Cemboing

commune française du département de la Haute-Saône

Cemboing est une commune française située dans le département de la Haute-Saône et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Cemboing
Cemboing
Église de l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité CC des Hauts du Val de Saône
Maire
Mandat
Evelyne Grandjean
2023-2026
Code postal 70500
Code commune 70112
Démographie
Population
municipale
170 hab. (2021 en évolution de −10,53 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 50′ 34″ nord, 5° 51′ 25″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 312 m
Superficie 10,51 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Jussey
Législatives 1re circonscription de la Haute-Saône
Localisation
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Cemboing
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Cemboing
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Cemboing
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Cemboing

Géographie

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Cemboing est un village de la région culturelle et historique de Franche-Comté jouxtant par le nord-ouest Jussey et situé à 39 km à vol d'oiseau à l'est de Langres, à 38 km au sud de Contrexéville, 58 km au sud-ouest d’Épinal, 33 km au nord-ouest de Vesoul et 47 km au nord-est de Gray.

Il se trouve dans la zone d'emploi de Vesoul et dans le bassin de vie de Jussey[I 1]

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Barges, Blondefontaine, Jussey, Raincourt, Rosières-sur-Mance et Saint-Marcel.

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

Le territoire communal est limité au nord et au nord-est par le lit de l'Amance, l'un des principaux affluents en rive-droite de la Saône et donc un sous-affluent du Rhône.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 941 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Cemboing est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,1 %), forêts (27,9 %), terres arables (22,9 %), zones urbanisées (4,1 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 164, alors qu'il était de 162 en 2016 et de 158 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 58,6 % étaient des résidences principales, 21,9 % des résidences secondaires et 19,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,9 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cemboing en 2021 en comparaison avec celle de la Haute-Saône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (21,9 %) supérieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Cemboing en 2021.
Typologie Cemboing[I 3] Haute-Saône[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 58,6 83,2 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 21,9 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 19,5 10,6 8,1

Toponymie

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Histoire

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Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône , en région Bourgogne-Franche-Comté[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Jussey[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Jussey[I 1] porté de 22 à 65 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Haute-Saône.

Intercommunalité

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La commune était membre de la petite communauté de communes du Pays jusséen, intercommunalité créée au et qui regroupait environ 4 300 habitants en 2009.

L'article 35 de la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010[13] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyait d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants.

Dans ce cadre, le schéma départemental de coopération intercommunale a prévu la fusion cette intercommunalité avec d'autres, et l'intégration à la nouvelle structure de communes restées jusqu'alors isolées[14]. Cette fusion, effective le , a permis la création de la communauté de communes des Hauts du val de Saône, à laquelle la commune est désormais membre[I 1].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
         
1977 1983 Guy Gousset[Note 2]    
         
1987 1995 Guy Gousset[Note 2]    
1995 2014[17] Marie-Claude Rouiller    
2014[18] juillet 2014 Jean-Pierre Bussing   Démissionnaire
juillet 2014[19] 2022 Yvain Dargent[20],[21]   Fonctionnaire
février 2023[22] En cours
(au 30 novembre 2023)
Evelyne Grandjean   Employée administrative d'entreprise


Équipements et services publics

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La commune dispose d'une salle de convivialité[16].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 170 habitants[Note 3], en évolution de −10,53 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
765807790773726704724745734
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
670749730723714725700652608
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
590550546412400388356337320
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
284271244218242217207209183
2021 - - - - - - - -
170--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Croix de Cemboing de 1577,   Classé MH (2006)[26], située à une cinquantaine de mètres au nord de l'église, en grès des Vosges et constituée d'un soubassement maçonné, d'une une base massive sur laquelle s'élève une colonne monolithe ornée d'une bague sculptée de guirlandes et d'un cordon torsadé, et couronnée d'un chapiteau campaniforme supportant une croix aux croisillons décorés de motifs végétaux portant un Christ[27],[28].
  • Monument Mathelat   Inscrit MH (1997), du milieu du XIXe siècle[30], édifié en pierre de taille de style néo-classique, peut-être réalisé par l'architecte Martin de Jussey.
  • Maisons du XVIIIe siècle.
  • Les fontaines et lavoirs, dont la grande Fontaine.


Personnalités liées à la commune

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  • Le professeur de médecine Claude-François Athalin, nommé à la Faculté de Besançon en 1736 est né à Cemboing le 10 mars 1701. Il a été l'auteur de nombreuses publications[31].

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. a et b La salle de convivialité de la commune porte le nom de ce maire[16]
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Cemboing et Montureux-lès-Baulay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  13. Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
  14. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
  15. « Les maires de Cemboing », sur francegenweb.org (consulté le ).
  16. a et b « La salle de convivialité entièrement repensée », L'Est républicain,‎ (lire en ligne  , consulté le ) « Maire du village de 1965 à 1983 puis de 1987 à 1995, Guy Gousset, décédé à ce jour, aura marqué la vie de sa commune, son souvenir est bien vivant dans toutes les mémoires ».
  17. Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
  18. « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
  19. « Yvain Dargent, nouveau maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne  ).
  20. Réélu après la démission d'une partie du conseil municipal : « Cinq conseillers municipaux élus dès le premier tour », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne  ).
  21. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Yvain Dargent réélu », L'Est républicain,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  22. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Notice no PA70000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. « Croix de Cemboing », notice no PA70000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « La deuxième phase de restauration de l’église presque achevée », L'Est républicain,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  29. « Eglise de l'Assomption », notice no PA00135344, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Monument Mathelat du cimetière », notice no PA70000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Claude-François Atthalin (1701-1782) », sur data.bnf.fr (consulté le ).