Georges Coutelen

Biographie
Naissance	1914
Décès	1987
Nationalité	française
Activité	Clarinettiste
Instrument	Clarinette

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Georges Coutelen (né en 1914, décédé en 1987) est un clarinettiste classique français ayant fait carrière en Suisse.

Il a fait carrière comme soliste en Suisse^[1] et a notamment travaillé comme première clarinette avec l'orchestre symphonique de Winterthour (Musikkollegium)^[2]^,^[3].

Il se produit sous la direction de Paul Sacher à Winterthur (Zusammengestellt aus FS MKW II, S. 303, 356f.; Programmzetteln, CH-Wmka.) :

20 décembre 1944 : Solistes: Rudolf am Bach (de) (piano), Egon Parolari (de) (hautbois), Georges Coutelen (clarinette), André Eby (basson), Hans Will (cor)
- Willy Burkhard : Sinfonie in einem Satz, op. 73
- Bohuslav Martinů : Doppelkonzert für zwei Streichorchester, Klavier und Pauken, H 271
- Wolfgang Amadeus Mozart : Konzertante Sinfonie für Oboe, Klarinette, Horn, Fagott und Orchester, Es-Dur, KV 297b
07 novembre 1951 : Soliste: Georges Coutelen (clarinette)
- Arthur Honegger : Suite archaïque pour orchestre, H 203
- Sandor Veress : Vier transsylvanische Tänze
- Wolfgang Amadeus Mozart : Konzert für Klarinette und Orchester, A-Dur, KV 622
- Joseph Haydn : Sinfonie Nr. 67, F-Dur, Hob I:67

En 1944, ses solos de clarinette dans une ouverture d'Offenbach sont remarqués par la presse locale lors du festival de musique de Gstaad^[4].

À Winterthur, il a enseigné la clarinette à de nombreux élèves comme Harald Strebel (de).

Enregistrements

Max Reger : Quintette pour clarinette et cordes en la majeur, Opus 146, avec Georges Coutelen, The Winterthur String Quartet, (USA / LP / Mono / Concert Hall CHS1244 / Rec 1949 ou 1953)
Jacques Ibert : Histoires... pour piano / 5 pièces en trio pour hautbois, clarinette et basson / 3 pièces brèves / Fidelio pour quintette à vent, par André Lardrot (hautbois), Georges Coutelen (clarinette), Henri Bouchet (basson), André Jaunet (flûte), Roger Chevalier (cor)
Charles Gounod, Petite Symphonie pour une flûte, deux hautbois, deux clarinettes, deux cors et deux bassons, membres de l'Orchestre Symphonique de Winterthur, dirigé par Victor Desarzens (Concert Hall Society, release F-2, disque 33 tours, 1951-1952)^[5]

Notes et références

↑ (de) Ulrike Thiele, Mäzen und Mentor: Werner Reinhart als Wegbereiter der musikalischen Moderne, Bärenreiter-Verlag, 6 novembre 2019, 332 p. (lire en ligne), p. 20,302,326.
↑ Frank Martin et Peter Sulzer, Lettres à Victor Desarzens: témoignages de collaboration et d'amitié entre le compositeur et son interprète, L'AGE D'HOMME, 1988, 131 p., p. 70.
↑ Heinrich Mätzener, « Interview avec Philippe Cuper », Lucerne, 28 août 2017 (consulté le 1^er décembre 2021).
↑ « Les semaines musicales de Gstaad », Feuille d'avis de Neufchâtel,‎ 14 août 1944, p. 4 (lire en ligne [PDF]).
↑ René Gagnaux, « C. Gounod, Petite Symphonie, SOW, V. Desarzens | Disque Concert Hall Society », sur notrehistoire.ch (consulté le 1^er décembre 2021).

Liens externes

Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- MusicBrainz
Notices d'autorité :
- VIAF
- IdRef

[1] (de) Ulrike Thiele, Mäzen und Mentor: Werner Reinhart als Wegbereiter der musikalischen Moderne, Bärenreiter-Verlag, 6 novembre 2019, 332 p. (lire en ligne), p. 20,302,326.

[2] Frank Martin et Peter Sulzer, Lettres à Victor Desarzens: témoignages de collaboration et d'amitié entre le compositeur et son interprète, L'AGE D'HOMME, 1988, 131 p., p. 70.

[3] Heinrich Mätzener, « Interview avec Philippe Cuper », Lucerne, 28 août 2017 (consulté le 1^er décembre 2021).

[4] « Les semaines musicales de Gstaad », Feuille d'avis de Neufchâtel,‎ 14 août 1944, p. 4 (lire en ligne [PDF]).

[5] René Gagnaux, « C. Gounod, Petite Symphonie, SOW, V. Desarzens | Disque Concert Hall Society », sur notrehistoire.ch (consulté le 1^er décembre 2021).

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