Gare de Bordeaux-Saint-Jean

gare ferroviaire française
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La gare de Bordeaux-Saint-Jean, dite gare Saint-Jean à Bordeaux, est la plus grande gare ferroviaire du département de la Gironde et de la région Nouvelle-Aquitaine, à h 4 min de Paris par l'utilisation de la LGV Sud Europe Atlantique.

Bordeaux-Saint-Jean
Image illustrative de l’article Gare de Bordeaux-Saint-Jean
Bâtiment voyageurs historique et entrée du hall 1.
Localisation
Pays France
Commune Bordeaux
Quartier Saint-Jean Belcier
Adresse Rue Charles-Domercq
33800 Bordeaux
Coordonnées géographiques 44° 49′ 33″ nord, 0° 33′ 21″ ouest
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87581009
Site Internet La gare de Bordeaux-Saint-Jean, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions
Services TGV inOui
Ouigo
Intercités
TER Nouvelle-Aquitaine
Fret
Caractéristiques
Ligne(s)
Voies 15[1] (+ voies de service)
Quais 8[1]
Transit annuel 22 612 374 voyageurs (2023)
Altitude 7 m
Historique
Mise en service 1855
Architecte Louis Choron
Marius Toudoire
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1984)
Correspondances
Tramway (T) (C) (D)
Bus express (BUS) (G)
Bus (Bus) 1 9 20 31 35
(Bus) TBNight ☾ n5
Cars TransGironde lignes 601, 701, 702 et 710

Carte

Les trains desservant la gare sont en provenance ou à destination de villes comme Arcachon, Toulouse, Montpellier, Nîmes, Marseille, Strasbourg, Lille et Nantes. Les liaisons avec Angoulême, Agen, Bergerac, La Rochelle, Langon, Libourne, Limoges, Pau, Périgueux et Poitiers sont fréquentes.

Situation ferroviaire

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Vue d'ensemble des voies, en arrivant du côté de la Garonne.

La gare Saint-Jean est située au point kilométrique (PK) 583,844 de la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean[2]. Elle est également l'origine de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville, et de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Irun ainsi que l'aboutissement de l'ancienne ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean. Son altitude est de 7 m[3].

Histoire

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Dates clés

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La gare de Bordeaux-Saint-Jean, située au bout du cours de la Marne, a été construite en 1855, sous le nom de gare du Midi[4], par la Compagnie du Midi[5].

Cette compagnie entreprenait depuis 1852 la construction d'une ligne de chemin de fer entre Bordeaux et Sète. Le , elle adresse aux autorités un projet d'implantation d'une gare sur les quais de Bourgogne, de la Salinière et de la Grave, au détriment des activités navales qui s'y trouvaient. Elle doit faire face à une levée de boucliers des riverains[6]. Est seulement autorisée la construction d'une gare provisoire à l’extrême sud de Bordeaux, sur les terres basses de Paludate. La gare ne comptait que cinq voies et les bâtiments étaient en bois[6].

 
Plaque sur le quai 1 en souvenir du raccordement des gares du PO et du Midi, en 1860.
 
Plan de la gare provisoire ou gare en bois, ainsi que de ses proches environs, .

Le , la Compagnie du Midi met en service une liaison entre Bordeaux et la gare de Langon[7], premier tronçon de la ligne de Bordeaux à Sète. La même année, la ligne vers La Teste est redirigée vers cette gare au détriment de la gare de Bordeaux-Ségur. Progressivement, grâce à la mise en service le de la passerelle Eiffel, la petite gare provisoire du Midi allait devenir la principale gare de Bordeaux aux dépens de la gare de Bordeaux-Bastide (gare d'Orléans) sur la rive droite de la Garonne. Le développement important des chemins de fer à la fin du XIXe siècle rendit nécessaire son agrandissement. Les travaux débutèrent en 1889. Le hall d'arrivée fut bâti en premier en 1893 ; puis ce fut le hall de départ en 1897. La totalité du complexe fut terminée en 1898. Cette nouvelle gare est l'œuvre de l'ingénieur de la Compagnie du Midi, Louis Choron[8], adjoint de l'architecte Marius Toudoire.

La fusion en 1934 entre la Compagnie du Midi et la Compagnie du Paris-Orléans sonna le glas définitif de la gare de Bordeaux-Bastide. Il existait aussi une autre gare située sur la rive droite, au sud de celle de la Bastide : la gare de l'État, terminus qui devint la gare marchandise de Bordeaux-Deschamps. La ville était en effet desservie par trois compagnies ferroviaires. Un grand remaniement des lignes sur la rive droite eut lieu en 1954.

Le hall des départs est une grande salle du XIXe siècle, construite sur deux niveaux et éclairée par une vaste verrière. Dans ce hall, une carte peinte, de grandes dimensions, amputée à l'occasion des travaux de rénovation de la gare dans les années 1980 — pour créer un passage entre deux espaces —, représente les lignes du réseau de la compagnie du Midi, de Bordeaux à Sète[9]. La partie amputée correspond à l'essentiel du massif des Pyrénées et des lignes de montagne de l'ancien réseau du Midi (en particulier dans l'Ariège et l'Aude).

Le , le maire de Bordeaux Jacques Chaban-Delmas, le président de la SNCF Philippe Essig et le directeur régional Marc Cauty inaugurent les nouvelles installations modernisées du bâtiment, devant permettre l'accueil du futur TGV Atlantique[10].

La halle métallique surplombant les voies est la plus grande halle ferroviaire d'Europe[11]. Elle est l'œuvre de l'entreprise de construction métallique Daydé & Pillé[12] comme en témoignent les plaques des constructeurs présentes sur les poteaux en acier. Gustave Eiffel a conduit, en tant que maître d'ouvrage (et non concepteur), les travaux de construction, de 1858 à 1860, du pont ferroviaire appelé passerelle Eiffel utilisé jusqu'en 2008 pour traverser la Garonne et qui permettait à la gare Saint-Jean d'être reliée à tout le réseau ferroviaire au nord de la Garonne. Un nouvel ouvrage à quatre voies le remplace depuis cette date, permettant d'augmenter sensiblement la cadence des passages de trains.

La gare, ainsi que sa halle métallique couvrant les voies, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [13].

Un chantier de rénovation de la gare est entrepris à partir du printemps 2014 et s'achève à l'arrivée de la ligne LGV prévue en [14]. Dans un premier temps, la pose de 3 000 tonnes d'échafaudages[15] a été nécessaire au chantier, impliquant le renforcement par des étais des passages souterrains au-dessus desquels ils sont implantés[14]. Près de 150 personnes œuvrant nuit et jour sont nécessaires aux diverses tâches : désamiantage, décapage des couches successives de peinture au plomb sur les structures métalliques, remplacement de toutes les plaques de verre de la halle métallique (longue de 300 mètres et d'une superficie de 17 400 m2), ainsi que celui de 200 tonnes de panneaux en pin, apposition de 25 000 litres d'une nouvelle peinture dans les tons gris bleuté, pose d'une nouvelle couverture en zinc[14]. Des travaux annexes sont également au programme : rénovation des marquises du XIXe siècle devant la gare ainsi que de certains escalators et passages souterrains[14].

Autres dates

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Monument aux morts de la Première Guerre mondiale (à droite) et plaque en hommage aux victimes du « Train fantôme » durant la Seconde Guerre mondiale (à gauche). L'ensemble est situé dans le hall 1. Au-dessus du monument de droite se trouve une photo du résistant Charles Domercq, tué par les Nazis en 1944.
 
Hall Belcier, en .

Les autres dates intéressant la gare sont listées ci-après.

Fréquentation

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De 2015 à 2022, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élève aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[18].

Année 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023
Voyageurs 12 062 338 12 198 403 14 979 299 16 080 989 17 675 655 11 184 093 6 454 662 21 353 889 22 612 374
Voyageurs et
non voyageurs
14 891 776 15 059 756 18 492 961 19 853 073 21 821 796 13 807 523 20 314 398 26 362 827 27 916 511

Service des voyageurs

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Hall 1.

Accueil

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Le hall d'arrivée est bâti en premier, en 1893, et le hall de départ en 1897. Ils sont rénovés en 1990, lors de la construction de la LGV Atlantique, puis de nouveau en 2016-2017, à l'occasion de la construction de la LGV Sud Europe Atlantique qui met Bordeaux à h 4 de Paris.

Côté Belcier, un nouveau hall, le no 3, ouvre le rue des Terres-de-Borde. C’est l’accès le plus commode pour les automobilistes, car le bâtiment est adossé à un parking de 850 places.

Desserte

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TGV à quai.

Elle est desservie par des TGV (services TGV inOui et Ouigo), en provenance ou à destination de Paris-Montparnasse, Toulouse-Matabiau, Hendaye, Tarbes, Arcachon, Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV, Lille-Flandres ou Lille-Europe, Tourcoing, Strasbourg-Ville, Fribourg-en-Brisgau (le week-end) et Francfort-sur-le-Main (en été), ainsi que des trains Intercités de ou vers Nantes, Nîmes et Marseille-Saint-Charles.

La desserte est également assurée par de nombreux TER Nouvelle-Aquitaine en provenance ou à destination de : Arcachon, Mont-de-Marsan, Langon, Marmande, Agen, Macau, Lesparre, Le Verdon, La Pointe-de-Grave (en été), Hendaye, Pau, Lourdes, Tarbes, Libourne, Coutras, Saint-Mariens - Saint-Yzan, Saintes, La Rochelle-Ville, La Rochelle-Porte-Dauphine, Angoulême, Bergerac, Sarlat, Périgueux, Brive-la-Gaillarde, Tulle et Limoges-Bénédictins.

Intermodalité

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La gare est desservie par les lignes C et D du tramway de Bordeaux, ainsi que les lignes « Bus express » G, « Lianes » 1, 9, 31 et 35, « Principale » 20, « TBNight » et « Flex'Night » N5 du réseau de bus de Bordeaux Métropole.

Les cars régionaux (« TransGironde ») des lignes 601, 701, 702 et 710 desservent également la gare.

À côté de la gare, un parc de stationnement de 250 places pour les vélos est disponible, ainsi que trois stations de location de vélos en libre service (rue Saint-Vincent-de-Paul, gare Saint-Jean et Belcier).

Service des marchandises

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Cette gare est ouverte au service du fret[19].

Projets et travaux

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Aménagement de la gare

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Les quais, sous la halle métallique.

Au nord de la gare, la passerelle Eiffel était le seul pont ferroviaire permettant de traverser la Garonne à Bordeaux et ne comportait que deux voies limitées à un passage à 30 km/h. D'autre part, la portion commune aux 2 lignes vers Paris-Austerlitz et Chartres jusqu'à la bifurcation de Saintes située à Cenon est encore à deux voies et comportait des passages à niveau. Tout ceci est un goulet d'étranglement responsable de la saturation du trafic à destination ou en provenance du Nord de la France : c'est le bouchon ferroviaire de Bordeaux. Un nouveau pont à quatre voies a été construit par SNCF Réseau (anciennement RFF). La mise en service complète des quatre voies, sur celui-ci, a eu lieu en 2010. Cependant, le hiatus de 2 km jusqu'à Cenon subsistera jusqu'en 2017.

La destruction de la passerelle, envisagée par son propriétaire RFF, risque de remettre en cause le classement de Bordeaux au patrimoine mondial de l'UNESCO. RFF se déclare cependant prête à la céder à la collectivité. Le ministère de la Culture a pris un arrêté de mise en instance de classement en pour une durée d'un an. Pendant cette année, des études ont été réalisées permettant d'évaluer combien coûterait le maintien de cet ouvrage, et s'il doit être classé monument historique.

L'ouvrage fait à présent partie d'un ensemble de trois sites historiques (avec la base sous-marine créée par les Allemands pendant l'Occupation) dont la réhabilitation est portée par les collectivités dans le cadre de la candidature pour « Bordeaux 2013, Capitale européenne de la culture »[20].

 
Carte murale du réseau de l'ancienne Compagnie du Midi.

Les travaux visant à faire sauter le bouchon ferroviaire comprennent également le remplacement de la gare de Bordeaux-Benauge (sur la rive droite de la Garonne) par le pôle multimodal à Cenon permettant la connexion entre le réseau TER et la Ligne A du tramway de Bordeaux (réseau TBM). Ce pôle multimodal a été mis en service en .

La carte murale (présente depuis 1929) fait l'objet d'une restauration entre les mois d'août et de . Ce travail a été rendu nécessaire car d’importantes quantités de poussières et de taches organiques recouvraient la carte. La couche de peinture présentait également de nombreuses zones écaillées ou cloquées. Sur d’autres parties de la carte, elles avaient même disparu et laissaient place à des lacunes de couleurs. Une équipe de quatre personnes consacrera plus de 2 000 heures aux réparations. SNCF Gares & Connexions, avec le soutien du ministère de la Culture, participera à la réunion des fonds nécessaires. Le budget consacré à la restauration est estimé à 120 000 euros[21]. La SNCF annonce le projet complet en . La carte d'une surface de 75 m2 est commandée en 1928 par la Compagnie du Midi au peintre A. Malbec. Cette carte avait pour objet de représenter l’étendue du domaine ferroviaire régional, électrisé à partir de 1910, et de magnifier sa principale gare[22].

Des nouvelles lignes à grande vitesse

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La construction de la LGV Sud Europe Atlantique permet de réduire, en 2017, le temps de trajet à h entre Bordeaux et Paris. Le prolongement de cette ligne vers Madrid et Lisbonne va permettre d'assurer la connexion des pays du Nord et du Sud de l'Europe avec les lignes vers Londres, Bruxelles et Amsterdam. De plus, la LGV Bordeaux - Toulouse mettra cette dernière ville à h de Bordeaux, et devrait aussi ouvrir de nouvelles liaisons transversales de Bordeaux vers le littoral de la Méditerranée et le sillon rhodanien[23].

Ces connexions de lignes à grandes vitesses doivent permettre, selon la SNCF (), de voir le trafic passer de 10 à plus de 20 millions de voyageurs par an[24].

 
Train TER Régiolis passant sous un échafaudage métallique, en .

Bordeaux-Euratlantique

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Une opération d'intérêt national dénommée Bordeaux-Euratlantique a été créée par un décret du , pour l'aménagement global des espaces situés autour de la gare Saint-Jean.

Bordeaux-Euratlantique se développera sur une surface de 738 ha répartis sur Bordeaux avec 386 ha, Bègles avec 217 ha et Floirac avec 135 ha. L'objectif, à l'horizon 2030, est de créer un centre d'affaires au rayonnement international dans ces nouveaux quartiers. Il est prévu la construction de 2,5 millions de mètres carrés de surface, répartis entre 15 000 logements et 500 000 m2 de bureaux. Des commerces et des équipements publics viendront compléter ces aménagements[25].

Grande Gare de Bordeaux

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Le , l'Union européenne, l'État, la région Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux Métropole, la ville de Bordeaux, ainsi que l'EPA Euratlantique, aux côtés de SNCF Gares & Connexions, estiment qu'il est nécessaire de réaménager la gare, sous la forme du projet « Grande Gare de Bordeaux[26] ».

Galerie de photographies

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Notes et références

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  1. a et b SNCF Gares & Connexions, gare de Bordeaux Saint-Jean (consulté le 17 mai 2019).
  2. N.B. : les distances sont comptées via les gares d'Orléans et de Tours.
  3. Base de données des repères de nivellement de l'IGN.
  4. Point 1998, p. 13.
  5. Point 1998, p. 19.
  6. a et b Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, Janvier - Mars 1956 : Louis Papy, Aux origines des gares de Bordeaux.
  7. Point 1998, p. 30.
  8. « Petite biographie de Louis Choron », sur charlesfourier.fr, (consulté le ).
  9. Marc Saboya, Bordeaux : les formes du désir : un abécédaire pour voir la ville autrement, Bordeaux/impr. en Espagne, Le Festin, , 206 p. (ISBN 978-2-36062-208-5 et 2-36062-208-0, OCLC 1041600764)
  10. Point 1998, p. 9.
  11. Sud Ouest, 19 mai 2011.
  12. Bertrand Lemoine, L'architecture du fer, Champ Vallon, Seyssel (France) (ISBN 2-903528-71-3).
  13. Notice no PA00083187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. a b c et d Benoît Lasserre, « À la gare de Bordeaux verrière rimera avec lumière », Le Mag no 212, supplément à Sud Ouest, 23 avril 2016, p. 110-117.
  15. Ces échafaudages représentent un tiers du poids de la tour Eiffel.
  16. Brigitte Vital-Durand, « Bordeaux, , 23 heures, l'horloge passe à l'heure allemande. Du 27 juin 1940 au 27 août 1944, chronique de l'Occupation au quotidien, dans la ville où Papon prend ses fonctions en mai 1942 », sur Libération, (consulté le ) : « Début décembre, à la gare Saint-Jean, un premier convoi de travailleurs, tous volontaires, part pour l'Allemagne: 115 hommes,… ».
  17. Michel Cardoze, « À Bordeaux, vous connaissez la rue Charles Domercq, mais connaissez-vous l'homme ? », sur France Bleu, (consulté le ).
  18. « Fréquentation en gares : Bordeaux Saint-Jean », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  19. Site fret SNCF : la gare de bordeaux-Saint-Jean.
  20. Capitale européenne de la culture 2013 – Liste des villes candidates, Ministère de la Culture et de la communication, avril 2008, sur culture.gouv.fr (consulté le 21 janvier 2015). Bordeaux n'a pas été retenue.
  21. Cendrine Albo, « La fresque historique du hall de départ de la gare St Jean en profonde rénovation », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  22. « LA CARTE MURALE DE LA GARE DE BORDEAUX RETROUVE SES COULEURS », sur SNCF.com, (consulté le ).
  23. Documents du débat public.
  24. Le Point,  : « Euratlantique bouscule tout ».
  25. Le Moniteur,  : « L'Opération d'Intérêt National Bordeaux-Euratlantique est créée ».
  26. « Communiqué de presse - Grande Gare de Bordeaux » [PDF], sur bordeaux-metropole.fr.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Martine Courbin, La gare Saint-Jean : son quartier et ses cheminots 1856-1905, vol. 2 vol. (111 f.) ([80 f.]) (Mémoire de maîtrise : Histoire contemporaine), Bordeaux, Université Michel Montaigne, Bordeaux III, coll. « dactylographié », .
  • François-Xavier Point, La gare de Bordeaux Saint-Jean : Histoire d'une centenaire (1898-1998), Bordeaux, Éditions Sud-Ouest, , 128 p. (ISBN 2-87901-290-2).
  • La France des gares, collection Guides Gallimard, 2001.
  • Patricia et Pierre Laederich, André Jacquot et Marc Gayda, Histoire du réseau ferroviaire français, éditions de l'Ormet, Valignat, 1996.
  • Jacques Defrance, Le Matériel moteur de la SNCF, éditions N.M., Paris, 1969 ; 1978.
  • Maurice Mertens et Jean-Pierre Malaspina, La Légende des Trans-Europ-Express (TEE), éditions LR-Presse, 2007.
  • Revue : Le Train avec numéro hors série sur les autorails X 2700 et X 2770).
  • Revue : Le Train avec numéro hors série sur Les locomotives diesels de ligne, les CC 72000, tome 4, par Olivier Constant, spécial 3/99 de 1999.
  • Revue : Voies ferrées, avec article « Lyon - Bordeaux : la revanche de l'X-TER » par Denis Vuagnoux, paru en pages 31 à 38 dans le no 171 (janvier-).
  • Hebdomadaire : La Vie du Rail, avec plusieurs articles de 1955 à 2008.
  • Indicateurs horaires SNCF de 1938 à 2005.

Articles connexes

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Liens externes

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Origine Arrêt précédent Train   Arrêt suivant Destination
Toulouse-Matabiau Toulouse-Matabiau
ou Agen
TGV inOui Angoulême
ou Massy TGV
ou Paris-Montparnasse
Paris-Montparnasse
Agen Agen TGV inOui Paris-Montparnasse Paris-Montparnasse
Hendaye
ou Tarbes
Dax TGV inOui Massy TGV
ou Paris-Montparnasse
Paris-Montparnasse
Arcachon Facture-Biganos TGV inOui Angoulême
ou Massy TGV
ou Paris-Montparnasse
Paris-Montparnasse
Terminus Terminus TGV inOui Libourne
ou Angoulême
ou Massy TGV
ou Paris-Montparnasse
Paris-Montparnasse
Terminus Terminus TGV inOui Angoulême Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV
ou Lille-Flandres
ou Lille-Europe
ou Strasbourg-Ville
ou Fribourg-en-Brisgau Hbf
Terminus Terminus TGV inOui
(saisonnier : l'été)
Angoulême Francfort-sur-le-Main Hbf
Toulouse-Matabiau
ou Terminus
Agen
ou Terminus
Ouigo Angoulême
ou Paris-Montparnasse
Paris-Montparnasse
Terminus Terminus Ouigo Angoulême Tourcoing
Marseille-Saint-Charles
ou Nîmes
Agen
ou Marmande
Intercités Terminus Terminus
Terminus Terminus Intercités Jonzac Nantes
Agen Beautiran TER Nouvelle-Aquitaine
(Direct'R)
Terminus Terminus
Hendaye
ou Tarbes
ou Lourdes
ou Pau
Pessac TER Nouvelle-Aquitaine
(Direct'R)
Terminus Terminus
Mont-de-Marsan Ychoux
ou Pessac
TER Nouvelle-Aquitaine
(Direct'R)
Terminus Terminus
Terminus Terminus TER Nouvelle-Aquitaine
(Direct'R)
Cenon La Rochelle-Ville
ou La Rochelle-Porte-Dauphine
ou Bergerac
ou Sarlat
ou Limoges-Bénédictins
Langon Bègles TER Nouvelle-Aquitaine
(Facilit'R)
Terminus Terminus
Arcachon Pessac TER Nouvelle-Aquitaine
(Facilit'R)
Cenon Coutras
Arcachon
ou Terminus
Pessac
ou Terminus
TER Nouvelle-Aquitaine
(Facilit'R)
Terminus
ou Cenon
Terminus
ou Libourne
Macau Mérignac-Arlac TER Nouvelle-Aquitaine
(Facilit'R)
Terminus Terminus
Terminus Terminus TER Nouvelle-Aquitaine
(Facilit'R)
Cenon Saint-Mariens - Saint-Yzan
Marmande Beautiran
ou Bègles
TER Nouvelle-Aquitaine
(Liné'R)
Terminus Terminus
Hendaye
ou Tarbes
ou Pau
ou Mont-de-Marsan
Pessac TER Nouvelle-Aquitaine
(Liné'R)
Terminus Terminus
La Pointe-de-Grave
ou Le Verdon
ou Lesparre
ou Pauillac
Mérignac-Arlac TER Nouvelle-Aquitaine
(Liné'R)
Terminus Terminus
Terminus Terminus TER Nouvelle-Aquitaine
(Liné'R)
Cenon Saintes
ou Angoulême
ou Bergerac
ou Périgueux
ou Limoges-Bénédictins
ou Brive-la-Gaillarde
ou Tulle