Damblain
Damblain est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Damblain | |
L'église Saint-Bénigne. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Les Vosges Côté Sud-Ouest |
Maire Mandat |
Éric Grandemange 2020-2026 |
Code postal | 88320 |
Code commune | 88123 |
Démographie | |
Gentilé | Damblinois, Damblinoises |
Population municipale |
254 hab. (2021 ) |
Densité | 19 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 05′ 50″ nord, 5° 39′ 17″ est |
Altitude | 370 m Min. 337 m Max. 412 m |
Superficie | 13,27 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Darney |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site de la Mairie |
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Ses habitants sont appelés les Damblinois.
Géographie
modifierDamblain est située à l'extrême-ouest du département, limitrophe de la Haute-Marne. L'autoroute A31 traverse la commune sans offrir d'accès local. L'échangeur de Robécourt est à 6 km au nord[1].
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierHydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage)
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques
Réseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Follot, le ruisseau de l'Artembouchet, le ruisseau du Grand Etang de Germainvilliers et le ruisseau de Damblain[2],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[3].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 944 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Damblain est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,1 %), forêts (23 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,4 %), terres arables (13,8 %), zones urbanisées (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifier- Autoroute A31 : Échangeurs Robécourt, Montigny, Bulgnéville.
Transports en commun
modifierLignes SNCF
modifierToponymie
modifierLe nom de Damblain ou Dambelain apparaît dans les archives à partir du XIIIe siècle. L'étymologie de Damblain pourrait être Dom Benignus comme indiqué dans le passionnant document "État de la communauté rurale de Damblain à la veille de la révolution française"[16],[17].
Histoire
modifierPendant le guerre de trente ans, Damblain fut brûlé par les Suédois, vers 1635 et souffrit beaucoup pendant les deux sièges de la Mothe, 1634-1645[18].
Damblain fut érigé en comté avec prévôté par Stanislas, en faveur d'Antoine du Boys de Riocourt, conseiller d'État et premier président de la Chambre des comptes de Lorraine[19].
Sous l'Ancien Régime, Damblain relève du bailliage de Bourmont, du diocèse de Langres et doyenné d'Is-en-Bassigny. À la Révolution, la commune a été chef-lieu de canton, de 1790 au 8 pluviôse an IX (), dans le district de La Marche.
En , un rassemblement évangélique des gens du voyage sur l'ancienne base militaire a provoqué de nombreuses réactions. Organisé par l'association protestante Vie et Lumière, il a vu converger quelque 40 000 tsiganes venus de toute l'Europe. Le lieu avait déjà été choisi en 1994 et 1996[20].
De 1936 à 2005, Damblain a hébergé une base aérienne.
Dès 1936, le gouvernement installe une base sommaire avec des pistes en herbe pour faire face à la menace grandissante venant d’outre-rhin.
Divers groupements d’aviation s’y installent à tour de rôle jusqu’en 1949, date à laquelle le terrain est restitué aux Domaines.
En 1951, il est décidé de créer une base OTAN à Damblain. La base sera opérationnelle à partir de 1953 et jusqu’à la sortie de la France du commandement intégré de l’OTAN en 1966. Durant cette période, la base est utilisée pour des exercices interalliés.
De 1966 jusqu’en 2005, la base de Damblain est affectée à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey. Elle est utilisée pour de nombreux exercices. En effet, pendant les manœuvres nationales, l’armée de l’air y déploie régulièrement des escadrons de Mirage 5F, de Jaguar ou de Mirage F1CR.
À la suite de la chute du mur de Berlin et de l’éclatement de l’URSS, le ministère des Armées ferme un certain nombre de bases et d’établissements militaires. En 2005, la base de Damblain est transférée au conseil général du département des Vosges en vue de la création d’un parc d’activités qui sera nommé « Cap Vosges Damblain».
L’aéroclub de Bourbonne-les-Bains, qui utilise la plate-forme à partir de juillet 1965, quitte le site en mai 2009.
Politique et administration
modifierBudget et fiscalité 2022
modifierEn 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 200 000 €, soit 778 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 194 000 €, soit 756 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 149 000 €, soit 578 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 85 000 €, soit 329 € par habitant ;
- endettement : 12 000 €, soit 47 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,69 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 32,43 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 9,89 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 400 €[26].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 254 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[31] :
- Écoles maternelles et primaires à Damblain, Breuvannes-en-Bassigny.
- Collèges à Lamarche, Martigny-les-Bains, Bourmont-entre-Meuse-et-Mouzon, Bourbonne-les-Bains, Val-de-Meuse.
- Lycées à Contrexéville, Mandres-sur-Vair, Nogent.
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[32] :
- Médecins à Vrécourt, Lamarche, Martigny-les-Bains, Mont-lès-Lamarche, Bourbonne-les-Bains.
- Pharmacies à Vrécourt, Lamarche, Bourmont, Bourbonne-les-Bains.
- Hôpitaux à Lamarche, Vittel, Neufchâteau, Langres.
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse Bienheureux-Jean-Baptiste-Menestrel[33], Diocèse de Saint-Dié.
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Élevage d'autres animaux.
Tourisme
modifier- Hébergements et restauration à Doncourt-sur-Meuse, Val-de-Meuse, Bourbonne-les-Bains, Bulgnéville et Vrécourt.
Commerces
modifier- Commerces et services de proximité.
- Site de production de Jefferco granulés de bois "pellets" Grand Est[34].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier-
Église Saint-Bénigne. -
Carte postale représentant l'intérieur de l'église Sainte-Bénigne, entre 1880 et 1945. -
Le lavoir côté est.
- Église Saint-Bénigne classée au titre des monuments historiques par arrêté du [35].
- Objets mobiliers classés au titre des monuments historiques[36].
- Ancienne base aérienne (LFYD) de l'OTAN. Un projet d'industrialisation de cette zone est en cours.
- Monument aux morts[37].
- Le diagnostic archéologique réalisé avant l'aménagement de l'ancienne base aérienne a permis de mettre en évidence, sur une superficie de cinq hectares, une occupation gallo-romaine et médiévale. La fouille des vestiges a été organisée en deux campagnes en 2008 et 2009. Une villa et un ensemble balnéaire sont notamment bien conservés[38],[39].
- Ancienne halle transformée en salle de fêtes[40].
- Lavoir[41].
- Espaces naturels protégés[42] :
Les pères Récollets
modifierLes pères Récollets, de l’ordre des franciscains, qui demeuraient à La Mothe, se déplacèrent à Damblain à la suite de la destruction complète de la place forte en 1645. Ils n’habitèrent pas immédiatement au couvent mais s’établirent dans ce qui a été l’ancien bureau de poste au 14 rue des François. Ils bâtirent ensuite leur couvent dont on peut encore voir le bâtiment principal (propriété privée), chemin des Récollets. En 1789, les religieux étaient au nombre de 19. Sans revenus, ils dépendaient des abbés de Morimond. Leur nombre décroissant, leur ordre est dissous fin 1792 et le couvent est vendu successivement à différents propriétaires.
Personnalités liées à la commune
modifier- Aux XVIe et XVIIe siècles, une dizaine de graveurs, ornementistes, médailleurs :
- Pierre Woeiriot de Bouzey (1532-1599), graveur d'estampes et de portraits, ornementiste et seigneur du lieu est mort à Damblain.
- François Briot (1545-1616), potier d'étain, dont le bassin et son aiguière sont en exposition permanente au Musée du Louvre.
- Nicolas Briot (1579-1646), médailleur et mécanicien et son frère :: Isaac Briot (1585-1670) son frère, médailleur et graveur d'estampes. Nicolas Briot fut graveur général des cours des monnaies de France puis d'Angleterre.
- Antoine Guénard (1726-1806), philosophe, lauréat du prix d'éloquence de l'Académie française en (1755)[44].
- Charles Renard, né Louis Marie Joseph Charles Clément Renard(1847-1905), pionnier de l'aérostation.
- Didier Brice, comédien et metteur en scène de théâtre, originaire de Damblain[45].
- François Germain Adamistre, Chevalier de la Légion d'honneur[46].
Héraldique
modifierBlasonnement :
D'azur au chêne d'or.
Commentaires : Ce sont les armes de la famille Riocour dont Nicolas Du Boys de Riocour, né à La Mothe-de-Saint-Hilairemont (Haute-Marne), le 10-06-1610 et mort à Damblain le 29-01-1692 était Lieutenant général du bailliage de Bassigny, Haute-Marne, conseiller de Charles IV duc de Lorraine et intendant de ses armées[47].
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Galerie de photographies anciennes
modifier-
rue de Poiseul
-
rue des Vachots
-
Gare de Damblain en 1910
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Archives communales
- Archives paroissiales de Damblain (1770-1951)
- Damblain, sur geneawiki.com/
- Armes de Damblain
- Présentation du site archéologique de la villa antique par les archéologues de l'INRAP
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Pages 407-408 : Damblain
- J. François, « Notice sur la petite industrie de Damblain, de 1889 à 1900 », dans Le Pays lorrain, 86e année 1989, no 1, p. 59-61 (lire en ligne)
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Damblain sur le site de l'Institut géographique national.
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Damblain » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Plan et réseaux routiers
- « Fiche communale de Damblain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Damblain et Saint-Ouen-lès-Parey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Damblain ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- https://recherche-archives.vosges.fr/ark:/50275/vta5dd51c6c0befc5de/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_088172c43c840a0076e6850449f27136 Archives municipales]
- Toponymie : Quelques origines de noms de lieux en Lorraine. Vosges
- Géographie des Vosges par Gérard Gley Troisième édition, 1870
- Archives des comtés des Vosgesd’Ancien Régime
- Les Tsiganes se rassemblent à Damblain malgré l'hostilité des élus
- Père du Colonel Charles Renard, pionnier de l'aérostation
- source: quotidien "Les Nouvelles", 30 janvier 1913
- source: quotidien (l'Abeille des Vosges du 6 aout 1927
- Mairie de Damblain
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Bienheureux-Jean-Baptiste-Menestrel
- Site de production de Jefferco pellets
- « Église Sainte-Bénigne », notice no PA00107124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Objets mobiliers classés au titre des monuments historiques
- Monument aux morts
- Institut national de recherches archéologiques préventives
- « Le blob, l’extra-média », sur universcience.tv (consulté le ).
- Salle des fêtes
- Lavoir
- Espaces naturels protégés
- Base aérienne 133, seconde tranche
- Antoine Guénard
- Vivre les Vosges, octobre 2016.
- François Germain Adamistre
- L'Armorial des Villes et des Villages de France