Gilles Lurton

homme politique français

Gilles Lurton, né le à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), est un homme politique français.

Gilles Lurton
Illustration.
Gilles Lurton en décembre 2015.
Fonctions
Président de Saint-Malo Agglomération
En fonction depuis le
(4 ans, 4 mois et 6 jours)
Élection
Prédécesseur Claude Renoult
Maire de Saint-Malo
En fonction depuis le
(4 ans, 4 mois et 19 jours)
Élection 28 juin 2020
Prédécesseur Claude Renoult
Député français

(8 ans, 1 mois et 11 jours)
Élection 17 juin 2012
Réélection 18 juin 2017
Circonscription 7e d'Ille-et-Vilaine
Législature XIVe et XVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2012)
R-UMP (2012-2013)
UMP (2013-2015)
LR (2015-2020)
Prédécesseur René Couanau
Successeur Jean-Luc Bourgeaux
Conseiller général d'Ille-et-Vilaine

(1 an, 3 mois et 18 jours)
Élection 27 mars 2011
Circonscription Canton de Saint-Malo-Sud
Prédécesseur Jacky Le Menn
Biographie
Date de naissance (61 ans)
Lieu de naissance Saint-Malo (France)
Nationalité Française
Parti politique UDF-CDS (jusqu’en 1995)
UDF-FD (1995-1998)
UDF (1998-2002)
UMP (2002-2015)
LR[1] (2015-2024)
Diplômé de Faculté de sciences économiques de Rennes
Profession Attaché parlementaire
Site web gilleslurton.fr/

Maires de Saint-Malo

Membre des Républicains, député de la septième circonscription d'Ille-et-Vilaine de 2012 à 2020, il est maire de Saint-Malo et de sa communauté d'agglomération depuis 2020.

Biographie

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Engagé aux côtés de René Couanau à partir de 1982, Gilles Lurton devient son attaché parlementaire en jusqu'à son élection en [réf. souhaitée].

Il obtient son premier mandat électoral en étant élu au conseil municipal de Saint-Malo lors des élections municipales de 1995. À la suite des élections de 2008, Gilles Lurton est élu adjoint au maire de Saint-Malo chargé du logement et des quartiers.

Il devient conseiller général d'Ille-et-Vilaine en 2011 en faisant basculer le canton de Saint-Malo-Sud à droite en succédant à Jacky Le Menn qui ne se représentait pas.

En 2012, il est candidat à la succession de René Couanau pour la députation dans la septième circonscription d'Ille-et-Vilaine. Il arrive en seconde position du premier tour avec 21,17 % des voix (28,60 % à Saint-Malo) et est élu au second tour avec 51,04 % (52,49 % à Saint-Malo) devant la candidate socialiste Isabelle Thomas. Il siège à la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale. En raison de la règle de non-cumul des mandats, Gilles Lurton décide d'abandonner son mandat de conseiller général d'Ille-et-Vilaine. Sa suppléante Christine Lequertier lui succède en .

La liste menée par René Couanau n'arrivant qu'en 3e position au second tour des élections municipales de mars 2014, il perd alors son poste d'adjoint au maire et siège comme simple conseiller municipal.

Il soutient Bruno Le Maire pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[2]. En , il est nommé avec plusieurs personnalités membre du comité politique de la campagne[3].

Il est réélu député en [4]. Après un an de législature, il est le député du groupe Les Républicains le plus présent aux votes de l'Assemblée (60 %)[5].

Le 28 juin 2020, la liste qu'il conduit remporte l'élection municipale à Saint-Malo avec 70,7% des voix.[réf. nécessaire] Le 3 juillet suivant, Gilles Lurton est élu maire par le nouveau conseil municipal. Afin de respecter le principe du non-cumul des mandats, il annonce renoncer à son siège de député[réf. souhaitée][6].

Distinction

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Mandats

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Mandat parlementaire

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Mandats locaux

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Mandats intercommunaux

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Notes et références

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  1. Samuel Sauneuf, « St-Malo : après l'annonce de Ciotti, le député Bourgeaux prend ses distances avec les Républicains », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne).
  2. Ludovic Vigogne, « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.
  3. « Équipe politique autour de Bruno Le Maire », brunolemaire.fr, consulté le 19 septembre 2016.
  4. Ministère de l'Intérieur, « Élections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  5. Wedodata, « Les députés En marche traînent les pieds », sur Les Jours, (consulté le ).
  6. Composition de l'assemblée.
  7. « Décret du 3 juillet 2024 portant promotion et nomination dans l’ordre national de la Légion d’honneur »

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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