Cauroy-lès-Hermonville

commune française du département de la Marne

Cauroy-lès-Hermonville [koʁwa lɛ ɛʁmɔ̃vil] est une commune française, appartenant à la communauté urbaine du Grand Reims, située dans le département de la Marne en région Grand Est. Elle est traversée par la route touristique du Champagne et fait partie du Massif de Saint Thierry.

Cauroy-lès-Hermonville
Cauroy-lès-Hermonville
La mairie de Cauroy-lès-Hermonville.
Blason de Cauroy-lès-Hermonville
Blason
Cauroy-lès-Hermonville
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Reims
Maire
Mandat
Guy Lecomte
2020-2026
Code postal 51220
Code commune 51102
Démographie
Gentilé Colridien
Population
municipale
494 hab. (2021 en évolution de −4,08 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 58″ nord, 3° 55′ 32″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 218 m
Superficie 10,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourgogne-Fresne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cauroy-lès-Hermonville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cauroy-lès-Hermonville
Géolocalisation sur la carte : Marne
Voir sur la carte topographique de la Marne
Cauroy-lès-Hermonville
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Cauroy-lès-Hermonville

Géographie

modifier

Le village de Cauroy-lès-Hermonville est situé au sud du territoire communal, dans le nord-ouest de la Marne. Il est surplombé par des vignes du vignoble de Champagne. La commune est arrosée par plusieurs cours d'eau. Au nord-est s'écoule la Loivre, parallèlement au canal de l'Aisne à la Marne. C'est dans le lit de cette rivière que se trouve le point le moins élevé de Cauroy-lès-Hermonville, à 62 m d'altitude, au lieu-dit le Godat. Au sud du village passe le ruisseau de Rabassa, affluent de la Loivre. Il sert de frontière avec la commune d'Hermonville. En allant vers l'ouest l'altitude est plus élevée : elle s'approche des 190 m au « Mont Chatté » et atteint 218 m au lieu-dit la Montagne[1], près de l'ancienne Ferme de Bellevue[2]. Cette partie du territoire est boisée[1].

Cauroy-lès-Hermonville est traversé par la route départementale 530 (RD530) entre Cormicy (au nord) et Hermonville (au sud). La RD530E relie le village à la route départementale 944 (ancienne RN44). L'est de la commune est desservi par l'autoroute A26 (« l'autoroute des Anglais »). Les aires de repos de Cauroy et de Loivre se trouvent sur le territoire communal[1].

Communes limitrophes de Cauroy-lès-Hermonville
Cormicy Berméricourt
 
Bouvancourt Hermonville Loivre

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le canal de la Marne à l Aisne, la Loivre et le ruisseau de Rabassa[3],[Carte 1].

Depuis 1866, le canal de l'Aisne à la Marne reliant Berry-au-Bac à Condé-sur-Marne permet à Reims d'avoir un accès à la Marne à partir des canaux de l'Aisne. Construit à partir du , ce canal à bief de partage possède une longueur de 58 km et a permis, lorsque cette voie maritime a été reliée en 1861 par le canal de la Marne au Rhin, de former une grande ligne de navigation qui permit de relier Strasbourg à Lille en passant par le Rhin. Il est mis au gabarit Freycinet entre 1878 et 1883[4],[5].

La Loivre, d'une longueur de 10 km, prend sa source dans la commune de Loivre et se jette dans l'Aisne à Berry-au-Bac, après avoir traversé quatre communes[6].

 
Réseau hydrographique de Cauroy-lès-Hermonville[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s’étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d’aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[7].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy à 20 km à vol d'oiseau[10], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −22,1 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Cauroy-lès-Hermonville est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,6 %), forêts (24 %), cultures permanentes (2,7 %), zones urbanisées (2,4 %), zones humides intérieures (0,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Colridus (vers 948) ; Libera ville Sancte Marie (1124) ; Colroi (1156) ; Correium (1168) ; Chorroi (1177) ; Coriletum (1209) ; Coruletum (1225) ; Cauretum (1256) ; Caurretum (1262) ; Couretum prope villam nostram de Courmissiaco (1280) ; Caurretum juxta Courmissiacum (1284) ; Caurroi (1328) ; Corroi (1352) ; Caurroy (1358) ; Cauroy delez Hermonville (commencement du XIVe siècle) ; Cauroy lez Harmonville (1556) ; Caurois (1622) ; Cauroy-lez-Hermonville[20].

De l'oïl picard caurroi, « plantation de coudriers », de l'oïl caure et du suffixe collectif -oi (latin -etum)[21].

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. La commune de Cauroy indique qu'elle se situe près de Hermonville.

Histoire

modifier

Jeanne d'Arc venant de Reims après le sacre de Charles VII le 17 juillet et allant à Corbeny le 22, y a fait une halte le 21 juillet 1429 (Plaque souvenir posée à l'occasion du 5ème centenaire en 1929 mentionnant qu'elle y a séjourné)

La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le 1er octobre 1920.

Politique et administration

modifier

Circonscriptions administratives

modifier

Lors de sa création, la commune de Cauroy intègre le canton de Cormicy. En 1801, elle rejoint le canton de Bourgogne dans l'arrondissement de Reims[22].

Intercommunalité

modifier

La commune, antérieurement membre de la Communauté de communes de la Petite Montagne, puis de la communauté de communes du Nord Champenois, est aujourd'hui une commune membre du Grand Reims. Elle fait partie du pôle Nord Champenois du Grand Reims, comprenant par exemple les communes de Cormicy, Hermonville, Courcy, etc.

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1793 Louis Charles Passelet    
1794 1795 Pierre Joseph Chopiton    
1796 1797 Nicolas Culloteau    
1797 1799 Jean Baptiste Malot    
1799 1800 Thimotée Etienne Chasse    
1800 1800 Jean Baptiste Malot    
1800 1807 Pierre Joseph Lapy    
1808 1814 Malot    
1814 1826 Malot    
1827 1831 Jean Baptiste Malot Lapy    
1831 1837 Jean Baptiste Malot Grassiere    
1837 1841 Thomas « Dominique » Bracquemart    
1842 1842 Jean Baptiste Martinet   Maire par intérim
1843 mai 1860 Jean Nicolas Vuiart    
mai 1860 mai 1877 Jean Baptiste Malot Loillier    
mai 1877 mai 1886 Jean Remy Gouverneur    
mai 1886 mai 1894 Jules Malot    
mai 1894 mai 1900 Jean-Louis Poncelet    
mai 1900 mai 1906 Jules Malot    
mai 1906 mai 1912 Léoni Laurent    
mai 1912 août 1921 Georges Delagarde    
août 1921 mars 1943 Louis Poncelet    
septembre 1943 novembre 1944 Louis Butelle   Maire par intérim
novembre 1944 mai 1945 André Maltot   Faisant fonction
mai 1945 mars 1959 Joseph Vernet    
mars 1959 mars 1965 Louis Butelle    
mars 1965 mars 1971 Robert Desuage    
mars 1971 mars 2001 Maurice Mouny    
mars 2001 En cours
(au 28 avril 2020)
Guy Lecomte[23]   Président de la CC de la Petite Montagne ( ? → 2016)
Réélu pour le mandat 2020-2026[24]

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Les habitants de la commune sont les Colridiens et les Colridiennes[2].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 494 habitants[Note 4], en évolution de −4,08 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
492473510526509485500516502
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
488416466407387340351330353
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
327307304288247250233239261
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
211240224296327372450473502
2018 2021 - - - - - - -
479494-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Culture et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
  Blason
Parti d'argent et d'or, à une branche de noisetier de sinople posée en barre et brochant ; au chef potencé d'azur chargé d'un clocheton isolé d'argent adextré d'une grappe de raisin de pourpre tigée et feuillée de sinople et senestré d'un épi de blé tigé et feuillé d'or[31].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Cauroy-lès-Hermonville » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a b et c « Carte IGN de Cauroy-lès-Hermonville » sur Géoportail (consulté le 1er mai 2013)..
  2. a et b « Informations générales et galeries photos »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la commune de Cauroy-lès-Hermonville (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Cauroy-lès-Hermonville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  4. Pierre Pinon (collectif), Un canal … des canaux - Exposition présentée à Paris du 7 mars au 8 juin 1986 dans le cadre de la Conciergerie., Paris, Picard, , 415 p. (ISBN 2-7084-0298-6), p. 69-72
  5. Sandre, « le canal de la Marne à l'Aisne (versant Aisne) »
  6. Sandre, « la Loivre »
  7. « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Cauroy-lès-Hermonville et Chambrecy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cauroy-lès-Hermonville ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 44.
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1232.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. [xls]« Liste des maires de la Marne au 1er août 2008 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ) et [PDF]« Liste des maires de la Marne en avril 2014 », sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ).
  24. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Publication au Journal officiel le 18 avril 1914. Notice no PA00078606, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 1er mai 2013.
  29. a et b « Un peu d'histoire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la commune de Cauroy-lès-Hermonville (consulté le ).
  30. Alexandre Niess, Enquête thématique départementale sur les monuments aux morts de la guerre 1914-1918. Notice no IA51000537, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 1er mai 2013.
  31. « 51102 Cauroy-lès-Hermonville (Marne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).