Charles Soubre

peintre belge (1821-1895)

Charles Soubre, né le à Liège où il est mort le , est un peintre belge.

Charles Soubre
Émile Delperée, Portrait de Charles Soubre, vers 1890
Fonction
Enseignant
Académie royale des beaux-arts de Liège
-
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
LiègeVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Charles Joseph SoubreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Belge Drapeau de la Belgique
Formation
Activité
Père
Jean Joseph Soubre
Mère
Marie Françoise Hubertine Thiriard
Fratrie
Parentèle
Charles Étienne Soubre (neveu par le frère)
Émile Delperée (gendre)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Maîtres
Genres artistiques
Distinctions
Œuvres principales
  • Les Bourgeois de Liège envahissant le domicile du bourgmestre Ghaye pour réclamer les insignes de la magistrature (1847)
  • Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850)
  • Le réveil de Montaigne (1851)
  • Victor Pisani (1866)
  • Le banquet des Gueux (1869)
  • Fière humilité (1871)
  • Une famille noble devant le Conseil des troubles (1873)
  • La måle Saint-Martin (1876)
  • Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878)

Le jeune Charles commence sa formation artistique dès 1834 chez Jules Van Marcke (d) puis la complète à l'Académie des beaux-arts de Liège et à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles. Pour couvrir les frais de ses études, il donne des leçons qui occupent la plus grande partie de son temps. En 1854, l'artiste est nommé professeur de dessin à l'Académie des beaux-arts de Liège. Y commence alors une longue carrière d'enseignant qui s'achève finalement 35 ans plus tard, moment où il démissionne de ses fonctions et reçoit le titre de professeur honoraire en reconnaissance des services rendus à l'Académie.

Tout au long de sa carrière artistique, le peintre expose habituellement aux salons belges et lors de différents grands événements internationaux. En plus de multiples participations aux Salon de Bruxelles (15 fois entre 1842 et 1884), Salon d'Anvers (9 fois entre 1840 et 1879) et Salon de Gand (9 fois entre 1844 et 1895), il expose au Salon de peinture et de sculpture à Paris en 1863, aux Expositions internationales de Londres en 1872, 1873 et 1874, à l'Exposition universelle de Vienne en 1873, à l'Exposition universelle de Philadelphie en 1876 et à l'Exposition universelle de Sydney de 1879-1880.

L'artiste est surtout un peintre de sujets historiques mais aussi de scènes de genre, de portraits, de paysages et de figures féminines. Comme peintre d'histoire, il « cherche, plus qu'aucun autre de ses confrères, ses sources d'inspiration dans l'histoire locale, voire dans les légendes du terroir », comme c'est le cas dans plusieurs de ses œuvres principales telles que la Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850), Une famille noble devant le Conseil des troubles (1873), La måle Saint-Martin (1876) ou Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878).

Biographie

modifier

Jeunesse, formation et début de carrière artistique (1821-1845)

modifier

Charles Joseph Soubre, né le à Liège[1], est le fils de Jean Joseph Soubre (1788-1864)[2] et de Marie Françoise Hubertine Thiriard[1],[3]. Il est l'un des frères du compositeur Étienne Soubre[4].

En 1834, il commence des études artistiques chez Jules Van Marcke (d)[5]. De 1837 à 1843, il complète ses études à l'Académie des beaux-arts de Liège sous la supervision de Barthélémy Vieillevoye et Gilles-François Closson[6],[7],[8],[9]. Il y conquiert des premiers prix de peinture et de composition historique[5]. Pour couvrir les frais de ses études, il donne des leçons qui occupent la plus grande partie de son temps[5]. Il achève sa formation à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles[8],[9],[10].

Il expose son premier paysage en 1837, après une saison passée à Remouchamps avec Jules Van Marcke (d)[5]. À partir de 1840, il commence à exposer dans les principaux Salons belges, y envoyant d'abord des paysages, comme Vue des bords de l'Aîne dans les Ardennes au Salon d'Anvers de 1840[11] et Paysage ; souvenir des Ardennes au Salon de Bruxelles de 1842[12].

 
Le retour de Palestine, 1844 (huile sur toile ; 90,5 × 74 cm), collection privée.

En 1844, il expose au Salon de Gand sa première toile historique représentant le retour d'un chevalier liégeois après les croisades[5],[13]. Intitulée Le retour de Palestine, elle représente « Jehan, vieil écuyer du seigneur de Saive, revenant de la Terre-Sainte, qui trouve son seigneur en tête-à-tête avec Aléide, sa fille ». L'œuvre est exposée l'année suivante au Salon de Bruxelles[14].

Peu après, la bourse de la fondation Darchis lui est offerte « mais des raisons de famille empêchèrent le jeune peintre de profiter de cette offre et c'est un fait digne de remarque que ce peintre fécond [...] se trouva toujours dans l'impossibilité de s'expatrier même temporairement, et dut, sans sortir de sa bonne ville de Liège, par son seul labeur opiniâtre et intelligent, approfondir ses connaissances et perfectionner son art »[5].

Consolidation de sa carrière artistique (1845-1854)

modifier
 
Georgette Heyer, Pistols for Two, 1960 (édition Arrow books de 2005).

Durant cette période, Soubre se centre davantage vers la réalisation de scènes historiques[5],[8],[9] et obtient son premier succès notable avec l'exposition en 1847 de son tableau Les Bourgeois de Liège envahissant le domicile du bourgmestre Ghaye pour réclamer les insignes de la magistrature[5]. La toile dépeint l'un des épisodes du début de la révolution liégeoise, lorsque la foule en révolte envahit le domicile du bourgmestre Philippe-François de Ghaye, récemment expulsé de l'hôtel-de-ville, pour lui exiger de livrer les clés de la magistrature. Comme Ghaye ne cède pas, l'un des bourgeois le menace de son épée. Le coup est intercepté in extremis par le grand greffier Cologne qui, bien que blessé à la jambe, sauve ainsi le bourgmestre[15]. Bien plus récemment, cette œuvre (sous le nom de A violent attack[16]) est utilisée comme couverture du recueil de nouvelles Pistols for Two de l'écrivaine britannique Georgette Heyer (édition Arrow books, propriété du groupe Penguin Random House, de 2005)[17].

Au Salon de Bruxelles de 1848, le peintre expose sa toile Henri de Dinant, tribun liégeois partant pour l'exil, qui y reçoit une critique favorable :

« Cette toile dont la couleur est un peu commune, se distingue par une entente remarquable de la composition et par un dessin assez pur. La vérité historique est respectée, les costumes sont fidèles. On voit que M. Soubre est un homme sérieux qui étudie avec conscience. Nous attendons une œuvre nouvelle ; nous serions heureux de voir le jeune artiste réaliser tout ce que promet son talent[18]. »

 
Le réveil de Montaigne, 1862 (huile sur toile ; seconde version que produit l'artiste ; 105 × 78 cm), collection privée.

En 1850, il présente au Salon de l'exposition des Beaux-Arts de Liège son tableau de la Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne[5]. L'année suivante, il expose à nouveau au Salon de Bruxelles, y présentant son tableau Le réveil de Montaigne, qui est également bien reçu par la critique[19]. La toile évoque un élément biographique de l'enfance de l'écrivain qui est repris dans la Biographie universelle des frères Michaud :

« On l'élevait avec toute liberté, en le sollicitant doucement, au point que, pour ne pas troubler son cerveau encore tendre, en l'arrachant avec violence au sommeil profond auquel les enfants sont sujets, son père le faisait réveiller, non en sursaut, mais aux sons d'une musique agréable[20]. »

Cette même œuvre est exposée en 1852 au Salon d'Anvers[21] et elle est reprise en 1862 para le peintre qui réalise une seconde version de taille plus réduite que la première[22]. Cette dernière est exposée l'année de sa création au Salon de l'exposition des Beaux-Arts de Liège et vendue à une collection privée[23]. Enfin, l'artiste expose au Salon de Bruxelles en 1854, envoyant l'œuvre La dernière barque de foin[24].

En 1853, il épouse Eugénie Françoise Josephine Cajot[5], avec qui il a deux filles, Françoise née en [25],[26], et Eugénie en [27],[28].

Carrière à l'Académie royale des beaux-arts de Liège (1854-1889)

modifier
 
La Sainte Famille, 1862 (huile sur toile ; 200 × 155 cm), Amercœur, chapelle du couvent des sœurs de l'Espérance.

Nommé en [29], il exerce pendant un peu plus de 35 ans en tant que professeur de dessin à l'Académie royale des beaux-arts de Liège[6],[8],[10]. S'y ajoute le poste de professeur de peinture « d'après l'antique » à partir de 1859[30],[31] et de peinture « d'après le modèle vivant » à partir de 1885[32]. En parallèle avec sa carrière d'enseignant, le peintre continue d'exposer aux salons belges et différents grands événements internationaux. « Le labeur du peintre ne se démentait point : tout le temps que lui laissaient les commandes à exécuter et les leçons à donner était consacré à ennoblir son talent, à perfectionner sa technique »[5].

L'artiste continue de se centrer sur les scènes historiques, mais réalise aussi des paysages et des scènes de genre. En 1855, il participe au Salon d'Anvers avec Angélique et le cheval enchanté, basé sur le poème Orlando furioso[33]. Deux ans plus tard, il prend part au Salon de Bruxelles de 1857 et y présente l'œuvre le Songe d'un chef arabe, conduit par les filles de la mer à la conquête de île Bleue[34], inspirée d'un conte des Mille et Une Nuits[35]. « L'œuvre, fort admirée, fut achetée par un éditeur de Paris [la maison Goupil][35] ; et, gravée par Cornillet, elle vulgarisa le nom du peintre, dont la réputation prit alors un rapide essor[5]. » Au Salon de Bruxelles de 1860, il envoie cette fois un tableau d'Ophélie[36].

L'épouse de Charles Soubre décède en [37],[38]. Ce dernier se remarie le avec Marie Christine Wurth[39],[40] (1828-1908), nièce de sa première épouse[41], avec qui il a deux autres filles, Marie-Madeleine en [42],[43] et Marguerite Caroline en [44],[45]. Cette dernière décède alors qu'elle est à peine âgée d'un peu plus d'un an[46],[47],[48].

 
Sapho sur le promontoire de Leucade, vers 1867[49] (huile sur toile ; 40,4 × 32,5 cm), collection privée.

À partir de 1862, le rythme de ses expositions s'intensifie pour devenir pratiquement annuel pendant un peu plus d'une vingtaine d'années. En plus de multiples participations aux Salon de Bruxelles (1863, 1866, 1869, 1872, 1875, 1878, 1881, 1884), Salon d'Anvers (1864, 1867, 1873, 1876, 1879) et Salon de Gand (1865, 1868, 1871, 1874, 1877, 1883, 1889), il expose au Salon de peinture et de sculpture à Paris en 1863, aux Expositions internationales de Londres en 1872, 1873 et 1874, à l'Exposition universelle de Vienne en 1873, à l'Exposition universelle de Philadelphie en 1876 et à l'Exposition universelle de Sydney de 1879-1880 (pour plus de détail, voir la section Expositions réalisées du vivant de l'artiste). Durant cette période d'intense activité de l'artiste, il reçoit une médaille d'or au Salon de Bruxelles de 1866[50],[51] et une médaille de bronze à l'Exposition universelle de Sydney de 1879-1880[52]. Il est aussi nommé chevalier de l'ordre de Léopold le [53],[54].

 
Lady Nottingham et Élisabeth, 1875 (huile sur toile ; 89 × 116 cm), collection privée.

À cette époque, « les collections particulières d'outre-Manche se disputent les toiles » de l'artiste[5]. On retrouve parmi ces œuvres Le réveil de Montaigne, Un enterrement dans les Ardennes et Lady Macbeth, qui sont vendues à Dublin ; Catherine d'Aragon et le cardinal Wolsey, Marie Stuart, Départ pour la chasse, Le banquet des Gueux et Lady Nottingham et Élisabeth, qui sont vendues à Londres ; et une copie postérieure que réalise le peintre du Banquet des Gueux, qui est vendue à Manchester[5]. Certaines de ses toiles voyagent encore davantage, comme Convalescente, vendue à Kiev, ou Fière humilité, vendue à Sydney[5].

D'autres œuvres de référence de l'artiste restent néanmoins dans des collections belges, comme le Supplice de Pierre de Bex, ancien Bourgmestre de Liège, propriété du baron Rodolphe de Lamberts-Cortenbach[55], Une famille noble devant le Conseil des troubles et Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier qui entrent dans les collections publiques liégeoises[56],[57], ou La måle Saint-Martin qui entre dans les collections de la famille royale[58].

 
Le banquet de gueux, 1901 (photogravure aquatinte, 17 × 13 cm)

Il est également à noter que « ses œuvres les plus importantes ont été vulgarisées par la gravure, reproduites dans maintes publications artistiques de France, d'Allemagne et d'Angleterre »[5], comme par exemple Le banquet des Gueux[59], La måle Saint-Martin[60] et Une famille noble devant le Conseil des troubles[61], mais aussi les toiles Saint Vincent de Paul assistant Louis XIII mourant, Saint Vincent de Paul fondant l'hospice des enfants trouvés, Saint Charles Borromée pendant la peste et Fénelon distribuant son pain au pauvre, œuvres « gravées et éditées à Paris »[5].

La fille aînée du peintre, Françoise, épouse le l'ingénieur Albert Battaille, fils de Jean Battaille, ingénieur en Russie, et de Marie Straatman, fille de l'armateur bruxellois Lambert Straatman[41],[62],[63]. Le , sa seconde fille Eugénie épouse le peintre Emile Delperée (né Daxhelet), qui, quelques années auparavant, a été l'élève de Charles Soubre à l'Académie[41],[64],[65]. Enfin, sa troisième fille Madeleine (1865-1922), peintre de fleurs, expose avec son père au Salon de Gand de 1883[66] et au Salon de Bruxelles de 1884[67]. Elle épouse en 1898 le lieutenant d'artillerie Henri Dupont, qui défend Liège en 1914, en tant que commandant des fortifications de la Meuse[68],[69]. Il est fait prisonnier des allemands en 1915 et détenu en captivité jusqu'a la fin de la guerre[68].

Dernières années (1889-1895)

modifier

Charles Soubre démissionne de ses fonctions d'enseignant le et reçoit le titre de professeur honoraire en reconnaissance des services rendus à l'Académie[70]. À cette occasion, l'échevin des Beaux-Arts rend « un éclatant et juste hommage au talent de cet excellent professeur qui a formé tant d'élèves distingués et contribué aux progrès de l'art dans notre ville »[70]. Il est remplacé au poste de professeur de dessin par Adrien de Witte et au poste de professeur de peinture par son gendre, Émile Delperée[70]. Ses anciens élèves lui organisent en remerciement une « manifestation Soubre » à l'Académie le [71].

Le peintre décède le [1],[53] et est inhumé au Cimetière de Robermont à Liège[72].

Style et techniques artistiques

modifier

Bien qu'il soit également dessinateur, Charles Soubre est surtout un peintre de sujets historiques, de scènes de genre, de portraits, de paysages et de figures féminines[8],[9],[10],[73]. Micheline Josse estime que, « bien dans l'esprit de son temps, ses compositions qui ne manquent pas de grandeur étaient fort prisées », même si « actuellement elles sont souvent jugées trop théâtrales »[9].

 
Élisabeth Ire troublée, 1865-1880 (huile sur toile ; 88 × 70 cm), Coventry, Herbert Art Gallery and Museum.

À propos de la peinture d'histoire réalisée par Soubre, le critique d'art et conservateur de musée Jules Bosmant pointe qu'il y « apporta un esprit sérieux et des dons de coloriste qui, à cette époque tout au moins, n'étaient pas négligeables »[74] et qu'il « cherche, plus qu'aucun autre de ses confrères, ses sources d'inspiration dans l'histoire locale, voire dans les légendes du terroir »[75].

Bosmant cite comme œuvres caractéristiques de cette production de l'artiste : Henri de Dinant, tribun liégeois partant pour l'exil (1848), la Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850), le Supplice de Pierre de Bex, ancien Bourgmestre de Liège (1867), Une famille noble devant le Conseil des troubles (1873), Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878) et La légende du châtelain de Saive[75].

 
Paysage animé à la cascade, 1876 (huile sur toile ; 42 × 55 cm), collection privée.

En tant que peintre paysagiste, Bosmant remarque que Soubre « ne craignait pas de transporter toile et chevalet sur nature » et « avait un goût assez étonnant alors pour les grands formats »[75]. Il ajoute que « ses curiosités d'artiste l'incitèrent à poursuivre assez loin sa chasse au paysage », allant de Grand-Halleux jusqu'au Grand-Duché de Luxembourg, et il considère que Soubre « avait tendance à voir large, et plutôt en décorateur préoccupé de l'effet d'ensemble et de l'équilibre, que de la vérité de l'atmosphère et de milieu »[75].

André Marchal rejoint l'opinion de Jules Bosmant et ajoute que « Soubre fait état dans ses tableaux d'une évidente recherche d'équilibre de masses, d'une organisation des plans, de synthèse décorative, qualités qui apparaîtront souvent dans les œuvres des paysagistes liégeois »[76].

 
Scène de harem oriental, avant 1895 (huile sur toile ; 90 × 115 cm), collection privée.

Quant aux quelques nus que l'artiste réalise tout à la fin de sa carrière, Bosmant estime qu'ils « étaient forts chastes et bien anodins »[77], offrant néanmoins la particularité d'être situés dans des décors de plein air, où ruisseaux et arbres entourent les figures féminines[77]. Et pourtant, vu que l'artiste commet l'imprudence d'exposer ces œuvres, « audace suprême dans notre ville provinciale »[77] à la fin du XIXe siècle, il est durement réprimandé par un journal local « sur les devoirs moraux d'un professeur à l'Académie et l'exemple qu'il doit à ses élèves »[77].

Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850)

modifier
 
Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne, 1850 (huile sur toile ; 211 × 275 cm ; photographie de 1955 du KIK-IRPA), Liège, La Boverie.

Le tableau est une commande de la ville de Liège[5],[78]. Il est « l'occasion d'un réel succès » pour l'artiste lors de son exposition au Salon de Liège en 1850[5]. L'œuvre dépeint les derniers instants d'Henri IV, empereur du Saint-Empire romain germanique, qui décède à Liége le .

Le catalogue du musée des Beaux-Arts édité par l'imprimerie Bénard en 1926 décrit la scène représentée par Charles Soubre :

« Henri IV, frappé d'anathème, dépouillé, trahi par son fils, chassé de son pays, vint se réfugier à Liége en 1106. Épuisé par de longues souffrances, entouré des rares amis qui lui étaient restés fidèles, il mourut, pardonnant à son fils, et remit en mains d'Otbert, évêque de Liége, les seuls insignes impériaux qu'il avait pu emporter dans sa fuite : un anneau, une épée, une couronne[78]. »

Ce même catalogue pointe que la maison dans laquelle mourut Henri IV est située rue Féronstrée et porte l'inscription « Ci est mort Henry IV »[78].

Victor Pisani (1866)

modifier
 
Victor Pisani, 1866 (huile sur toile ; 116 × 166 cm), collection privée.

L'œuvre est exposée au Salon de Bruxelles de 1866 et permet au peintre d'y obtenir l'une des médailles d'or[50],[51]. Le catalogue de l'exposition, reprenant un extrait de l'Histoire de la République de Venise rédigé par Pierre Daru, détaille l'épisode de l'histoire de la sérénissime que l'artiste représente :

« Victor Pisani, amiral de la République de Venise, avait remporté de grands succès contre les Génois, mais un premier revers le fit tomber en disgrâce. Il fut jeté en prison. Les Génois en profitèrent pour menacer leur rivale jusque dans ses lagunes. En présence de ce péril imminent, le peuple se souleva et le Conseil des Dix se vit obligé de rendre à Pisani le commandement de la flotte. Pisani reprit son épée en jurant d'oublier, pour le salut de la patrie, l'injustice dont il avait été victime[79]. »

Le Journal des beaux-arts remarque dans sa critique du , reproduite à continuation, que la toile « fait honneur au savant professeur de Liège » :

« Un des plus beaux épisodes de l'histoire de Venise a inspiré à M. Soubre une belle composition. Pisani oubliant l'injustice de ses compatriotes pour sauver sa patrie, est un sujet digne de l'artiste dont nous nous occupons. L'amiral est bien campé ; le geste par lequel il serre, ou plutôt étreint, la main d'un fidèle ami placé derrière lui, est très heureux. Les sénateurs vénitiens sont ce qu'ils doivent être, fiers toujours, même dans leur humilité forcée. Tout, dans la figure de l'amiral, fait comprendre que le sentiment qui l'anime prend sa source dans les inspirations les plus élevées de l'amour de la patrie[80]. »

Fière humilité (1871)

modifier

Le tableau est exposé au Salon de Gand de 1871[81] puis à l'Exposition internationale de 1872 de Londres[82]. Il convient de noter qu'une toile évoquant le même épisode de la Divine Comédie et intitulée Provenzano Salvini mendiant la rançon de son ami apparaît dans le catalogue du Salon de Bruxelles de 1863[83]. Il ne peut être établi avec certitude si Fière humilité de 1871 est la même toile déjà exposée en 1863 ou s'il s'agit d'une seconde version de la toile de 1863 réalisée postérieurement par l'artiste, comme il l'a fait par exemple pour le Réveil de Montaigne (1851 et 1862)[22] et Le banquet des Gueux (1869 et 1876)[5].

Les catalogues des Salon de Bruxelles de 1863[83] et Salon de Gand de 1871[81] décrivent l'épisode du Chant XI du Purgatoire dont l'artiste s'inspire :

« Un des plus illustres citoyens de Sienne, Provenzano Salvani, l'un des chefs du parti Gibelin, avait à cœur de racheter un de ses amis que Charles d'Anjou tenait en captivité et menaçait de faire mourir si l'on ne payait dix mille florins pour sa rançon. La somme était considérable. Provenzano n'était pas assez riche pour la donner. Il dompta sa fierté. Il alla déployer un tapis sur la grande place de Sienne, et demanda humblement l'aumône au passant pour le rachat de son ami. »

 
Fière humilité, 1871 (huile sur toile ; 124 × 174 cm), collection privée.

Un article du du journal La Meuse détaille davantage la composition, en commençant par le personnage principal du tableau[84] :

« Au premier plan du tableau le noble Salvani, personnage principal, est agenouillé devant le tapis étendu pour recevoir les dons des passants. On comprend, en lisant sur les traits de cet homme la noblesse des sentiments qui l'animent, que ce n'est pas là un mendiant ordinaire, mais un grand seigneur, qui consent à humilier son orgueil pour sauver un ami malheureux, La tête est énergique et empreinte d'un cachet aristocratique rare. La pose et le geste sont, bien appropriés à la situation et la richesse sévère du costume de Salvani, aussi bien que son grand air, ne laissent aucun doute sur le rang de cet homme humblement agenouillé. »

L'article se penche à continuation sur les personnages qui entourent Salvini, notant que « les différentes physionomies [...] sont heureusement exprimées », comme par exemple à sa droite où « un bourgeois enrichi et égoïste sourit d'une action qu'il ne peut comprendre » ou à sa gauche où cette fois « une jeune femme indignée le regarde avec mépris et détache d'une façon significative son bracelet, qu'elle va joindre aux bijoux qui gisent déjà sur le tapis »[84]. « La tête de la jeune fille appuyée sur l'épaule de cette femme, exprime une naïve compassion. »[84]

On voit également au premier plan à droite « un enfant du peuple, que sa mère engage à s'avancer vers le noble agenouillé, hésite à lui donner la pièce de monnaie qu'il tient entre ses doigts, intimidé qu'il est par la grande mine de ce mendiant extraordinaire »[84]. Un lévrier « semble s'inquiéter de l'action de l'enfant qui s'avance vers son maître et prendre beaucoup plus d'intérêt à ce qui se passe autour de lui que le jeune page de Salvani, ennuyé de la corvée qu'il subit »[84]. Au premier plan à gauche, « un moine bénédictin, étonné du spectacle étrange qu'il a sous les yeux, se retourne [...] tout en continuant son chemin »[84]. Au fond du tableau, « un groupe de bourgeois causent de cet événement inattendu en exprimant les sentiments les plus divers » et « passent deux cavaliers, dont l'un se retourne avec curiosité, tandis que l'autre reste indifférent à la scène »[84].

Une famille noble devant le Conseil des troubles (1873)

modifier
 
Une famille noble devant le Conseil des troubles, 1873 (huile sur toile ; 137 × 200 cm ; photographie de 1959 du KIK-IRPA), Liège, La Boverie.

Toile présentée par l'artiste à l'Exposition universelle de 1873 à Vienne[85] et à l'Exposition internationale de 1874 de Londres[86] qui est acquise en 1875 par la ville de Liège[56],[78]. Le tableau est popularisé par des reproductions réalisées via des procédés de gravure sur bois[61] et de photogravure[87],[88],[89].

La toile dépeint l'un des épisodes du susnommé Conseil des troubles, le tribunal d'exception mis en place par le duc d'Albe afin de réprimer les troubles qui surviennent aux Pays-Bas à partir de 1566 avec la révolte des Gueux et la crise iconoclaste. Il est aussi connu sous le nom de Conseil du sang (Bloedraad), en raison des nombreuses exécutions qui en résultent.

Jules Bosmant considère que le tableau est « d'une portée historique assez large pour se situer uniquement dans le temps » et qu'y est représenté « un moment de notre civilisation occidentale, plutôt qu'un épisode particulier à la vie d'une nation »[75]. Il poursuit son analyse, remarquant : « Sa composition très sobre, où les gestes sont rares et mesurés, où l'effet théâtral est nul, ne manque pas de grandeur. Ce ne sont pas des hommes gesticulant et disputant qui s'affrontent, mais plutôt des consciences, des idéaux, des façons différentes d'envisager la vie, la mort et les grands devoirs qu'elles nous dictent[75]. »

La måle Saint-Martin (1876)

modifier
 
La Måle Saint-Martin, 1876 (huile sur toile ; 135 × 108 cm ; photographie de 1954 du KIK-IRPA), Bruxelles, Collection royale.

Le tableau, qui fait partie de la Collection royale belge[58],[90], est envoyé par le peintre à l'Exposition universelle de 1876 à Philadelphie[91] puis au Salon de Gand en 1877[92]. Le catalogue de cette dernière exposition décrit le moment du conflit de la Måle Saint-Martin, qui a lieu au XIVe siècle, dépeint par l'artiste :

« Les métiers, apprenant que beaucoup de nobles s'étaient cachés dans les maisons voisines de St. Hubert, les envahirent et massacrèrent impitoyablement tous ceux qu'ils y découvrirent. Une femme opulente, Marie de Fooz, parvint cependant à sauver 150 conjurés cachés dans sa maison. Elle eut la présence d'esprit, tandis que le peuple fouillait toutes les habitations voisines, de faire ouvrir les portes de la sienne ; elle vint elle-même féliciter les bourgeois, et les engager à prendre chez elle tout ce dont ils pourraient avoir besoin, après un combat de si longue durée. On applaudit à ce dévouement, et la maison ne fut pas même visitée[92]. »

Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878)

modifier

La toile, exposée au Salon de Bruxelles de 1878[93], entre dans les collections publiques liégeoises en 1887 grâce à un don de Mme Dumont-Lamarche[57].

La révolution belge de 1830, qui marque la naissance d'un nouvel état, annonce une « quête identitaire fondée sur l'appartenance nationale » qui va générer la création de nombreuses scènes historiques exaltant le sentiment national[94]. Le présent tableau s'inscrit de ce mouvement, et se centre particulièrement sur la figure de Charles Rogier, « un acteur liégeois essentiel de la révolution, qui lutta tant sur le plan politique que militaire pour asseoir les fondements du nouvel État belge »[94].

L'œuvre représente la soirée du lorsque Charles Rogier « rassemble un groupe de volontaires liégeois dans la cour du Palais des princes-évêques pour se rendre dans la future capitale belge et prêter main forte à l'insurrection bruxelloise »[94]. On y voit le « cavalier meneur brandissant l'étendard aux couleurs liégeoises (rouge et jaune) sur lequel figure l'inscription "Vaincre ou mourir pour Bruxelles" »[94]. Dans la foule, on observe des personnages de toute sorte, « des notables comme des personnages populaires tels que des botteresses ou de jeunes gavroches ». Derrière Rogier, de nombreux hommes armés se mettent en marche et en avant plan, « un jeune homme est en tête de cortège et bat le tambour d'infanterie »[94].

Le conservateur du musée de La Boverie Grégory Desauvage observe que le peintre « donne à la scène un réalisme étonnant » et que « les visage et les lieux sont rendus avec grande précision et ajoutent à l'intensité du moment »[94]. Il achève notant que le musée royal de l'Armée et de l'Histoire militaire possède du même artiste un tableau de 1880 qui dépeint la fin de ce voyage amorcé à Liège, L'arrivée de Charles Rogier et des volontaires liégeois à Bruxelles[94].

Catalogue et musées

modifier

Des œuvres de Charles Soubre sont présentes dans les collections de La Boverie[78],[95], du musée de la Vie wallonne[96], du musée royal de l'Armée et de l'Histoire militaire[94], du Herbert Art Gallery and Museum[97],[98] mais aussi dans la Collection royale belge[58] et de nombreuses collections privées[5].

Galerie

modifier

Le professeur et ses élèves

modifier

Lors de la « manifestation Soubre » organisée à l'Académie le par ses anciens élèves pour fêter sa « mise à la pension »[71], ces derniers lui remettent un album commémoratif de 42 dessins en ces termes :

« Cher professeur, vos anciens élèves de l'Académie de Beaux-Arts viennent, à l'occasion de votre nomination à l'éméritat, vous exprimer leur vifs remerciements pour le dévouement que vous n'avez cessé de leur témoigner. Une carrière de 36 ans de professorat aussi dignement remplie que la vôtre pourrait-elle seule faire votre gloire, si celle de l'artiste était moins brillante ? Mais, l'une et l'autre ont été couronnées : le Roi possède une de vos œuvres et vous a décoré, les jury d'Expositions vous ont décerné les plus grandes distinctions; le corps professoral de l'Académie des Beaux-Arts vous a offert un banquet ; vos élèves viennent de cœur vous prier d'accepter cet album de dessins comme faible gage de reconnaissance[99]. »

Élèves notables

modifier

Expositions

modifier

Charles Soubre expose au Cercle royal des Beaux-Arts de Liège de 1893 à 1895[73],[108].

Expositions réalisées du vivant de l'artiste

modifier
 
Lady Macbeth, 1877 (huile sur toile), collection privée.
  • 1877 : XXXe Exposition triennale - Salon de Gand, du 26 août au 2 novembre, casino de Gand, Gand (l'artiste y expose 3 œuvres : La Måle Saint-Martin, Lady Macbeth et Le dépit)[92].
  • 1878 : Salon de Bruxelles, du 5 septembre au 3 novembre, un immeuble situé entre l'avenue du Midi et le boulevard du Hainaut, Bruxelles (Soubre y expose Le , aussi connu comme Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier)[93].
  • 1879 : Salon de 1879 (organisé par l'Association pour l'encouragement des beaux-arts), du 25 avril au 28 mai, salle d'émulation et salle académique, Liège (l'artiste y expose Le )[134] ; Salon d'Anvers, du 10 août au 1er octobre, rue Vénus, Anvers (il y expose 2 œuvres : Un enterrement dans les Ardennes et Ressentiment)[135] ; Exposition du Cercle Artistique, décembre, salle du casino du passage Lemonnier, Liège[136].
  • 1879-1880 : Exposition universelle de Sydney, du 18 septembre 1879 à juin 1880, Garden Palace, Sydney (il y expose The notched sword ; Épée ébréchée)[137].
  • 1881 : Salon de Bruxelles, du 14 août au 16 septembre, musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, Bruxelles (le peintre y expose Jalousie)[138].
  • 1883 : XXXIIe Exposition triennale - Salon de Gand, du 26 août au 4 novembre, casino de Gand, Gand (l'artiste y expose Lassitude et Tête d'étude)[139].
 
La veuve, 1884 (huile sur toile), collection privée.
  • 1884 : Salon de Bruxelles, du 1er septembre au 1er novembre, musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, Bruxelles (le peintre y expose La veuve)[67].
  • 1889 : XXXIVe Exposition triennale - Salon de Gand, du 11 août au 6 octobre, casino de Gand, Gand (Soubre y expose Le dimanche matin en Ardenne et Javanaise agaçant un chat)[140].
  • 1892 : Salon de 1892 (organisé par l'Association pour l'encouragement des beaux-arts), avril-mai, salle d'émulation, Liège (l'artiste y expose un portrait au pastel)[141].

Expositions réalisées après la mort de l'artiste

modifier
  • 1895 : Rétrospective Charles Soubre, mars-avril, Salle d'Émulation, Liège[5] ; XXXVIe Exposition triennale - Salon de Gand, du 1er septembre au 28 octobre, casino de Gand, Gand (l'artiste, décédé avant le début du Salon, y avait envoyé un pastel Jeune fille à la fontaine)[142].
  • 1964 : 125e anniversaire de l'Académie royale des Beaux‑Arts, du 11 avril au 10 mai, Musée des Beaux-Arts, Liège[143].
  • 2012 : La Spiritualité, du 9 juin au 1er juillet, Rue des Prémontrés 38, Liège[144].
  • 2018 : École Liégeoise du Paysage (1880-1950), du 1er août au 2 septembre, Rue de l'Église, Fléron[145] ; École Liégeoise du Paysage, du 27 octobre au 18 novembre, Place de l'Abbaye 12, Saint-Hubert[146].
  • 2019 : Tableaux de pêche et de rivières, du 6 au 28 juillet, Chapelle des Sépulcrines - Rue du Collège 31, Visé[147].
  • 2021 : Juin 2021 au bureau… Toujours des Heintz, du 5 juin au 4 juillet, Rue Henri Vieuxtemps 13, Liège[148].

Prix et Distinctions

modifier

Réception critique

modifier

« Ce qui caractérisait le talent très réel et tout sympathique de Charles Soubre, c'était le tact exquis du sentiment, l'harmonie touchante entre l'idée et l'interprétation, une harmonie douce, mélodieuse, attirante... Rien de violent ni de brutal n'échappait à ce pinceau caressant, enveloppant le sujet d'une main émue, passionnée et discrète...

Soubre était doué d'un vrai tempérament d'artiste et il excellait dans la traduction sentimentale des petits drames de psychologie familière. Il incarnait merveilleusement, sous ce rapport, un art délicat, incontestablement tombé de nos jours en désuétude, mais dont il est permis de regretter la disparition. »

— Journal La Meuse en 1895[5]

Notes et références

modifier
  1. a b et c « Décès Charles Joseph Soubre le 30 janvier 1895 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  2. « Nécrologie », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  3. « Nº 254 - Acte de décès de Charles Joseph Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  4. « Décès Etienne Joseph Soubre le 9 septembre 1871 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w et x « Charles Soubre », La Meuse, Liège,‎ , p. 9 (lire en ligne)
  6. a et b « Charles Soubre (Les collections du Musée de la Vie wallonne) », sur collections.viewallonne.be (consulté le )
  7. Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 82.
  8. a b c d et e Piron 2003-2006, p. 454.
  9. a b c d et e Josse 1995, p. SOUBRE, Charles.
  10. a b et c Goijen 2014, p. 564.
  11. a et b Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Notice des ouvrages, de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin, exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Imprimerie de H. P. Vander Hey, , 72 p. (lire en ligne), p. 57
  12. a et b Exposition nationale des Beaux-Arts : explication des ouvrages de peinture, sculpture, gravure, dessin et lithographie exposés au Salon de 1842, Bruxelles, Demortier frères, , 107 p. (lire en ligne), p. 77
  13. a et b Académie royale des beaux-arts de Gand, XIXe salon triennal. Notice des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, dessin, gravure, lithographie etc. d'artistes vivants: exposés au nouveau Palais de Justice, le 30 juin 1844, Gand, D. J. Vanderhaeghen-Hulin, , 58 p. (lire en ligne), p. 53
  14. a et b Exposition nationale des Beaux-Arts : explication des ouvrages de peinture, sculpture, gravure, dessin et lithographie exposés au Salon de 1845, Bruxelles, Demortier frères, , 136 p. (lire en ligne), p. 106
  15. Mathieu Lambert Polain, Récits historiques sur l'ancien pays de Liége, Bruxelles, Fr. Gobbaerts, , 464 p. (OCLC 457973547, lire en ligne), p. 426-427
  16. « Georgette-Heyer.com - New Arrow Publication - Pistols for Two », sur www.georgette-heyer.com (consulté le )
  17. (en) Georgette Heyer, Pistols For Two, Arrow books (Penguin Random House UK), , 224 p. (ISBN 9780099476382, lire en ligne)
  18. a et b Louis Van Rooy et T. Decamps, Revue du Salon de Bruxelles, Bruxelles, D. Raes, , 215 p. (lire en ligne), p. 89
  19. Journal historique et littéraire, t. XVIII, Liège, Chez P. Kersten, , 626 p. (lire en ligne), p. 203
  20. a et b Exposition générale des Beaux-Arts: 1851. Catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie G. Stapleaux, , 145 p. (lire en ligne), p. 119
  21. a et b Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Exposition nationale: notice des ouvrages, de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Henri Verberckt, imprimeur-libraire, , 95 p. (lire en ligne), p. 80
  22. a b et c « Salon de l'exposition des Beaux-Arts », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  23. Renier Malherbe, Société libre d'émulation de Liège : Liber memorialis 1779-1879, Liège, Léon De Thier, , 569 p. (lire en ligne), p. 140
  24. a et b Exposition générale des beaux-arts 1854: Catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie G. Stapleaux, , 163 p. (lire en ligne), p. 104
  25. « Naissance Francoise Elisabeth Soubre le 14 juin 1854 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  26. « Nº 1299 - Acte de naissance Françoise Élisabeth Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  27. « Naissance Eugénie Jeanne Soubre le 28 janvier 1857 à Liège, », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  28. « Nº 214 - Acte de naissance d'Eugénie Jeanne Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  29. Frédéric Hennebert (direction), Moniteur de l'enseignement, t. IV (septembre 1853 - mai 1854), Tournai, Bureau du Moniteur de l'enseignement, , 452 p. (lire en ligne), p. 34
  30. « Faits divers », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  31. « Actes officiels (extraits du Moniteur) », sur uurl.kbr.be, Journal de Bruxelles, Bruxelles, (consulté le ), p. 1
  32. « Académie des Beaux-Arts : Enseignement - Nominations », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  33. a et b Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Exposition nationale: notice des ouvrages, de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Henri Verberckt, imprimeur-libraire, , 115 p. (lire en ligne), p. 95
  34. a et b Exposition générale des beaux-arts 1857: Catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Charles Lelong, , 141 p. (lire en ligne), p. 113
  35. a b et c « Faits divers », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  36. a et b Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Deuxième année no 18, Bruxelles, A. Decq, , 196 p. (lire en ligne), p. 144
  37. « Décès Eugénie Françoise Josephine Cajot le 9 décembre 1861 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  38. « Nº 2660 - Acte de décès d'Eugénie Françoise Josephine Cajot », sur www.familysearch.org (consulté le )
  39. « Faits divers », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  40. « Nº 527 - Acte de mariage de Charles Joseph Soubre & Marie Madelène Christine Wurth », sur www.familysearch.org (consulté le )
  41. a b et c Jules Mersch, « La famille WURTH : Les Wurth-Cajot », Biographie nationale du pays de Luxembourg, sur luxemburgensia.bnl.lu, Luxembourg, J. Mersch, (consulté le ), p. 190
  42. « Naissance Madilène Jeanne Christine Soubre le 20 mars 1865 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  43. « Nº 739 - Acte de naissance de Madilène Jeanne Christine Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  44. « Naissance Marguerite Caroline Josephine Françoise Soubre le 7 juin 1869 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  45. « Nº 1471 - Acte de naissance de Marguerite Caroline Josephine Françoise Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  46. « Décès Marguerite Caroline Josephine Francoise Soubre le 13 décembre 1870 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  47. « État civil de Liège », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  48. « Nº 3034 - Acte de décès de Marguerite Caroline Josephine Françoise Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  49. « Faits divers : Chronique locale », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  50. a b et c Moniteur, « Nominations », Moniteur belge, no 280,‎ , p. 1 (5482) (lire en ligne).
  51. a b et c Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Huitième année no 19, Bruxelles, A. Decq, , 192 p. (lire en ligne), p. 152
  52. a et b « Exposition internationale de Sydney - 1879 », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 1
  53. a b et c « Nécrologie », La Meuse,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  54. a et b « Nominations », Le Bien Public, no 39,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  55. a et b Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Exposition nationale: catalogue des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Imprimerie de J. P. Van Dieren, , 168 p. (lire en ligne), p. 139
  56. a et b Renier Malherbe, Société libre d'émulation de Liège : Liber memorialis 1779-1879, Liège, Léon De Thier, , 569 p. (lire en ligne), p. 149, 159
  57. a et b Desauvage 2016, p. 148.
  58. a b et c Charles Soubre, « La Mâle Saint-Martin », sur BALaT KIK-IRPA (consulté le )
  59. Le banquet de gueux (photogravure aquatinte, 1901, 17 x 13 cm).jpg
  60. (en) « Fotoreproductie van Le Mal Saint Martin door Charles Soubre, anonymous, after Charles Soubre, c. 1873 - in or before 1878 », sur Rijksmuseum (consulté le )
  61. a et b (en) « 1874 Wood Engraving Charles Soubre Art Council of Troubles Dutch Revol », sur Period Paper Historic Art LLC (consulté le )
  62. « Mariage Albert Pierre Joseph Battaille & Françoise Elisabeth Soubre le 28 décembre 1878 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  63. « Nº 995 - Acte de mariage d'Albert Pierre Joseph Battaille & Françoise Elisabeth Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  64. « Mariage Emile Daxhelet & Eugénie Jeanne Soubre le 26 avril 1879 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  65. « Dictionnaire des Peintres belges: 1598 DELPÉRÉE, Emile », sur peintres.kikirpa.be (consulté le )
  66. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXXIIe exposition triennale de Gand. Salon de 1883. Notice sur les tableaux et objets d'art exposées au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 215 p. (lire en ligne), p. 140
  67. a et b « Le Salon de Bruxelles : Quatrième et dernier article », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  68. a et b Jules Mersch, « La famille WURTH : Les Wurth-Cajot », Biographie nationale du pays de Luxembourg, sur luxemburgensia.bnl.lu, Luxembourg, J. Mersch, (consulté le ), p. 190
  69. « Nº 1378 - Acte de mariage de Henri Félix Eugène Dupont & Madeleine Jeanne Christine Soubre », sur www.familysearch.org (consulté le )
  70. a b et c « Chronique locale », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  71. a b et c « Chronique locale : Manifestation Soubre », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  72. Thierry Luthers, Derniers domiciles connus : guide des personnalités enterrées en province de Liège, , 347 p. (ISBN 978-2-9603349-1-3), p. 259
  73. a et b Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 83.
  74. Bosmant 1930, p. 92-93.
  75. a b c d e et f Bosmant 1930, p. 93.
  76. Marchal 1978, p. 535.
  77. a b c et d Bosmant 1930, p. 94.
  78. a b c d et e Ville de Liège, Musée des beaux-arts : catalogue, Liège, Imprimerie Bénard, , 137 p. (OCLC 27249817, lire en ligne), p. 69 (Soubre, Charles)
  79. a et b Exposition générale des beaux-arts 1866: catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Charles Lelong, , 195 p. (lire en ligne), p. 89
  80. a et b Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Huitième année no 18, Bruxelles, A. Decq, , 192 p. (lire en ligne), p. 140
  81. a b et c Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXVIIIe Exposition nationale et triennale de Gand: salon de 1871: notice sur les tableaux et objets d'art exposés au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 125 p. (lire en ligne), p. 106
  82. a et b (en) London International Exhibition of 1872 : official catalogue fine arts department, Londres, J.M. Johnson & Sons, , 126 p. (lire en ligne), p. 71
  83. a b et c Exposition générale des beaux-arts 1863: Catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Charles Lelong, , 152 p. (lire en ligne), p. 116-117
  84. a b c d e f et g « Faits divers : Exposition de Bruxelles », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  85. a et b Welt-Ausstellung 1873 In Wien, Officieller Kunst-Catalog, Vienne, Verlag der General-Direction, , 82 p. (lire en ligne), p. 54
  86. London International Exhibition of 1874 : official catalogue, Londres, J.M. Johnson & Sons, , 175 p. (lire en ligne), p. 42
  87. « Chronique locale : Société Franklin », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le )
  88. (en) « 1901 Aquatint Photogravure Charles Soubre Sitting Blood Council Cathol », sur Period Paper Historic Art LLC (consulté le )
  89. (en) « Fotoreproductie van Une Famille de Nobles (Gueux) devant le Conseil de Sang door Charles Soubre, anonymous, after Charles Soubre, c. 1871 - in or before 1880 », sur Rijksmuseum (consulté le )
  90. « Collection royale | La Monarchie belge », sur The Belgian Monarchy (consulté le )
  91. a et b (en) United States Centennial Commission, International Exhibition 1876, Official Catalogue : Department IV - Art, Philadelphie, John R. Nagle, , 170 p. (lire en ligne), p. 92
  92. a b et c Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXXe Exposition triennale de Gand: salon de 1877 : notice sur les tableaux & objets d'art exposés au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 163 p. (lire en ligne), p. 115
  93. a et b Exposition générale des beaux-arts 1878: catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Adolphe Mertens, , 205 p. (lire en ligne), p. 122
  94. a b c d e f g et h Desauvage 2016, p. 149.
  95. « Soubre, Charles - See Photo Library results (BALaT KIK-IRPA) », sur balat.kikirpa.be (consulté le )
  96. Charles Soubre, « Peinture figurant le Pont du Val Benoît à Liège et six maisons près de l'Union nautique (Les collections du Musée de la Vie wallonne) », sur collections.viewallonne.be (consulté le )
  97. (en) Charles Soubre, « A Troubled Elizabeth I (Herbert Art Gallery & Museum, Art UK) », sur artuk.org (consulté le )
  98. Charles Soubre, A Troubled Elizabeth I (Contemplating Signing the Death Warrant of Mary Queen of Scots), 1865-1880 (oil on canvas ; 88.0 x 70 cm), Coventry, Herbert Art Gallery and Museum.
  99. a b c d e et f « Chronique locale : Manifestation Soubre », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 1
  100. Goijen 2014, p. 176.
  101. Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 63.
  102. Charles Delchevalerie, Adrien de Witte: peintre, dessinateur et graveur. Catalogue de son oeuvre précédé d'une notice par Charles Delchevalerie, Liège, Imprimerie Bénard, , 94 p. (OCLC 31671709), p. 8
  103. « L'organisateur secrétaire », sur www.edgarddhont.com (consulté le )
  104. Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 74.
  105. Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 76.
  106. Goijen 2014, p. 496.
  107. Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 79.
  108. Goijen 2014, p. 565.
  109. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Notice des ouvrages, de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Imprimerie de Henri Verberckt, , 90 p. (lire en ligne), p. 76
  110. Exposition générale des beaux-arts 1848: catalogue explicatif, Bruxelles, J.B.J. De Mortier, , 120 p. (lire en ligne), p. 92
  111. Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Cinquième année no 9, Bruxelles, A. Decq, , 194 p. (lire en ligne), p. 66
  112. « Faits divers : Exposition de Bruxelles », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  113. « Exposition des Beaux-Arts à la Société d'Émulation de Liège », sur uurl.kbr.be, L'Écho du Parlement, Bruxelles, (consulté le ), p. 2
  114. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Catalogue des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin, exécutés par des artistes vivants, et exposés au salon d'Anvers, Anvers, Imprimerie de J. P. Van Dieren, , 171 p. (lire en ligne), p. 143
  115. Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Sixième année no 18, Bruxelles, A. Decq, , 194 p. (lire en ligne), p. 144
  116. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXVIe exposition nationale et triennale de Gand. Salon de 1865: notice sur les tableaux et objets d'arts, exposé au palais de l'université, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 78 p. (lire en ligne), p. 61
  117. Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Septième année no 18, Bruxelles, A. Decq, , 200 p. (lire en ligne), p. 142
  118. « Faits divers : Chronique locale », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  119. Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Neuvième année no 17, Bruxelles, A. Decq, , 202 p. (lire en ligne), p. 141
  120. Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Dixième année no 14, Bruxelles, A. Decq, , 192 p. (lire en ligne), p. 109
  121. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXVIIe exposition nationale et triennale de Gand. Salon de 1868. Notice sur les tableaux et objets d'art, exposés au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 110 p. (lire en ligne), p. 74
  122. Journal des beaux-arts et de la littérature : Peinture, sculpture, gravure, architecture, musique, archéologie, bibliographie, belles-lettres, etc., t. Dixième année no 18, Bruxelles, A. Decq, , 192 p. (lire en ligne), p. 132
  123. « Salon liégeois de 1869 : Huitième article », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  124. Exposition générale des beaux-arts 1869: catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Charles Lelong, , 239 p. (lire en ligne), p. 106
  125. Exposition générale des beaux-arts 1872: catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Adolphe Mertens, , 205 p. (lire en ligne), p. 82
  126. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Catalogue des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin, exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Typographie J. E. Buschmann, , 193 p. (lire en ligne), p. 156
  127. (en) London International Exhibition of 1873 : official catalogue, Londres, J.M. Johnson & Sons, , 214 p. (lire en ligne), p. 63, 68
  128. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXIXe exposition triennale de Gand. Salon de 1874. Notice sur les tableaux et objets d'art exposés au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 134 p. (lire en ligne), p. 109
  129. (en) London International Exhibition of 1874 : official catalogue, Londres, J.M. Johnson & Sons, , 175 p. (lire en ligne), p. 41, 42
  130. J. Ozenne et E. du Sommerard, Expositions internationales, Londres 1874 : rapports de la comission française, Paris, Imprimerie nationale, , 318 p. (lire en ligne), p. 27-28
  131. « Chronique locale : Exposition de Liège », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le )
  132. Exposition générale des beaux-arts 1875: catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Adolphe Mertens, , 230 p. (lire en ligne), p. 136
  133. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Catalogue des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin, exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Typographie J. E. Buschmann, , 210 p. (lire en ligne), p. 172-174
  134. « Association pour l'encouragement des beaux-arts : Salon de 1879 », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2
  135. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts, Catalogue des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure et dessin, exécutés par des artistes vivants et exposés au Salon d'Anvers, Anvers, Typographie J. E. Buschmann, , 147 p. (lire en ligne), p. 119
  136. « Beaux-arts et Sciences : Exposition du Cercle Artistique », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 3
  137. (en) « Sydney International Exhibition, 1879 : official catalogue of the Art Gallery : New South Wales, Great Britain, Austria, France, Germany, Belgium. », sur Trove, Sydney, Thomas Richards, (consulté le ), p. 77
  138. Exposition générale des Beaux-Arts de 1881, catalogue explicatif, Bruxelles, Imprimerie de Adolphe Mertens, , 171 p. (lire en ligne), p. 98
  139. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXXIIe exposition triennale de Gand. Salon de 1883. Notice sur les tableaux et objets d'art exposées au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 215 p. (lire en ligne), p. 139
  140. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXXIVe exposition triennale de Gand. Salon de 1889. Catalogue des tableaux et objets d'art exposés au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 158 p. (lire en ligne), p. 103
  141. « Le Salon liégeois », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 5
  142. Société royale pour l'encouragement des Beaux-Arts dans la ville de Gand, XXXVIe exposition triennale de Gand. Salon de 1895. Catalogue des tableaux et objets d'art exposes au Casino, Gand, Eug. Vanderhaeghen, , 175 p. (lire en ligne), p. 133
  143. Marc Renwart (Art-info.be), « Biographie développée d'Adrien de Witte », sur art-info.be, p. 18.
  144. Jacques Goijen, « La Spiritualité - L'école liégeoise du paysage », sur ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le ).
  145. Jacques Goijen, « Ecole Liégeoise du Paysage (1880-1950) - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  146. Jacques Goijen, « Ecole Liégeoise du Paysage - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  147. Jacques Goijen, « Tableaux de pêche et de rivières - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  148. Jacques Goijen, « Juin 2021 au bureau… Toujours des Heintz - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  149. « Faits divers : Chronique locale », sur uurl.kbr.be, La Meuse, Liège, (consulté le ), p. 2

Annexes

modifier

Bibliographie

modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Article connexe

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :