Discussion:Effet Leidenfrost/LSV 17848
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Effet Leidenfrostrogoff
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- L'effet Leidenfrost (vidéo) est le phénomène par lequel Jules Verne explique comment le héros de son roman Michel Strogoff conserve la vue après le supplice tartare de la lame chauffée au rouge placée devant ses yeux.
Proposant : Gráinne Ni Mháille (discuter) 8 janvier 2020 à 15:41 (CET)
Proposition initiale : L'effet Leidenfrost (vidéo) pourrait expliquer pourquoi Michel Strogoff conserve la vue après le supplice tartare de la lame chauffée au rouge placée devant ses yeux.
Discussion :
- C'est évident. LeidenFrost signifie en allemand « le froid de la souffrance ». On lui passe un fer rouge sur les yeux, ça fait mal, donc il ne sent plus la chaleur qui a été annihilée par le froid. Plus sérieusement, il faudrait mettre l'affaire de Michel Strogoff au conditionnel, parce que rien ne dit que cette invention de Jules Verne marcherait en situation réelle. Michelet-密是力 (discuter) 8 janvier 2020 à 16:51 (CET)
- C'est déjà au conditionnel. --Gráinne Ni Mháille (discuter) 8 janvier 2020 à 17:44 (CET)
- Grammaticalement oui, mais la formulation semble dire que « en vrai » ça pourrait éventuellement marcher, alors que c'est un pur Deus ex machina de la part du Jules qui n'a aucune chance de fonctionner. Michelet-密是力 (discuter) 9 janvier 2020 à 12:32 (CET)
- C'est déjà au conditionnel. --Gráinne Ni Mháille (discuter) 8 janvier 2020 à 17:44 (CET)
- Ah ce que j'ai pu m'amuser avec ça sur l'immense plaque de fonte de la cuisinière à charbon de ma grand-mère ! Je crois que tout le monde aurait été étonné (et à l'époque, probablement pas très content) d'apprendre que ça portait un nom allemand. L'anecdote accroche et l'article est encore plus intéressant (et sourcé), que demander de plus ? --Fanfwah (discuter) 8 janvier 2020 à 18:27 (CET)
- — Ariel (discuter) 8 janvier 2020 à 18:40 (CET)
- Effectivement, cette histoire de larmes est connue des lecteurs de Jules Verne (ainsi que ceux de la bande dessinée Mickey Strogoff de 1973 qui offre une très jolie alternative). Bien trouvé ! --JPC des questions ? 9 janvier 2020 à 10:46 (CET)
Par rapport au conditionnel : l'une des sources citées par l'article, qui donne toute apparence de sérieux, n'hésite pas à prendre l'épisode de Michel Strogoff comme exemple introductif de caléfaction et fait le lien avec les travaux de Leidenfrost, déjà connus lors de l'écriture du roman. Étant entendu qu'il s'agit d'un exemple fictif, je pense que le conditionnel suffit - et puis sinon quoi d'autre ? --Fanfwah (discuter) 9 janvier 2020 à 17:16 (CET)
- Ouh là là ! Je crois bien avoir lu tout Jules Verne, et avoir eu 1000 occasions de faire ce tour avec de l'acier ou de la fonte en fusion, et bien plus souvent encore avec l'acier au rouge. Certes Jules Verne n'est pas un mythomane : il a repris un tour de Jean-Eugène Robert-Houdin. Et beaucoup me citeront cette impressionnante vidéo. Mais j'ai beaucoup enquêté sur les témoignages sur ce phénomène et je n'ai jamais eu d'information de première main sur ce sujet. J'ai aussi un peu trituré les équations associées (ce fut mon boulot que de limiter cet effet qui pénalise la productivité de certains procédés métallurgiques). Par exemple, la vidéo citée plus tôt concerne des scories à 1250 °C (l'auteur de la vidéo le précise, et leur granulation le confirme), qui ne sont pas liées à la métallurgie du fer (l'équipement de protection n'est pas celui de la sidérurgie). Je n'ai jamais eu envie d'essayer. Je connais -de première main- l'histoire d'un type tombé dans une poche de métal en fusion. Que c'est-il passé ? Une partie de l'eau contenue dans son corps s'est brusquement vaporisée, a explosé, propulsant le corps hors de la poche. Je vous passe les détails, mais mon copain qui l'a ramassé m'a expliqué que, quelques heures plus tard, le malheureux bougeait encore … En fait, l'effet dépend de la vapeur, mais aussi des tensions superficielles. Il n'y a aucun risque avec le plomb, mais faites ça avec l'aluminium et vous serez manchot au premier essai. Donc en reformulant, comme je viens de le faire dans l'article L'effet Leidenfrost a été invoqué par Jules Verne dans le roman Michel Strogoff pour expliquer comment le héros conserve la vue après le supplice tartare de la lame chauffée au rouge placée devant ses yeux. Mais il y a trop de problèmes : l’article est nul, l'effet ne peut pas tout expliquer, la littérature traitant sérieusement ce tour, si elle existe, n'est pas citée. Borvan53 (discuter) 9 janvier 2020 à 22:07 (CET)
- Ok sauf que Jules Verne n'invoque pas nommément l'effet Leidenfrost. Mais on pourrait mettre L'effet Leidenfrost est le phénomène par lequel Jules Verne explique comment le héros de son roman Michel Strogoff [...]. --Fanfwah (discuter) 11 janvier 2020 à 16:01 (CET)
- Mieux comme ça, oui, ça répond à mon objection. Michelet-密是力 (discuter) 12 janvier 2020 à 09:38 (CET)
- Ok sauf que Jules Verne n'invoque pas nommément l'effet Leidenfrost. Mais on pourrait mettre L'effet Leidenfrost est le phénomène par lequel Jules Verne explique comment le héros de son roman Michel Strogoff [...]. --Fanfwah (discuter) 11 janvier 2020 à 16:01 (CET)
Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001)
13 janvier 2020 à 13:01 (CET)
Gráinne Ni Mháille : ton anecdote proposée le 2020-01-08 15:41:00 a été acceptée. GhosterBot (10100111001)
13 janvier 2020 à 13:01 (CET)