Collection de sculptures du musée des Beaux-Arts de Lyon

Le département des sculptures du musée des Beaux-Arts de Lyon conserve 1 300 sculptures réalisées selon différentes techniques (pierre, marbre, bronze, plâtre, bois…) et couvrant une période chronologique allant du Moyen Âge au XXe siècle. On y note deux points forts : le Moyen Âge et la Renaissance d'une part et le XIXe et le début du XXe siècle de l'autre.

Antoine Bourdelle, Héraclès archer (1908-1909).

Les salles du département sont séparées dans le musée : au premier étage, se trouvent les sculptures anciennes tandis que les œuvres plus récentes sont exposées dans la chapelle. Enfin, des bronzes et quelques marbres du XIXe siècle sont également visibles dans le jardin.

Historique des collections

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Joseph Carlier, Gilliatt et la pieuvre (entre 1880 et 1890).

De 1820 jusqu'au Second Empire, la collection s'est principalement étoffée par les envois de l'État ainsi que par l'achat d'œuvres de sculpteurs lyonnais tels que Joseph Chinard ou Jean-Joseph Carriès. Un leg de François Grognard effectué en 1818 à la ville de Lyon permet d'ouvrir en 1827 la galerie des « Lyonnais dignes de mémoire », déplacée en 1877 dans le Réfectoire. Une salle des marbres modernes est ouverte en 1839 et présente notamment les portraits de lyonnais célèbres, à l'emplacement de l'actuel médaillier[1]. C'est à partir des années 1880 que, grâce à l'action d'Édouard Aynard, président du conseil d’administration du musée à la fin du XIXe siècle, et de Jean-Baptiste Giraud, le musée s'enrichit de sculptures anciennes du Moyen Âge et de la Renaissance[2]. C'est, par exemple, à cette époque que sont acquis le Jongleur roman du Berry et le groupe siennois de l'Annonciation, deux pièces phares de la collection. Cette politique d'achat ambitieuse se poursuit jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Les achats effectués au XXe siècle en matière de sculpture moderne sont, quant à eux, caractérisés par un certain éclectisme, sans qu'il y ait de préférence marquée pour un courant particulier ou certains artistes. Cette orientation a été renforcée à partir des années 1980, avec la reprise d'une politique d'acquisitions plus volontaire, les collections s'enrichissant également des œuvres entrées au musée grâce au legs Jacqueline Delubac.

Collections

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Les collections sont présentées ci-dessous chronologiquement au nom de leur auteur quand il est connu. Les séparations par siècles étant arbitraires, les auteurs qui ont produits des œuvres sur deux d'entre eux sont placés dans celui où ils ont majoritairement produits.

Présentation générale

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Le musée possède un ensemble de sculptures médiévales important, comprenant toutes les écoles régionales, et quelques étrangères[2]. Le parcours de sculpture ancienne débute avec des œuvres romanes dont le Jongleur réalisé dans le Berry à la fin du XIIe siècle. L'Ange et la Vierge de l'Annonciation, œuvres toscanes grandeur nature et polychromes datant du milieu du XIVe siècle, sont un autre chef-d'œuvre de la section de sculpture médiévale, qui renferme également de belles œuvres flamandes. L'art de la Renaissance est représenté par des œuvres de qualité comme le Saint Jean-Baptiste (vers 1475-1478) de Mino da Fiesole et l'étonnant Buste de femme en médaillon (1532) d'un anonyme sculpteur français. On compte également de nombreuses sculptures d'école italienne des XVe et XVIe siècles (école de Verrocchio, de Della Robbia, de Donatello, de Michel-Ange...). Les XVIIe et XVIIIe siècles sont moins riches que la période précédente, mais l'on note tout de même des œuvres de sculpteurs français célèbres tels qu'Antoine Coysevox, Guillaume Coustou ou Augustin Pajou (Neptune, marbre de 1767).

Pour le XIXe siècle, on retrouve Antonio Canova, plusieurs œuvres du Lyonnais Joseph Chinard, dont son Persée et Andromède (terre cuite, 1791), David d'Angers, Antoine Étex (Caïn et sa race maudits de Dieu, marbre, 1832-1839), James Pradier, Jean-Baptiste Carpeaux, Auguste Bartholdi, Jean Carriès, Medardo Rosso, François Pompon ou encore Pierre Auguste Renoir. Une place particulière doit être faite à Auguste Rodin, dont le musée possède le plus grand ensemble d'œuvres en province. Ce fonds, comportant marbres, bronzes et plâtres, a été constitué directement auprès du sculpteur, qui entretenait des relations amicales avec plusieurs amateurs lyonnais. Parmi les marbres, on remarque notamment La Tentation de saint Antoine.

Les bronzes et les marbres exposés dans le jardin complètent la section consacrée au XIXe siècle : ce sont deux sculptures d'Auguste Rodin, L'Âge d'airain (1876) et L'Ombre (1902), bronze fondu en un unique exemplaire dans cet état, une sculpture de Francisque Duret, Chactas en méditation sur la tombe d'Atala (1836), Giotto enfant dessinant une tête de bélier (1842) de Jean-François Legendre-Héral, Le Joueur de flûte (1861) de Jean-André Delorme, Faune ivre (1863) de Léon Cugnot, Démocrite méditant sur le siège de l'âme (1868) de Léon-Alexandre Delhomme, Carpeaux au travail (1909) d'Antoine Bourdelle et Jeune athlète (1909) de Jean-Baptiste Larrivé. Trois groupes en marbre s'adjoignent à cet ensemble : Castalie (1883) d'Eugène Guillaume, Gilliatt et la pieuvre (1890) d'Émile Carlier et Agar (1897) de François-Léon Sicard.

Enfin, la sculpture du XXe siècle est illustrée par des œuvres de Jeanne Bardey (Torse de femme), Antoine Bourdelle (Héraklès tue les oiseaux du lac Stymphale, bronze, 1909), Aristide Maillol, Ossip Zadkine, Amedeo Modigliani, Pablo Picasso, Henri Laurens, Arman… La sculpture Terra de Claudio Parmiggiani a été enterrée dans le jardin du palais des Beaux-Arts en 1989[3], à l'époque où le musée d'art contemporain de Lyon (Saint Pierre art contemporain) est temporairement accueilli par le musée des Beaux-Arts).

Moyen Âge

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Jongleur, anonyme, Berry, troisième quart du XIIe siècle.
  • Jongleur, anonyme, Berry, troisième quart du XIIe siècle. calcaire, 60 × 33 × 11 cm, acquis en 1881, Inv. D140.
    Cette pièce est une des œuvres les plus marquantes du musée, de style roman berrichon. Cette sculpture a été retrouvée dans un pignon de maison à Bourges, et provient probablement de l'archivolte du tympan d'une église voisine démolie, peut-être celle de Saint-Pierre-le-Puellier[4], dont il reste un tympan au musée du Berry.
    On y voit un jongleur en pleine action, venant de lancer de la main gauche une balle qu'il s'apprête à rattraper de la main droite ; il est vêtu d'une tunique courte et d'un manteau. Des inscriptions sur la bordure ont quelquefois été reconnue comme des caractères arméniens ; mais même sans certitude sur ce point, elles témoignent d'une influence orientale sur le sculpteur. La figure s'inscrit à l'intérieur d'une épaisse bordure, exemple typique de la soumission de la sculpture à l'architecture dans la sculpture romane. Par son caractère typique de ce mouvement, cette figure tout en mouvement est la sculpture emblématique de la loi du cadre[5] d'Henri Focillon[2]. Proche du style bourguignon, « l'élégance et la précision du relief, le goût du mouvement et l'aspect très ornemental des drapés font penser notamment au décor sculpté de la basilique de Vézelay »[6],[7],[8].
  • Vierge de Saint-Flour, Anonyme, Auvergne, seconde moitié du XIIe siècle. Bois polychrome et appliques de métal, 71 × 31 × 30 cm, acquis en 1934, Inv. B 1751.
  • Tête de prophète, anonyme, centre de la France, début du XIVe siècle. Calcaire, 44 × 29 × 24 cm. (Acquis en 1934, Inv. B 1753)
    L'origine de cette tête est certainement l'église de Saint-Martin de Cogny située autrefois sur la commune de Thaumiers démolie en partie durant la Révolution. Le bonnet massif désigne un prophète. Les dimensions permettent de penser qu'elle faisait partie d'une statue placée peut-être sur le portail. L'artiste qui réalisa cette statue a peut-être été en relation avec le chantier de la cathédrale de Bourges. « La monumentalité de cette tête est renforcée par la largeur de l'exécution et une maîtrise impressionnante du volume. Les traits lisses du personnage, où s'exprime cependant un modelé réaliste, contrastent avec la chevelure mouvementée et la barbe, profondément sculptées »[9].
 
Vierge à l'enfant, milieu du XIVe siècle.
  • Vierge à l'enfant, anonyme, Île-de-France, milieu du XIVe siècle. Albâtre partiellement doré, 91 × 35 × 22 cm. (Legs Jean Pollet, 1839, Inv. H 6)
    Cette statue représente la Vierge tenant l'enfant Jésus d'un bras. Le sculpteur a réalisé Marie avec un élégant déhanché, des drapés délicats et l'enfant jouant avec le fermoir de sa mère d'une main et tenant un oiseau de l'autre. La pièce d'albâtre a été peinte d'or sur les vêtements et les cheveux et une couronne d'orfèvrerie, qui a disparu, la rehaussait. La sculpture est posée sur un socle du XVIe siècle qui portait originellement une statue de saint Roch, ainsi que l'indique une dédicace.
    Cette sculpture est proche d'une conservée au Metropolitan Museum de New York provenant le l'abbaye de Pont-aux-Dames. Elle est typique d'une production fréquente autour des années 1340 en Île-de-France dans le mouvement de l'amour courtois.
    Cette œuvre est marquante par « la souplesse du drapé, l'élégant jeu de courbe, la finesse des détails et la bonhomie des visages »[10],[7],[11].
  • Autres œuvres.

Renaissance

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Mino da Fiesole, Buste de Saint-Jean Baptiste jeune.
  • Buste de Saint-Jean-Baptiste jeune, Mino da Fiesole, vers 1475-1478. Marbre, 67 × 57 × 28 cm[N 1]. (Acquis en 1888, Inv. D 382)
    Ce buste a été réalisé en imitant fortement les sculptures romaines, les influences étant flagrantes que ce soit pour le costume, le modelé ou la découpe. Mino de Fiesole est également parvenu à restituer une grande concentration et une grande force de caractère à son personnage. Le sculpteur est parvenu à individualiser son modèle et à le rendre particulièrement vivant par des détails réalistes, menton, nez busqué ou rides frontales. Les qualités techniques de Mino se lisent également dans la finesse de la peau de bête retenue par deux cabochons et la chevelure[12].
    Ce buste est un des plus beaux représentant de la sculpture italienne du musée des Beaux-Arts de Lyon. Avec ce Buste de Saint-Jean-Baptiste jeune, il possède un exemplaire des réalisations de Mino de Fiesole alors qu'il est au sommet de son art, et qu'il est en train de rénover largement l'art du buste en Italie, ce depuis le milieu du XVe siècle[13].
    Cette œuvre peut être rapprochée de deux autres portraits de saint Jean Baptiste sculptés par Mino et conservés au musée Jacquemart-André et au Metropolitan museum[N 2],[12].
 
Maître de la Sainte Parenté de Biberach, Le Jugement Dernier, (1510-1520).
  • Le Jugement Dernier, Maître de la Sainte Parenté de Biberach (ou son atelier), vers 1510-1520. Bois de tilleul polychrome, 55 × 17,2 × 11 cm. (Échangé avec la chambre de commerce de Lyon, 1896, Inv. D 678)
    Ce relief propose une iconographie peu banale associant une scène de Jugement dernier à une représentation votive de la peste. La partie centrale montre sous Dieu un ensemble de personnages de toutes conditions, dont certains déjà touchés par la peste. De part et d'autre, Jésus et Marie intercèdent en faveur des implorants. Les parties les plus latérales montrent le jugement dernier avec à gauche saint Pierre accueillant les âmes sauvées et à gauche les damnés en enfer. Cette composition est riche en éléments pittoresques.
    Cette œuvre est attribuée au Maître de la Sainte Parenté de Biberach, un sculpteur actif en Souabe au début du XVIe siècle. Il a fidèlement restitué les habits à la mode dans les années 1510-1520, dans un travail du bois aux détails très soignés.
    Ce relief est très probablement à l'origine la prédelle d'un retable[14].
 
École de la Renaissance française, Buste de femme en médaillon (1532).
  • Buste de femme en médaillon, anonyme, France, 1535. Calcaire, 60 × 56,5 × 24,5 cm. (Acquis par échange avec le musée de Vienne en 1907, Inv. D 792)
    Cette sculpture représente une femme en buste en forte saillie, présentant une pose alanguie, la chevelure tenue par un filet élaboré, coiffée d'un chapeau à plume et la poitrine dénudée ornée d'un collier décrivant une courbe parfaite. Le buste est représenté sortant d'une draperie.
    Taillé dans un calcaire blond, il était placé dans une maison de Vienne probablement en partie haute ainsi que le suggère l'effet de perspective appliqué au buste. La forte saillie est typique de la Renaissance française, son visage fin et ses lèvres et yeux entrouverts créent une beauté délicate, raffinée, ronsardienne[15],[16].
  • Ange et Vierge de l'Annonciation, Anonyme siennois, Milieu du XIVe siècle. Bois de noyer polychrome, 175 × 51 × 46 cm et 171 × 51 × 31 cm. (Acquis en 1884, Inv. D 234 et D 235)

XVIIe siècle

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Œuvres

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Artus Quellinus, Cybèle.
  • Cybèle[17], Artus Quellinus, XVIIe siècle 3e quart : Date estimée, (Don de M. Baverey, 1925[N 3], Inv. n° B 1365[N 4])
    Bas-relief, 69 x 39 x 40 cm, terre cuite[N 5].
    Lorsque ce bas-relief a été donné au musée, il était attribué à Joseph Chinard à cause de l'inscription qu'il porte. Toutefois, l'analyse que Madeleine Rocher-Janeau effectue en 1978, sans rejeter l'attribution, soulève la difficulté que ce bas-relief n'est connu ni par des écrits de Chinard, ni des spécialistes du sculpteur lyonnais. Avec cette première attribution, il était admis que la figure représenterait la Ville de Lyon. De nos jours, il est admis que Chinard n'est pas l'auteur car la signature a été faite après cuisson alors que le sculpteur écrivait systématiquement son nom avant celle-ci[N 6]. Le premier a proposer une autre attribution est le professeur Theverkauff des Musées d'État de Berlin qui le rapproche d'une estampe de Cybèle d'après une œuvre de Artus Quellinus l'ancien. Puis, Frédérique Brinkerink a attiré l'attention sur la grande similitude entre ce bas-relief et une sculpture du Rijkmuseum attribuée à Artus Quellinus l'ancien et datée de 1651.
    Le bas-relief représente une figure féminine entourée d'un lion et d'une lionne, avec une couronne, un sceptre fleurdelisé et une clef dans la main gauche[18].
    Exposition : 1990, Palais Saint-Jean, Une femme, deux fleuves, un lion. Allégories et symboles relatifs à la ville de Lyon depuis sa fondation jusqu'à nos jours Lyon, n° 9
Image externe
  Photographie sur la notice officielle du MBA.
  • Saint-Pierre[19], artiste inconnu, France, XVIIe siècle, (Don de l'Association des amis du musée pour 2800 francs en 1968, Inv. n° 1968-152)
    Ronde-bosse, 103,5 x 58 x 79 cm, bois polychromé.
    Cette sculpture, découverte dans une maison de la région lyonnaise est une figure d'applique, les traces d'accrochage sont visibles au revers. Elle provient probablement d'un décor d'église. Si elle a été désignée sous la mention de « Saint-Pierre », son torse nu et sa barbe très longue évoquent plutôt un saint Jérôme pénitent[20].
  • Tête de profil tournée vers la droite, saint-pierre ?, artiste inconnu, France, milieu du XVIIe siècle, (date et mode d'acquisition inconnu, Inv. n° H 1920)
    Fragment de haut-relief, 26 x 24 x 15 cm, pierre polychromée.
    « Le visage de profil d'applique présente le type iconographique traditionnel de saint Pierre, tonsuré, portant une courte barbe noire. Il est vêtu d'une chape dorée ornée d'un décor de quadrillage et d'une fleurette, qui doit correspondre à la figuration de l'apôtre en pape »[20].
  • Tête de mort laurée[21], artiste inconnu, France, XVIIe siècle, (achat auprès de Mme Dugon pour 450 francs en 1977, Inv. n° 1977-5)
    Bas-relief, 23,5 x 15,5 x 40 cm, marbre[22].
    Ce crâne funéraire couronné de laurier est typique de décor de tombeaux de cette époque. La qualité du matériau, un très beau marbre, indique qu'il devait appartenir à un monument important, car on n'emploie rarement ceux-ci pour un élément somme toute secondaire. Il est délicat de vérifier la provenance de cette tête de mort malgré l'indication anonyme du revers qui indique le double tombeau d'Henri Ier de Guise et de son épouse Catherine de Clèves au sein de la chapelle du Collège des Jésuites d'Eu ; mais elle est vraisemblable. Les sculpteurs qui ont travaillé sur ces tombeaux sont Barthélemy Tremblay, Germain Gissey et Martin Dupont[23].

Artistes

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Galerie

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XVIIIe siècle

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Étienne Maurice Falconet, Le Docteur Camille Falconet (1747).
  • Le Docteur Camille Falconet, 1747. (Dépôt de la bibliothèque municipale de Lyon, 1904, Inv. B 675)
    Buste, terre cuite, 54 x 30 x 25 cm.
    Ce buste fixe Camille Falconet à l'âge de soixante dix-sept ans, doté d'une large perruquet et simplement vétu d'une chemise au col ouvert. Le modelé particulièrement réaliste présente une physionomie ouverte. Sur l'arrière, une inscription en grec dit : « Des deux homonymes, l'un a reproduit l'autre par la plastique ; le jeune a représenté le vieux ».
    Camille Falconet ne semble pas avoir eu de relations de parenté avec le sculpteur. Ce dernier présente l'année de sa réalisation le buste au Salon. Il réalise un second buste en 1760 en marbre, qui est conservé au musée des Beaux-Arts d'Angers[24].
    « Ce portrait sans concession nous donne à voir un homme âgé de soixante-dix-sept ans, dont l'épiderme trahit le passage du temps, mais qui n'en a pas moins le regard vif, un mot d'esprit semblant près à jaillir de ses lèvres entrouvertes »[7].
 
Jean-Baptiste II Lemoyne, Bernard le Bovier de Fontenelle (1748).
  • Bernard Le Bouyer de Fontenelle, 1748. (Don des héritiers de Charles Gillet, 1974, Inv. 1974-4)
    Buste, terre cuite, 59 x 36 x 26 cm.
    Cette œuvre représente l'un des fondateurs de la philosophie des Lumières, Bernard Le Bouyer de Fontenelle. Réalisée en même temps que ceux de Voltaire, de La Tour et de Mlle de Bonnac, elle a été exposé au Salon de 1748. « Modelée avec virtuosité, elle se distingue par sa très haute qualité d'exécution. L'artiste est parvenu à rendre à la fois la bonhomie de son modèle et la vivacité d'esprit de l'auteur des Entretiens sur la pluralité des mondes ».
    La terre cuite originale a été offerte à l'Académie des sciences de Paris en 1771 et l'exemplaire du musée de Lyon pourrait être celui connu dans une vente publique de 1782[25].
 
Buste d'Antoine Berjon, 1788
  • Antoine Berjon, 1788. (achat en 1895 auprès de Jean Reignier pour 300 francs, Inv. B 524[26])
    Buste, terre cuite, 67.5 x 49.5 x 30.5 cm[N 7].
    Ce buste relève du portrait d'amitié, type fréquent au siècle des Lumières, associant autant les valeurs d'individualité que de sociabilité. Il semble s'adresser à quelqu'un qu n'est pas le spectateur, avec ses lèvres entrouvertes, son regard et sa tête tournés sur le côté. Clément Jayet a également mêlé la référence aux statues classiques et une certaine désinvolture en le vêtant tout à la fois d'une chemise ouverte et d'une toge retenue par une fibule. Le sculpteur a utilisé ce même mélange pour réaliser le buste de Joseph Chalier[N 8]. Cette image tranche avec les autoportraits réalisés par Berjon où il se montre plus formel et statique dans celui conservé au musée des beaux-arts de Lyon ou plus direct et débraillé sur celui conservé au musée des Tissus et des Arts décoratifs[27].
    « Le sculpteur cherche à exprimer le sentiment même de la vie et livre une sorte d'instantané, la chaude couleur et la malléabilité de la terre contribuant à cette impression. La plasticité et le mouvement font tout le prix de cette œuvre, dans laquelle le brio se dispute au naturel : Jayet creuse de nombreux et profonds plis les étoffes de la chemise, du jabot et du manteau, de même qu'il trace des sillons ondulants pour séparer les lourdes mèches de la chevelure »[27].
    Une copie en plâtre est déposée à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon[N 9], une autre est apparue sur le marché de l'art à Chartres en 2016[27].

Autres artistes présents au musée

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XIXe siècle

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L'art de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle est celui de l'apogée du néo-classicisme, porté par la vénération de l'art antique et une recherche du « Beau idéal ». Ce courant au sein du musée des Beaux-Arts est largement représenté par la sculpture, notamment par un ensemble du sculpteur lyonnais Joseph Chinard, personnalité majeure de ce mouvement[28].

Première moitié du XIXe siècle

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Joseph Chinard, Persée délivrant Andromède.
  • Persée délivrant Andromède, Première moitié du XIXe siècle. Marbre, 180 x 77 x 80 cm. (Don de Mme Chinard, Inv. H 810)
    Cette statue a été réalisée à l'occasion du concours de l'Académie Saint-Luc de Rome de 1786, où Chinard le remporte, acquérant d'un coup une grande notoriété. L'original en terre cuite étant la propriété de l'Académie, le sculpteur en fait parvenir un exemplaire en plâtre à Lyon et l'intendant Jean-Antoine Terray, à sa vue, lui en commande un en marbre.
    La sculpture, pour une raison inconnue, est inachevée. Elle permet toutefois de bien retrouver l’influence de l’école française, de Julien et Pajou. Le langage utilisé est moderne et original.
    Le musée conserve également une réplique de l’original en terre cuite réalisé par Chinard en 1791 lors de son second séjour à Rome[29].
  • Buste de Juliette Récamier, Joseph Chinard, vers 1805-1806. Marbre, 80 x 42,5 x 30,5 cm. (Acquis en 1909, Inv. B 871)
    Ce buste illustre à la perfection la vague néo-classique du début du XIXe siècle[30].
  • Caïn et sa race maudits de Dieu, entre 1832 et 1839. Marbre, 205 x 171 x 153 cm. (envoi de l'État, 1839, Inv. H 807)
    Avec cette sculpture, Antoine Étex triomphe au Salon de 1833 face, notamment, au Lion au serpent de Barye et au Pêcheur napolitain de Rude. Entrepris dès 1831 à Rome, cette œuvre entremêle le style de Michel-Ange à une inspiration romantique probablement issue du drame de Lord Byron Caïn de 1821. Même Ingres la salue, tout en s'inquiétant des dangers de la « sculpture d'expression ». De la sculpture sur platre présentée au Salon, l'État commande un exemplaire en marbre en 1836, qui est déposé dès sa livraison au musée de Lyon. Une œuvre directement inspirée de cette pièce est l'Ugolin de Carpeaux actuellement au musée d'Orsay[31].
  • Odalisque, 1841, (Envoi de l'État, 1841, Inv. H 793).
    statue, marbre, 105 x 94 x 61 cm.
    Cette sculpture est l'un des plus beaux nus de Pradier. Cette odalisque a permis au sculpteur de montrer une exceptionnelle virtuosité et une grande originalité. Présentée au Salon de 1841, son audace de représenter une femme nue directement assise sur le sol fut inacceptable pour les Classiques. Le thème est pourtant à la mode et le sujet orientalisant très présent parmi les écrivains et peintres, mais peu chez les sculpteurs. Cette œuvre a manifestement subi l'influence d'Ingres et de sa Grande odalisque[32].

Seconde moitié du XIXe siècle

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  • Ernest Meissonier, 1891-1895 (commandée par la ville de Lyon pour 5000 francs, 1895, inv. n° B 522)
    buste, 145 x 74 x 58 cm, marbre
    Cette statue commandée pour la galerie des Lyonnais dignes de mémoire est la seule à être une statue à mi-corps. Sa réalisation a été suivie par l'architecte en chef de la ville Abraham Hirsch.
    Cette statue réalisée peu après le décès du peintre a une volonté commémorative, en témoigne le laurier représenté en bas du buste. Elle a été réalisée d'après une documentation photographique[33].
    Exposition : 1894, Lyon, Exposition universelle, n° 1210 ; 1895, Paris, SAF, n° 2830.
 
Maquette de Barrias pour un monument public dédié à Victor Hugo.
  • Victor Hugo, 1896-1900 (commande à l'artiste à l'issue d'un concours, inv. n° B 836)
    statue, 118 x 59 x 58 cm, plâtre
    La maquette est réalisée après que Barrias ai gagné un concours secret pour l'érection d'un ensemble monumental dédié à l'écrivain. Barrias gagne le concours pour le monument lui-même, et est accompagné d'Alexandre Falguière pour les bas-reliefs. Comme documentation, Barrias emprunte à Paul Meurice des portraits de Hugo. Après la mort de Falguière, Barrias hérite de la réalisation des quatre bas-reliefs, et en confie deux à André Allar.
    La composition est pleinement dans le style néo-baroque en vogue à l'époque et est inaugurée le 26 février 1902. Elle rencontre toutefois de nombreuses critiques, menée par Octave Mirbeau. L'œuvre en bronze est détruite en 1942 par le régime de Vichy dans le cadre de la récupération des métaux non ferreux.
 
Le Mendiant russe, ou Le Déshérité (vers 1881), Jean Carriès, plâtre patiné.
  • Portrait de Louise Labé, 1887, buste en bronze, fonte Bingen, inv. B 1258-a[34] ;
  • Le Mendiant russe, ou Le Déshérité, vers 1881, plâtre patiné, inv. 1936-2[34] ;
  • Le Guerrier, 1883-1884, plâtre patiné, inv. B 529[34] ;
  • Le Guerrier, 1883-1884, plâtre patiné, inv. 1937-51[34] ;
  • L'Aveugle, 1879, buste terre cuite, inv. B 1153 bis-u[34] ;
  • La Religieuse, ou La Mère Callamande, 1888, buste en cire brune sur support de plâtr, inv. B 1399[34] ;
  • Le Désespéré au grand chapeau, 1882, buste en plâtre patiné, inv. B 528[34] ;
  • Alphonse Baudin, 1879, buste en plâtre patiné, inv. B 618[34] ;
  • Le Cuisinier, dit aussi Le Vieux Magistrat ou L’Homme à la toque, 1883, buste en plâtre patiné, inv. B 530[34] ;
  • Bébé à la bouche ouverte, buste en grès émaillé, inv. 1961-106[34] ;
  • Bébé dormant les poings sur la poitrine, 1888-1890, haut-relief en plâtre patiné à reflets bruns, inv. 1936-3[34].
 
Caron, Philibert Claitte, (env. 1889)
  • Caron[N 10], Philibert Claitte, vers 1889. (don de Louise Claitte[N 11], 1993[N 12], Inv. 1993-8)
    Statue, 124 x 75.5 x 60 cm, plâtre[N 13].
    L'œuvre a été réalisée à Londres. Elle est importante car elle se démarque de l'ensemble des réalisations de Claitte, qui officie essentiellement dans le domaine du buste ou médaillon. A Londres, Claitte travaille avec plusieurs autres artistes français comme Alphonse Legros dont des exilés à la suite de l'épisode de la commune de Paris tel Jules Dalou. Il semble avoir été l'élève de Legros.
    Le sujet, caron, le passeur des âmes, est nu et présente un visage bien travaillé, manifestant l'effort de sa charge. Le mort qu'il porte, décharné et bouche béante, le serpent qui enserre le socle accentuent la symbolique de la difficulté de la charge du dieu. Cette œuvre témoigne d'une influence romantique ou pré-expressionniste, Claîtte se déclarant influencé par Rodin. Le côté macabre de la statue peut également être rapproché des créations de Legros ou du Et toujours et jamais !![N 14] d'Émile Hébert[35].
    Exposition : 1897, Lyon, SLBA, n° 914 ; 1914, Lyon, EU, n°450. Il existe dans les documentations du musée une photographie ancienne représentant l'artiste dans son atelier avec Caron.
 
Faune ivre, Léon Cugnot, 1863
  • Faune ivre, dit aussi Retour d'une fête de Bacchus, Léon Cugnot, 1863-1870, (acquis par l'état pour 4000 francs à l'artiste en 1870, envoi au musée en 1871, n° A 3013)
    Statue, 145 x 53 x 54, bronze[N 15]
    Le faune ivre est une œuvre de jeunesse de Cugnot, conçue lors de son séjour à l'académie de France à Rome. Il s'agit à cette époque d'un poncif de l'art[36].
    Exposition : Salon de Paris de 1870, n° 4397.
 
Démocrite méditant sur le siège de l'âme, Léon-Alexandre Delhomme (1868).
  • Démocrite méditant sur le siège de l’âme, 1868 (Acquisition de l'artiste pour 4000 francs)
    statue, bronze, 160 x 70 x 90 cm[N 16].
    Trois ans après son entrée dans l'atelier d'Augustin Dumont, Delhomme expose au Salon en 1869 son Démocrite méditant sur le siège de l'âme, œuvre qui est probablement une préparation au prix de Rome. Sa sculpture est ensuite exposée à l'exposition universelle de Lyon en 1872 où il remporte la médaille d'or. L'ancien maître de Delhomme Fabisch défend alors l'acquisition du la sculpture par la ville de Lyon qui l'achète pour 4000 francs. Il est actuellement exposé au jardin du musée[37].
    Le sujet est un thème classique de l'art occidental en sculpture ou peinture. Delhomme se réfère à un épisode tiré d'une lettre apocryphe d'Hippocrate à Damagète qui a inspiré une fable à Jean de la Fontaine : Démocrite et les Abdéritains. Il grave une fraction de la fable sur l'avant de la base : « Hippocrate arriva dans le temps que celui qu'on disait n'avoir ni raison ni sens cherchait dans l'homme et dans la bête quel siège a la raison, soit le cœur, soit la tête ». Le livret de présentation de la version en marbre du salon de 1875 en propose un extrait plus long[37].
    La sculpture est une solide étude anatomique portée par plusieurs références dont le Mars Ludovisi antique du Musée national romain au Palais Altemps. Delhomme prend certes soin de détailler la musculature de Démocrite, mais également de faire apparaitre des signes d'ascèse et de vieillesse. « C'est sans doute l'œuvre la plus aboutie du sculpteur ardéchois, qui parvient à l'expression d'une force tranquille toute en retenue. Cette variation convaincante sur une posture galvaudée est servie par des détails raffinés - telle la main puissante du philosophe enserrant le crane pour en percer les secrets »[37].
    Un modèle en plâtre est exposé au Salon de 1868 (n° 3531, loc. inconnue) ; il existe une possible esquisse en bronze au sein d'une collection particulière et une copie en marbre présentée au salon de 1875 et à l'exposition universelle de 1878 et exposée actuellement au Parc Jean-Rameau de Mont-de-Marsan[37].
  • Jeune fille cueillant une fleur, dit aussi Psyché au bord de l'eau, 1865-1867, statue en marbre, exposée à l’Exposition universelle de 1867. Il existe une version en bronze exposée au Salon de 1865 ;
  • Premier essai, dit aussi Joueur de flûte, 1861-1868, statue en bronze, 122 cm, acquis par la ville de Lyon en 1868[38]. Il existe une version en marbre conservée au musée d'Orsay [39] ;
  • Jean Tisseur, 1884, buste en marbre, galerie des Lyonnais[40].
  • Clair Tisseur, 1897, buste en marbre ;
  • Jean-Jacques de Boissieu, 1883, médaillon en bronze ;
  • Pierre Drevet, 1883, médaillon en bronze .
  • La Force, haut-relief, bronze, 1,60 × 2,10 × 0,53 m, 1852 ;
  • La Loi, haut-relief, bronze, 1,45 × 2,05 × 0,51 m, 1852.
  • Chloé, 1869-1873
    Statue, terre cuite patinée, 1,265 × 0,400 × 0,775 m.
  • Monument à Danton, 1888[41]. (Don par la famille de l'artiste en 1924, Inv. : B 1342[N 17])
    Esquisse, plâtre patiné, 85 x 44 x 44 cm[N 18]
    Cette composition est la première œuvre exposée par Fernand Massignon qui utilise déjà le pseudonyme de Pierre Roche. Il cherche à exprimer l'éloquence révolutionnaire par la composition dynamique, et des éléments forts, visiblement inspiré du Départ des volontaires de François Rude[42].
    Cette esquisse répond à un concours de la ville de Paris ouvert en 1887 et remporté par Auguste Paris avec le Monument à Danton[42].
 
Première communion (1893), René de Saint-Marceaux.
  • Arlequin, statue plâtre patiné avec croix de mise au point, 1,735 × 0,67 × 0,673 m, 1879-1880;
  • Première Communion, statue marbre, 1,305 × 0,86 × 1,13 m, 1893;
  • L'Aurore, statue marbre, 0,78 × 0,31 × 0,32 m, 1895;
  • Saint Jean, modèle vers 1899, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,11 × 0,11 × 0,07 m;
  • La Douleur, étude pour une figure du socle du Monument à Alexandre Dumas fils, modèle vers 1899-1906, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,215 × 0,160 × 0,190 m;
  • L'Amérique, étude pour le Monument à l'Union postale universelle, modèle vers 1904-1908, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,110 × 0,100 × 0,095 m;
  • L'Océanie, étude pour le Monument à l'Union postale universelle, modèle vers 1904-1908, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,09 × 0,075 × 0,075 m;
  • L'Afrique, étude pour le Monument à l'Union postale universelle, modèle vers 1904-1908, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,130 × 0,017 × 0,010 m;
  • L'Asie, étude pour le Monument à l'Union postale universelle, modèle vers 1904-1908, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,100 × 0,080 × 0,075 m;
  • L'Europe, étude pour le Monument à l'Union postale universelle, modèle vers 1904-1908, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,09 × 0,07 × 0,06 m;
  • Jules Claretie, modèle vers 1912, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,160 × 0,140 × 0,095 m;
  • Prêtresse, dit aussi Tristesse, 1913, tête, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,235 × 0,200 × 0,045 m;
  • Étude dite pour le Génie gardant le secret de la tombe, édition en 1922, masque, exemplaire d'édition en terre cuite, 0,185 × 0,210 × 0,160 m.
  • L'Âge d'airain, statue de bronze, 1,80 × 0,52 × 1,515 m, 1875-1877;
  • L'ombre, statue de bronze, 1,92 × 0,52 × 1,03 m, 1902-1904;

Autres sculpteurs représentés

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Cette liste est classée par le nom des sculpteurs.

 
Jean-François Legendre-Héral, Eurydice (1821).
 
James Pradier, Odalisque (1841, détail).

Galerie

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XXe siècle

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  • Jeune fille à la cruche[N 19], 1905-1912 (acquisition en 1921, Inv. n° B 1255[N 20])
    Statue, plâtre patiné, tirage de 1921 ; 178 x 86 x 55.5 cm[N 21].
    La statue est caractéristique des réalisations de Joseph Bernard, avec un visage stylisé, les yeux en amande et le bandeau qui retient les cheveux. L'œuvre a la forme des statues destinées à la fonte et le sculpteur est parvenu à rendre tout à la fois une impression de mouvement un peu maladroit avec les pieds en dedans, et un équilibre parfait. L'ensemble est tout à fait naturel[43].
    La Jeune fille à la cruche est exposée tout d'abord au salon d'automne de Paris de 1912, puis à l'Armory show à New York puis Chicago en 1913. En 1914, elle est présente à l'exposition internationale de Lyon. Elle est par la suite exposée dans presque toutes les capitales d'Europe et figure à la rétrospective consacrée à Joseph Bernard montée en 1932 au musée de l'Orangerie. L'État français commande en 1917 une copie en bronze pour le musée du Luxembourg ; cette copie est à présent au musée d'Orsay[43].
    Première œuvre en plâtre de Bernard, il en réalise rapidement un moule pour en faire quatre copies en plâtre. Il fait également de nombreuses copies partielles de tête, bras, jambes. Cette statue possède une impressionnante fortune critique depuis le commentaire d'Arsène Alexandre en 1912 : « Il n'est pas un esprit sensible à la grâce, un peu voluptueuse, qui n'admire cette Jeune fille à la cruche » à Luc benoist : « Nul ne pourra d'ailleurs écrire l'histoire de la sculpture en ce début de siècle sans retenir comme une date l'apparition de sa Jeune fille à la cruche »[43].
    Il en existe des copies au sein de nombreux musée français et étrangers tel le Musée du Chiado ou au musée des arts décoratifs de Paris[43].
  • La Vierge folle, dit aussi La folle danseuse[44], 1909-1912 (acquisition en 1951[N 22], Inv. 1951-17)
    Statue, bronze, 177 x 103 x 120 cm[N 23].
    La statue trouve son origine dans la fascination de Wouters pour la prestation d'Isadora Duncan dans la Danse des scythes donnée à la Monnaie de Paris. Il fait poser son épouse Nel de Carrière-Wouters. Son titre vient peut-être d'un pièce d'Henry Bataille jouée à Paris en 1910[45].
    Nel écrit au directeur René Jullian en 1952 : « Au fond, ce n'est pas une statue pour un musée et elle ferait beaucoup mieux dans un parc public, elle a besoin d'espace et de verdure. C'est quand il pleut et qu'elle est ruisselante d'eau qu'elle est la plus belle »[45].
    Il existe un plâtre présenté à la SNBA de 1913 (loc. inconnue), plusieurs exemplaires en bronze (au Middelheimmuseum d'Anvers, au musée d'Ixelles et au musée du Sart-Tilman de Liège) et la reproduction de la tête en bronze[45].
  • L'Équilibre, 1925 (acquisition en 1925[N 24], Inv. n° B 1367)
    Statue, plâtre, 71 x 28 x 28 cm[N 25].
    Cette œuvre est le moulage d'une esquisse préparatoire pour une fontaine en marbre réalisée pour l'exposition internationale des arts décoratifs de 1925. Une des dernières réalisations de l'artiste, il s'agit d'une sculpture parmi ses plus originales. Prenant peut-être modèle sur les iconographies classiques du Salvator mundi où l'enfant Jésus est représenté debout sur la sphère terrestre, il s'en détache en optant pour un enfant non pas statique, bras le long du corps, mais très réaliste où la petite fille a un air concentré et volontaire, cherchant à conserver son équilibre et à faire un pas dessus. Le modèle de Blondat pour l'enfant est sa fille Marthe. L'artiste est connu pour être un spécialiste des figures enfantines, comme la fontaine La Jeunesse de 1904[46].
    Cette sculpture a été exposée lors de l'exposition Portraits d'enfance de 2003 au musée des beaux-arts de Lyon[46].
    Il en existe des versions différentes avec les bras davantage repliés sur l'enfant, tel l'exemplaire présent au musée des années trente de Boulogne-Billancourt. Il a existé un exemplaire en bronze de la fontaine entière installée en 1926 derrière le Petit Palais à Paris, qui a été refondu en 1943[46].
  • La Prisonnière, 1943 (acquisition en 1956[N 26], Inv. n° 1956-37)[N 27]
    Statue, bronze, épreuve de 1956, 190 x 78 x 65 cm[N 28].
    Cette sculpture d'un personnage féminin enfermé dans une cage figure la France durant la Seconde Guerre mondiale. Cette sculpture est réalisée par Zadkine durant son exil aux États-Unis ; départ contraint par ses ascendances juives en 1941. Cette œuvre est réalisée à New York fin 1943, d'abord sous forme de maquette, puis en plâtre sur armature de fer. Achevée en décembre 1943, la Prisonnière est exposée dans un galerie new-yorkaise dès janvier 1944[47].
    Le journal de l'artiste témoigne de la douleur de son exil et de la situation de la France occupée, qu'il connait au travers des courriers de son épouse Valentine Prax restée en France. Il y écrit le soir de l'achèvement de l'œuvre : « En [la] modelant j'avais des soupçons, des appréhensions, des peurs, même, de tomber dans le littéraire, dans la petite illustration [...] mais je continuais, car le désir de "parler" de la chose autour de nous était le plus fort. [...] Tout en me demandant où j'allais, je sentais tout le temps qu'il fallait que je fasse cette sculpture. Absolument. En la créant, je répondais, à ma façon, à un monde terriblement cuisant de questions, de regrets, de reproches et amères réflexions sur ma vie ici aux États-Unis. [...] La Prisonnière est une tentative de parler franc et simple, à tout le monde, de ce qu'est la France en ce moment. Il m'est impossible de ne pas en parler, hurler, gueuler même »[47].
    L'épreuve acquise par le musée des beaux-arts de Lyon est une volonté du directeur du musée René Jullian de faire entrer la modernité dans l'institution, malgré les réticences d'une partie du personnel municipal. Fondue et patinée en décembre 1956, elle est installée en février 1957[47].
    Cette œuvre a fait partie des expositions d'Osnabrück de 2008-2009 « Die verborgene Spur. Jüdische wege durch die Moderne » et de Lyon de 2009-2010 « Picasso, Matisse, Dubuffet, Bacon... Les modernes s'exposent ». Il existe des copient en plâtre ou en bronze dans diverses institutions dont au musée Zadkine à Paris ou au musée Wallraf-Richartz de Cologne[47].

Liste des autres sculpteurs représentés

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Galerie

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L'ancienne galerie des bustes des Illustres lyonnais

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La galerie des bustes des Illustres lyonnais a été inaugurée en 1839 et se situait dans le musée des Beaux-Arts de Lyon. Il s'agissait d'une salle des marbres modernes, située dans l'actuel médaillier du musée. L'objectif de la collection n'était pas de valoriser le sculpteur en tant qu'artiste, mais de mettre en avant la figure du « Lyonnais digne de mémoire ». Aujourd’hui cette galerie n’existe plus, les bustes ayant été dispersés dans plusieurs lieux. Le musée des Beaux-Arts de Lyon en conserve en bas de l’escalier Puvis de Chavanne et dans la salle de la chapelle.

Historique

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L’idée de créer une galerie des Lyonnais célèbres a émergé après la mort de François Grognard, riche lyonnais, en 1823. De son vivant il avait collectionné des dessins représentants des portraits de personnalités lyonnaises célèbres. Cette collection regroupait 1 200 œuvres. Elle a été donnée à son frère, puis passe plusieurs fois en mains privées avant d'être acquise par la ville de Lyon[48].

Le but était de mettre en valeur des personnalités importantes nées à Lyon et ayant eu une influence sur la ville. François Grognard fait don d'une rente annuelle versée à la municipalité lyonnaise afin de créer une galerie de bustes. En 1825, le premier buste réalisé est celui du bienfaiteur lui-même[48].

À partir des années 1830, René Dardel, architecte de la ville, réaménage trois salles du palais Saint-Pierre : la galerie des statues (1833-1936), la galerie des marbres (1837-1841) et la galerie des bronzes (1838-1841). La salle des marbres est désignée pour exposer tous les bustes. À partir de 1887[49], les bustes sont transférés dans l’ancien réfectoire du palais Saint-Pierre puis, au début du XXe siècle, dans la salle de la chapelle[50].

La muséographie de la galerie

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La galerie des bustes dans la salle de l'ancien réfectoire de l'abbaye au musée des Beaux-Arts de Lyon, photographie de Jules Sylvestre vers 1900.
 
La galerie des bustes dans Le Progrès illustré du 15 février 1903 par Giranne.

Ces portraits sculptés ont dans un premier temps été intégrés dans la salles des statues sans envisager de les réunir dans une salle qui leur soit spécialement dédiée. À partir des travaux réalisés en 1839 dans la salle des statues existante par René Dardel (1796-1871) lui est adjointe une autre salle qui rassemblait les bustes des Lyonnais comme dans un « écrin »[48]. Les décorations « éblouissante[s] de ressauts, de couleurs et de dorures »[51] ont été conçues pour faire ressortir le blanc des marbres. Le choix des couleurs, rouge et bleu, allié au blanc donnait à ce salon un caractère de « sanctuaire du patriotisme »[48].

En 1907, la galerie regroupait déjà 63 bustes, mais la mairie de la ville demande à réduire l’espace réglementaire de 55 ou 60 cm entre eux, afin de pouvoir placer dix bustes supplémentaires pour la réception du président de la République.

Henri Focillon (1881-1943) succède à la direction du musée et projette de déplacer toutes les sculptures au rez-de-chaussée, dans la salle de la chapelle plus spécifiquement. Le projet est adopté en 1914 pour une estimation de 13 000 francs. L’idée est de créer une galerie prestigieuse pour les éminents protagonistes de la ville et d’en faire une sorte de « panthéon lyonnais »[48].

Certains personnages sont représentés deux fois, une fois par un tableau et une seconde par un buste sculpté, ce qui est le cas de Claude-François Ménestrier ou Louis-Gabriel Suchet par exemple. Il a donc fallu faire des choix entre les deux. Les peintures ont été ajoutées dans la salle des peintres lyonnais et les bustes dans la salle des statues. Le buste, dans le cas de cette galerie, n’est plus un monument d’histoire mais il devient un « objet de musée »[48].

Pendant le Second Empire, les bustes des administrateurs civils et militaires ont été transférés dans la salle de la Conservation de l’hôtel de ville de Lyon. Ils servaient de décor pour le conseil municipal privé du maire de la ville. Les quatre bustes des maires Fay de Sathonay, Rambaud, Prunelle et Terme ont été placés sur des socles assortis aux boiseries de la salle.

Les artistes

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Le sculpteur Jean-François Legendre-Héral, professeur à l’École des beaux-arts de Lyon, réalise la majorité des commandes passées avant 1840 avec dix bustes. Après 1900, la politique des commandes municipale évolue. On ne cherche plus à faire appel au sculpteur « officiel » de la ville et on sollicite des artistes prometteurs mais encore peu connus, comme André Vermare et Jean-Baptiste Larrivé. On décide même de ne choisir en priorité que des artistes n’ayant pas encore réalisé de sculpture pour le compte de la ville, ce qui « laisse bien entendre que la qualité de l’œuvre n’est pas primordiale en la circonstance »[48]. La fondation Grognard veut donc promouvoir la création jeunes artistes contemporains pour contribuer au rayonnement de la ville.

Les dimensions des bustes sont imposées aux sculpteurs par le musée, mais quand la galerie a été complètement remplie de bustes, les artistes se sont émancipés des règles d’harmonisation pour sculpter plus librement avec parfois des portraits de taille plus importante. Le conservateur du musée dû alors de nouveau préciser les enjeux des commandes des bustes destinés à être exposés dans une galerie et non dans un espace extérieur[52].

Acquisition et commandes publiques

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La politique d’encouragement artistique de la ville de Lyon favorisait la production de statuaire.

Au fil des années, des méthodes d’acquisition se sont succédé pour cette galerie des Lyonnais célèbres. Les commandes publiques et les envois de l'État furent le premier mode d’enrichissement suivi par un principe d’élection[50].

La société des amis des arts de Lyon s’impose également comme étant une source d’enrichissement de la galerie, notamment grâce à l’organisation des salons qui permettaient l’exposition des œuvres d’art.

La rente offerte par François Grognard pour soutenir les artistes lyonnais avait comme objectif premier une réalisation annuelle du portrait d’une célébrité lyonnaise, mais elle a également permis de soutenir les peintres lyonnais tout comme les sculpteurs.

Le choix des personnalités illustrées dans cette galerie écartaient implicitement les portraits d'hommes politiques. Le savoir et le talent étaient considérés comme supérieurs aux opinions politiques et aux professions de foi de tout un chacun. Les Lyonnais dignes de mémoire étaient désignés par l’autorité municipale et la commission du musée, du moins sous le Second Empire.

Liste des bustes des Illustres lyonnais

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Bien que composée en grande majorité de bustes sculptés, cette collection contient aussi des médaillons en plâtre et quelques portraits peints. Ce n'est pas l’artiste qui est au centre du procédé de reconnaissance, mais bien le personnage sculpté. En lui rendant hommage, on perpétuait la grandeur de la ville. La grande proportion de portraits d’artistes représentés dans cet ensemble est due à leur droit de s'autoportraiturer lorsqu'ils répondaient à une commande publique de buste ou de portrait peint[53].

Nom du Lyonnais représenté Nom de l'artiste Anciennes localisations Localisation actuelle Date d'exécution Caractéristiques techniques Notices Illustration
Artaud, François (1767-1838), savant Fabisch, Joseph-Hugues (1812-1886) Musée des Beaux-Arts de Lyon 2 janvier 1856 Buste en marbre
 
Ballanche, Pierre Simon (1776-1847), écrivain Bonnassieux, Jean Marie (1810-1892) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1849 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 7)
 
Baudin, Eugène (1843-1907), peintre Baudin, Eugène (1843-1907) Musée des Beaux-Arts de Lyon vers 1891 Autoportrait peint
 
Berjon, Antoine (1754-1843), peintre Berjon, Antoine (1754-1843) Musée des Beaux-Arts de Lyon Autoportrait au pastel
 
Berjon, Antoine (1754-1843), peintre Jayet, Clément (1731-1804) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1788 Buste en terre cuite
 
Bertrand, James (1825-1887), peintre Falguière, Alexandre (1831-1900) Musée des Beaux-Arts de Lyon Buste en marbre
 
Boissieu, Jean-Jacques (de) (1736-1810), peintre et graveur Fabisch, Joseph Hugues (1812-1886) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; déposé aux musées Gadagne en 1935 Musée des Beaux-Arts de Lyon 1847 Buste en marbre (Catalogue sommaire…, p. 7)
 
Bonnefond, Claude (1796-1860), peintre Sébelon, Claude-Marius (1819-1865) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1864 Portrait peint
 
Bouchet, Claude-Antoine (1785-1839), médecin Ruolz, Léopold (de) (1805-1879) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1842 Buste en marbre (Catalogue sommaire…, p. 8)
 
Bourgelat, Claude (1712-1779), vétérinaire Guillot, Arthur (?-1871) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1843 Buste en marbre (Catalogue sommaire…, p. 8)
 
Carriès, Jean-Joseph (1855-1894), sculpteur et céramiste Renard, Léopold (1868-1945) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1906 Buste en marbre
 
Chanavard, Paul (1807-1895), peintre Danguin, Jean-Baptiste (1823-1894) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1880 Dessin
 
Chanavard, Paul (1807-1895), peintre Gautherin, Paul (1840-1890) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1887 Buste en plâtre
 
Chinard, Joseph (1756-1813), sculpteur Guillot, Arthur (?-1871) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1834 Buste en marbre (Catalogue sommaire…, p. 8)
 
Colonia, Dominique (de) (1660-1741), écrivain Flandrin, Auguste (1804-1842) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1842 Portrait peint
 
Coste, Jules (1840-1910), publiciste et homme politique Boudon, Émile (actif au début du XXe siècle) Musée des Beaux-Arts de Lyon Buste en marbre
 
Coysevox, Antoine (1640-1720), sculpteur Bonnefond, Claude (1796-1860) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1846 ou 1847 Portrait peint
 
Crestin, Melchior-François (1824-1899) - Administrateur Fontan, Vincent (1842-1903) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1902 Buste en marbre
 
Danguin, Jean-Baptiste (1823-1894) - Artiste Danguin, Jean-Baptiste (1823-1894) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 168 Portrait peint
 
Dardel, René (1796-1871) - Artiste Bonnet, Guillaume (1820-1873) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1860 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 8)
 
Gérando, Joseph-Marie (de) (1772-1842) - Écrivain Bonnassieux, Jean-Marie (1810-1892) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1844 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Dugas-Montbel, Jean-Baptiste (1776-1834) - Savant / Administrateur Guillot, Arthur (?-1871) Archives municipales de Lyon depuis 2006[50] S.D. 1834 Buste en marbre
 
Eynard, Ennemond (1749-1837) Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1832 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 8)
 
Eynard, Ennemond (1749-1837) Trimolet, Anthelme (1798-1866) Musée des Beaux-Arts de Lyon (1819) pour l’original / (1837) pour la copie Portrait peint en pied
 
Favre, Jules (1809-1880) - Homme politique Mathelin, Jean (1836-1900) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1887 Buste en marbre
 
Fay de Sathonay, Nicolas-Marie-Jean-Claude (1762-1812) - Administrateur Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1827 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Flandrin, Jean Hippolyte (1809-1864) - Artiste Fabisch, Joseph-Hugues (1812-1886) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; déposé à la mairie du 5e arrondissement de Lyon de 1948 à 1993[50]. Musée des Beaux-Arts de Lyon S. 1866 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 8-9)
 
Fulchiron, Jean-Claude (1774-1859) - Écrivain / Administrateur / Bienfaiteur Textor, Charles (1835-1905) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1874 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Gilibert, Jean-Emmanuel (1741-1814) - Savant Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1837 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Grognard, François (1748-1823) - Bienfaiteur Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1825 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Guy, Louis (1824-1888) - Artiste Guy, Louis (1824-1888) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1877 Portrait peint
 
Jaboulay, Mathieu (1860-1913) - Chirurgien Renard, Léopold (1868-1945) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1916 Buste en marbre
 
Jacomin, Jean-Marie (1789-1858) - Artiste Jacomin, Jean-Marie (1789-1858) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1836 Portrait peint en pied
 
Jacquard, Joseph Marie (1752-1834) - Savant Bonnefond, Claude (1796-1860), peintre Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. Lyon 1834 Portrait peint en pied
 
Jordan, Camille (1771-1821) - Administrateur Guillot, Arthur (?-1871) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1831 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Jussieu, Bernard (de) (1699-1777) Savant Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1834 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) - Artiste Bonnassieux, Jean-Marie. (1810-1892) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1879 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Lortet, Pierre (1792-1868) - Ecrivain Pagny, Étienne (1829-1898) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; déposé à la mairie du 5e arrondissement de 1848 à 1993[50]. Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1880 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Maupetit, Pierre, général baron (1771-1811) - Militaire Genod, Michel-Philibert (1795-1862) Musée des Beaux-Arts de Lyon (1849) Portrait peint en pied
 
Meissonier, Ernest (1815-1891) - Artiste Aubert, Pierre (1853-1912) Musée des Beaux-Arts de Lyon S. 1895 Buste en marbre
 
Ménestrier, Claude-François. (1631-1705) - Ecrivain Reverchon, André (1808-1882) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1861 Portrait peint en pied
 
Neufville de Villeroy, François-Paul (de) (1677-1731) - Ecclésiastique Coustou, Guillaume (1677-1746) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1723 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Orsel, Victor (1795-1850) - Artiste Bonnet, Guillaume (1820-1873) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S. (1859) Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Perrichon, André Camille (1678-1768) Grandon, Charles (v. 1691-1762) Musée des Beaux-Arts de Lyon Portrait peint
 
Puvis de Chavannes, Pierre (1824-1898) Rodin, Auguste (1840-1917) Musée des Beaux-Arts de Lyon 1891 Buste en plâtre
 
Récamier Juliette (1777-1852) Canova, Antonio (1757-1822) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1813 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Révoil, Pierre Henri (1776-1842) Jacomin, Jean-Marie (1789-1858) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D.1847 Portrait peint en pied (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Révoil, Pierre Henri (1776-1842) Roubaud, François Félix (1824-1876) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1871 Buste en marbre
 
Richard, Fleury François

(1777-1852)

Jacomin, Jean-Marie (1789-1858) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1852 Portrait peint en pied
 
Rondelet, Jean

(1753-1829) - architecte

Elshoect, Carle (1797-1856) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1845 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Rozier, François (1734-1793) Jacomin, Jean-Marie (1789-1858) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1831 Portrait en pied
 
Sauzet, Paul (1800-1876) Fontan, Vincent (1842-1903) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1897 Buste en marbre
 
Sénard, Charles (1878-1934) Salendre, Georges (1890-1985) Musée des Beaux-Arts de Lyon (1936) Médaillon en plâtre
 
Sériziat, Charles, général (1756-1802) Claitte, Philibert (1859-1938) Musée des Beaux-Arts de Lyon S. (1898) Buste en marbre
 
Seve, Joseph, dit Soliman Pacha (1788-1860) Charles Bailly (1844-1898) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1887 Buste en marbre
 
Siefert, Louisa (1845-1877) Pagny, Étienne (1829-1898) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1880 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Soufflot, J.G. (1713-1790) Elshoect, Carle (1797-1856) Déposé aux musées Gadagne en 1935[50] Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1845 Buste en marbre
 
Soulary, Joséphin (1815-1891) Textor, Charles (1835-1905) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1867 Buste en marbre
 
Stella, Jacques (1596-1657) Genod, Michel-Philibert (1795-1862) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1851 Portrait peint en pied
 
Stella, Jacques (1596-1657) Stella, Jacques (1596-1657) Musée des Beaux-Arts de Lyon XVIIe siècle Portrait
 
Stella, Jacques (1596-1657) Aubert, Pierre (1853-1912) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1902 Buste en marbre Notice no 000SC025364, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
 
Suchet, Louis-Gabriel (duc d’Albuféra) (1772-1826) Soulary, Claude (1792-1870) Musée des Beaux-Arts de Lyon (1831) Portrait peint
 
Suchet, Louis-Gabriel (duc d’Albuféra) (1772-1826) Ruolz, Léopold (de) (1805-1879) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon 1839 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Thierry, Jean (1669-1739) Largillière, Nicolas de (1656-1746) Musée des Beaux-Arts de Lyon Portrait peint
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Renard, Marcel (1893-1974) - sculpteur et médailleur Musée des Beaux-Arts de Lyon (1922) Buste en pierre
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Delorme, J.A. (1829-1905) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1884 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 12)
 
Tolozan de Montfort, Louis (1726-1811) Blanchet, Louis Gabriel (1705-1772 Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. Romae 1756 Portrait peint
 
Vibert, Victor (1799-1860) Sebelon, Auguste (1819-1865) Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1864 Portrait peint
 
Vitet, Louis (1736-1809) Renard, Léopold (1868-1945) Musée des Beaux-Arts de Lyon S. (1904) Buste en marbre
 
Baron, Balthazar-Jean (1788-1869) - Artiste Trimolet, Anthelme (1798-1866) Musées Gadagne S.D. 1847 Portrait peint
 
Bouchaud, Pierre de (1862-1925) - Écrivain Maspoli, Alexandre (1875-1943) Musées Gadagne S.D. 1929 Buste en marbre
 
Coysevox, Antoine (1640-1720) - Artiste Fontan, Vincent (1842-1903) Musées Gadagne S.D. 1893 Buste en marbre
 
Bourges, Clémence de (XVIe siècle, v.1535-1557) - Écrivain Mathelin, Jean (1836-1900) Musées Gadagne S.D. 1898 Buste en marbre
 
Tournes, Jean de (XVIe siècle) - Artiste Vermare, André (1869-1949) Musées Gadagne S.D. Roma 1900 Buste en marbre
 
Drevet, Claude (1697-1781) - Artiste Mathelin, Jean (1836-1900) Musées Gadagne S.D. 1891 Buste en marbre
 
Guillet, Pernette du (1518-1545) - Ecrivain Pivot, Jean Louis (1844-1926) Musées Gadagne S.D 1898 Buste en marbre
 
Dupont, Pierre (1821-1870) - Ecrivain Girardet, François (1852-après 1910) Musées Gadagne S.D. 1899 Buste en marbre
 
Fonville, Nicolas Victor (1805-1856) - Artiste Trimolet, Anthelme (1798-1866) Musées Gadagne Portrait peint
 
Gadagne, Thomas (1454-1533) - Bienfaiteur Vérot, Jacques-Emile (1862 - ?) Musées Gadagne S.D. 1906 Buste en marbre
 
Ménestrier, Claude-François. (1631-1705) - Ecrivain Legendre-Héral, J.F. (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Musées Gadagne S.D. 1840 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Perrache Antoine Michel (1729-1769) Revol, Mlle (?) Musées Gadagne Portrait peint
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Delorme, Jean-André (1829-1905) Musées Gadagne S.D. 1897 Buste en marbre
 
Ampère, Jean-Jacques (1800-1864) - Écrivain Courtel, Auguste (1821-1891) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais de la Bourse (Lyon), dans l'escalier monumental côté Rhône S.D. 1877 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 7)
 
Berjon, Antoine (1754-1843), peintre Textor, Charles (1835-1905) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais de la Bourse (Lyon), dans l'escalier monumental côté Rhône S.D. 1874 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 7)
 
Dardel, René (1796-1871) - Artiste Aubert, Pierre (1853-1912) Palais de la Bourse (Lyon), escalier monumental cöté Saône Buste en marbre
 
Jacquard, Joseph Marie (1752-1834) - Savant Bonnefond, Claude (1796-1860), peintre Palais de la Bourse (Lyon) Portrait peint en pied
 
Pernon,Camille (1753-1808) - Industriel Legendre-Héral, Jean-François. (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais de la Bourse (Lyon), dans une niche de l'escalier monumental côté Rhône S.D. 1836 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Lassale, Philippe de (1723-1804) - Artiste Maspoli, Alexandre (1875-1943) Palais de la Bourse (Lyon) S.D. 1911 Buste en marbre
 
Poivre, Pierre (1719-1786) Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais de la Bourse (Lyon), dans une niche de l'escalier monumental côté Rhône (dépôt de 1905) S.D. 1836 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Say, Jean-Baptiste (1767-1852) Fontan, Vincent (1842-1903) Palais de la Bourse (Lyon) : dans une niche de l'escalier monumental côté Rhône S.D. 1888 Buste en marbre
 
Castellane, Boniface de (1788-1862) - Militaire Courtet, Augustin (1821-1891) Restitué à l'Etat S.D. 1853 Buste en marbre
 
Deguerry, Gaspard (1797 -1871) - Écrivain Oliva, Alexandre (1823-1890) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Restitué à l'Etat S.D. 1874 Buste en bronze (Catalogue sommaire..., p. 8)
 
Desvernay, Félix (1854-1917) - Savant Maspoli, Alexandre (1875-1943) Musées Gadagne Palais archiépiscopal de Lyon S.D.1925 Buste en marbre
 
Ozanam, Antoine-Frédéric (1813-1853) - Ecrivain Fabisch, Joseph-Hugues (1812-1886) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais archiépiscopal de Lyon S. (1861) Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Burban, Henri (...1911-1958…) Déposé à la mairie du 1er arrondissement de Lyon jusqu'en 2011[50] Musée des Beaux-Arts de Lyon S.D. 1932 Buste en plâtre patiné
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Salendre, Georges (1890-1985) Mairie du 2e arrondissement de Lyon S. (1932) Buste bronze à cire perdue
 
Flandrin, Hippolyte (1809-1864) - Artiste Poncet, Jean-Baptiste (1827-1901) Mairie du 5e arrondissement de Lyon S. 1862 Portrait peint en pied
 
Gensoul, Joseph (1797-1858) - Chirurgien Bonnet, Guillaume (1820-1873) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais de justice historique de Lyon S.D. 1862 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Guimet, Jean-Baptiste (1795-1871) - Savant Roubaud, François Félix (1824-1876) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Palais de justice historique de Lyon S.D. Paris 1853 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9)
 
Jacquard, Joseph Marie (1752-1834) - Savant Guichard, Joseph (1806-1880) Hôtel de ville de Lyon, salle de la Conservation S.D. 1864 Portrait peint en pied
 
Magnin, Jean André (1794-1824) Magnin, Jean André (1794-1824) Hôtel de ville de Lyon, salle de la Conservation S.D. 1821 Portrait peint
 
Prunelle, Victor (1777-1853) Fabisch, Joseph-Hugues (1812-1886) Hôtel de ville de Lyon, salle de la Conservation S. (1853) Buste en marbre
 
Rambaud, Pierre Thomas (1754-1845) Ruolz, Léopold (de) (1805-1879) Hôtel de ville de Lyon, salle de la Conservation Septembre 1841 Buste en marbre
 
Terme, Jean-François (1791-1847) Bonnassieux, J.M. (1810-1892) Hôtel de ville de Lyon, salle de la Conservation S.D. Paris 1851 Buste en marbre
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Hôtel de ville de Lyon, salle de la Conservation Buste en plâtre (maquette du concours de 1932)
 
Roy, Camille, pseudonyme de Claude-Marie Loron, (1861-1922) Renard, Marcel (1893-1974) - sculpteur et médailleur Jardin des Chartreux S.D. 1924 Portrait peint
 
Rozier, J.F. (1734-1793) Benoist, Robert (...1902-1935…) Parc de la Tête d’Or (1923) Buste en marbre
 
Huguet, Eugène (1863-1914) - Artiste Ballanche, Pierre-Simon - médailliste, XXe siècle Palais des expositions (5e arrondissement) Médaillon en bronze
 
Bataille, Jean Marie (1838-1912) - Administrateur Devaux, Pierre (1865-1938) Cimetières de La Guillotière, sur la tombe du modèle (1914) Buste en bronze
 
Mourguet, Laurent (1769-1844) - Artiste Girardet, François (1852-après 1910) Monument à Laurent Mourguet 1910 Buste en marbre
 
Ampère André-Marie (1775-1836) - Savant Bonnassieux, Jean-Marie (1810-1892) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Mairie de Poleymieux-au-Mont-d’Or (Rhône) S.D. Paris 1849 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 7)
 
Audran, Gérard (1640-1703) - Artiste Charpentier, Julie (1770-1845) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Non localisé S.D. 1817 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 7)
 
Barodet, Désiré (1823-1906) - Administrateur Burban, Henri (1866-1958) Non localisé 1910 Buste en marbre
 
Baudin, Eugène (1843-1907), peintre Devaux, Pierre (1865-1938) Non localisé (1936 ou 1935) Médaillon en plâtre
 
Bauer, Auguste Félix (1854-1933) - Artiste Renard, Léopold (1868-1945) Non localisé (1936 ou 1935) Médaillon en plâtre
 
Bertrand, Antoine-Marie (1754-1796) - Maire de Lyon en 1793-1794 Patoret, Jean (1860-?) Non localisé (1907) Buste en marbre
 
Bonnefond, Claude (1796-1860), peintre Bonnet, Guillaume (1820-1873) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; Musées Gadagne Non localisé S.D. 1866 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 7-8)
 
Bonnet, Guillaume (1820-1873) Bonnet, Guillaume (1820-1873) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Non localisé Buste en bronze (galvanoplastie) (Catalogue sommaire..., p. 8)
 
Chenavard, Paul (1807-1895), peintre Devaux, Pierre (1865-1938) Déposé aux musées Gadagne en 1935[50] Non localisé 1898 Buste en marbre
 
Cohendy,  Émile (1851-1920) - Administrateur Non localisé Buste en marbre ?
 
Colonge, L. (1869-1914) - Artiste (chansonnier) Devaux, Pierre (1865-1938) Non localisé Buste en marbre ?
 
Coustou, Guillaume (1677-1746) - Artiste Bonnaire, Pierre-Toussaint (1813-1882) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; Musées Gadagne Non localisé S.D. 1853 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 8)
 
Coustou, Nicolas (1658-1733) - Artiste Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; ; déposé aux musées Gadagne à une date indéterminée[50] Non localisé S.D. 1836 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 8)
 
De l’Horme, Philibert (1514-1570) - Artiste Legendre-Héral, Jean-François (1795-1851) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; déposé aux musées Gadagne à une date indéterminée[50] Non localisé S.D. 1836 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Dolet, Étienne (1509-1546) - Écrivain Fontan, Vincent (1842-1903) Déposé aux musées Gadagne en 1935 Non localisé (1901) Buste en marbre
 
Dufraine, Charles (1827-1900) - Artiste Ploquin, Jean (1860- après 1933) Refondu en 1942 par les troupes allemandes[50] Non localisé (1922) Buste en bronze
 
Girrane, pseudonyme de Gustave Garnier (1865-1922) - Artiste Descombes, Lucien (1886-après 1922) Non localisé S. 1924 Buste en marbre
 
Guichard, Claudius (1825-1895) - Administrateur / Bienfaiteur ? Non localisé Buste en marbre ?
 
Guy, Jean Baptiste Louis (1824-1888) - Artiste Burban, Henri (...1911-1958…) Déposé aux musées Gadagne en 1935[50] Non localisé 1913 Buste en marbre
 
Jacquard, Joseph Marie (1752-1834) - Savant Maspoli, Alexandre (1875-1943) Non localisé (1935) Médaillon en plâtre
 
Labé, Louise (v. 1525-1566) - Ecrivain Foyatier, Denis (1793-1863) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Non localisé S.D. 1827 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 9-10)
 
Larrivé, Jean-Baptiste (1875-1928) - Artiste Lapendery, AF, dit Francisque (1910-1961) Non localisé (1948) Buste en pierre de Lins
 
Lemot, François-Frédéric (1771-1827) - Artiste Foyatier, Denis (1793-1863) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Non localisé S.D. 1829 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10)
 
Lumière, Antoine (1840-1911) - Industriel Penelle, Maurice (1852 - ?) Non localisé (1914) Buste en marbre
 
Martin, Claude major. (1735-1800) - Bienfaiteur Elshoect, Carle (1797-1856) Déposé au lycée La Martinière à une date inconnue[50] Non localisé 1845 Buste en marbre
 
Maupin, Simon (16..-1668) - Artiste Bailly, Charles-François (1844-1898) Musées Gadagne Non localisé 1898 Buste en marbre
 
Mouillard, Louis-Pierre (1834-1897) - Aviateur Devaux, Pierre (1865-1938) Déposé aux musées Gadagne en 1935. Dépôt à l'aéroport de Bron en 1938. Oeuvre réputée détruite lors du bombardement de l'aéroport de Bron en 1944 par les troupes alliées[50] (1924) Buste en marbre
 
Perrache A.M. (1729-1769) Larrivé, Jean-Baptiste (1875-1928) Non localisé (1902) Buste en marbre
 
Perrin, Louis-Benoît (1799-1865) - imprimeur Bonnet, Guillaume(1820-1873) Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye ; déposé aux musées Gadagne en 1935 Non localisé S.D. 1868 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 10-11)
 
Plancus, Lucius Munatius Mathelin, Jean (1836-1900) Non localisé (1900) Buste inachevé
 
Privas, Xavier, pseudonyme d'Antoine Taravel (1863-1927) Devaux, Pierre (1865-1938) Non localisé 1927 Buste en marbre ?
 
Puvis de Chavannes, Pierre (1824-1898) Chorel, Jean-Louis (1875-1946) Non localisé 1904 Buste en marbre
 
Récamier Juliette (1777-1852) Bonnet, Guillaume (1820-1822) Non localisé (1860) Buste en terre en cuite
 
Rougnard, Jean-Bonaventure (177.-1855) Chaine, Achille (1814-1884) Non localisé Septembre 1855 Portrait peint
 
Rozier, J.F. (1734-1793) Chinard, Joseph (1756-1813) / Bonnet, Guillaume (1820-1873) Non localisé (1810-1812) pour l’originale Buste en plâtre
 
Saint-Jean, Simon (1808-1860) Bailly, Charles-François Musée des Beaux-Arts de Lyon : ancien réfectoire de l'abbaye Millery, place du marché S.D. 1884 Buste en marbre (Catalogue sommaire..., p. 11)
 
Seignemartin, Jean (1848-1875) Benoist, Robert, (...1902-1935…) Non localisé (1936) Médaillon en plâtre
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Delorme, J.A. (1829-1905) Non localisé S.D. 1884 Buste en marbre
 
Tisseur, Clair (1826-1895) - poète et publiciste Boudon, Émile(...-1935…) Non localisé Buste en plâtre  
 
Chenavard, Antoine-Marie (1787-1883) - Artiste Barbaud-Kock, Marthe-Élizabeth Non localisé (1907) Peinture
 
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Bibliographie

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Bibliographie de la collection

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  • Natalis Rondot, Les sculpteurs de Lyon, du quatorzième au dix-huitième siècle, Lyon, Pitrat aîné, , 78 p. (lire en ligne)
  • Catalogue sommaire des musées de la ville de Lyon : dessins d'Adrien Allmer, Lyon, Mougin-Rusand, , 236 p. (lire en ligne), pp 1-6, 7-13, 127-132, 167-172.
  • Catalogue sommaire des musées de la ville de Lyon, Lyon, Mougin-Rusand, , 374 p. (lire en ligne)
  • Eugène Vial, Catalogue illustré de l'exposition rétrospective des artistes lyonnais, peintres et sculpteurs, Lyon, Palais municipal des expositions, , XII-172 p.
  • René Jullian, Catalogue des sculptures du Moyen Âge et de la Renaissance conservées au Musée de Lyon : thèse complémentaire pour le doctorat ès lettres présentée à la Faculté des lettres de l'Université de Paris, Lyon, Éditions de la Plus Grande France, , VII-247 p.
  • Philippe Durey (dir.), Dominique Brachlianoff et Valérie Lavergne-Durey, Le Musée des Beaux-Arts de Lyon, Paris, Musées et Monuments de France, Albin Michel, , 130 p. (ISBN 2-226-03318-1), p. 33-49
  • Dominique Brachlianoff, Christian Briend, Philippe Durey, Geneviève Galliano, Véronique Gay, Jean-Claude Goyon, Valérie Lavergne-Durey et François Planet, Guide : Musée des Beaux-Arts - Lyon, Paris, Réunion des musées nationaux - Musée des Beaux-Arts de Lyon, , 287 p. (ISBN 2-7118-3679-7)
  • Gérard Bruyère, « Politique de la Mémoire, la Fondation Grognard ou la galerie des Lyonnais célèbres : [Séance du 15 novembre 1999] », Bulletin de la Société Historique, Archéologique et Littéraire de Lyon, Lyon, Archives municipales de Lyon, vol. 29 « année 1999 »,‎ , p. 213-262 (ISSN 1244-6653)
  • Séverine Penlou, Rôles et fonctions de la sculpture religieuse à Lyon de 1850 à 1914, Lyon, Université Lumière Lyon 2, , 2541 p. (lire en ligne)
  • Inventaire des statues lyonnaises établi par la Direction des Affaires culturelles, par Gérard Corneloup, Bruno Thévenon, Isabelle Guédel. Notice de Bruno Thévenon dans Dictionnaire Historique de Lyon Patrice Béghain, Bruno Benoit, Gérard Corneloup, Bruno Thévenon, Editions Stéphane Bachès, Lyon, 2009.
  • Sylvie Ramond, Geneviève Galliano, François Planet, Salima Hellal, Ludmila Virassamynaïken et Stéphane Paccoud, Le musée des Beaux-Arts de Lyon, Lyon/Paris, Réunion des musées mationaux - Musée des Beaux-Arts de Lyon - Fondation BNP Paribas, , 144 p. (ISBN 978-2-7118-6169-9)
  • Claire Barbillon (dir.), Catherine Chevillot, Stéphane Paccoud et Ludmila Virassamynaïken (préf. Sylvie Ramond), Sculptures du XVIIe au XXe siècle : Musée des Beaux-Arts de Lyon, Paris, Somogy éditions d'art, , 592 p., 25 × 31 cm (ISBN 978-2-7572-1269-1, OCLC 1013587541, BNF 45388270, présentation en ligne)

Bibliographie des œuvres

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  • « La chronique des musées », Mulletin des musées et monuments lyonnais, no 3,‎ , p. 40-54
  • « Acquisitions », Revue du Louvre. La revue des musées de France, nos 5-6,‎ , p. 88-130
  • Jean-Loup Champion, Mille sculptures des musées de France, Paris, Gallimard,
  • Dominique Dumas, salons et expositions à Lyon 1786-1918, catalogue des exposants et liste de leurs œuvres, Dijon, L'Échelle de Jacob, , 3 vol.
  1. Avec le socle.
  2. Voir une illustration
  3. restauration en 1994
  4. Notice sur le site officiel du MBA
  5. Inscription en bas à gauche : Chinard
  6. Les experts supposent que cette signature a été ajoutée au XIXe siècle par un revendeur qui souhaitait profiter de la cote élevée de Chinard dans le marché lyonnais.
  7. Au dos sur le drapé : C[lé]ment Jayet fecit 1788.
  8. Conservé au Rijksmuseum d'Amsterdam.
  9. Appartenant au MBA : Inv. 2016.0.2.
  10. BMML 1994, p. 43 ; Revue du Louvre 1994, notice de C. Briend, p. 106, n°42 ; Champion 1998, p. p. 329 et n° 740, p. 342 ; Dumas 2007, p. 332, vol. 1
  11. Petite fille de l'artiste
  12. 1998 : nettoyage; consolidation, retouches par Emmanuel Desroches et Laurence Blondaux ; 2010 : étude menée par Emmanuel Desroches en raison d'exsudations salines décomposant l'épiderme.
  13. Sur la terrasse : P. Claitte Londres 188[?] [inscription devenue illisible]
  14. Description sur le site du Musée des beaux-arts de Montréal
  15. fonte Victor Thiébaud, à l'arrière de l'autel : LEON CVGNOT / ROMA MDCCCLXIII
  16. Sur le rocher à sa droite : L. DELHOMME / 1868 ; à sa gauche: FDU PAR VOR THIEBAUD
  17. Cette sculpture a été inventoriée en doublon sur le numéro H 1913.
  18. A l'avant du socle du monument : A / DANTON / DE L'AUDACE / ENCORE DE L'AUDACE / 1793 ; sur la plinthe à gauche : PIERRE ROCHE ; au-dessous : rs97
  19. Également appelée Porteuse d'eau
  20. notice sur le site du MBA
  21. A l'arrière : J. Bernard
  22. Achat auprès de la veuve de l'artiste Nel de Carrière-Wouters, à la suite d'une exposition au musée pour 1226925 francs.
  23. Sur la terrasse à droite : Rik Wouters ; sur la tranche de la terrasse au dos : J. VERBEYST FONDEUR / BRUXELLES
  24. Acquis directement à l'artiste pour 200 francs.
  25. Sur la plinthe à gauche : MAX - BLONDAT 1925
  26. Acquis directement à l'artiste pour 2250000 francs.
  27. notice sur le musée des beaux-arts de Lyon
  28. Fonte Susse indiquée à l'arrière de la terrasse à droite. Sur la plinthe de la terrasse à droite : O. ZADKINE 1943.

Références

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  1. Durey, Brachlianoff et Lavergne-Durey 1988, p. 33.
  2. a b et c MBA 2013, p. 57.
  3. « Claudio PARMIGGIANI, Œuvre acquise en 1990 à l’issue de l’exposition Claudio Parmiggiani (1989) : Terra », sur mac-lyon.com, (consulté le )
  4. Jean Toubeau de Maisonneuve, « L'église Saint-Pierre-le-Puellier à Bourges », Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, XLVIe vol., 1934-1935.
  5. voir sur Parole et patrimoine.org
  6. Guide 98, p. 58.
  7. a b et c MBA 2013, p. 83.
  8. Jullian 1945, p. 25-28.
  9. Guide 98, p. 64.
  10. Guide 98, p. 65.
  11. Jullian 1945, p. 65-67.
  12. a et b MBA 2013, p. 60.
  13. Guide 98, p. 70.
  14. Guide 98, p. 66.
  15. Guide 98, p. 88.
  16. Jullian 1945, p. 194-196.
  17. Rosenthal, Musée du palais des arts. Guide du visiteur, Paris, ALbert Morancé, 1928, p 11 ; Madeleine Rocher-Janeau, L'œuvre de Joseph Chinard au musée des beaux-arts de Lyon, Lyon, Musée des beaux-arts, 1978, p6, repr. p7 ; Stéphane Paccoud, « Le projet d'un "musée de sculpture" » dans Vincent Chambarlhacn Thierry Hohl et Bertrand Tillier (dir.), Léon Rosenthal, militant, critique et historen d'art, Paris, Hermann, 2013, p. 318
  18. catalogue 2017, p. 72-73.
  19. « Chronique des musées », bulletin des musées et monuments lyonnais, 1969, n° 3, p. 46-47.
  20. a et b catalogue 2017, p. 73.
  21. « Chronique des musées », bulletin des musées et monuments lyonnais, 1978, n° 2, p. 155.
  22. Au revers, au crayon, « fragment provenant des tombeaux des Guise au collège d'Eu », à tort attribué à Michel Anguier, 1930.
  23. catalogue 2017, p. 74.
  24. Guide 98, p. 176.
  25. Guide 98, p. 177.
  26. « Notice du musée des beaux-arts de Lyon »
  27. a b et c catalogue 2017, p. 100-101.
  28. MBA 2013, p. 85.
  29. Guide 98, p. 270.
  30. MBA 2013, p. 86.
  31. Guide 98, p. 273.
  32. Guide 98, p. 276.
  33. catalogue 2017, p. 285.
  34. a b c d e f g h i j et k Claire Barbillon, Sculptures du XVIe au XXe siècle. Musée des Beaux-Arts de Lyon, 328 - 333 p..
  35. catalogue 2017, p. 286.
  36. catalogue 2017, p. 240.
  37. a b c et d catalogue 2017, p. 244-245.
  38. « Ariane », notice no M0381002474, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  39. « Premier essai », sur musee-orsay.fr (consulté le ).
  40. Catalogue sommaire des musées de la ville de Lyon (ill. Adrien Allmer), Lyon, Mougin-Rusand, (lire sur Wikisource), p. 12, entrée 45 : « Tisseur (Jean) ».
  41. Musée des beaux-arts de Lyon, « Notice du Musée des beaux-arts de Lyon »
  42. a et b catalogue 2017, p. 272.
  43. a b c et d catalogue 2017, p. 362-364.
  44. Bibliographie sur la statue :
    • Nel Wouters, "À propos de la rétrospective Rik Wouters. La vie douloureuse et ensoleillée de Rik", Les Beaux-Arts, Bulletin du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, n° 180, 22 novembre 1935, p. 12-15 , p. 13-14, repr. A. J. J. Delen ;
    • Rik Wouters, sculptures et dessins, Bruxelles, Éditions de la connaissance, 1947 , pl. 16-17, repr. ;
    • La Peinture belge contemporaine (sous la dir. de Madeleine Jauneau et Robert L. Delevoy), Lyon, Musée de Lyon, juin - septembre 1950, Lyon, 1950 , p. 65, n° 131 ;
    • "Chronique des Musées, Musée des Beaux-Arts, Acquisitions récentes", Bulletin des musées et des monuments lyonnais, 1952, n° 2, p. 41-44 , p. 41 ;
    • Nel Wouters, "La folle danseuse de Rick Wouters au musée des Beaux-Arts de Lyon (souvenirs)", Bulletin des Musées et des Monuments lyonnais, n° 4, 1956, p. 69-74 , p. 72-73, repr. ;
    • René Jullian, Lyon, Coll. "Les Villes d'Art célèbres", Paris, Henri Laurens, 1960 , p. 110 ;
    • Roger Avermaete, Rik Wouters, Bruxelles, De Arcade, 1962 , p. 84 ; p. 99-100, repr. ;
    • Eugénie de Keyser, La Sculpture contemporaine en Belgique, Bruxelles, Laconti, 1972 , p. 30 ;
    • Jacques Van Lennep (dir.), La Sculpture belge au XIXe siècle, 2 vol., Bruxelles, La Générale de Banque, 1990 , vol. 1, p. 133-134 ; vol. 2, p. 619-621 ;
    • Paris-Bruxelles, Bruxelles-Paris 1848-1914 : réalisme, impressionnisme, symbolisme, art nouveau. Les relations artistiques entre la France et la Belgique (sous la dir. d'Anne Pingeot et Robert Hooze), Paris, Galeries nationales du Grand Palais, 18 mars - 17 juillet 1997 ; Gand, Museum voor Schone Kunsten, 6 septembre - 14 décembre 1997, Paris, Réunion des musées nationaux, 1997 , p. 178 ; p. 538 ;
    • Dominique Brachlianoff, Christian Briend, Philippe Durey et al., Guide du musée des Beaux-Arts de Lyon, Paris, RMN, 1998 , p. 281, repr. (notice de Philippe Durey) ;
    • Olivier Bertrand, Rik Wouters : regards sur un destin, Bruxelles, Belgian Art Research Institute, 2000 , p. 37-38
    • Isadora Duncan (1877-1927) : Une sculpture vivante (sous la dir. de Juliette Laffon, Hélène Pinet, Stéphanie Cantarutti), Paris, Musée Bourdelle, 20 novembre 2009 - 14 mars 2010, Paris, 2010 , p. 188-189, repr. Xavier Bolot ;
    • Comment représenter l'action : le bonheur d'appliquer les sciences de la vie aux arts du vivant, Paris, L'Harmattan, 2012 , p. 208, repr. ;
    • Claire Barbillon, Catherine Chevillot, Stéphane Paccoud, Ludmila Virassamynaïken (dir.), Sculptures du XVIIe au XXe siècle, musée des Beaux-Arts de Lyon, Paris, Somogy, 2017 , p. 338-340, fig. 2 ; p. 398-399, cat. 190 ; p. 554
  45. a b et c catalogue 2017, p. 398-399.
  46. a b et c catalogue 2017, p. 427-428.
  47. a b c et d catalogue 2017, p. 452-454.
  48. a b c d e f et g (Bruyère, 2000, p. 229)
  49. 1877 selon Les musées de Lyon. A. Rey et Cie, 1906, p. 28.
  50. a b c d e f g h i j k l m et n (Barbillon et al., 2017)
  51. A. Combe et J. Chavanay, Guide de l’étranger à Lyon.
  52. Lettre de L. Prost, datée de Lyon, le 15 décembre 1942[réf. nécessaire].
  53. (Bruyère, 2000, p. 242-262)

Voir aussi

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Articles connexes

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