Garancières
Garancières est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Garancières | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | CC Cœur d'Yvelines | ||||
Maire Mandat |
Ghislaine Lesade 2024-2026 |
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Code postal | 78890 | ||||
Code commune | 78265 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Garanciérois | ||||
Population municipale |
2 512 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 235 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 49′ 18″ nord, 1° 45′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 188 m |
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Superficie | 10,69 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Garancières-La Queue-les-Yvelines (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubergenville | ||||
Législatives | 10e circonscription des Yvelines | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://mairie-garancieres78.fr/ | ||||
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Géographie
modifierSituation
modifierLa commune de Garancières est située dans la plaine de Montfort-l'Amaury à 32 km à l'Ouest de Versailles et à 26 km de Rambouillet.
Elle fait partie de l'aire d'attraction de Paris, de l'Unité urbaine de Garancières-La Queue-les-Yvelines, de la zone d'emploi de Versailles-Saint-Quentin et du bassin de vie de la Queue-les-Yvelines[I 1]
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Autouillet, Béhoust, Boissy-sans-Avoir, Flexanville, Millemont, La Queue-les-Yvelines et Villiers-le-Mahieu.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 10,69 km2 ; son altitude varie de 87 à 188 mètres[1].
Hydrographie
modifierLe territoire communal est traversé d'ouest en est par le "ru de Millemont" et le "ru des Fontaines" provenant de La Queue-les-Yvelines au Sud. Ces deux rus se jettent dans le ""ru de Garancières" qui s'écoule vers Boissy-sans-Avoir.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 642 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Garancières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Garancières-La Queue-les-Yvelines[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[9],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Occupation des sols
modifierLe tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 15,0 % | 156 |
Espaces verts urbains | 1,5 % | 16 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 65,1 % | 676 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 9,8 % | 102 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants |
2,5 % | 26 |
Forêts de feuillus | 6,1 % | 63 |
Source : Corine Land Cover[12] |
Lieux-dits et écarts
modifier- Haute Perruche, le Breuil, la Vieuvigne.
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 194, alors qu'il était de 1 128 en 2015 et de 1 014 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 87,8 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Garancières en 2020 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Garancières[I 3] | Yvelines[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 87,8 | 91 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,3 | 2,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,9 | 6,4 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierRéseau routier
modifierLa commune est traversée par la route départementale 42 qui mène, vers l'Est, à Boissy-sans-Avoir et Neauphle-le-Vieux et, vers l'Ouest, à Béhoust et, au-delà, à Septeuil. La route départementale 155 est la rue Louis-Siou ou route de la Gare qui mène à La Queue-les-Yvelines. La route départementale 197 qui commence à proximité de la gare, traverse le Sud du territoire communal pour mener, vers le Sud-Ouest, à Millemont et à la route nationale 12.
Transports en commun
modifierLa ligne de Saint-Cyr à Surdon traverse le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne, partagée avec la commune de La Queue-les-Yvelines : Garancières-La Queue. Elle se situe sur la ligne N du Transilien, sur la branche Paris Montparnasse-Dreux.
La commune est également desservie par les lignes du réseau de bus Centre et Sud Yvelines :
- 2 : Dammartin-en-Serve - Mairie ↔ Monfort l'Amaury - Collège Maurice Ravel (ligne scolaire),
- 22 : Boissy-Sans-Avoir - Mairie ↔ Monfort l'Amaury - Collège Maurice Ravel,
- Express 67 : Montigny-le-Bretonneux - Gare Routière Paul Delouvrier ↔ Houdan - Zac la Prévôté.
- TAD : Transport à la demande sur le territoire de Monfort l'Amaury & Houdan.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Waranceræ en 774[13] et 794[14], Warenceras[15] avant 829[14] et Warenceriae au IXe siècle[16], Garanceriæ en 1205[13], Garencerie en 1250[17], Garantiere en 1411[18], Garrentieres en 1467[19], Garantiere en 1494[20], Garentieres en 1611[19], Garancieres et Garantières en 1613[21], Garentiere en 1668[22], Garenciere en 1707[23], Garencière en 1738[24], Garantière en 1753[23], Garancière en 1768[25], Garencière en 1784[25].
Garancières, mot d'origine germanique Warenceras au IXe siècle, est un champ de garance, plante tinctoriale[15].
Charles Estienne, cite « Garancières près Montfort comme couvert de garance indigène et d’autres lieux de culture en Drouais, Évrecin et Beauce »[26].
Micro-toponymie
modifierEntre Garancières et Millemont, près du château du Moulinet[27], il y avait une rue (chemin) des Juifs. M. Walter Eytan, ancien ambassadeur d'Israël en France de 1959 à 1970, fait état d'une rue de la Synagogue, en bordure de forêt.
Histoire
modifierAntiquité
modifierDes habitats antiques ont été identifiés sur le territoire de la commune de Garancières, s'échelonnant du Ier siècle av. J.-C. au IIe siècle après J.-C., en particulier une villa gallo-romaine au lieu-dit la Mare à Jourdin[28].
Moyen-Âge
modifierC'est au IXe siècle, à l'époque carolingienne, qu’apparaît la première trace écrite de l'existence du village. Vers 825, Warenceras fait partie de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés au même titre que Flexanville, Orgerus et d'autres villages des environs.
Après les troubles provoqués par les invasions des Normands, à la fin du IXe siècle, Garancières est intégrée au comté de Montfort et les seigneurs de Garancières sont les vassaux des comtes de Montfort. Le village fait alors partie des marches du royaume de France. Pendant les XIIe siècle et XIIIe siècle, Garancières connait un nouvel essor. Cette période est marquée par des défrichements et la création du village de Béhoust.
Nous avons les seigneurs en 1205 Ricardus de Garenceriae[29], et au XIIe siècle Dominus de Garanceriis homo ligus Ansoldus de Garancerus Johemus de Garanceriis[29]
Période Moderne
modifierÀ la fin du XVe siècle, le mariages d'Anne de Bretagne comtesse de Montfort rattachent définitivement la seigneurie de Garancières à la couronne de France.
Le XVIIe siècle est marqué par les aléas climatiques. Le refroidissement du climat, les inondations de 1650 et les épidémies causent une diminution de la population villageoise.
Finalement, au XVIIIe siècle, Garancières renoue avec la prospérité. Un réchauffement du climat et de meilleures récoltes permettent à la population de croître à nouveau. À l'époque le village est essentiellement agricole dont les cultures principales sont les vignes et les céréales. L'élevage est alors très peu pratiqué dans la commune. Durant cette période la qualité de vie ainsi que l'éducation s'améliorent dans l'ensemble du village. À titre d'exemple, 75 % de la population masculine sait lire en 1650.
Les troubles révolutionnaires affectent assez peu Garancières qui devient chef de canton en 1791. Elle perd ensuite ce titre très rapidement.
Le XIXe siècle est une période faste pour la commune due essentiellement à l'explosion de l'activité vinicole. En effet, le phylloxéra causant la quasi-disparition des vignobles du Midi, favorise ceux d’Ile-de-France. Quelques années plus tard, ce parasite touchera tout aussi durement la région qui perdit ses vignes en une dizaine d'années.
L'activité vinicole n'a jamais repris depuis lors. La monoculture céréalière s'est imposée depuis, accentuée par la modernisation et notamment la mécanisation de l'agriculture. Le paysage en est resté durablement marqué.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierAntérieurement à la loi du 10 juillet 1964[30], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet[I 1] après un transfert administratif effectif au .
Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Garancières de 1793 à 1801, Elle faisait depuis lors partie du canton de Montfort-l'Amaury de Seine-et-Oise puis des Yvelines[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Aubergenville[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.
Intercommunalité
modifierConformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, Garancières, demeurée jusqu'alors isolée, intègre le , la communauté de communes Cœur d'Yvelines[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
modifierJumelages
modifier- Scheden (Allemagne) depuis 2007 (Basse-Saxe).
Équipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLa commune possède[35] :
- une école maternelle publique.
- une école élémentaire publique.
Équipements sportifs
modifierLa commune dispose d'un stade (terrain de football). Elle est également dotée d'un terrain de roller, un City stade, un skate Park et une balançoire, située au domaine de la Boissière
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2021, la commune comptait 2 512 habitants[Note 4], en évolution de +6,71 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 184 hommes pour 1 203 femmes, soit un taux de 50,40 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
modifierÉconomie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Pierre Inscrit MH (1950)[41] : édifice en pierre du XIIe siècle, agrandi au XVIIe siècle, comprenant un tableau de l'Immaculée Conception » d’Antonio de Pereda et d’un chemin de croix moderne de Jorma Lécureur
- Vestiges d'un ancien pigeonnier[42], la tour de Fresnay.
- Abreuvoir du XVIIe siècle.
- Château du Breuil du XVIe siècle[43].
-
La fontaine.
-
L'église Saint-Pierre...
-
... et son chevet
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifier- Le général Claude-François de Malet (1754-1812), auteur d'une tentative de coup d'État contre Napoléon, fut propriétaire du château du Breuil.
- Alice Staudenmann, a reçu le titre de Juste parmi les nations par le Comité pour Yad Vashem, dont les noms figurent sur le Mur d'honneur du Jardin des Justes à Jérusalem, mais également à Paris, dans l'allée des Justes, près du mémorial de la Shoah, rue Geoffroy-l'Asnier[44].
- La chanteuse Sheila a habité Garancières jusqu'en 2017.
- Le groupe Cupofty vient de Garancières.
- Le journaliste Michel Lancelot est enterré à Garancières.
Héraldique
modifierBlason | D'azur à la tour d'or chargée d'une quintefeuille de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Garancières », p. 576–578
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Garancières-La Queue-les-Yvelines comprend deux villes-centres (Garancières et La Queue-les-Yvelines) et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Garancières ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Garancières - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Garancières - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans le Yvelines - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Garancières et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Garancières-La Queue-les-Yvelines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Dans le Polyptyque d’Irminon.
- – MULON (Marianne) Noms de lieux d’Île-de-France (1997), p. 167.
- Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 225.
- Pouillé chartrain.
- A.N. T155/10, 1ère liasse.
- A.N. T155/14.
- A.N. T*155/12.
- A.N. T155/11.
- A.N. T155/3.
- A.N. T155/1.
- A.N. étude 8/1033.
- A.N. T155/10, 2ème liasse.
- Charles Estienne, maison rustique, vol. II, t. 67, .
- « Parc du château du Moulinet », notice no IA78000806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- BARAT (Y.) DUFAŸ (B.) RENAULT (I.) Cartes Archéologique de la Gaule : Les Yvelines (2007), p. 179.
- FRERE (Stéphane) Caractérisation d’un terroir villageois au Moyen Âge et à l’époque moderne : Garancières et étude de cas : le domaine de Fresnay. D’après le mémoire de maîtrise (Université Paris I) -1993/1994. En ligne.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- « Les maires de Garancières », sur francegenweb.org (consulté le ).
- [PDF] Hommage, La Gazette de Garancières n°10, 2012.
- Mehdi Gherdane, « Yvelines : encore un maire qui démissionne », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Ancien enseignant, Christian Lorinquer était élu depuis 1989 [...] l'ex-maire avait essuyé plusieurs démissions dans sa majorité. Il était également confronté aux critiques d'associations de défense de l'environnement ».
- « Tableau du conseil municipal suite au conseil d’installation du vendredi 5 juillet 2024 », sur mairie-garancieres78.fr, (consulté le ).
- Site officiel de l'inspection académique des Yvelines.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Garancières (78265) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- « Église », notice no PA00087441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Jardin de la ferme de Fresnay », notice no IA78000804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no Parc du château du Breuil, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Alice Staudenmann, dirige "L’Enfant au Grand Air", un home d'enfants de l'Entraide temporaire, à Garancières. Sur les quarante enfants de l'établissement, 10 étaient juifs. Ils avaient été convoyés par Hélène Berr et sa sœur Denise Berr. Elle cacha leurs papiers et garda le secret. Pour se venger d'une punition, un jeune pensionnaire délinquant dénonça Alice Staudenmann. Un officier de la Gestapo vint enquêter et perquisitionner. Alice Staudenmann nia fermement abriter des enfants juifs. Les membres du personnel, qui n'étaient pas au courant, renchérirent et couvrirent de louanges leur directrice. Par mesure de sécurité, craignant une nouvelle perquisition, la directrice décida de transférer les enfants juifs dans un autre refuge