Discussion:Logiciel malveillant

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Askywhale dans le sujet Limites dans la définition et sociologie associée
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Pourriciel

modifier

Le terme de “pourriciel” me semble assez adapté, et cela bien qu'aucun dico ne semble le référencer.
Notons tout de même que certains lui donnent le sens plus étendu de “logiciel pourri”, i.e. dont l'utilisateur estime qu'il est loin de remplir son rôle convenablement.
-- Nicolas Melay 25 janvier 2007

STOP au français abusif dans le langage informatique

modifier

Par pitié, serait-il possible, dans les articles relatifs à l'informatique, de privilégier les termes d'origine, à savoir les termes anglo-saxons...?? Je suis pourtant un farouche défenseur de la langue de Molière, mais les Québécois vont trop loin dans la francisation des termes techniques anglais... De "courriel" jusqu'à "graticiel", en passant passant par toutes ces exagérations à n'en plus finir, on ne comprend plus rien!!! On ne baffoue pas la langue française à dire "mail" ou "freeware", pas plus que les anglais ne baffoue leur langue en disant "rendez-vous", "fiancée", "déjà-vu", etc.... Par contre, on se comprend infiniment mieux en employant des termes anglo-saxons en informatique, et je crois que c'est cela l'essentiel!!

"Partagiciel" est à "Shareware" ce que "jtm" & co est à "Je t'aime"....

section "Étymologie"

modifier

Bonjour,

"Logiciel malveillant est une traduction de l'anglais malware qui est lui-même un mot-valise, contraction de malicious (qui peut se traduire par « malveillant », et non par « malicieux » — « porté à la plaisanterie » — qui est un faux ami) et software (logiciel)."

C'est assez lourd, comme formulation, non ?

Je propose :

"Logiciel malveillant est une traduction de l'anglais malware, qui est une contraction de malicious (signifiant malveillant, et non malicieux) et software (logiciel)."83.199.174.171 (d) 21 mai 2011 à 01:09 (CEST)Répondre

+1, même si cela à déjà été remplacé ^^. Romainhk (QTx10) 21 mai 2011 à 15:33 (CEST)Répondre

Années 90 : WIndows est-il un OS ?

modifier

En 1992, année d'apparition du premier malware pour windows, ce logiciel n'était qu'une surcouche graphique pour le DOS. En effet, celui-ci nécessitait l'installation préalable d'un système DOS. Peut-on alors parler ( à l'époque ) de système d'exploitation ? À moins que ce malware vise les windows de la famille NT, qui eux étaient des OS.

Ygnobl (d) 5 août 2011 à 21:02 (CEST)Répondre

Bonjour,
Voir l'avant dernier paragraphe de cet article (site de Kaspersky Lab). Si l'information n'est pas correcte, merci d'argumenter par une source. Cdt, --Kesiah (d) 5 août 2011 à 21:20 (CEST)Répondre

Le terme "maliciel"

modifier

Le mot "Maliciel" selon les banquiers canadiens. Je précise que je n'ai pas la moindre connaissance sur la façon dont les canadiens francophones s'expriment. Discussion utilisateur:Romanc19s (discuter) 25 janvier 2014 à 12:56 (CET)Répondre

Premier virus pour Linux

modifier

La phrase « Le premier virus pour Linux, dénommé Linux Bliss, est apparu en février 1997 » est vide de sens. Ecrire cela c'est oublier que Linux est un Unixoide parmi d'autres. Or les parmi premiers virus on trouve celui développé par Fred Cohen des 1983 se propageant sur VAX sous OS Unix (Histoire des virus informatique Les origines). 81.65.191.159 (discuter) 18 février 2015 à 07:15 (CET)Répondre

Virus sous Gnu/Linux : a priori non-justifés.

modifier

Comme énoncé dans l'article de manière erronée, il est annoncé que les risques viraux touchent les différents OS au pro-rata de leur part de marché. C'est mal connaître l'écosystème gnu/linuxien que de lui attribuer une homogénéïté qu'il n'a pas. Plusieurs centaines de distributions avec des environnements de bureaux différents, des clients mails et des navigateurs différents avec des mises à jour de sécurité quasi immédiate dès détection de problème font que la contamination est beaucoup plus compliquée qu'un système monolithique. De plus les utilisateurs de ces systèmes sont habitués à travailler sans droits root, ce qui confine les virus dans la couche utilisateur. La principale faille est la recherche d'obtenir les droits de root pour se loger au coeur du système.

En aucun cas c'est comparable à Windows.

86.64.97.227 (discuter) 30 avril 2015 à 16:28 (CEST) Gnu/Linux FranceRépondre

Limites dans la définition et sociologie associée

modifier

La définition est un peu floue, suggete à interprêtation, car très englobante. C'est inévitable, mais ça vient à faire considérer par beaucoup - journalistes, experts, militants ... - que de nombreux logiciels sont des malwares : Windows a abondament reçu cette appelation (ainsi que Linux, par les gens d'en face), plein de logiciels professionnels divers et variés, et même des antivirus (références pas mises ici mais très nombreuses). Et en effet, ils peuvent généralement être appelés ainsi avec raison - en tout cas c'est discutable. L'article est ainsi suffisament vague pour inclure ces points. Sauf la section "Auteurs", qui est très restrictive, excluant que des organisations ayant pignon sur rue puissent être les auteurs volontaires de malware (et que ce soit fortement intégré dans leur business model, dans le cas d'entreprises). Askywhale (discuter) 18 décembre 2015 à 14:34 (CET)Répondre

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil

modifier

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 03 janvier 2017 à 16:46)

Revenir à la page « Logiciel malveillant ».