Discussion:Poisson rouge

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Croyance et mémoire

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Est-ce vrai qu'il n'a que 3 secondes de mémoire ?

It is often said that goldfish have a memory span of only a few seconds, but this is not entirely true. Goldfish have what could be called a selective memory; that is to say, they have some kind of consciousness of what has happened on previous occasions, but may not be sure exactly what it was. They can learn to eat from a certain ring inside their tank, or even from their caretaker's hand, because they will remember that there is something good in that area, but might not remember what.

D'après le Wikipédia anglais, non : les poissons rouges ont quand-même une certaine mémoire, comme tous les animaux. Peter17 6 janvier 2006 à 18:39 (CET)Répondre

J'ai ajouté une référence au sketch de Jean-Marie Bigard mais n'hésitez pas à participer si vous avez plus de précisions sur le sujet. Par exemple la fausse croyance n'est-elle pas née suite à la publication d'un article scientifique fumeux sur le sujet ? --Goa103 22 octobre 2006 à 23:58 (CEST)Répondre

Je viens de voir un episode de MythBusters où ils demontrent que les poissons rouges ont plus de trois secondes de memoire en leur apprenant à se diriger dans un labyrinthe. remXcube 31 octobre 2008 à 10:13 (CET)Répondre

Une étude de chercheurs israéliens, en 2010, a démontré que les poissons avaient même une mémoire auditive : il faudrait déjà savoir ce qu'on entend par mémoire... et récemment, début 2011, un "magicien" chinois a créé un spectacle avec une sorte de ballet dansant de poissons-rouges.Jef - anemone-clown (d) 6 avril 2011 à 11:39 (CEST)Répondre

la cohabitation

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Peut-on faire cohabiter deux poissons rouges avec des gupy, des platy, des néon, etc..?

Le poisson rouge ne peut vivre qu'avec ses congeneres, donc pas de poissons tropicaux avec lui (qui ont besoin entre autres d'une eau chauffée !) L'histoire de 3 secondes de memoire est une abbération, comment un animal pourrait il survivre si il ne sait reconnaitre ses aliments, ses predateurs, ou son territoire ?

Confirmé, vu a la TV ;) emission myhtbuster. http://www.tv.com/mythbusters/sinking-titanic-goldfish-memory-trombone-explosion/episode/315607/summary.html


Catégorie poissons d'aquarium

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Pas seulement, il y a des poissons rouges d'étangs aussi. -- Perky 6 juin 2007 à 09:57 (CEST)Répondre

Et on aimerait en savoir plus sur le mode de vie des individus dans la nature, (créer un article Carassius auratus distinct?) dans leur habitat d'origine comme dans les plan d'eau artificielle. Rien non plus sur l'aspect commercial de son élevage? --amicalement, Salix ( converser) 22 mai 2008 à 18:04 (CEST)Répondre
Salut Salix, j'ai moi-même des poissons rouges dans un bassin, c'est eux. 

Au Printemps le frai (illustré), puis des petits, rouge ou rouge et blanc, même noir. Increvable, aucun entretien, sauf l'hiver, il faut casser la glace pour qu'ils puissent respirer. C'est ce que je sais. Amicalement aussi. -- Perky ♡ 17 janvier 2009 à 20:25 (CET)Répondre

Si, si, si, j'allais oublier, il y a une régulation naturelle qui s'opère, problablement a cause la taille du bassin, et aussi des prédateurs, pas le Héron cendré ou le Cormoran, mais le chat. Certains meurent jeune, d'autre de vieillesse (5 ans environ) chez moi, en tous cas. -- Perky ♡ 17 janvier 2009 à 20:31 (CET)Répondre
Je suis tout à fait d'accord avec toi Perky. A part quand je les ai eus très petits, j'ai toujours mis mes poissons rouges sans problème à l'extérieur même si je n'ai pas la chance d'avoir un étang mais le brave vieux bassin de chez mes parents. J'ai constaté en tout cas que leur croissance, dès qu'ils peuvent être mis dans ce bassin, s'accélère considérablement! Là dedans ils se débrouillent presque sans l'aide de l'homme tant que l'eau est suffisemment abondante et saine avec des algues et un fond de vase. Ils trouvent dans celle-ci des vers et un abri en cas de sècheresse ou de froid (Astuce si l'hiver est très froid et que le traditionnel fagot de branchages ne suffit plus : j'y recycle mon vieux thermoplongeur d'aquarium avec une prise étanche pour maintenir un trou d'air en surface). Je n'ai pas eu de prédateurs (la vase? la profondeur?) mais des parasites oui, à cause de petits poissons gagnés dans une "pêche au canards" par les enfants (rappel à moi-même : ne pas zapper la mise préalable en quarentaine!) qui ont décimés plusieurs poissons de 30 cm qui avaient bien 5 ou 7 ans. Mais tout ceci étant du Travail Inédit, je ne le mettrai pas dans l'article ! Tout de même ils vivent tellement plus heureux ainsi! --amicalement, Salix ( converser) 23 janvier 2009 à 22:49 (CET)Répondre
Il y a assez pour créer une Catégorie:Poisson de bassin ou vivier avec au minimum eux et les Koï ? Sinon il faudrait mettre la Catégorie:Poisson d'aquarium dans une catégorie du genre Catégorie:Poisson d'ornement. --amicalement, Salix ( converser) 23 janvier 2009 à 22:55 (CET)Répondre

Carassius auratus et/ou Carassius auratus auratus ?

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Bonjour, il y a actuellement une incohérence entre le texte et la taxobox. ça fait désordre! Que faire? Qui connaît un document scientifique récent (hors sites de taxinomie qui se contredisent) pour confirmer que l'espèce domestique est bien une sous-espèce (Carassius auratus auratus) et le sourcer de façon fiable? Dans ce cas il conviendrait de scinder l'article et de rétablir le pauvre Cyprin doré "Carassius auratus" dans ses droits   --amicalement, Salix ( converser) 17 janvier 2009 à 19:04 (CET)Répondre

Bonsoir, cela ne va pas t'aider malheureusement, même peut être un peu ajouter à la confusion, mais enfin, le dessin (illustration) ressemble étrangement à un combatant (avec ses voiles) je ne connais pas le nom non vulgaire de ce poisson carnivore. Amicalement aussi. -- Perky ♡ 24 février 2009 à 19:22 (CET)Répondre
Quand on lit la séquence du génome de C. auratus et celle de C. auratus auratus, il faut être assez croyant (dans le sens divin) pour trouver une différence entre ces deux poissons. Il ne semble pas exister d'holotype "officiel" pour C. auratus auratus. Enfin, pour toutes les autres sous-espèces supposées (buergeri, etc.), il n'existe pas de cartographie : difficile de revenir au texte initial de description.Jef - anemone-clown (d) 6 avril 2011 à 11:49 (CEST)Répondre
Merci pour ces précisions. Auriez-vous des sources vérifiables infirmant par exemple ce que dit Aquabase ? --Amicalement, Salix ( converser) 6 avril 2011 à 17:39 (CEST)Répondre
Je vais reformuler : il faut être croyant pour associer l'appellation poisson rouge (car il s'agit bien d'un article sur LE poisson rouge) à une sous-espèce dont Linné lui-même n'avait pas connaissance quand les souches domestiques de poissons rouges ont été créées bien encore avant lui. Qui dit que le poisson rouge (espèce domestique) est issu de la sous-espèce auratus ou de la sous-espèce buergeri ou grandoculis etc. La seule chose dont on est certain, c'est qu'il s'agit de l'espèce C. auratus, mais de là à exprimer qu'il s'agit de la descendance d'une sous-espèce précise, ça me semble aberrant. C'est le principe d'association nom populaire avec un taxon scientifique bien trop précis qui dérange. L'isolement génétique entre les hexaploïdes et tétraploïdes est confirmé depuis 1999 et le polymorphisme de l'espèce (au sens large) est également avéré. Si cela se trouve, le poisson rouge "originel" est issu d'une souche qui n'existe même plus à ce jour... et personne n'en sait rien! J'ai relu des anciens numéros de la "Pisciculture Française" (magazine des années 1960-70) et à aucun moment, il n'est question de sous-espèce. De plus, des variétés de poisson rouge s'hybrident avec toutes les sous-espèces de l'espèce, et même avec Carassius cuvieri. D'autre part, j'exprime juste un avis sur un détail : considérer Aquabase, un simple site privé (ni associatif, ni pro), comme une référence taxonomique, là, ça me laisse pantois et sans voix??? Jef - anemone-clown (d) 16 juin 2011 à 13:56 (CEST)Répondre
C'est bien ce qui me semble : dans tous les cas la sous-espèce est mentionnée de façon très marginale et il est suffisant d'expliquer simplement cette hypothèse dans l'article. Nous avons donc deux solutions : associer « Poisson rouge » à Carassius auratus, comme c'est le cas la plupart du temps [1] & [2], ou bien créer un article sans taxobox de type Rat domestique et dissocier les deux. Dans le second cas il faudrait plus de sources pour étayer l'hybridation avec Carassius cuvieri en amont de la sélection et non plus seulement dans des cas de marronnage. --Amicalement, Salix ( converser) 18 juin 2011 à 23:22 (CEST)Répondre
Il me paraît inutile de séparer le nom vernaculaire du taxon (pour gérer Aquaportail qui est le n° 1 français en aquario, les recherches sur le taxon sont ... absentes : mieux vaut laisser le nom populaire comme entrée). La proposition de laisser la sous-espèce en citation est bonne et suffisante (et répond à la question ici). Bien à toi. Jef - anemone-clown (d) 21 juin 2011 à 17:16 (CEST)Répondre

Tableau à la place de l'infobox

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Bonjour, comme convenu avec les intéressés, j'ai remplacé l'infobox, trop redondante avec la Taxobox, par un tableau plus compact et plus accessible. Voir ici. --amicalement, Salix ( converser) 24 février 2009 à 20:17 (CET)Répondre

Ce paragraphe est à retravailler:

Sachant que se sont des poissons trés résistant en conditions naturelles, il reste à comprendre pour l´aquariophile que les conditions d´élevage ainsi que de transport sont trés dures pour l´animal. Par exemple, on peut trouver à Bangkok, au Chachuchak Market, bon nombre d´éleveur ainsi que de bassin où ils sont exposés. Seulement, les conditions de maintenance sont optimum. Tous les Carasius Auratus, par exemple, quand ce ne sont pas des exemplaires de "concour", sont mis dans des bassins de plus de deux mille mêtres cubes, oxygéné par un "buzzer" ainsi qu´accompagné d´une bombone d´oxygène pur.

Les exemplaires destinés à la compétition, dont le prix n´a de limite, sont beaucoup plus préservés et tous ont leur propre aquarium dont le contrôl de l´eau s´effectue de manière rigoureuse. Pour l´élevage local, les poissons sont beaucoup moins "soignés". Non par manque de connaissance, seulement car au niveau culturel, le but est commercial, non estétique. Les poissons d´élevages locaux sont beaucoup plus sensible que les poissons importés, plus chères, mais plus sensible par exemple a la Ichtyophthiriose (maladie des points blancs).

Les Carasius Aratus d´importation, sont beaucoup plus résistant que ceux que l´on trouve dans les commerces locaux. Ils passent environs plus de vingt heures d´avions, dans des sacs dont l´air est oxygéné par bombone avant de les fermés. Ainsi, "les survivants", sont beaucoup plus robustes que leur congénères élevés en captivité, par la propre résistance de leur transport. Trés peu d´exemplaire asiatique se trouve dans les commerces européens. Mais si vous les trouvé, ils sont capables de s´adapter à des conditions extrêmes. Les pathologies développés en aquarium sont dues à la inexpérience de l´aquariophile et au non-respect des conditions natureles de l´anaimal. Les disfonctions pathogènes de l´espèce viennent de la non-connaisance de la biologie du milieu. Aussi, les conditions de ventes ainsi que la non-préparation des vendeurs en biologie aquatique, contribuent à la problématique pathologique de l´animal. Le plus grand problème rencontré, ne se tourne pas forcément à l´esthétique du poisson, mais à sont entourage. Par définition anatomique, tous les poissons sont dotés d´une ligne latérale de capteurs sensoriel ou nerveux. La transmition par conduction aquatique est beaucoup plus rapides qu´en milieu aériens. Donc, leur système neurologique, est beaucoup plus sensible que celui d´un être humain. Par conséquence, les pathologies encontrées, sont plus d´ordre sensitives que viral. Exemple: Quand à l´acclimatation du poisson, la différence thermique se registre de manière nerveuse. Le système himunitaire développes une nécrose des tissus externes, protégés par un "mucus" qui se voit altéré, et par le ph et par les conditions thermiques. Ainsi que par l´habitat. Pour ne pas parler des conduites des individus qu´y n´ont aucunes idées du besoin réel ni des condition que requiere le poissons.

En milieu naturel, les parasites sont casi inexistant, comme celà n´est pas le cas pour les poissons d´eau de mer. Par leur fomre de vie, ce sont des poissons pacifiques, non-agressifs, qui évoluent en fonction de leur besoins et sont capables de s´adapter à bon nombre de conditions, fournies par l´être humain. Seulement, par manque de connaissance ainsi que par manque d´objectivité, ces animaux sont cibles de problématiques qui n´existent pas en milieu naturel. Si l´on respecte l´ordre d´acclimatation, thermique, biologique et aquatique, ils sont capables de résister à toutes les conditions climatiques sachant que les variations que l´animal vit en milieu naturel peuvent être êtremes. C´est un poissons d´une capacité d´adaptation immense, si l´on arrve à comprendre qu´il ne s´agit pas d´un animal de companie mais bel et bien d´an être vivant, qui par morphologie, est doté d´un système nerveux et qui necessite le même respect ainsi que la même considération qu´un être humain, pour comprendre qu´animal vivant n´est pas un joué, encore moins un défoulement à toutes les névroses que l´ont peu être en train de défouler à travers de l´animal.

En milieu naturel, le poisson ne s´approche pas à l´être humain, sachant que celui-ci peut-être un prédateur. Par contre, pour tous ceux qui savent prendre soin d´eux-même, l´aquariophilie d´eau douce, à travers des Carnacius, est un outil d´apprentissage puissant de la vie aquatique ainsi qu´un mode de compréhention de l´individue animal par ses mouvements ainsi que par sa conduite de respect.

carassin doré

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Une IP (je présume que c'est la même à chaque fois) veut remplacer le terme "carassin" par "carassin doré" (en le mettant en premier nom d'ailleurs).
Les références n'indiquent pas carassin doré, et mettre ce nom en premier me semble cavalier dans la mesure où il me semble qu'on parle toujours d'un poisson rouge, jamais d'un carassin doré.
Quoi qu'il en soit si l'IP a des sources, qu'elle les fournisse avant de modifier l'article. Cordialement, Hexasoft (discuter) 16 mars 2012 à 22:13 (CET)Répondre

Surface ou capacité

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Je ne connais pas les termes utilisés en aquariophilie, mais je trouve bizarre de lire « En aquarium une surface de nage importante est a prévoir, soit 100 litres par individus juvéniles » : une surface ne s'exprime pas en litres ; il me semblerait plus logique de parler d'un volume de nage ou d'une capacité, et bien sûr par individu juvénile (au singulier). - Cymbella (discuter chez moi) - 29 mars 2017 à 21:36 (CEST)Répondre

Tu as parfaitement raison Cymbella, une traduction à l'arrache peut-être ? -- Amicalement, Salix [Converser] 29 mars 2017 à 23:53 (CEST)Répondre

Lien mort

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Le lien servant de référence pour démentir la légende concernant la mémoire du poisson rouge, comme ce lien pointe vers un blog, actuellement, c'est un lien mort, les pages du blog ayant été modifiées. D'autre part, il serait intéressant d'expliquer le principe de l'expérience plus en détail. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 87.91.51.235 (discuter), le 2 septembre 2019 à 00:02 (CEST)Répondre

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