une sucrerie de betteraves, une fabrique de vinaigre, une distillerie, qui appartenaient tous à M. Bazin, qui dirigeait également une « exploitation agricole perfectionnée »[1].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
modifierLa commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[19], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[20].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[21], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [22].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 2], en évolution de +0,42 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 119 hommes pour 122 femmes, soit un taux de 50,62 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Nicolas (XVIe siècle) : construite en pierres et briques, elle est restaurée en 1965 après l'écroulement de son chœur pour vétusté en 1940. La nef subsistante est constituée de deux travées qui communiquent avec les bas-côtés par deux arcades brisées retombant au centre sur une pile circulaire. Le clocher surmonte le porche constitué par une courte travée.
La charpente en chêne porte gravée en plein bois trois fleurs de lys, armes des Condé. On y trouve une statue en bois peint du XVIe siècle représentant une Vierge à l'Enfant, classée monument historique[33], ainsi qu'une cuve baptismale en pierre d'exécution très grossière et à la date incertaine[34].
- Fossés et retranchement de l'ancien château : ils sont cités par Froissart en 1358. Ils appartenait à Jean de Picquigny, qui fut étranglé par son chambellan dans ce château.
-
L'église Saint-Nicolas.
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L'église Saint-Nicolas avec le monument aux morts.
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Monument aux morts.
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La mairie.
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Petite chapelle.
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Calvaire situé sur la D 117, à la limite de Mory-Montcrux.
Personnalités liées à la commune
modifierPour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de La Hérelle (60311) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « La Hérelle » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de la Hérelle » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de La Hérelle ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à la La Hérelle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à la La Hérelle - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 72-74.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Hérelle et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à La Hérelle », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 275.
- Société de linguistique picarde, Toponymie du département de l'Oise : 14 index, 9 cartes, Musee de Picardie, , p. 215.
- Jacques Chaurand, Quelques remarques sur les continuations du latin abulu dans les parlers et la toponymie du Nord et de l'Est du domaine d'Oïl, vol. 2, Nouvelle revue d'onomastique, , p. 98.
- Robert Loriot, Les parlers de l'Oise : la structure linguistique du sud de la Picardie : étude de comportements phonétiques, Edition et diffusion, Association bourguignonne de dialectologie et d'onomastique, , p. 236.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Les maires de Hérelle (la) », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Les derniers vœux du Sivom », Le Courrier picard, (lire en ligne) « François Sence, épinglé par Jean Cauwel, conseiller général, pour 24 ans de mandat, devra affronter une deuxième liste à La Hérelle (186 habitants) ».
- François Sense n'était pas candidat aux municipales de 2020 : « La Hérelle 60120 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020: « L'avis de François Sence, maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3296, , p. 17.
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Hérelle (60311) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Vierge à l'enfant de l'église Saint-Nicolas », notice no PM60000914, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, « La Hérelle, église Saint-Nicolas : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).