La Guerche-sur-l'Aubois

commune française du département du Cher

La Guerche-sur-l'Aubois est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire. Elle est labellisée "Station verte"[1].

La Guerche-sur-l'Aubois
La Guerche-sur-l'Aubois
Gare de La Guerche.
Blason de La Guerche-sur-l'Aubois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Portes du Berry, entre Loire et Val d'Aubois
Maire
Mandat
Pierre Ducastel
2020-2026
Code postal 18150
Code commune 18108
Démographie
Gentilé les Guerchois et les Guerchoises
Population
municipale
3 162 hab. (2021 en évolution de −4,82 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 07″ nord, 2° 56′ 54″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 222 m
Superficie 52,7 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine La Guerche-sur-l'Aubois
(ville isolée)
Aire d'attraction Nevers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-sur-l'Aubois
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Guerche-sur-l'Aubois
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Guerche-sur-l'Aubois
Géolocalisation sur la carte : Cher
Voir sur la carte topographique du Cher
La Guerche-sur-l'Aubois
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
La Guerche-sur-l'Aubois
Liens
Site web http://www.mairie-laguerchesurlaubois.fr/

Géographie

modifier

La commune est chef-lieu du canton même après 2015[2].

Localisation

modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Marzy à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 783,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , La Guerche-sur-l'Aubois est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Guerche-sur-l'Aubois, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nevers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,2 %), terres arables (27,4 %), forêts (18,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), zones urbanisées (5,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %), eaux continentales[Note 2] (0,5 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de La Guerche-sur-l'Aubois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

modifier
 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Guerche-sur-l'Aubois.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[17]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 779 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1153 sont en aléa moyen ou fort, soit 65 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1994, 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques

modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Histoire

modifier

Moyen Âge

modifier

La Guerche (on trouve souvent La Guierche) relevait initialement — comme Germigny — du Nivernais, plus particulièrement des vicomtes de Nevers de la famille de Champallement. Puis elle passa aux maisons des Barres et de St-Vérain : (sous toute réserve, la généalogie des Barres étant confuse),

  • Agnès de Champallement et de La Guerche († 1235), épouse vers 1194/1202 Pierre Ier des Barres († vers 1226 ; fils de Guillaume Ier et d'Hélissende de Chaumont) : Parents de Pierre II des Barres († vers 1233 ; sire du Bois-Rozerain à La Guerche, et de Chitry ; époux vers 1210/1220 d'Isabelle de Champlitte), et de Guillaume II des Barres († vers 1244),
    • ce dernier étant père de Pierre III des Barres († ap. 1268 ; sire de La Guerche, de Champallement et d'Aspremont ; x Marguerite de La Gruerie d'Igornay), lui-même père :

Époque moderne

modifier

À la mi-XVe siècle, La Guerche est aux mains de Jean IV de Bar, sire de Baugy et d'Etréchy, bailli de Touraine ; ses descendants la garderont jusqu'à la fin du XVIe siècle, avec François II de Bar de Baugy († sans postérité), et sa sœur Jeanne-Françoise, femme de Jean de Jaucourt de Villarnoult.

Aux alentours de 1600, Baugy et Etréchy sont alors vendus à Sully ; et La Guerche à François III de Montholon d'Aubervilliers, fils du Garde des sceaux François II (cf. ce terrier de La Guerche, en ligne sur FranceArchives, 1598-1608).

Le 24 décembre 1751, Claude Louis François de Régnier de Guerchy, marquis de Nangis, lieutenant général des armées du Roi, vend la baronnie de La Guerche à François de Fougières, marquis de Fougières, seigneur du Creux, lieutenant-général des armées du Roi. François de Fougières meurt en 1768, laissant pour unique héritier son fils, François Marie de Fougières, aussi seigneur du Creux, maréchal de camp, 1er maître d'hôtel du comte d'Artois, ancien sous-gouverneur des Enfants de France, lieutenant-général en Bourbonnais, mort en 1787[24] . François Marie de Fougières est le père de Louis-Joseph de Fougières [25].

Époque contemporaine

modifier
  • Au moment de l'effondrement de la République espagnole, qui provoque la Retirada, d’importantes arrivées de réfugiés espagnols ont lieu. Entre le et le , 3 002 réfugiés espagnols fuyant devant les troupes de Franco, arrivent dans le Cher[26],[27]. Ils sont acheminés en quatre convois à la gare de Bourges[28]. Une tuilerie désaffectée de La Guerche-sur-l’Aubois fait partie des lieux choisis pour les héberger[26],[27]. Les réfugiés sont essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, du fait des risques d’épidémie[29]. Le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[30]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés au camp de Châteaufer (commune de Bruère-Allichamps)[31].
  • La Guerche sur l'Aubois apporte son aide à Bures-sur-Dives. Bures-sur-Dives est un village qui se situe en Normandie, dans le Calvados, qui a été ravagé par les bombardements en . En 1946, le maire de Bures-sur-Dives envoie un message à la France pour aider à la reconstruction. La commune de la Guerche-sur-l’Aubois va répondre positivement à cette demande et apporter son aide à la commune de Bures-sur-Dives. Un square a été construit à la Guerche-sur-l’Aubois, quai de Bures-sur-Dives, pour rappeler cette entraide.

Politique et administration

modifier

Tendances politiques et résultats

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1931 1940 Maurice Fuselier    
1940 1944 Georges Soulat   bourgmestre
1945 1947 François Lardot    
1947 1950 Frédéric Chauveau PCF conseiller général du canton de La Guerche-sur-l'Aubois (1945-1951)
1950 1959 Gustave Sautereau    
1959 1965 Albin Lassous    
mars 1965 mars 1977 Gaston Portugale Rad. conseiller général du canton de La Guerche-sur-l'Aubois (1951-1976)
mars 1977 mars 1983 Christian Gigot PCF conseiller général du canton de La Guerche-sur-l'Aubois (1976-1994)
1983 1994 Jean-Louis Gignoux    
27 juillet 1994 18 juin 1995 Daniel Vagnat[32] SE  
18 juin 1995 30 octobre 1998 Jean-Paul Roussillot    
1998 mars 2001 Jacques Chavy    
mars 2001 mars 2008 Daniel Devoize PCF conseiller général du canton de La Guerche-sur-l'Aubois (1994-2008)
mars 2008 En cours Pierre Ducastel[33],[34]   Ancien cadre

Politique environnementale

modifier

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[35].

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 3 162 habitants[Note 3], en évolution de −4,82 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1761 2911 3411 4001 7541 9352 0902 5673 066
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 6643 8863 5053 4743 5173 4503 4803 5153 452
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 2543 2543 4693 4563 2213 2393 0033 4123 329
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3 4533 7173 6823 3263 2193 3973 4573 4153 395
2014 2019 2021 - - - - - -
3 3193 1773 162------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • L'église Saint-Étienne (XIIe siècle). Cet édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1962.
  • Le manoir de Chézelles (XVe siècle-XVIe siècle). Cette ancienne maison forte bâtie sur les fondations d'une villa gallo-romaine possède un impressionnant donjon du XVe siècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1994.
  • Le château de l'Hôtel de Ville (XIe siècle-XVe siècle-XIXe siècle). Ce château, de style néo-gothique, est construit au XIXe siècle par un maître de forges sur le mur des fortifications du XIe siècle avec les pierres décoratives de l'ancien château (XVe siècle). Il est racheté en 1936 par la municipalité qui y installe la mairie de La Guerche[40],[41].
  • La maison de Louis Roubet (également "Château Sauterau", du nom du grossiste en vins qui l'habita au début du XXe siècle). Cette demeure, dont la partie centrale date de 1750, a été agrandie en employant des pièces gallo-romaines et de la Renaissance découvertes par Louis Roubet, juge de paix de La Guerche et archéologue local, sur le chantier ouvert par lui à Chézelles.
  • Le Haut Fourneau (1780), construit par le marquis Morgié de Fougières, seigneur de La Guerche, afin de transformer en fonte le minerai de fer local.
  • La maison du Régisseur (1780), dépendant du haut fourneau.
  • La minoterie de Faguin (1852).
  • La tuilerie Sauvard (1852, 1890 et 1910), actuellement le siège d'un "Centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine".
  • L'église Notre-Dame. Elle a été construite au XIXe siècle : la première pierre a été posée en 1857 devant le champ de foire, actuellement place Auguste-Fournier. Elle a été construite à cette époque car le bourg s’était agrandi et une deuxième église s’avérait nécessaire. Louis Roubet, archéologue et sculpteur, a participé à la décoration de l’église Notre-Dame. Il a exécuté les fonts baptismaux et les troncs de l’église. Notre-Dame est également connue pour son clocher qui a été heurté par un pilote américain le .
  • L'ancien Hospice (1869).
  • L'Hippodrome (1878).
  • La Villa Jehanne (1905).
  • L'écluse de l'Oie (1936)
  • La "Motte féodale" (vers 1900-1949). Ce promontoire boisé pittoresque que Marthe Passot-Gauthier avait tenu à faire passer pour l'ancienne motte féodale[42] est en réalité extrêmement récent, comme l'universitaire Emmanuel Legeard l'a montré : il s'agit en fait du terril créé par l'amoncellement de la couche superficielle de terre dégagée du sommet de la carrière Daumy-Boucheron vers 1900. En 1946, toujours d'après le même auteur, la Société Normande des Bois Tranchés (SNBT) prend la place de l'usine de chaux et de ciments et le nouveau propriétaire, Igor Siskind, qui y fait construire sa maison, plante dès 1949 des essences rares de conifères sur la butte, dont plusieurs sont en « danger critique d’extinction », comme le Cupressus stephensonii[43].

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Claude Pajot : il est né à la Guerche sur l’Aubois en 1766 dans une famille modeste. Il était destiné au même métier que son père, tailleur d’habits. Comme il était intelligent, le prêtre de l’église Saint-Étienne de la Guerche sur l’Aubois lui apprit à lire et à écrire et en fit son clerc. Il fut écouté et admiré par ses concitoyens qui l’élurent conseiller municipal, puis commissaire du canton et député en 1792[réf. nécessaire]. Surnommé « le roi de la Guerche » par son ascension sociale, il montra un zèle révolutionnaire en incitant au pillage des églises et des châteaux. Accusé d’escroquerie, il fut emprisonné à la Conciergerie à Paris. La mort de Robespierre lui permit d’échapper de justesse à l’échafaud.
  • Louis Joseph de Fougières (1773-1841), militaire et député du Cher.
  • Venceslas Gasztowtt (1844-1920), traducteur né dans la commune.
  • François Descamps (1875-1934), manageur du boxeur Georges Carpentier, s'installe à la Guerche, y achète une usine de boîtes de camembert et y décède.
  • Louis Roubet : historien, président de la société nivernaise des lettres, sciences et arts (1880-1886) ; a effectué de nombreuses recherches sur l'histoire de la commune. Une rue de La Guerche porte son nom.
  • George Soulat (1881-1965), inventeur entrepreneur industriel, pionnier de l'électromécanique, directeur de l'usine Soulat Frères. conseiller municipal en juin 1940, il est délégué pour remplacer le maire de La Guerche-sur-l'Aubois jusqu'en 1944.
  • Yves Aupetitallot (1955), directeur de musées né dans la commune.
  • Martine Leguille-Balloy (1957), députée de Vendée, y est née.

Héraldique

modifier

Les armoiries de La Guerche-sur-l'Aubois se blasonnent ainsi :

D’or à la croix ancrée de sinople.

Culture

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. La Guerche-sur-l'Aubois sur le site des stations vertes
  2. Décret no 2014-206 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Cher
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre La Guerche-sur-l'Aubois et Marzy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nevers-Marzy » (commune de Marzy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nevers-Marzy » (commune de Marzy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de La Guerche-sur-l'Aubois », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nevers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Guerche-sur-l'Aubois », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. « Agnès de La Guerche de Champallement », sur Geneanet, arbre généalogique de Marie-Eve et Emmanuelle Dhuicque.
  21. « Guillaume des Barres, sire de Champallement et La Guerche », sur Généalogie de Carné.
  22. « Maison des Barres, p. 3 et 15-16 », sur Racines & Histoire.
  23. « Famille de St-Vérain, p. 4 », sur Racines & Histoire.
  24. Bernard de Fournoux, « Le Creux », Bulletin de la société d'Emulation du Bourbonnais,‎ , p. 468-473
  25. « Hommage d'Antoinette-Louise-Marie Crozat de Thiers pour St-Sulpice-le-Châtel, le 27 juin 1785, p. 83 », sur Le château des Bordes (à Urzy, Nièvre) et ses seigneurs, par Adrien Bonvallet, chez Paulin Fay, à Nevers, 1869.
  26. a et b Jeanine Sodigné-Loustau, L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre, coll. « Matériaux pour l'histoire de notre temps » (no 44), (lire en ligne), p.43.
  27. a et b Didier Arnold, Les réfugiés de la Guerre d'Espagne dans le Cher. 1936-1946, documents disponibles aux Archives départementales du Cher, Archives départementales du Cher, mis à jour en mars 2013, consulté le 25 mars 2013
  28. Alain Gardant, « L’enfance pendant les deux conflits mondiaux », L’enfance dans le Cher (1830-1945), consulté le 25 mars 2013, p. 3
  29. Sodigné-Loustau 1996, p. 44.
  30. Sodigné-Loustau 1996, p. 43-44.
  31. Sodigné-Loustau 1996, p. 46.
  32. « Élection à La Guerche. Daniel Vagnat maire », Le Berry Républicain,‎ , p. 2.
  33. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  34. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  35. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Jean-Yves Cagnard, La Guerche-sur-l'Aubois, Éditions Alan Sutton, 2010.
  41. Le Patrimoine des Communes du Cher, Ouvrage collectif, vol. I, Éditions Flohic, 2001.
  42. Marthe Passot-Gauthier, Si La Guerche m'était contée, 1964, p. 11.
  43. Emmanuel Legeard, Réseau des carrières et fours à chaux Daumy & Boucheron, IRSP Éditions, juillet 2018.
  44. Blog de la bibliothèque municipale

Voir aussi

modifier

Article connexe

modifier

Bibliographie

modifier
  • Louis Roubet : Maison-Dieu de La Guerche - Impr. de Bégat - 1869
  • Louis Roubet : Épigraphie historiale du canton de La Guerche - Impr. de Fay - 1873
  • Louis Roubet : Notice historique sur les forges et fourneaux au canton de La Guerche - Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts - 1886
  • Louis Roubet : La chapelle de Saint-Blaise de La Guerche - Impr. de Tardy-Pigelet - 1889
  • Marthe Passot-Gauthier : Si La Guerche m'était contée... - Association des amis de l'église du Gravier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :