Brooklands (Christchurch)
Brooklands est la plus au nord des banlieues de la cité de Christchurch, située dans l’Île du Sud de la Nouvelle-Zélande.
Brooklands | |||
Brooklands juste après le Séisme de 2010 à Canterbury | |||
Administration | |||
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Pays | Nouvelle-Zélande | ||
Île | Île du Sud | ||
Région | Canterbury | ||
Autorité territoriale | Christchurch ward de Shirley-Papanui | ||
Géographie | |||
Coordonnées | 43° 14′ 29″ sud, 172° 24′ 52″ est | ||
Localisation | |||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Zélande
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Zélande
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Situation
modifierLe village fut construit sur un ancien marais adjacent au « lagon de Brooklands» qui forme une partie de l’embouchure du fleuve Waimakariri.
Les dommages aux terrains subit lors du Séisme de 2010 à Canterbury puis du Séisme de 2011 à Christchurch et en conséquence la déclaration de la classification en Zone rouge (en) ,ce qui entraîna le rachat et la démolition de pratiquement toutes les propriétés dans le secteur de Brooklands, a effectivement effacé la banlieue de la carte de la Nouvelle-Zélande [1].
Géographie
modifierVers le nord, la limite est le fleuve Waimakariri. Le lagon de Brooklands (en) constitue la partie est de la banlieue, faisant face à la baie de Pegasus et formant une partie de l’embouchure du fleuve Waimakariri [1]. La rivière rivière Styx (en) s’écoule à travers la banlieue de Brooklands et se jette dans le « lagon de Brooklands »[2]. Kainga est la banlieue semi-rurale située à l’ouest. La forêt de Bottle Lake (en) est localisée vers le sud de la banlieue de Brooklands.
Histoire
modifierDéjà en 1960, Brooklands était considérée comme une "colonie délabrée, formée de maisons en fibrolite", et un logements bien construits était "presque un sujet de discussion". Pendant 50 ans,le problème de l’habitat fut un sujet des plus substantiels [3].
Tremblements de terre de 2010/11
modifierLa banlieue fut sévèrement affectée par le Séisme de 2010 à Canterbury puis par le Séisme de 2011 à Christchurch (en), dont il résulta d’une subsidence des terrains avec un phénomène de liquéfaction du sol.
Dans le cadre des réparations au décours du tremblement de terre, le gouvernement annonça le , que la vaste majorité de la banlieue de Brooklands devait être classée en zone rouge (en), signifiant que les propriétés résidentielles, qui avaient une assurance pourraient recevoir ainsi une offre pour un rachat par le gouvernement de la maison et du terrain [4]. Les terrains sont considérés comme non économiques à remettre en état alors que les maisons,qui sont en place dessus et doivent donc être rachetés pour être démolies. Certaines des propriétés maintenant condamnées avaient été construites seulement en 2011, et au moins une maison avait obtenu son permis de construire de la part du conseil de la cité de Christchurch (en) seulement après le tremblement de terre de [5]
Olly Ohlson connu comme le premier présentateur Māori à ancrer un show spécialement pour les enfants nommé Après l’école (en), fut l’un des plus fermes opposants au fait que les terrains soient reconnus en zone rouge et il se rendit dans la Péninsule d'Otago à la fin de l’année 2013[6]
En 2015, la majorité des propriétés dans la ville de Brooklands ont été démolies, laissant seulement 25 résidents, qui refusèrent l’offre de rachat du gouvernement pour les terres restantes dans le secteur [7].
Voir aussi
modifierNotes et références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Brooklands, Christchurch » (voir la liste des auteurs).
- (en) Michael Wright, « Brooklands off the map », journal: The Press, (consulté le )
- (en) « Brooklands » [archive du ], The Styx (consulté le )
- Alan Samson, « Memories of a [sic] idyllic childhood », The Press, , p. C9
- (en) David Williams, « 400 Brooklands homes go red », journal:The Press, (consulté le )
- (en) Ben Heather, « Shock as new homes erased », journal:The Press, (consulté le )
- (en) « Olly Ohlson: Why I’m voting Green », parti vert de Dunedin (consulté le )
- (en) « Brooklands: The town the Government couldn't kill »