Kirchberg-de-barr

région viticole

L’alsace grand cru kirchberg-de-barr[N 1], ou kirchberg-de-barr, est un vin blanc français produit sur le lieu-dit Kirchberg, situé sur la commune de Barr, dans le département du Bas-Rhin, en Alsace.

Kirchberg-de-barr
Image illustrative de l’article Kirchberg-de-barr
Barr vu depuis le Kirchberg.

Désignation(s) Kirchberg-de-barr
Appellation(s) principale(s) alsace grand cru Kirchberg de Barr[N 1]
Type d'appellation(s) AOC-AOP[1]
Reconnue depuis 1983[2]
Pays Drapeau de la France France
Région parente vignoble d'Alsace
Localisation Bas-Rhin
Climat tempéré continental
Ensoleillement
(moyenne annuelle)
1 724 heures par an en moyenne[3]
Sol calcaires
Superficie plantée 40 hectares en 2009[4]
Cépages dominants gewurztraminer Rs, riesling B et pinot gris G[N 2]
Vins produits blancs
Pieds à l'hectare minimum 4 500 pieds à l'hectare[5]
Rendement moyen à l'hectare maximum 55 à 66 hectolitres par hectare[5]

Il s'agit d'un des cinquante-et-un grands crus du vignoble d'Alsace, bénéficiant chacun d'une appellation mais partageant le même cahier des charges alsace grand cru[5] (avec des contraintes plus rigoureuses que pour l'appellation alsace). Dans le cas du cru de Barr, on mentionne le nom de la commune après le nom du lieu-dit pour différencier ce cru avec l'autre kirchberg : le kirchberg-de-ribeauvillé.

Histoire

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Le Kirchberg de Barr fait partie en 1983 des vingt-quatre lieux-dits sélectionnés pour devenir les dénominations géographiques de l'appellation alsace grand cru[2].

Il y a eu depuis quelques modifications : le décret du [6] règlemente les mentions vendanges tardives et sélection de grains nobles au sein de l'appellation et le décret du [7] réduit les rendements et donne la possibilité de modifier le cahier des charges de chaque dénomination (chaque cru) après avis du syndicat viticole local.

En , tous les grands crus d'Alsace passent du statut de dénominations géographiques au sein d'une même appellation à celle d'appellations partageant le même cahier des charges[5].

Étymologie

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En allemand, le mot Kirche désigne l'église ou le temple, tandis que le mot Berg désigne la hauteur (colline ou montagne). Kirchberg peut donc se traduire par le « mont de l'église ».

Quant à Barr, il s'agit simplement du nom de la commune, employé ici pour ne pas confondre ce cru avec celui de Ribeauvillé.

Situation géographique

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Carte du vignoble alsacien, avec l'indication des grands crus.

Le kirchberg-de-barr est produit en France, dans la région Alsace, plus précisément dans le département du Bas-Rhin, sur la commune de Barr à 35 kilomètres au sud-ouest de Strasbourg.

Sur la Route des vins d'Alsace, le Kirchberg de Barr se trouve entre le Bruderthal 20 kilomètres plus au nord et le Zotzenberg juste au sud.

Géologie et orographie

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Les vignes poussent sur des calcaires du Jurassique moyen[4],[8],[9].

Climatologie

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À l'ouest, les Vosges protègent le coteau du vent et de la pluie. Les vents d'ouest dominants perdent leur humidité sur le versant occidental des Vosges et parviennent en Alsace sous forme de foehn, secs et chauds. Les précipitations sont donc particulièrement faibles.

De ce fait, le climat est bien plus sec (Colmar, plus au sud, est la station la plus sèche de France) et un peu plus chaud (avec une température annuelle moyenne plus haute de 1,5 °C) que ce qui serait attendu à cette latitude. Le climat est continental et sec avec des printemps chauds, des étés secs et ensoleillés, de longs automnes et des hivers froids.

La station météo de l'aéroport de Strasbourg Entzheim (150 mètres d'altitude) est la plus proche de Barr. Ses valeurs climatiques de 1961 à 1990 sont :

Relevés à Strasbourg-Entzheim 1961-1990
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,7 −0,9 1,6 4,6 8,6 11,7 13,4 13,1 10,3 6,5 2,1 −0,7 5,7
Température moyenne (°C) 0,9 2,5 6 9,6 13,8 17 19,1 18,6 15,5 10,6 5,2 1,9 10,1
Température maximale moyenne (°C) 3,5 5,8 10,4 14,6 19 22,2 24,7 24,2 20,8 14,7 8,2 4,5 14,4
Ensoleillement (h) 42 78 122 161 197 212 240 215 168 101 58 43 1 637
Précipitations (mm) 33,1 34,3 36,6 48 74,5 74,6 56,8 67,8 55,5 43 46,6 39,9 610,5
Source : www.infoclimat.fr : Strasbourg-Entzheim (1961-1990)[3]


Vignoble

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Présentation

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Les parcelles de vigne sont à flanc de coteau, entre 215 et 330 mètres d'altitude, sur des pentes exposées au sud-est, au nord-ouest de la ville de Barr. L'aire plantée est de 40,63 hectares[10].

Encépagement

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Les vins correspondant à l'appellation d'origine contrôlée alsace grand cru suivie de la dénomination géographique (nom de lieu-dit) Kirchberg de Barr doivent être produits avec les cépages suivants : riesling B[N 2], pinot gris G, gewurztraminer Rs ou un des muscats (muscat ottonel B, muscat blanc à petits grains B ou muscat rose à petits grains Rs).

Le gewurztraminer Rs (signifie « traminer aromatique » en allemand) est le cépage le plus cultivé sur le Kirchberg. C'est un cépage rose aux baies orange ou tirant vers le violet. Ce proche parent du savagnin B et du savagnin rose Rs (appelé en Alsace klevener de Heiligenstein) est plutôt vigoureux, produit de gros rendements et donne de meilleurs résultats sur des sols marneux ou calcaires que sur des sols granitiques ou schisteux.

Le pinot gris G (appelé Grauburgunder, « bourguignon gris » en allemand, « malvoisie » dans le Valais ou pinot grigio en Italie) est un cépage fragile et de maturité assez précoce. Il est issu d’une mutation du pinot noir et est donc d’origine bourguignonne, où il est appelé « pinot beurot ». Il donne de meilleurs résultats sur des sols composés de cailloutis calcaires à condition d'être bien drainés grâce à une exposition en coteau.

Le riesling B est peu cultivé sur le Kirchberg. C'est un cépage au débourrement et à la maturation tardives, nécessitant des coteaux bien exposés au soleil, dont les vendanges peuvent avoir lieu vers la mi-octobre. Par contre, il résiste bien aux gelées d'hiver.

Les muscats sont rarement cultivés, que ce soit sur l'ensemble du vignoble d'Alsace ou sur les parcelles classées comme grands crus. Le muscat blanc à petits grains B, appelé aussi « muscat d'Alsace », est originaire de Grèce ; il est cultivé en Alsace depuis au moins le début du XVIe siècle. Il est plutôt précoce. Le muscat ottonel B est plus récent, découvert au XIXe siècle dans la vallée de la Loire avant d'arriver en Alsace au milieu du siècle. L'ottonel est un hybride du chasselas, il est donc encore plus précoce que l'autre muscat.

Pratiques culturales

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Les vignes sont conduites en hautain pour les protéger du gel, avec le feuillage palissé en espalier ; la hauteur de feuillage palissé ne peut être inférieure à 0,675 fois l'écartement entre les rangs. La taille de la vigne doit se faire en guyot simple ou double avec un maximum de dix yeux par mètre carré de surface au sol pour le cépage gewurztraminer Rs et huit yeux par mètre carré de surface au sol pour les autres cépages.

La charge maximale moyenne à la parcelle est fixée à 10 000 kilogrammes de raisin par hectare[5].

Rendements

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La limite de rendement de l'ensemble de l'appellation alsace grand cru est fixée à 55 hectolitres par hectare, avec un rendement butoir à 66 hectolitres par hectare[5], ce qui est très inférieur aux 80 hectolitres autorisés par l'appellation alsace.

Le rendement réel de l'ensemble de l'appellation (les 51 crus alsaciens) est de 50 hectolitres par hectare en moyenne pour l'année 2009[N 3]. Bien que ce soit très en dessous des rendements moyens du vignoble d'Alsace, il s'agit d'un rendement dans la moyenne française.

Les grands crus d'Alsace doivent être obligatoirement vendangés à la main.

Titres alcoométriques

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Les raisins récoltés doivent présenter un titre alcoométrique volumique naturel moyen minimum de 12,5 % vol. pour les cépages pinot gris G et gewurztraminer Rs et de 11 % vol. pour le riesling B[N 2] et les muscats. Les vins issus d'un assemblage présentent un titre alcoométrique volumique naturel moyen minimum de 12 % vol.

Ne peut être considéré à bonne maturité tout lot unitaire de vendanges présentant une richesse en sucre inférieure à 193 grammes par litre de moût pour les cépages pinot gris G et gewurztraminer Rs et à 168 grammes par litre de moût pour les autres cépages. Lorsqu'une autorisation d'enrichissement est accordée, l'augmentation du titre alcoométrique volumique naturel moyen minimum ne peut dépasser 1,5 % vol.

Sur l'avis du syndicat des producteurs du cru, le comité régional d'experts des vins d'Alsace peut proposer annuellement au comité national des vins et eaux-de-vie de l'Institut national des appellations d'origine, pour la dénomination et pour chaque cépage, un titre alcoométrique naturel moyen minimum supérieur et une richesse en sucre des lots unitaires supérieure à ceux susvisés, ainsi qu'un taux d'enrichissement maximum inférieur au taux susvisé.

Vendanges tardives et grains nobles

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Baies de riesling B touchées par la pourriture noble.

Les vendanges tardives désignent des vins faits à partir de raisins dont la récolte a été retardée pour les obtenir en surmaturité, d'où des vins riches en sucre et en alcool, aux goûts plus puissants, et souvent moelleux. Selon la législation, le moût doit avoir au moins 243 grammes de sucre par litre si c'est du gewurztraminer ou du pinot gris (soit 14,4 % vol. d'alcool potentiel), ou au moins 220 grammes de sucre par litre si c'est du riesling ou un muscat (soit 13,1 % vol. d'alcool potentiel) ; aucune chaptalisation n'est permise.

Quant à une sélection de grains nobles, il s'agit d'un vin fait à partir de raisins récoltés par tris sélectifs successifs des grains atteints de pourriture noble (le champignon Botrytis cinerea), ce qui donne des vins encore plus concentrés, plus sucrés, liquoreux. Selon la législation, le moût doit avoir au moins 279 grammes de sucre par litre si c'est du gewurztraminer ou du pinot gris (soit 16,6 % vol. d'alcool potentiel), ou au moins 256 grammes de sucre par litre si c'est du riesling ou un muscat (soit 15,2 % vol. d'alcool potentiel). Là-aussi aucune chaptalisation n'est permise[11],[12].

Vinification et élevage

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Les grands crus d'Alsace doivent être obligatoirement récoltés manuellement. Le jour de la vendange, à l'arrivée au chai, le raisin est foulé et pressé pour séparer le moût du marc de raisin. Pour ce travail, les pressoirs pneumatiques remplacent progressivement les pressoirs horizontaux à plateau. Puis le moût est mis en cuve pour le débourbage, qui est le soutirage du jus sans les bourbes, soit par filtrage, soit par décantation en attendant qu'elles se déposent au fond de la cuve.

La fermentation alcoolique débute sous l'action de levures indigènes ou de levures sélectionnées introduites lors du levurage : cette opération transforme le sucre du raisin en alcool. La maîtrise de la température de fermentation par un système de réfrigération permet d'exprimer le potentiel aromatique du produit. La fermentation achevée au bout d'un mois, le vin est soutiré afin d'éliminer les lies. La fermentation malolactique n'est généralement pas réalisée, bloquée par un sulfitage pour conserver son acidité au vin. Ce dernier peut être stocké en cuve pour le préparer à l'embouteillage ou élevé en barrique ou foudres de bois de chêne.

Le vin est soutiré, puis généralement de nouveau filtré avant le conditionnement en bouteilles[13].

Gastronomie

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Économie

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Type de bouteilles

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Les vins d'Alsace doivent être mis en bouteille uniquement dans des flûtes, c'est-à-dire des bouteilles du type « vin du Rhin » de 75 centilitres, règlementées par plusieurs décrets[14].

Mentions

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Dans tout le vignoble d'Alsace, les vins sont le plus souvent identifiés par leur(s) cépage(s) : riesling, gewurztraminer, etc. Cette mention domine l'étiquette même si elle est facultative.

Lors de la création de l'appellation alsace grand cru, le but était clairement de valoriser le terroir. La mention du cépage n'y est pas obligatoire et il est possible de mettre le nom de la dénomination en caractères plus grands que celui du cépage. Donc plusieurs mentions sur l'étiquette de la bouteille sont possibles, soit simplement le nom de l'appellation et de la dénomination géographique (alsace grand cru Kirchberg de Barr), soit avec en plus une mention de cépage (riesling, pinot gris, gewurztraminer ou muscat), à laquelle peut être rajoutée la mention sélection de grains nobles ou vendanges tardives, ainsi que le nom d'un lieu-dit au sein de la dénomination :

  • alsace grand cru Kirchberg de Barr ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr riesling ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr gewurztraminer ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr pinot gris ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr muscat ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr vendanges tardives riesling ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr vendanges tardives gewurztraminer ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr vendanges tardives pinot gris ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr vendanges tardives muscat ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr sélection de grains nobles riesling ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr sélection de grains nobles gewurztraminer ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr sélection de grains nobles pinot gris ;
  • alsace grand cru Kirchberg de Barr sélection de grains nobles muscat.

Liste de producteurs

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  • Domaine Bachert à Barr
  • Domaine Leipp-Leininger à Barr

Notes et références

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  1. a et b Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
  2. a b et c Le code international d'écriture des cépages mentionne de signaler la couleur du raisin : B = blanc, N = noir, Rs = rose, G = gris.
  3. Le rendement s'obtient en divisant la production par la surface cultivée, soit en 2009 : 43278 / 850 = 50,91 hectolitres par hectare. Source : Le Guide Hachette des vins 2011, éditions Hachette, Paris, 2010 (ISBN 978-2-01-237681-6).

Références

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  1. « Alsace grand cru Kirchberg de Barr », sur inao.gouv.fr, Ministère de l'agriculture. Institut national de l'origine et de la qualité, (consulté le ).
  2. a et b Décret du 23 novembre 1983 relatif à l'appellation d'origine contrôlée "alsace grand-cru", publié au JORF du 29 novembre 1983 page 3438, disponible sur www.legifrance.gouv.fr.
  3. a et b « Archives climatologiques mensuelles de Strasbourg-Entzheim de 1961 à 1990 », sur infoclimat.fr.
  4. a et b Collectif, Le guide Hachette des vins 2011 : des vins pour tous les goût, à tous les prix, Paris, Hachette livre, , 1402 p. (ISBN 978-2-01-237681-6), p. 116.
  5. a b c d e et f [PDF] Direction générale des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires, « Cahier des charges de l'appellation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur agriculture.gouv.fr, homologué par le « décret no 2011-1373 du 25 octobre 2011 modifiant l'ordonnance n° 45-2675 du 2 novembre 1945 relative à la définition des appellations d'origine contrôlées des vins d'Alsace et homologuant les cahiers des charges des appellations d'origine contrôlées « Alsace » ou « Vin d'Alsace » et « Crémant d'Alsace » et des cinquante et une appellations « Alsace grand cru » », JORF, no 0251,‎ , p. 18196.
  6. Décret du 1er mars 1984 relatif aux appellations d'origine contrôlées alsace et alsace grand cru, publié au JORF du 7 mars 1984, consultable sur le site www.legifrance.gouv.fr.
  7. Décret du 24 janvier 2001 relatif à l'appellation d'origine contrôlée alsace grand cru, consultable sur le site www.legifrance.gouv.fr.
  8. Notice de la carte du BRGM [PDF]no 307 (Sélestat), disponible sur le site infoterre.brgm.fr.
  9. « Carte géologique centrée sur le Kirchberg » sur Géoportail.
  10. [PDF] « Fiche de présentation du kirchberg », sur vinsalsace.com.
  11. « Décret du 1er mars 1984 modifié relatif aux appellations d'origine contrôlées alsace et alsace grand cru »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site www.inao.gouv.fr.
  12. [PDF] « Fiche sur les vendanges tardives et les sélections de grains nobles », sur vinsalsace.com.
  13. « La vinification en blanc »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur vinsalsace.com (consulté le ).
  14. Décret no 55.673 du 20 mai 1955 sur l'emploi de la bouteille type vin du Rhin, arrêté du 13 mai 1959 et décret no 63-295 du 19 mars 1963 relatif aux caractéristiques des bouteilles susceptibles de servir de récipients mesures dans le commerce de certains liquides, consultables sur le site www.legifrance.gouv.fr.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Vignoble d'Alsace, éditions Benoît France et CIVA, Paris, 2007, carte 88 x 55 cm au 1/120000 (ISBN 978-2-84354-158-2).
  • Vins d'Alsace : carte touristique, Institut géographique nationale, Paris, 2006, carte 96 x 66 cm au 1/125000 (ISBN 978-2-7585-0182-4).
  • Serge Dubs et Denis Rizenthaler, Les grands crus d'Alsace, éditions Serpenoise, Metz, 2002, 288 pages (ISBN 2-87692-567-2).
  • Claude Muller, Les Vins d'Alsace, histoire d'un vignoble, éditions Coprur, Strasbourg, 1999, 192 pages (ISBN 2-84208-008-4).
  • Le vignoble d'Alsace : la route des vins, Mitra productions, Illkirch, 1995, carte 90 x 34 cm au 1/180000 (BNF 40658287).
  • Guide des grands crus d'Alsace, Centre d'information des vins d'Alsace, Colmar, 1994, 50 pages (BNF 36691659).
  • Bernadette Burn et Gilles Schmidt, Alsace, clos et grands crus, collection Le Grand Bernard des vins de France, éditions Jacques Legrand, Paris, 1989, 190 pages (ISBN 2-905969-24-5).

Liens externes

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Articles connexes

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