Gare de Dijon-Ville

gare ferroviaire française

La gare de Dijon-Ville est une gare ferroviaire française de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles et d'une étoile ferroviaire comprenant plusieurs lignes. Dite aussi Gare Foch, elle est la gare principale de la ville de Dijon, dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté. La gare secondaire de Dijon-Porte-Neuve est située sur la ligne de Dijon-Ville à Is-sur-Tille.

Dijon-Ville
Image illustrative de l’article Gare de Dijon-Ville
Le bâtiment voyageurs
et l'une des entrées de la gare.
Localisation
Pays France
Commune Dijon
Adresse 31, cour de la Gare
21000 Dijon
Coordonnées géographiques 47° 19′ 24″ nord, 5° 01′ 38″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87713040
Site Internet La gare de Dijon-Ville, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions
Services TGV Lyria, TGV inOui
Intercités
TER Bourgogne-Franche-Comté
Caractéristiques
Ligne(s) Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles
Dijon-Ville à Is-sur-Tille
Dijon-Ville à Saint-Amour
Dijon-Ville à Vallorbe (frontière)
Dijon-Ville à Épinac (fermée)
Voies 11
Quais 5
Transit annuel 7 653 382 voyageurs (2023)
Altitude 246 m
Historique
Mise en service
Architecte François-Alexis Cendrier
Alfred Audoul
Paul Peirani
Correspondances
Bus et tramways voir Intermodalité

Carte

Elle est mise en service en 1849 par l'Administration des chemins de fer de l'État, avant de devenir en 1852 une gare du réseau de la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée (PLM).

C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par le TGV depuis 1981. Elle est également la principale gare du réseau régional TER Bourgogne-Franche-Comté.

Situation ferroviaire

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La gare de Dijon-Ville, vue côté voies et la cathédrale Saint-Bénigne.

Établie à 246 m d'altitude, la gare de Dijon-Ville est située au point kilométrique (PK) 314,208 de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, entre les gares ouvertes de Velars et de Gevrey-Chambertin. C'est une gare de bifurcation, centre d'une étoile ferroviaire avec les lignes de Dijon-Ville à Is-sur-Tille, de Dijon-Ville à Vallorbe (frontière), de Dijon-Ville à Saint-Amour et de Dijon-Ville à Épinac, ligne dont la fermeture est intervenue le 6 février 1939.

Histoire

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Construction de la première gare

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Les origines de la gare de Dijon-Ville remontent à l’adoption de la loi du 11 juin 1842. Celle-ci prévoit de faire passer la ligne Paris-Lyon-Méditerranée notamment par Dijon, avec l’établissement d’une voie de Chalon-sur-Saône à Dijon[1]. La ville pense à un tunnel sous la place Darcy pour l’emplacement de la gare, avant de choisir le site actuel. La gare doit alors être aménagée en tranchée entre le quartier des Perrières et de l’Arquebuse[2].

Le , la ligne entre Montereau et Tonnerre est mise en service, suivie par celle entre Dijon et Chalon-sur-Saône le , par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Lyon. La section de Paris à Tonnerre est inaugurée le par Louis-Napoléon Bonaparte et le , la ligne entre Tonnerre et Dijon est mise en service par le PLM et inaugurée à son tour[3],[2]. Paul Guillemot fonde cette année-là le buffet de la gare, considéré comme le premier de France[4].

Dijon ne possède, lors des mises en service des premières lignes de chemin de fer passant par la ville, qu’un débarcadère provisoire composé de baraques de bois construites à partir de décembre 1847. Elles seront par la suite démolies pour laisser place à l’édification de la nouvelle gare à partir de juillet 1853, pour un devis établi à 1 500 000 francs de l’époque, qui sera achevée à la fin de 1855[3]. L'architecte de cette nouvelle gare est François-Alexis Cendrier ; la marquise en fer et en verre ne sera mise en place qu'en 1904[5].

En 1852, la ligne de Dijon à Besançon est concédée à la Compagnie du chemin de fer de Dijon à Besançon. En 1854, la Paris-Lyon rachète l'ensemble des concessions. En 1872, puis en 1882, les lignes Dijon – Is-sur-Tille et Dijon – Saint-Amour sont ouvertes.

Dynamitage et construction de la gare contemporaine

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Le , la gare est dynamitée par l'armée allemande, du fait de son caractère stratégique. Une gare provisoire, installée en 1945 en récupérant les décombres, sera remplacée par une gare permanente dont la construction, dirigée par les architectes Alfred Audoul et Paul Peirani, s'est déroulée entre 1947 et 1962. Deux structures surmontées d’une toiture-terrasse à plusieurs niveaux composent l’édifice élaboré en forme de T, qui comprend un bâtiment central en rotonde, faisant partie du bâtiment des voyageurs et permettant de desservir le reste de la gare en étoile, et deux ailes rectilignes de chaque côté de l’esplanade. Le hall de la gare est fait de pierre polie ambrée de Buxy et de pierre Valore fleurie pour le sol[6].

Le bâtiment voyageurs et le parvis de la gare sont rénovés entre 2007 et 2009 pour améliorer l'accessibilité et l'intermodalité de la gare : surélévation du parking en ouvrage, vélostation, accès facilité aux bus (et ultérieurement au tramway), modernisation des espaces de vente[7]. Puis, en 2020 et 2021, c'est au tour des quais d'être élargis et mis en accessibilité via la création de rampes et d'ascenseurs, impliquant la fermeture et la démolition-reconstruction complète de la moitié d'entre eux à l'été 2020, et de l'autre moitié à l'été 2021[8],[9].

Dates-clés des autres événements à partir de l'année 1950

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Plaque commémorative des cheminots résistants, apposée sur la façade de la gare.
  • Le , création du train rapide Le Mistral reliant Paris à Nice via Dijon, Lyon, Avignon et Marseille.
  • Le , mise en service de l'électrification en courant 1 500 V continu entre Chalon-sur-Saône et Lyon-Perrache. Les locomotives électriques 2D2 9100 remplacent les locomotives à vapeur 241 P entre Paris, Dijon et Lyon.
  • Le , création du train rapide de 1re classe L'Aquilon entre Paris et Lyon-Perrache.
  • Le , création du TEE Le Cisalpin reliant Paris à Milan via Dijon, Lausanne et Brigue.
  • Le , Le Mistral devient un Trans Europ Express (TEE) reliant Paris à Nice via Dijon, Lyon-Perrache, Avignon et Marseille.
  • Le , création du TEE Le Lyonnais reliant Paris à Lyon-Perrache.
  • Le , création du TEE Le Rhodanien (reprenant le nom porté précédemment par le train Genève - Marseille via Grenoble) reliant Paris à Marseille via Dijon et Lyon-Perrache.
  • De 1977 à 1984, la gare est desservie par le train rapide Jean-Jacques Rousseau assurant la relation entre Paris-Gare-de-Lyon et Genève-Cornavin[10].
  • Le , dernier jour de circulation des TEE Le Mistral et Le Lyonnais, remplacés par des TGV, à la suite de la mise en service le lendemain de la LGV Sud-Est[11].
  • Le , dernier jour de circulation du TEE Le Cisalpin reliant Paris à Milan via Dijon, Lausanne et Brigue.
  • Le , mise en service du premier TGV commercial reliant Paris à Lausanne via Dijon.
  • Le , mise en service de l'horaire cadencé entre Dijon, Lyon et Grenoble avec création de trains directs Dijon - Grenoble par diamétralisation de trains Dijon - Lyon et Lyon - Grenoble (diamétralisation qui sera abandonnée par la suite).
  • Le , mise en service de l'horaire cadencé entre Dijon, Laroche-Migennes et Paris.
  • En , c'est entre Besançon-Viotte et Le Valdahon qu'eut lieu la dernière circulation des X 2827 et X 2900 du dépôt de Dijon, marquant ainsi le dernier service commercial en France de cette série des autorails X 2800.
  • Le , un aller-retour en TGV Metz - Marseille, pour la période estivale, remplace l'aller-retour en Intercités Metz - Portbou qui circulait également en été.

Fréquentation

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De 2015 à 2022, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élève aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[12].

Année 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023
Voyageurs 6 159 680 5 901 000 6 207 518 5 798 071 6 350 035 4 149 069 4 861 793 7 081 622 7 653 382
Voyageurs et
non voyageurs
8 323 892 7 974 325 8 388 538 7 835 231 8 581 128 5 606 850 6 569 991 9 569 760 10 342 408

Infrastructure

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L'ancien poste 2 à leviers d'itinéraires, quelques jours avant sa fin de fonctionnement.

La gare de Dijon-Ville dispose de dix voies banalisées, de la voie A – qui longe le B.V. – à la voie J. Toutes ces voies sont équipées de quais voyageurs, à l'exception de la voie B réservée à la circulation des trains de fret, principalement de sens impair. Certaines de ces voies autorisent, pour les deux sens de circulation, la traversée de la gare à la vitesse maximale de 60 km/h.

L'ensemble des installations de sécurité, après avoir été commandées par deux postes électriques néoclassiques à leviers d'itinéraires mis en service au moment de l'électrification de la ligne Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, ont cédé la place depuis fin août 2010 à un poste d'aiguillage informatique (PAI) commandé depuis la commande centralisée du réseau Bourgogne-Franche-Comté (CCR).

 
Schéma des voies de la gare.

Service des voyageurs

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Accueil

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Desserte

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Dijon-Ville est desservie par :

C'est ainsi la seule gare à être desservie depuis trois établissements parisiens (gares de Lyon et de Bercy, mais aussi celle de l'Est).

Intercités

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Nancy - Toul - Neufchâteau - Chalindrey - Dijon - Chalon-sur-Saône - Mâcon - Lyon-Part-Dieu - Lyon-Perrache.

La Gentiane Bleue
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Le TER spécial « La Gentiane Bleue », reliant Dijon à la gare des Longevilles - Rochejean, est un train touristique pour les skieurs désirant rejoindre la station de Métabief. Cette desserte fonctionne uniquement à l'occasion des dimanches ou des week-ends durant la saison hivernale, lorsque l'enneigement du domaine skiable est suffisant pour la pratique des sports d'hiver[13].

Intermodalité

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La gare est desservie par les lignes T1 et T2 du tramway de Dijon ainsi que par les lignes de bus L3, L5, 12, 13, 18, Pleine Lune et Express du réseau Divia. Elle est aussi desservie par les lignes 106, 109, 111, 112, 113, 117, 118, 119, 124 et 129 du réseau interurbain d'autocars Mobigo.

Une station DiviaVélodi située sur le parvis de la gare à côté de la station de tramway permet d'emprunter des vélos en libre-service.

Un garage à vélos fermé et gardé appelé Vélostation est accessible aux abonnés TER Bourgogne et Franche-Comté, Grandes lignes et Divia moyennant un abonnement mensuel ou annuel[14].

Galerie de photographies

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Notes et références

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  1. « La Revue de Bourgogne », sur Gallica, (consulté le ).
  2. a et b Jean François Bazin, Histoire de Dijon, Éditions Jean-Paul Gisserot, , 132 p. (ISBN 978-2-87747-595-2, lire en ligne).
  3. a et b Université de Bourgogne, « Annales de Bourgogne : revue historique trimestrielle publiée sous le patronage de l'Université de Dijon et de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon », sur Gallica, (consulté le ).
  4. Le Sommelier : revue mensuelle officielle de l'Union des sommeliers de Paris, numéro du 15 janvier 1924, page 19 sur Gallica.
  5. « La gare de Dijon Ville », sur bienpublic.com, (consulté le ) : « …à Dijon, une gare est construite en 1853 par l’architecte Alexis Cendrier, avec, à l’arrière, une marquise de fer et verre établie en 1904 pour… ».
  6. Charlotte Becquart, « Gare SNCF de Dijon : une construction complexe », sur bienpublic.com, (consulté le ).
  7. « Inauguration de la gare de Dijon Ville », sur constructioncayola.com (consulté le ).
  8. Matti Faye, « Dijon : des travaux importants à la gare pour la rendre accessible à tous », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
  9. Gaël Simon et Guillaume Desmalles, « SNCF : la gare de Dijon fait peau neuve et sera bientôt accessible à tous », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
  10. « Gare SNCF de Dole-Ville : Historique », sur Christophe Lachenal, (consulté le ).
  11. Bernard Collardey, « 1978-2018, les 40 ans de service des rames TGV PSE 01 et 02 », sur railpassion.fr, (consulté le ) : « Au 27 septembre 1981, le tronçon Saint-Florentin-Vergigny – Sathonay-Rillieux de la LGV PSE (LN1), associé aux raccordements Bourgogne et Savoie, est mis en service avec limite à 260 km/h ».
  12. « Fréquentation en gares : Dijon », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  13. « La Gentiane bleue : aller skier à Métabief en TER », sur ter.sncf.com/bourgogne-franche-comte (consulté le ).
  14. « Vélostation : un service en gare de Dijon », sur Conseil régional de Bourgogne, (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, éditions N.M., Paris, 1969.
  • Jean-Chaintreau, Jean Cuynet et Georges Mathieu, Les Chemins de fer du PLM, éditions La Vie du Rail et La Régordanne, 1993.
  • André Jacquot et Marc Gayda, Patricia et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, éditions de l'Ormet, Valignat, 1996.
  • Maurice Mertens et de Jean-Pierre Malaspina, TEE : La légende des Trans Europ Express, éditions LR-Presse.
  • « Les archives du PLM : l'histoire de la Compagnie des origines à 1899 », par Jean-Marc Dupuy, tome 1, revue Le Train, numéro hors série, 2008.

Articles connexes

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Liens externes

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Origine Arrêt précédent Train   Arrêt suivant Destination
Paris-Gare-de-Lyon Paris-Gare-de-Lyon TGV Lyria Mulhouse-Ville Zurich HB
Paris-Gare-de-Lyon Paris-Gare-de-Lyon TGV Lyria Dole-Ville Lausanne
Paris-Gare-de-Lyon Paris-Gare-de-Lyon
ou Montbard
TGV inOui Besançon Franche-Comté TGV Mulhouse-Ville
Paris-Gare-de-Lyon Montbard TGV inOui Terminus
ou Besançon Franche-Comté TGV
Terminus
ou Besançon-Viotte
Paris-Gare-de-Lyon Paris-Gare-de-Lyon
ou Montbard
TGV inOui Dole-Ville Besançon-Viotte
Luxembourg Besançon Franche-Comté TGV TGV inOui Chalon-sur-Saône
ou Mâcon-Ville
Marseille-Saint-Charles
Luxembourg Besançon Franche-Comté TGV TGV inOui Mâcon-Ville
ou Lyon-Part-Dieu
Montpellier-Saint-Roch
Metz-Ville
ou Strasbourg-Ville
Besançon Franche-Comté TGV TGV inOui Chalon-sur-Saône
ou Mâcon-Ville
Montpellier-Saint-Roch
Nancy-Ville
ou Strasbourg-Ville
Besançon Franche-Comté TGV TGV inOui Beaune Nice-Ville
Strasbourg-Ville Besançon Franche-Comté TGV TGV inOui Lyon-Part-Dieu Lyon-Perrache
Nancy-Ville Culmont - Chalindrey Intercités Chalon-sur-Saône Lyon-Perrache
Paris-Bercy Les Laumes - Alésia TER Bourgogne-Franche-Comté Terminus
ou Beaune
Terminus
ou Mâcon-Ville
ou Lyon-Part-Dieu
ou Lyon-Perrache
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Beaune Nevers
ou Lyon-Part-Dieu
ou Lyon-Perrache
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Gevrey-Chambertin Chalon-sur-Saône
Auxerre-Saint-Gervais Les Laumes - Alésia
ou Velars
TER Bourgogne-Franche-Comté Terminus Terminus
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Ouges Seurre
ou Bourg-en-Bresse
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Montchanin Moulins-sur-Allier
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Genlis Besançon-Viotte
Terminus Terminus TER Grand Est Dijon-Porte-Neuve
ou Is-sur-Tille
Paris-Est
Terminus Terminus TER Grand Est Is-sur-Tille Culmont - Chalindrey
ou Reims
Terminus Terminus TER Grand Est Dijon-Porte-Neuve Troyes
Terminus Terminus TER Grand Est Is-sur-Tille
ou Culmont - Chalindrey
Nancy-Ville
Les Laumes - Alésia
ou Terminus
Velars
ou Terminus
TER Bourgogne-Franche-Comté Terminus
ou Dijon-Porte-Neuve
Terminus
ou Is-sur-Tille
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté
(saisonnier : l'hiver)
Genlis Les Longevilles - Rochejean