Jean-Sébastien Vialatte

homme politique français

Jean-Sébastien Vialatte, né le à Saint-Étienne, est un homme politique français, membre du parti Les Républicains.

Jean-Sébastien Vialatte
Illustration.
Fonctions
Maire de Six-Fours-les-Plages
En fonction depuis le
(29 ans, 4 mois et 19 jours)
Élection 18 juin 1995
Prédécesseur Philippe Estève
Député français

(15 ans et 1 jour)
Élection 16 juin 2002
Réélection 10 juin 2007
17 juin 2012
Circonscription 7e du Var
Législature XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2002-2012)
R-UMP (2012-2013)
UMP (2013-2015)
LR (2015-2017)
Prédécesseur Arthur Paecht
Successeur Émilie Guerel
Conseiller général du Var

(4 ans, 3 mois et 23 jours)
Circonscription Canton de Six-Fours-les-Plages
Prédécesseur Jean-Claude Babize
Successeur Alain Caillet
Biographie
Date de naissance (73 ans)
Lieu de naissance Saint-Étienne (Loire, France)
Nationalité Française
Parti politique RPR (1976-2002)
UMP (2002-2015)
LR (depuis 2015)
Profession Pharmacien-biologiste

Biographie

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Jean-Sébastien Vialatte est pharmacien-biologiste de formation[1].

Carrière politique

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Élu député le pour la XIIe législature (2002-2007) dans la 7e circonscription du Var, il est réélu le pour la XIIIe législature (2007-2012) puis le pour la XIVe législature (2012-2017). Il fait partie du groupe UMP puis LR.

Il soutient la candidature de François Fillon pour la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012. Il démissionne de son poste de secrétaire départemental du parti, disant ne pas se reconnaître dans « cette guerre des ego » en cours[2].

Il soutient Bruno Le Maire pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[3]. En , il est nommé avec plusieurs personnalités délégué général au projet de la campagne[4].

Candidat à un nouveau mandat de député lors des élections législatives de 2017, il est éliminé dès le premier tour en ne terminant qu'en troisième position, devancé par les candidats de La République en marche ! et du Front national[5].

Poursuites pénales

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Dans la soirée du lundi , à la suite des violences survenues en marge des célébrations de la victoire du Paris Saint-Germain Football Club au championnat de France, le député écrit sur Twitter le texte suivant : « Les casseurs sont surement descendants d'esclaves ils ont des excuses. Taubira va leur donner une compensation. »[6]. Ces propos provoquent un tollé sur les réseaux sociaux et dans la plupart des médias. À la suite de la polémique, il décide de retirer son tweet et présente ses regrets : « J'ai fait l'amalgame avec la politique laxiste en matière de justice de Mme Taubira, qui conduit aux événements d'hier [lundi], parce qu'aujourd'hui les casseurs sont persuadés qu'ils n'auront pas de sanction. » « C'était rien de plus, je regrette vraiment que ça provoque un tel tollé parce que loin de moi l'idée d'avoir le moindre propos raciste »[7].

Le Collectifdom a déposé le au tribunal correctionnel de Paris une citation directe contre le député[8].

Poursuivi pour « provocation à la haine raciale », il est condamné le 19 septembre à 2 000 euros d'amende et 4 000 euros de dommages et intérêts par le tribunal correctionnel de Paris [1][9]

Mandats

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Notes et références

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Liens externes

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