Couloisy
Couloisy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Couloisy | |||||
Église Notre-Dame de Couloisy, monument historique. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC des Lisières de l'Oise | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Cormont 2020-2026 |
||||
Code postal | 60350 | ||||
Code commune | 60167 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Couloisiens, Couloisiennes | ||||
Population municipale |
592 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 158 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 23′ 59″ nord, 3° 01′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 127 m |
||||
Superficie | 3,74 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Trosly-Breuil (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-1 | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
Géographie
modifierDescription
modifierCouloisy est un village picard du Soissonnais jouxtant à l'est Attichy, situé dans la vallée de l'Aisne et traversé par la route nationale 31. Il se trouve à 15 km à l'Est de Compiègne, à 22 km à l'Ouest de Soissons et à 53 km au Sud-Ouest de Saint-Quentin.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aisne, la dérivation de Couloisy[1] et le cours d'eau 01 du Bois Blanc[2],[3],[Carte 1].
L'Aisne est un cours d'eau naturel navigable de 256 km de longueur, traversant les cinq départements Meuse, Marne, Ardennes, Aisne, Oise. Elle est un affluent en rive gauche de l'Oise, ce qui fait d'elle un sous-affluent de la Seine[4].
Divers plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la sablière 1 de la Motte (1,9 ha), la sablière 1 du Bois Blanc (2,1 ha), la sablière 2 du Bois Blanc (2,7 ha), la sablière 3 du Bois Blanc (6,7 ha), la sablière 4 du Bois Blanc (4,4 ha), la sablière des Hauts Prés (4,7 ha), la sablière du Bosquet (9,6 ha), le bassin de décantation 1 de Ganelon (3,7 ha), le bassin de décantation 2 de Ganelon (1,5 ha), le bassin de décantation 2 de Maison Blanche (3,3 ha), le bassin de décantation 3 de Maison Blanche (2,1 ha), le bassin de décantation 4 de Maison Blanche (1,7 ha), le bassin de décantation 5 de Maison Blanche (3,7 ha) et l'étang Henri Chaval, d'une superficie totale de 1,5 ha (0 ha sur la commune)[Carte 1],[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Couloisy est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trosly-Breuil[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (32,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (40,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,7 %), forêts (32,4 %), eaux continentales[Note 5] (19,6 %), zones urbanisées (15,2 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 250, alors qu'il était de 226 en 2013 et de 203 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 88,4 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Couloisy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Couloisy[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88,4 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,8 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,8 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie, en 2023, par les lignes 650, 651, 6302, 6319 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[17].
Une piste cyclable a été aménagée sur l'ancienne Ligne de Rochy-Condé à Soissons, dont le trafic voyageur a cessé en 1939.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Colosiacum (858) ; villam Colesiacum (872) ; Colosiacus (1057) ; Colesiacus (1057) ; altare Colisiaci villae (1057) ; Coloisi (1155) ; de colosiaco (vers 1200) ; Colisia villa (vers 1245) ; Colosi (1309) ; domus de coloisi (1319) ; Coloizi (XIIIe) ; Coloisy (XVIe) ; Couloisi (XVIe) ; Colesy (XVIe) ; Couloizy (XVIe) ; Couloisy (1764)[18].
Histoire
modifierAntiquité
modifierÉmile Coët relate « Des améliorations apportées au cours de l'Aisne, amenèrent, en 1840, la découverte, au lieu dit le Hérand, d'un cercueil en pierre, d'un tintabulum (sonnette en fer) trouvés entre les cornes d'un bouc, et d'un magnifique vase en bronze, d'une forme très élégante, avec une anse ornée d'un médaillon de Bacchus ou d'Apollon. On y trouva encore des monnaies romaines impériales, antérieures à Constantin le jeune, puis des vases de différentes formes, une grande amphore des armes et beaucoup de tuiles à double rebord (Teguloe incurva).
Au lieu dit la Platrière, près de la route de Soissons, on a découvert une grande quantité de sarcophages[19] ».
Moyen-Âge
modifierLouis VII le Jeune accorde en septembre 1155 certaines franchises aux habitants de Couloisy[19].
Époque contemporaine
modifierRaid Pékin-Paris 1907
modifierLa commune de Couloisy, instituée par la Révolution française, est fugacement réunie de 1826 à 1832 à celle de Croutoy[20].
En août 1907 lors du raid Pékin-Paris et de l'avant dernière étape qui devait les mener de Soissons à Compiègne, Georges Cormier et Victor Collignon (tous deux respectivement 2e et 3e) sur voitures De Dion-Bouton, font halte au café de Couloisy situé sur la RN 31, afin de faire le plein en bidons de carburant et se désaltérer. Ils sont accueillis par le marquis Jules-Albert de Dion et le petit père Bouton au garage Chauviet de Compiègne. Le lendemain une foule en liesse les escorte dans les rues de Paris jusqu'à l'arrivée du raid, devant le journal Le Matin.
Première Guerre mondiale
modifierSi le village est bombardé à plusieurs reprises, il est surtout un cantonnement et un lieu de repos de 1914 à 1918, pour les poilus. Le , le colonel du 2e bataillon de chasseurs à pied rapporte dans son Journal de marche, l'état des maisons abandonnées à la hâte par ses habitants et pillées, que ses hommes découvrent à leur arrivée.
Le général Mangin, donne l'ordre de traduire en cour martiale tout militaire pris dans une affaire de vol. Dans la grange du n°47 route de Reims sur la RN 31, les 28e, 99e, 417e régiments d'infanterie, le 106 bataillon de chasseurs à pied, le 15e régiment de dragons, le 3e régiment de zouaves et bien d'autres encore, ont laissé des vestiges (graffitis, postes de tir, etc.). Les restes de deux roulantes de cuisine, des affaires personnelles et d'émouvantes lettres de jeunes gens venus du Creusot pour mourir lors de la deuxième bataille de Picardie et surtout lors des assauts sur Noyon, y sont découvertes en 2008 dans la paille encore intacte de l'époque.
Couloisy a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].
Après la guerre, les familles dont les maisons étaient détruites sont relogées dans des maisons de bois très caractéristiques de la reconstruction provisoire. Un exemplaire, encore en très bon état, a été conservé sur le site de la Roseraie.
Politique et administration
modifierConseil Municipal
modifierLe conseil municipal de Couloisy compte à son actif 15 membres (Le Maire, 3 adjoints, 11 conseillers).
- Mr Jean-Claude Cormont (Maire)
- Gérard Vinet (1er adjoint)
- Janine Van Gool (2ème adjoint)
- Tony Jespierre (3ème adjoint)
- Anne-Claire Da Silva (Conseillère)
- Laure Didelet (Conseillère)
- David Fosset (Conseiller)
- Anne Jolibois (Conseillère)
- Jean-Luc Langlet (Conseiller)
- Éric Letupe (Conseiller)
- Mathilde Maillard (Conseillère)
- Philippe Mateusiak (Conseiller)
- Lucia Quin (Conseillère)
- Angélique Trolard (Conseillère)
- Patrice Van Gool (Conseiller)
Rattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Attichy[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Compiègne-1
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
modifierCouloisy est membre de la Communauté de communes des Lisières de l'Oise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 sous le nom de communauté de communes du Canton d'Attichy et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLe collège d'enseignement secondaire (collège) Louis-Bouland[24], regroupant 567 élèves en 2012-2013. Une école Élémentaire portant le nom "Le Tilleul" est également installée dans la commune, à côté de l'Église Notre-Dame.
Équipements sportifs
modifierLa communauté de communes gère la piscine olympique Marcel Mérigonde située près du collège ainsi que le complexe sportif en face de celle-ci[25].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].
En 2021, la commune comptait 592 habitants[Note 6], en évolution de +14,95 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 272 hommes pour 296 femmes, soit un taux de 52,11 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierLa commune compte un monument historique :
- Église Notre-Dame de Couloisy, située à l'écart du village, a été construite .vers 1150 et remaniée au XVIe siècle. La façade et le clocher datent de l'origine de l'édifice, la nef a été profondément remaniée au XIXe siècle. « Bien que de dimensions modestes, Notre-Dame est un excellent exemple de l'exceptionnelle qualité atteinte par l'architecture religieuse du Soissonnais au XIIe siècle[31] »
On peut également signaler :
- Monument aux morts.
- Lavoir
- Salle Communale
- Écluse
- La Roseraie de Couloisy, 8 rue de la recompense, compte plus de 1000 variétés de roses anciennes ou modernes, dans un jardin privé de 10 000 m2[32],[33].
- Ses pistes cyclables et la proximité de l'Aisne et de la forêt de Compiègne sont des atouts touristiques pour la commune.
-
Église Notre-Dame de Couloisy.
-
Piste cyclable Cuise-la-Motte - Couloisy.
Personnalités liées à la commune
modifier- Le nom d'un ancien seigneur de Couloisy, Jérôme des Crestines, est mentionné dans une inscription de l'église[19]
- Le soldat Georges Langevin lors de son repos dans le village en juillet 1916, écrivit un émouvant poème à sa femme Henriette :
- ICI-BAS
- Ici-bas les lèvres effleurent
- Sans rien laisser de leur velours
- Je rêve aux baisers qui demeurent
- Toujours
- Ici-bas tous les hommes pleurent
- Leurs amitiés ou leurs amours
- Je rêve aux couples qui demeurent
- Toujours, Toujours
- Geo Langevin, juillet 1916, Couloisy Oise.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Louis Hugonnier, Denis Maréchal et Caroline Font, « Archéogéographie et sources anciennes au service du temps long villageois : les cas de Chevrières et de Couloisy (Oise) », Archéologie du Midi Médiéval, vol. 36, no 1, , p. 279–290 (DOI 10.3406/amime.2018.2194, lire en ligne).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Couloisy (60167) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Couloisy »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Couloisy » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Trosly-Breuil comprend deux villes-centres (Cuise-la-Motte et Trosly-Breuil) et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Couloisy » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Couloisy ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Couloisy » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Couloisy - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Couloisy - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Sandre, « la dérivation de Couloisy »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Bois Blanc »
- « Fiche communale de Couloisy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Aisne »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Couloisy et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Trosly-Breuil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Couloisy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 159.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 15-16, sur Gallica.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
- « Les maires de Couloisy », sur francegenweb.org (consulté le ).
- A.C., « Lisières de l'Oise : les nouveaux maires et ceux attendus », Oise Hebdo, no 1369, , p. 18 (ISSN 1774-6418).
- « COLLEGE PUBLIC LOUIS BOULAND (COULOISY) », sur le site de l'académie d'Amiens (consulté le ).
- « Couloisy : bain de jouvence en vue pour la piscine et les salles de sport », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Couloisy (60167) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Couloisy, église Notre-Dame : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « Pépiniere Roseraie La Ferme aux Roses »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur oisetourisme.com (consulté le ).
- « Visitez la roseraie de Couloisy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).