Discussion:Quintette pour piano et cordes de Vierne
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Domaine public
modifierBonjour Kirtap
Pour reprendre les bonnes références,
- Au Canada, au Japon et dans les pays observant un délai de 50 ans post mortem[1], les œuvres de Vierne sont tombées dans le domaine public le 1er janvier 1988.
- Aux États-Unis, les œuvres de Vierne publiées avant 1923 sont tombées dans le domaine public ; celles publiées à partir de 1923 (et jusqu'en 1977) sont (très probablement) protégées durant 95 ans après leur date de publication[2].
- Dans l' Union européenne et dans les pays observant un délai de 70 ans post mortem, les œuvres de Vierne sont tombées dans le domaine public le 1er janvier 2008[3].
- Cependant, en France, les œuvres musicales de Vierne publiées avant 1921 sont protégées jusqu'en octobre 2022 ; celles publiées de 1921 à 1947 jusqu'en mai 2016 ; celles publiées à partir de 1948 sont tombées dans le domaine public le 1er janvier 2008[4].
Le Quintette op.42 de Louis Vierne, achevé en 1918 et publié à Paris en 1924, est donc dans le domaine public depuis mai 2016
Soli Deo Gloria (que je traduis par : la gloire n'intéresse que Dieu…) Faisons de la musique !
À ce compte-là, on pourrait donc reproduire la première page de la partition ? Ou, comme je le proposais, juste le titre et le premier système ? (pour y voir un peu plus clair, tout de même)
Cordialement, FLours toujours 16 janvier 2018 à 18:05 (CET)
- Bonjour Flopinot2012 : a priori nous sommes donc dans la situation 2, sachant que c'est le droit américain qui prévaut sur Commons. Meme si le site permet l'importation d'image dans le domaine public depuis 70 ans, mais il exige aussi que l'œuvre soit dans le domaine public aux Etats Unis Vous devez aussi inclure un modèle indiquant pourquoi cette œuvre est dans le domaine public aux États-Unis.. Alors concernant la couverture de la partition, peut être que tu peux tenter l'absence de seuil d'originalité, c'est à dire que si la couverture de la partition ne présente que du texte (donc sans élément décoratif , ornement ou images) avec une typographie utilisant une police libre (la gothique par exemple), alors tu peux mettre le bandeau Template:PD-textlogo, qui précise Cette image, ou le texte inclus, comprend seulement des formes géométriques simples et du texte. Le seuil d'originalité nécessaire pour la protection du droit d'auteur n'est pas atteint, et le fichier est donc dans le domaine public. Bien qu'il soit libre de droits d'auteur, ce fichier peut encore faire l'objet d'autres restrictions. Voir WP:PD#Fonts ou Template talk:PD-textlogo pour plus d'informations. Cordialement. Kirtapmémé sage 16 janvier 2018 à 19:46 (CET)
- En effet, je pense que la couverture n'est pas illustrée. La réédition de 1993 (mentionnée et référencée dans l'article) est « illustrée » avec une photographie du compositeur au pupitre d'orgue (de Notre-Dame de Paris ?) les yeux fermés. C'est classique : si tu as des partitions de Federico Mompou ou Erik Satie chez Salabert, c'est toujours ainsi qu'ils présentent leurs produits sous couverture en dégradés de vert. Mais on cherche plutôt l'original de 1924, pour le coup.
- À creuser, en conséquence
- Amicalement, FLours toujours 16 janvier 2018 à 20:28 (CET)
Références citées
modifier- Conformément à la Convention de Berne. Voir aussi (en) List of countries' copyright length
- Voir Loi américaine d'extension du terme des droits d'auteur et (en) Cornell Univ. Copyright Protection Chart
- Directive européenne sur l'harmonisation de certains aspects du droit d'auteur et des droits voisins dans la société de l'information
- Cf. Prorogations de guerre, Code de la propriété intellectuelle et Domaine public en droit de la propriété intellectuelle française
Article de Qualité ?
modifierBonjour à tous (celles et ceux qui liront ces lignes)
Rien ne presse… exagérément : mon objectif, pour cet article, serait d'obtenir sa « mise en lumière » dans les premières semaines de novembre — pour des raisons évidentes. Cela mettrait un peu de musique autour des commémorations centenaires déjà bien labellisées sur le portail Histoire
Au moment de déclarer cette intention, il reste quelques références à citer dans la dernière sous-section de l'article. Et, sans doute, quelques passages à revoir dans ce qui précède. Et une au moins des pistes sonores est à reprendre (avec le compte précis des mesures en légendes d'illustrations). Surtout, il faut que quelqu'un trouve un moyen d'obtenir une image décente en infobox. Le manuscrit devrait être consultable à la BnF Richelieu-Louvois, dans les archives du département Musique. Mais ça veut dire : aller à Paris, juste pour ça, pour prendre la première page en photo. Par exemple. Je considère la solution actuelle comme temporaire. Mais je me demande bien comment faire
Merci de me faire part de vos opinions sur ces questions.
Cordialement, FLours toujours 26 juillet 2018 à 14:03 (CEST)
Relecture par Arcyon37
modifierBonjour. Quelques remarques au fil de la relecture. Amicalement, — Arcyon [Causons z'en] 27 juillet 2018 à 11:31 (CEST)
- Renvois bibliographiques : j'ai fait quelques corrections mais je bute sur l'article de Gérard Begni, apparemment paru en 2017, mais avec un "id" dans la biblio indiquant 1987, et des sfn dans le texte qui parlent de 1987, 2016 ou 2017. Du coup, je ne sais pas exactement où se situe l'erreur C'est le seul point à élucider dans ce domaine.
- l'article de Begni est accessible en ligne [corr. : malheureusement, il ne l'est plus… mais j'ai ça dans mes archives, je vérifie]
- Un bon rafraîchissement de relecture s'imposait, dis-donc
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 11:36 (CEST)
- Mon petit gadget m'indique qu'il n'y a plus d'erreur dans les renvois biblio. Amicalement, — Arcyon [Causons z'en] 27 juillet 2018 à 11:42 (CEST)
- Arcyon37 : j'ai profité de ma lecture de l'article sur la poudrerie nationale du Ripault pour t'emprunter l'idée de concentrer les références des monographies 1 (Gavoty) et 2 (Besingrand).
- Héroïquement, je me suis retenu de commenter par un « Et que ça saute ! » mais bon, voilà, c'est dit
- Bon courage pour cette étoile !
- Amicalement, FLours toujours 30 juillet 2018 à 12:45 (CEST)
- Merci Flopinot2012 . Tu sais, ce commentaire n'aurait pas dépareillé l'ensemble, car je vous soupçonne toutes et tous d'être de mèche . Plus sérieusement, je vais reprendre la relecture du quintette, sur le fond cette fois. Amitiés, — Arcyon [Causons z'en] 30 juillet 2018 à 17:27 (CEST)
- Mon petit gadget m'indique qu'il n'y a plus d'erreur dans les renvois biblio. Amicalement, — Arcyon [Causons z'en] 27 juillet 2018 à 11:42 (CEST)
Références
modifierRef à voir : https://www.francemusique.fr/emissions/notes-du-traducteur/louis-vierne-quintette-pour-piano-et-cordes-op-42-1918-avec-la-participation-du-quatuor-hermes-14772 ; http://www.resmusica.com/2014/01/29/quintettes-francais-pour-piano-et-cordes-par-yoe-miyazaki/, --Sidonie61 (discuter) 27 juillet 2018 à 12:22 (CEST)
- Bonjour Sidonie61
- Ces deux-ci étaient déjà connues et (peut-être) employées dans les articles dédiés, plutôt aux deux Quintettes de Widor qui sont très délaissés par la bibliographie « classique ».
- Mais j'ai mis à profit les deux autres liens que tu m'as envoyé — surtout pour la « série de sons incohérents, qu'on peut relier… » à plein de choses intéressantes. Merci pour ces deux coups de pouce !
- (et je réécoute le Quintette complet sur www.musicologie.org : ils ne s'embêtent pas pour diffuser l'enregistrement Timpani d'un bloc ! C'est bien la peine que je m'arrache les oreilles pour proposer vaille que vaille des pistes sonores abominablement inférieures à la réalité du concert )
- Bon sang de centenaire, quelle partition
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 12:37 (CEST)
Relecture 6PO
modifierBonjour FL, --Cordialement. 6PO (discuter) 27 juillet 2018 à 15:49 (CEST)
- les alternatives servent essentiellement aux malvoyants qui ont certains moyens d'accéder au texte mais ne peuvent toujours pas voir les illustrations qu'ils faut leurs décrire. Ainsi écrire par exemple : « Photographie en noir et blanc de Charles Koechlin » ne décrit pas l'illustration et fait doublon avec la légende. À l'opposé « Photographie en noir et blanc d'un homme de trois quarts assis écrivant. » parait plus conforme. Il en est ainsi de toutes les alternatives des phographies de compositeurs.
- Bonjour 6PO
- Je veux bien, mais c'est très long : « Photographie noir et blanc d'un homme barbu » pourrait suffire pour Koechlin.
- Dans les conventions typo, on est limités à 120 caractères (je crois).
- On corrigera en fonction — ça en fait, des barbus en noir et blanc
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 15:55 (CEST)
- L'objet de l'alternative n'est pas celui d'une légende (je plébiscite les légendes très brèves). L'objet est de décrire une illustration. WP donne un cadre qui ne doit pas excéder 120 caractères comme tu l'indique et ici « cela passe ».
- Par ailleurs connais-tu le gadget qui permet des vérifications très rapides de quelques points de relatifs à l'accessibilité Wikipédia:Atelier accessibilité/Aide gadget ?
- les notes sont très intéressantes (bravo !). Malheureusement aucune n'est référencée et dans l'absolu elles doivent être considérées comme un TI (je sais à quel point ce terme te fait frémir…!). Comme elles appartiennent à l'espace encyclopédique il est normal de toutes les référencer.
- 6PO : chaque note est accompagnée d'une référence (qui suit immédiatement), sauf les « 10 de Répertoire », que Patachonf a généreusement attribués
- Il est bien évident que je ne corrige pas les erreurs des musicologues sans les citer
- …ou que je cite cette vacherie d'Antoine Goléa… Pour du mépris, on est servis !
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 17:58 (CEST)
- En fait, excuse-moi de ne pas été assez précis. Précédemment j'évoque les « Notes » (ex « Jean-Pierre Mazeirat place la première audition parisienne le . ») et non pas les « Notes discographiques ».
- c'est corrigé
- C'est important d'attribuer aussi les informations fausses
- Tu n'as pas idée du casse-tête que ça a été pour que je trouve enfin le prénom de la violoncelliste qui a participé à ce concert de 1921 (Mme Caponsacchi) mais j'ai fini par y arriver !
- Il y a une profondeur incroyable de « souterrains inattendus » dans cet article. Souvenir des tranchées ?
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 18:25 (CEST)
- Bonjour FL, malgré des recherches que je pense attentives je n'ai pas trouvé les références :
- Louis Vierne et X.A. Hascher, Quintette pour piano, deux violons, alto et violoncelle (conducteur), Paris, Salabert, , 63 p. ;
- (fr + en) X.A. Hascher, Avant-propos et Variantes, , 2 p. — Édition corrigée de la partition.
--Cordialement. 6PO (discuter) 22 août 2018 à 15:20 (CEST)
- Bonjour 6PO
- J'ai fait le test : les références 17, 18 et 20 renvoient bien vers l'Avant-propos et Variantes de X.A. Hascher dans l'édition courante de la partition chez Salabert (réédition de 1993), partition que j'avais depuis pas mal d'années, avant de commencer la rédaction de l'article. Mais je pense que tu veux dire que tu n'as pas trouvé de références bibliographiques de ces éléments bibliographiques ?
- Si c'est bien cela, ben… J'y peux rien Merci pour la formalisation de l'édition originale. De fait, l'édition corrigée reprend les mêmes côtes et suit la même pagination (63p. + parties séparées) puisque les corrections sont faites sur la gravure d'origine.
- Bien cordialement, FLours toujours 22 août 2018 à 17:22 (CEST)
- Bonjour 6PO
- Bravo pour la correction précisée : je ne pensais pas qu'il existait un article Xavier Hascher c'est d'autant mieux !
- Merci encore pour ces relectures hyperfines
- Amicalement, FLours toujours 23 août 2018 à 16:39 (CEST)
- Bonjour FL,
- il me semble, qu'en grande partie grâce à toi, nous y sommes parvenu. Faut-il maintenir la référence OCLC ? Je te laisse juge…
- Très amicalement et Cordialement. 6PO (discuter) 23 août 2018 à 17:24 (CEST)
- 6PO : j'ai un peu simplifié les champs, mais l'ensemble se présente vraiment mieux ainsi.
- Le fonds d'édition Sénart a été racheté puis repris (à l'identique, avec les corrections que nous avons mentionnées) par les éditions Salabert. Le lien actuel, éditions Durand-Salabert-Eschig, est un pis-aller mais on ne peut déclarer pour autant que le LI est erroné, pour mettre du bleu sur « Sénart ». Il y aurait tout un travail historico-musicologique (et surtout éditorial) à réaliser pour offrir des articles dédiés comme il existe un article Éditions Heugel (par exemple Éditions Hamelle, pas seulement Julien Hamelle, pour les partitions de Fauré, etc.)
- Une référence OCLC ou vers la BnF est toujours précieuse : à conserver absolument
- Amicalement, FLours toujours 24 août 2018 à 16:39 (CEST)
Images
modifierJe suggère d'illustrer la section Création par l'image de l'intérieur du Conservatoire de Genève, ainsi que par le portrait d'Armande de Polignac. L'orgue de la Cathédrale Notre-Dame de Paris serait une illustration bienvenue, me semble-t-il, à +, --Sidonie61 (discuter) 27 juillet 2018 à 18:44 (CEST)
- Bonjour Sidonie61
- Comme il ne s'agit pas d'une œuvre pour orgue ni même avec orgue, une telle illustration ne me paraît pas nécessaire.
- Pour la photo d'Armande de Polignac, autant je suis heureux de la trouver en infobox dans son article, autant le lien en bleu vers ce même article me suffit.
- Je me refuse à utiliser une image d'orgue ou une photo du compositeur pour l'infobox : il faut se montrer aussi exigeant que le label l'exige (moindre surprise, tout ça). On a déjà importé pas mal d'images qui correspondaient au sujet (Louis Vierne, Jacques Vierne, etc.) — je trouve que la photo de Nadia Boulanger n'est pas mal du tout (avec la légende), faute d'avoir une photo du quintette complet.
- Mais puisque je pars à la recherche de la partition, peut-être trouverai-je aussi une meilleure photo ?
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 19:00 (CEST)
- Et l'intérieur du conservatoire ? l'image est très belle ! --Sidonie61 (discuter) 27 juillet 2018 à 19:03 (CEST)
- Très belle image, mais rien ne nous dit que le concert a eu lieu dans cette grande salle. Question à creuser, mais je cherche.
- Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 19:26 (CEST)
- Oui tu as sans doute raison, la photo date de 2013, donc elle a évolué depuis. Sinon il y a l'image du Conservatoire, la page précisant le même emplacement qu'à l'époque,à toi de voir, bonne suite pour tes recherches, --Sidonie61 (discuter) 27 juillet 2018 à 19:58 (CEST)
- Et l'intérieur du conservatoire ? l'image est très belle ! --Sidonie61 (discuter) 27 juillet 2018 à 19:03 (CEST)
Sidonie61 : L'idéal, ce serait une photo prise dans cette salle en 1920, avec le quatuor et Louis Vierne au piano : Grand Chelem !
(Comment arrivait-il à jouer cette partition hyper-exigeante ? sérieux…)
Pour l'instant, on s'est plutôt reposés sur l'iconographie disponible en ligne (quitte à importer nous-mêmes de petites choses : c'est vrai que j'ai tenu à cette photo de Gabriel Dupont, parce que je trouve qu'il est mignon dessus mais surtout parce que ça manquait… C'est pas un argument convaincant, qu'une image soit belle ou moche )
Comme le texte de l'article mérite qu'on y jete encore des coups de sonde, il faut tenter d'obtenir des images (libres de droits, s'entend) qui correspondent à tous nos critères… et, si possible, à nos attentes.
Le fait que l'article est 80% noir et blanc et 20% sépia ne me dérange pas, par exemple.
Amicalement, FLours toujours 27 juillet 2018 à 20:15 (CEST)
- Bon je te suggère l'illustration correspondant à si cela te convient pour illustrer la section correspondante . Bien cdt, --Sidonie61 (discuter) 28 juillet 2018 à 21:09 (CEST)
- Bonjour Sidonie61
- Tout bien considéré, la seule image que l'on pourrait ajouter de manière utile dans le corps de l'article serait une photographie de René Vierne en uniforme de soldat bleu horizon (en noir et blanc, probablement) pour accompagner le paragraphe entourant sa mort. Ce serait à propos — même si ce serait plus justifié encore dans l'article Solitude (op. 44 pour piano) qui lui est dédié.
- On peut chercher une telle photo : ça aurait de l'allure.
- Mais surtout, surtout pas de monuments aux morts ! (tiens, c'est un alexandrin…)
- À ce propos, on devrait relire les pages savoureuses qu'Alexandre Vialatte consacre à cette question dans Battling le ténébreux en 1928 (grand chapitre de discussions, lorsque le narrateur est progressivement ivre) — infiniment plus amusant, plus incisif (et mieux écrit) qu'Au revoir là-haut…
- Pour l'infobox, je devrais arriver à m'en débrouiller bientôt.
- Amicalement, FLours toujours 30 juillet 2018 à 10:05 (CEST)
Relecture d’Harrieta
modifierBonjour Flopinot2012 , je commence à mon tour une lecture de ce bel article. Je vais noter mes remarques au fil de l’eau, selon la formule de l’ami Arcyon37. Bien à toi.--Harrieta (discussion) 28 juillet 2018 à 06:43 (CEST)
- Contexte : j'ai remis d’aplomb le présent de narration lorsque, dans le même paragraphe, il s’entrechoquait avec l’imparfait. Vérifie que tu es d’accord. J'ai également occulté les liens vers des dates générales, qui ne renvoient pas vers des années en musique classique.
- Bonjour Harrieta171
- Très sincèrement, je déteste le bitume et qu'on passe tous les temps de toutes les conjugaisons au « présent d'éternité ». Ça me déplaît parce que :
- c'est un manque de respect envers les auteurs cités (qui écrivent dans un style que je n'aime pas toujours non plus ! mais les crochets de [verbes conjugués] me cassent la lecture et la narration, j'essaie de les éviter)
- qui dit narration dit antériorité d'événements (donc passé simple ou autre) et durée de leurs effets (donc imparfait) : j'associe parfois les deux lorsque, par exemple, un bouquin est publié et qu'on cite ça dans le contexte (« Le roman Les Thibault avait été publié l'année précédente ») et ensuite, au présent, ce qu'y écrit Roger Martin du Gard (« Dans ce livre, l'auteur plaide en faveur de… ») parce que là, d'accord, c'est un acte sub specie aeterni : son message s'adresse aux lecteurs de 1920 comme à nous
- décidément, personne n'aime conjuguer au futur : une formule comme « Il ne se remettra jamais de la perte de son frère » a plus de force, pourtant, que « Il ne s'en est jamais remis ».
- Enfin bon, c'est affaire de goût. En relisant tes corrections de phrases au futur, j'avoue que je les préfère de beaucoup aux formulations de départ. Habitude ou vitesse acquise, ou simplement neutralité de lecteur, je ne sais pas. Mais c'est mieux Je reprendrais peut-être quelques imparfaits, quand même, qui ne sont pas si choquants.
- Pour le reste, tout le reste, je suis 100% d'accord avec les corrections faites
- J'ai juste un doute sur l'orthographe de « Conservatoire » : je crois que les privilégiés tiennent à leur majuscule. De fait, je n'ai jamais trouvé le mot écrit avec un C minuscule dans la bibliographie. Question de chancellerie
- Bonjour Flopinot, ce que j'ai retenu de discussions passées c'est que, pour la France, on ne retenait la majuscule que pour LE Conservatoire national supérieur de musique et de danse. Maintenant, il s'agit de la Suisse, et je ne sais pas si j'ai eu raison de supprimer la majuscule.--Harrieta (discussion) 30 juillet 2018 à 14:22 (CEST)
- Bonjour Harrieta171
- Je pense que tu as raison : personnellement, je me passerai bien de ces majuscules. Je vais juste vérifier qu'on dit la même chose (« le conservatoire de Genève ») dans l'article comme dans le RI.
- Je viens de rafraîchir les références (sauvons des octets ! ) et ça m'a permis de faire un tour complet avec les sources pas encore citées. Ouf…
- Amicalement, FLours toujours 30 juillet 2018 à 14:32 (CEST)
- Bonjour Flopinot, ce que j'ai retenu de discussions passées c'est que, pour la France, on ne retenait la majuscule que pour LE Conservatoire national supérieur de musique et de danse. Maintenant, il s'agit de la Suisse, et je ne sais pas si j'ai eu raison de supprimer la majuscule.--Harrieta (discussion) 30 juillet 2018 à 14:22 (CEST)
- Merci pour cette lecture attentive. N'hésite pas à me donner aussi ton avis sur ce qui te paraît fautif dans l'article.
- Amicalement, FLours toujours 28 juillet 2018 à 11:56 (CEST)
- Tonalité : « Il serait exagéré […] » : s'agit-il d'un avis donné par un critique ? Si c'est le cas, il faudrait le mentioner en note ou reformuler. Comme je le lis, j'ai l'impression que c'est le rédacteur de l'article qui le dit, et ça se rapproche d'un TI, non ?
- Harrieta171 : c'est un simple enrobage des différentes citations. Je parie que c'est déjà la formulation d'un des auteurs cités, mais j'évite de commencer un paragraphe par « On me reproche déjà pas mal de citer-citer-citer avec des « » qui s'entrechoquent de tous côtés (voir sur cette page les jugements de Patachonf et Archibald Tuttle… que j'aurais dû notifier aussi, d'ailleurs ! )
- TI, ce serait un peu exagéré aussi. Tu crois vraiment qu'il faut encore reformuler ? Pour ce qui est du décortiquage de la quasi-série, je m'appuie directement sur la partition citée : on a besoin d'un professeur de solfège pour savoir qu'un La est un La ?
- C'est quand même piqué de références pour se tenir debout. Mais bon, déjà que c'est d'une aridité désertique…
- Ce sera comme ce que tu en penses
- Cordialement, FLours toujours 30 juillet 2018 à 16:01 (CEST)
Relecture terminée. Je ne suis pas un fana de tous ces liens d'années en musique classique. À part ça, l'article mérite son étoile d'or ! Bravo Flopinot2012 ! Bien à toi.--Harrieta (discussion) 30 juillet 2018 à 16:40 (CEST)
- Re-coucou,
- Je vais ajouter quelques références : à la relecture, il m'en manque deux-trois qui n'étaient pas « vitales » (dans un premier temps) mais comme je n'ai qu'à tendre la main pour ajouter les bonnes pages-à-citer… bah, citons
- Merci pour ta relecture et tes commentaires. Pour les dates « en musique classique », ça ne se voit pas plus que ça dans l'article. Je verrai si on peut en faire sauter, au besoin…
- Amicalement, FLours toujours 30 juillet 2018 à 17:20 (CEST)
Relecture de Borvan53
modifierBonjour FL et merci pour ta sollicitation !
Tout est dans l'émotion dans cet article. Celle de l’amour paternel. De l’affection d'un frère, d'une élève… plus que dans celle de la musique. De la souffrance physique et affective. Mais est-ce un défaut ?
Quant à l'article, l'esthétisme d'une partition commentée avec propos me séduit toujours autant. Que la musique soit belle, oui. Que la mise en page soit telle un tableau (outre les partitions, j'apprécie beaucoup les citations), c'est un effort sur la forme qui illustre la profondeur du fond.
Je t'inviterai quand même à prendre plus de distance vis-à-vis des citations, toutes très laudatives. Sinon on va te reprocher un style hagiographique, etc. Et de toute manière, la meilleure façon de montrer son attachement à quelque chose, n'est-ce-pas de s'en montrer faussement détaché ? Alors singeons un peu l'impartialité...
Quant au label, il est évident que tu ne peux viser que l'AdQ : le traitement très fouillé du sujet t'interdit une autre démarche. Après, en l'état, une écriture un peu plus neutre (j'ai bien écrit « un peu », car sans imprégner le lecteur de l'intensité dramatique de l'œuvre, l'article tombe à plat) me semble salutaire pour convaincre les philistins du romantisme (dont j'ai hélas parfois la sensation de faire partie).
Très amicalement. Borvan53 (discuter) 31 juillet 2018 à 00:05 (CEST)
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passage revu, étendu et équilibré | |
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- Bonjour Borvan53
- Merci pour cette lecture hyper-attentive, et qui met les bonnes ponctuations sur les bonnes lettres : honnêtement, jusqu'en 2011 [parution de la biographie de Vierne par Franck Besingrand] l'écriture même de cet article aurait été impossible — mono-sourcé d'après Bernard Gavoty, dont le texte date des années 1940 et ne marque aucun progrès par sa réédition en 1980 puisque l'esthétique de cet auteur retarde alors d'un siècle entier (pour lui, la Sonate pour violoncelle et piano de Debussy est « un divertissement plus qu'une sonate » « maladroitement écrite pour le violoncelle et, de ce fait, très difficile à exécuter parfaitement », p.269…) — et souvent à la limite de l'hagiographie, comme tu l'as bien ressenti. Mais il lui arrive de critiquer aussi, et je retiens ces critiques avec une attention d'autant plus soutenue.
- L'éloge permanent est un écueil dangereux : mon boulot a été, à 90%, dans la modération des expressions employées par tel et tel auteur cité (les points d'exclamation sont bien de Harry Halbreich, par exemple : je ne me permets, et encore, que des points de suspension…) — et dans les jeux de miroirs des opinions des uns et des autres.
- Le sujet de l'article est, de manière évidente, extrêmement émouvant. Je ne m'attendais pas à tomber dans le piège du mystère des circonstances exactes de la mort de Jacques Vierne. Cet aspect du problème m'a terrifié Heureusement, les informations sont déclassifiées aujourd'hui, accessibles en ligne, nuancées par diverses déclarations dûment référencées : tout y passe, tous les liens en bleu de la révolte et de l'indignation s'y trouvent. Je crois que l'article y a gagné en intensité.
- La discographie, enfin, nous a donné des commentaires d'une remarquable pertinence. Le livret Hypérion est lisible en ligne : notre système de références WP a fait un pas de géant lorsque le modèle note discographique a été admis. Je tâche surtout de mettre en valeur les opinions des divers critiques. J'ai repris la piste sonore de ce passage « digne de Rachmaninov » (c'est vrai je n'y aurais pas pensé moi-même, mais j'approuve ce rapprochement) pour en rendre un peu mieux le débordement romantique.
- (je supprimerai la version d'origine sous Commons : je ne sais pas si tu es d'accord pour y voir un « progrès » mais, à mon avis, y a pas photo )
- Et cette pierre la plus lourde pour la fin : oui, on aime ou on n'aime pas. Je considérerais l'article très incomplet s'il ne s'y trouvait deux sous-sections, « Oubli » et « Critiques ». J'en veux beaucoup à Samazeuilh pour avoir passé sous silence, à deux reprises, le nom de Louis Vierne dans ses articles rétrospectifs. J'en veux encore plus à Antoine Goléa pour la vacherie de son jugement sur Vierne et Charles Tournemire (autre compositeur immense et inconnu : sa Sixième symphonie est tout simplement foudroyante) — ça me déplaît, parce qu'ils manquent à leur devoir de musicologues. Mais je les remercie pour leurs manques, qui viennent faire contrepoids ici.
- Les reproches adressés au Quintette sont simples, et intéressants : je reprends en RI le mot « anachronisme ». Le côté « too much » (pourrait-on dire) est aussi indéniable. Et la noirceur sans issue du propos. Pour le coup, je remercie la curiosité d'un Harry Halbreich qui jette des ponts entre la Première symphonie de Maurice Emmanuel et ce Quintette. J'aime finir un article sur une « ouverture du champ d'horizon ». C'est peut-être un peu mécanique dans ma façon de concevoir un plan d'article — on me le reprochera, sans doute. Je m'y tiens, malgré tout. Et puis, je n'ai jamais imposé cette présentation qu'aux articles que j'écrivais. Le résultat de plus d'un an de recherches, c'est d'avoir trouvé où, par quels textes de telles signatures bien établies, combler toutes les lacunes d'un tel cahier des charges.
- Avec une image de la première page du manuscrit en infobox, que j'aurai bientôt pour l'importer sous Commons, on sera enfin au niveau
- Défauts de conception, de conjugaisons ou de style, on ne me fera pas menue monnaie (j'espère) de la volonté de « bien faire » dont témoigne l'ensemble. Il faut que j'aie une solide affection envers cette musique pour avoir ainsi « fait la guerre » aux embûches que son article m'opposait. On connaît le mot de La Rochefoucauld : « Mais pour un tel objet, je l'aurais faite aux Dieux ! » et j'y songe en lisant ce dernier mot de Vierne : « Mais à quoi servirait de partir en guerre contre la vie ? » (où commence, où s'achève le romantisme ? )
- Bien amicalement, FLours toujours 31 juillet 2018 à 12:58 (CEST)