Epfig

commune française du département du Bas-Rhin

Epfig est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Epfig
Epfig
Place de la Mairie.
Blason de Epfig
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Barr
Maire
Mandat
Jean-Claude Mandry
2020-2026
Code postal 67680
Code commune 67125
Démographie
Gentilé Epfigeois[1]
Population
municipale
2 246 hab. (2021 en évolution de −1,49 % par rapport à 2015)
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 35″ nord, 7° 27′ 50″ est
Altitude Min. 160 m
Max. 311 m
Superficie 21,9 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Epfig
(ville isolée)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Obernai
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Epfig
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Epfig
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Epfig
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Epfig

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Ses habitants sont appelés les Epfigeois et Epfigeoises.

Géographie

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Le village d'Epfig se trouve au pied de la colline de l'Ungersberg dans le canton de Barr et l'arrondissement de Sélestat-Erstein. La commune s'étend sur 2 200 hectares, dont 560 plantés de vigne, ce qui en fait la plus grande commune viticole d'Alsace. Les habitants sont connus sous le nom des Epfigeois. Epfig dispose en outre l'une des plus importantes cultures céréalières et de prairie du département. Le village se situe à 6 km au sud-est du canton de Barr.

Écarts et lieux-dits

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  • Sainte Marguerite ;
  • Fronholz ;
  • Finkwiller.

Cours d'eau

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  • La Schernetz.

Toponymie

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Attestations anciennes pour certaines germanisées et pour d'autres latinisées.

  • Hepheka, 763 ;
  • Ephicum, 1125 ;
  • Epfeche, 1133 ;
  • Epfiche, 1162 ;
  • Epiaco, XIIe siècle ;
  • Apiaca, 1213 (probable cacographie).

D'un type toponymique celtique *Epiākon ou gallo-roman *EPIACU que l'on retrouve en Grande-Bretagne Epiacum. La forme de 763 est déjà germanisée, le graphe ph notant en vieux haut allemand la consonne affriquée [pf] de l'allemand moderne qui résulte de la mutation haut allemande de [p], d'où Epi- > Ephi- > Epfi-. Il se compose d'un des noms celtique du cheval epos, aussi fréquemment attesté dans l'anthroponymie gauloise Eppius, Epponus, Epillus ou Eporedorix, chef gaulois. Le second élément est le suffixe celtique -ākon latinisé en -acum de localisation, puis de propriété. Il signifie soit « lieu des chevaux » soit « propriété d'Eppius »[2].

Albert Dauzat et Charles Rostaing[3] ont parlé, à tort semble-t-il, d'un « nom de personne latin » que ni la répartition géographique du toponyme, ni sa signification possible ne semblent conforter.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Scheer, le ruisseau Schernetz, le ruisseau Viehgraben et le ruisseau Pflintzgraben[4],[Carte 1].

La Scheer, d'une longueur de 40 km, prend sa source dans la commune de Scherwiller et se jette dans l'Andlau à Fegersheim, après avoir traversé 20 communes[5].

Le ruisseau Schernetz, d'une longueur de 18 km, prend sa source dans la commune de Reichsfeld et se jette dans la Scheer à Kertzfeld, après avoir traversé sept communes[6].

 
Réseau hydrographique d'Epfig[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[7].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Vosges » et « Alsace »[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 597 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Hohwald_sapc », sur la commune du Hohwald à 11 km à vol d'oiseau[10], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 129,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Epfig est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Epfig[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28 %), terres arables (27,4 %), cultures permanentes (24,1 %), forêts (14,8 %), zones urbanisées (5,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Coffre polychrome de la fin du XVIIIe siècle[21].

Ce bourg remontant à la plus haute Antiquité a été occupé par des populations celtes et germaniques. Sous l'Empire romain, la cité était connue sous le nom d' Epiacum (dont la forme Apica est probablement une cacographie). Les troupes romaines y auraient planté, dès le début de leur présence, les premiers plants de vignes. Des immigrants alamans se mêlent peu à peu aux populations locales gallo-romaines originelles et le bas latin est remplacé par un dialecte alémanique.

Dans les textes entre le XIIe et le XVIIe siècle il est fait mention du cimetière fortifié d'Epfig, appelé aussi « château »[22].

À partir du XIIe siècle, les évêques de Strasbourg qui y possédaient un château, dont il ne reste qu'une partie d'une tour et des caves voûtées, dominent la ville. Epfig est complètement ruinée en 1439, lors des premières incursions du parti armagnac. Il est une deuxième fois détruit en 1632 lors de la guerre de Trente Ans. Entre le XIe et le XIVe siècle est érigée une chapelle romaine portant le nom de sainte Marguerite qui possède un porche unique en Alsace et un ossuaire dont la plupart des ossements provient de la destruction du village disparu et voisin de Kollwiller. Au XVIIIe, le cardinal de Rohan fait construire une résidence à côté du donjon. À cette époque, le village d'Epfig possédait 60 puits et un calvaire de trois croix.

Héraldique

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Les armes d'Epfig se blasonnent ainsi :
« De sable à la bande d'argent accompagnée de deux rameaux du même. »[23].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Charles Hatterer    
Claude Adoneth    
André Metz (1923-2017)    
Claude Adoneth   Maire honoraire
Lucien Metz DVD Maire honoraire
En cours
(au 31 mai 2020)
Jean-Claude Mandry[24],[25]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD Fonctionnaire
7e vice-président de la CC du Pays de Barr (2020 → )

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 2 246 habitants[Note 4], en évolution de −1,49 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0062 1602 0822 1772 4482 9422 8613 0042 962
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
2 9252 9763 0082 7452 7122 5672 5132 5022 423
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4232 2762 2081 8981 8521 7521 7001 6721 612
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7181 6661 6911 7041 7531 9471 9962 1132 149
2014 2019 2021 - - - - - -
2 2792 2472 246------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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La chapelle Sainte-Marguerite

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La tradition fait remonter la chapelle Sainte-Marguerite à l'endroit où se trouvait au Xe siècle un couvent de moniales dédiée à sainte Berthe fille d'un leude de Clovis II. Ce couvent aurait été selon la tradition fondé en 895 par Rothrude, fille de Lothaire Ier et d'Ermengarde, abbesse d'Erstein pour les religieuses du couvent de Blangy-en-Artois qui avaient dû fuir les Normands. La chapelle cémétériale actuelle est de style roman, construite dans le premier quart du XIe siècle. Son plan bâtard combine le plan centré et la forme de la croix latine. La nef unique est orientée vers l'ouest, et se termine par un chevet plat. Au début du XIIe siècle, on adjoignit à l'édifice un petit porche.

Ossuaire

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Accolé au mur nord de la nef, un ossuaire de date indéterminée a été reconstruit à l'identique sur les fondations d'origine lors d'une importante réfection d'ensemble menée par Antoine Ringeisen entre 1872 et 1879. Généralement, les ossuaires alsaciens renferment les ossements de cimetières désaffectés ou de fosses trop pleines. Il a ainsi été avancé qu'il puisse renfermer les défunts du village disparu de Kollwiller. Toutefois, selon la tradition orale et écrite, cet ossuaire abrite les crânes des paysans morts à la bataille de Scherwiller, massacrés par les troupes du duc Antoine de Lorraine le (révolte des Rustauds)[30]. Selon des recherches menées par l'équipe de Jean Lavergne, il s'agit bel et bien de morts au combat. Sur un échantillon aléatoire de 212 crânes, le quart présente de graves traumatismes. Il s'agit d'hommes dans la force de l'âge et non de femmes ou d'enfants. Les os ont été fracassés par des coups de masse ou d'épées assénés de haut en bas, sans doute par des cavaliers en selle[31].

Église Saint-Georges

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La première église datant du VIIIe siècle a probablement été détruite en 1198 et remplacé par un édifice de style roman. L'église actuelle est reconstruite à la fin du XVIIIe siècle par l'architecte Pierre-Michel d'Ixnard (1723-1795).

Hôtel de ville (1857)

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L'hôtel de ville a été construit en 1749 par l'architecte Antoine Ringeisen de l'arrondissement de Sélestat. Il est notamment chargé de veiller et de diriger les travaux des bâtiments publics et culturels de la région. Ses archives, qui couvrent les périodes 1840-1889, sont précieusement conservées à la Bibliothèque humaniste de Sélestat.

Autres monuments

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  • Presbytère
  • Maison de 1725
  • Puits à treuil (1749)
  • Calvaire de 1788
  • Maisons à pan de bois

Jumelage

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Personnalités liées à la commune

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Né le 15 mars 1775, volontaire dans le régiment de Boulonnais (86e régiment d'infanterie) le 1er mai 1789. Il contracta un engagement le 1er mai 1791 dans le même régiment devenu 79e. Il fit avec distinction les guerres de la liberté depuis 1793 jusqu'à l'an IX aux armées des Pyrénées-Orientales, d'Italie, de Rome, de Naples et des Grisons. Il se distingua dans les guerres de la République et de l'Empire, parvint au grade de colonel du 12e régiment d’infanterie de ligne le 20 octobre 1806. Il fut ensuite colonel du 86e régiment d'infanterie de ligne le 16 juillet 1814 et de la Légion de l'Ardèche le 11 octobre 1815. Il fut nommé officier de la Légion d'honneur le 7 juillet 1807 et baron de l'Empire le 10 septembre 1808. Il est décédé le 6 mai 1853 à Nancy.

Bibliographie

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  • (fr) Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck et Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d'Alsace, La Nuée Bleue, , 676 p. (ISBN 2716502501)

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Epfig » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 123.
  3. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968.
  4. « Fiche communale d'Epfig », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « la Scheer »
  6. Sandre, « le ruisseau Schernetz »
  7. « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Epfig et Le Hohwald », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Le Hohwald_sapc », sur la commune du Hohwald - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Le Hohwald_sapc », sur la commune du Hohwald - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 d'Epfig », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Musée alsacien
  22. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 44.
  23. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  24. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Toursel-Harster, Beck et Bronner 1995, p. 128-129.
  31. Georges Bischoff, La guerre des Paysans : L'Alsace et la révolution du Bundshuh 1493-1525, Strasbourg, La Nuée Bleue, , p. 346.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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