Bréal-sous-Vitré
Bréal-sous-Vitré est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 620 habitants[Note 1].
Bréal-sous-Vitré | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Fougères-Vitré | ||||
Intercommunalité | Vitré Communauté | ||||
Maire Mandat |
Pascale Cartron 2020-2026 |
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Code postal | 35370 | ||||
Code commune | 35038 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bréalais | ||||
Population municipale |
620 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 06′ 11″ nord, 1° 03′ 40″ ouest | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 181 m |
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Superficie | 5,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Vitré (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vitré | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | brealsousvitre.fr | ||||
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Géographie
modifierBréal-sous-Vitré est une commune située à l'extrême-est du département d'Ille-et-Vilaine, limitrophe de celui de la Mayenne (elle est toute proche de la grande carrière de Saint-Pierre-la-Cour qui appartient au groupe Lafarge) et à la lisière nord de la forêt du Pertre. À l'ouest, le ruisseau du Moulin du Bois (dénommé « ruisseau de Geslin » dans sa partie aval), affluent de rive gauche de la Valière, sert de limite communale avec Mondevert. La commune est située à l'est de Vitré.
La commune présente un paysage rural traditionnel de bocage avec habitat dispersé en hameaux et fermes isolées.
La partie sud de la commune est traversée par l'ancienne route nationale 157 (déclassée désormais en RD 857) et désormais, plus au sud encore, par la voie express RN 157, qui prolonge en direction de Rennes l'autoroute A81 ; le péage de La Gravelle, situé plus à l'est, est tout proche.
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 835 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Launay-Villiers à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bréal-sous-Vitré est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,2 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), prairies (11,4 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe lieu est attesté avant même d'être érigé en paroisse vers 1108[13]. Dès 1050, son nom est documenté avec les formes donatio capelle de Breallo, capellam de Brealelo (ou Bradelo)[14]. Vers la fin de ce siècle, autour de 1082-1093, lorsque saint Serge reçut la capellam de Braëllo par un don, le même acte désigne aussi le lieu Braellum à deux reprises[15],[16],[17],[18],[19],[20],[14]. Pour 1108, l'année de la séparation du futur Bréal - probablement - de la paroisse d'Erbrée[21], Guillotin de Corson cite le nom ecclesia de Brallo[18]. C'est au début du XIIIe siècle que la forme moderne du nom commence à se fixer avec Brolium de Breal[22] (= Breil de Breal[23]) vers 1207, et in Breal en 1215[24]. La forme latine Breallo ou Breallum apparaît encore en 1239[25] et en 1516[18],[26].
François de Beaurepaire fait remarquer que la finale -al est commune à un certain nombre de toponymes de la France de l'Ouest (Croyal, Noyal, Sougeal, Tréal, Vergeal, en Ille-et-Vilaine), qu'il interprète par « une finale prélatine -allum » et rapproche de l'élément gaulois °-ialon (forme latinisée -ialum) « lieu défriché; clairière », puis simplement « lieu habité »[27].
Le gentilé est Bréalais.
Histoire
modifierMoyen Âge
modifier90 sépultures datant de la fin du VIe siècle jusqu'au XIe siècle ont été découvertes, entourant les fondations d'une probable chapelle ; ce cimetière aurait cessé d'être utilisé lors de la construction de l'église paroissiale remplaçant, sur le même site, cette chapelle antérieure, déjà dédiée à Notre-Dame[28].
La chapelle Notre-Dame de Bréal (une contestation se produisit en 1078 entre les moines de Saint-Serge d'Angers et ceux de Saint-Jouin au sujet de la propriété de la chapelle de Bréal ; l'évêque de Rennes Sylvestre de La Guerche et l'abbé de Saint-Melaine furent pris pour arbitres de ce différend[29]) était située à peu de distance de Vitré, dans la forêt du Pertre. Elle est à l'origine de la fondation au XIe siècle de la paroisse de Bréal-sous-Vitré, après les défrichements effectués. Bréal se trouvait alors dans la forêt du Pertre qui était territoire neutre et de marche commune, possédé en indivis par les seigneurs de Laval et de Vitré. Un prieuré est aussi fondé au XIe siècle, dépendant de l'abbaye Saint-Serge d'Angers et, jusqu'à la Révolution française, l'abbé de Saint-Serge d'Angers eut le privilège de présenter [de choisir] le prieur-recteur de Bréal à l'évêque de Rennes, la paroisse dépendant de l'évêché de Rennes[30].
-
Tombes-coffres en ardoise du cimetière médiéval de Bréal-sous-Vitré.
Époque moderne
modifierJean-Baptiste Ogée décrit ainsi Bréal en 1778 :
« Bréal, à dix lieues un sixième à l'est de Rennes, son évêché et son ressort, et à deux lieues un tiers de Vitré, sa subdélégation. Ce territoire se termine à 300 toises à l'est, à la province du Maine, par une croix qui porte le nom de cette dernière province et qui sert de borne de séparation. On y compte 750 communiants[Note 3]. La cure de Notre-Dame-de-Bréal, prieuré dépendant de l'abbaye Saint-Serge d'Angers, qui la présente, a une moyenne et basse justice qui appartient au prieur. Cette paroisse dépend de la baronnie de Vitré[Note 4]. (...) Ce territoire est plus élevé que ceux qui le joignent ; il est bon, fertile en grains, abondant en fruits dont on fait du cidre ; il y a aussi quelques prairies, des pâturages et des landes. Les maisons nobles sont le Bois-Blin, les Bretonnières, le Bois-Briand, les Hayes, la Verrie, la Haye-du-Sac, la Rivière, le Champ du moulin de la Touche, la Roche, le petit Rocher et Longuenoc[29]. »
La Révolution française
modifierLe , une trentaine de « brigands » (des chouans) bien armés pillent Bréal. Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[31].
En février 1796, une embuscade est tendue par les Chouans contre les Républicains (période de la chouannerie). Le combat de Bréal est gagné par les Chouans.
Le XIXe siècle
modifierA. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Bréal en 1843 :
« Bréal (sous l'invocation de la Sainte Vierge, fêtée le 15 août), commune formée de l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale ; brigade temporaire de gendarmerie. (...) Principaux villages : les Grandes-Haies, la Touche, la Motte. Superficie totale : 574 ha (...) dont terres labourables 355 ha, prés et pâtures 79 ha, bois 22 ha, vergers et jardins 10 ha, landes et incultes 76 ha (...). Un moulin (du Bois, à eau). La route royale n° 12, dite de Paris à Brest, traverse la commune de l'est au nord. Géologie: schiste argileux. (...). On parle le français[32]. »
Le XXe siècle
modifierLa Première Guerre mondiale
modifierLe monument aux morts de Bréal-sous-Vitré porte les noms de 35 personnes mortes pour la France dont 32 soldats morts pendant la Première Guerre mondiale, dont quatre au moins (Auguste Chaplet et François Moreau[Note 5] en 1914, Amand Boutruche[Note 6] et Hippolyte Briand en 1918) sont morts en Belgique, un (Louis Lerouge) en Serbie dans le cadre de l'Expédition de Salonique, la plupart des autres étant décédés sur le sol français (parmi eux Jean Berthelot[Note 7] à la fois cité à l'ordre de la Nation, décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, Pierre Berthois[Note 8], décoré de la Médaille militaire et Joseph Hervagault[Note 9], décoré de la Croix de guerre et Marin Jouvin[Note 10], cité à l'ordre de la Nation. Les circonstances du décès des trois autres (Pascal Fournier, Jean Gadbois, Pierre Rocher) ne sont pas précisées[33].
En 1922, la « Société de distribution d'électricité de l'Ouest » mena une enquête publique sur la commune et quelques communes voisines envisageant la création d'un réseau électrique desservant la commune[34].
La Seconde Guerre mondiale
modifierL'après Seconde Guerre mondiale
modifierEn 1965, le nom de la commune de Bréal est modifié en Bréal-sous-Vitré[35].
Politique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2021, la commune comptait 620 habitants[Note 11], en évolution de −5,34 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierTransports
modifierLa commune est desservie par la ligne de bus n°5 de Vitré Communauté.
Lieux et monuments
modifierLa commune ne compte pas de monument historique, on peut cependant noter :
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, église romane datant du XIe siècle : nef simple et chœur en hémicycle. Trois meurtrières s'ouvrent dans le mur septentrional de la nef, demeuré intact. Un arc triomphal termine cette nef et donne entrée dans l'abside, qu'éclairent trois autres meurtrières[30].
Activité et manifestations
modifierCette commune dispose également de nombreuses associations : théâtre, comités des fêtes, associations de football.
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierLien externe
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale 2021, légale en 2024.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Personnes en âge de communier.
- Un aveu en date du l'indique.
- François Moreau, né le à Bréal en 1914, soldat au 76e régiment d'infanterie territoriale, tué à l'ennemi le à Kortekeer en Maarkedal (Belgique)
- Amand Boutruche, né le à Bréal, soldat au 5e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Gand (Belgique), cité à l'Ordre de la nation et décoré de la Croix de guerre
- Jean Berthelot, né le à Bréal, soldat au 136e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le dans la forêt de Retz en Coyolles (Aisne)
- Pierre Berthois, né le à Vitré, soldat au 154e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à Revigny (Meuse)
- Joseph Hervagault, né le à Bréal, soldat au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Ronchères (Aisne)
- Marin Jouvin, né le à Bourgneuf-la-Forêt (Mayenne), soldat au 241e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Prosnes (Marne)
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bréal-sous-Vitré et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bréal-sous-Vitré ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vitré », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- André Chédeville et Noël-Yves Tonnere, La Bretagne féodale, Xe-XIIIe siècle, Rennes, Ouest France Université, 1987, 427 p., p. 292.
- Yves Chauvin (éd.), Premier et second livres des cartulaires de l'Abbaye Saint-Serge et Saint-Bach d'Angers : XIe et XIIe siècles, Angers, Presses Universitaires d'Angers, 1997, 2 vol., 893 p., T1 p. 11, Note [c] : Bradelo apparaît dans d’autres manuscrits du même acte, p. 2, 181, 183–185.
- Guy-Alexis Lobineau, Histoire de Bretagne, composée sur les titres & les auteurs originaux, Tome I (éd. Numérique), Paris, François Muguet, 1707, Lire en ligne, p. 239–240 = Vue 170:P220. .
- Pierre-Hyacinthe Morice, Mémoires pour servir de preuves a l'histoire ecclesiastique et civile de Bretagne. Tome I, Paris, Charles Osmont, 1742-1746, LVI + 1708 p., Lire en ligne, p. 475–477.
- Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Vol. 2, Rennes, Fougeray, 1880-1886, 792 p., Lire en ligne, p. 548.
- Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Vol. 4, Rennes, Fougeray, 1880-1886, 784 p., Lire en ligne, p. 234.
- Bertrand de Broussillon, "La maison de Laval II, Hamon, vers 1065-vers 1080". In : Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, 1894, Lire en ligne, p. 215.
- Bertrand de Broussillon, La maison de Laval, 1020-1605 : étude historique accompagnée du cartulaire de Laval et de Vitré, Tome 1 : 1020-1234, Paris, Alphonse Picard et fils, 1895, 320 p., Lire en ligne, p. 65.
- Daniel Pichot, Le village éclaté. habitat et société dans les campagnes de l'Ouest au Moyen Âge, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2001, Edition numérique (ebook), Chapitre "XIe – XIIIe siècle : un épanouissement dans l’Ouest ?", §100.
- Bertrand de Broussillon, La maison de Laval, 1020-1605 : étude historique accompagnée du cartulaire de Laval et de Vitré, Tome 1 : 1020-1234, Paris, Alphonse Picard et fils, 1895, 320 p., Lire en ligne, p. 175–176.
- Arthur Le Moyne de La Borderie, "Origines paroissiales. Ille-et-eVilaine. Canton d’Argentré (fin). III. - Le Pertre." In : Revue de Bretagne et de Vendée, Mars 1857, p. 188-206, Lire en ligne, p. 190.
- Bertrand de Broussillon, La maison de Laval, 1020-1605 : étude historique accompagnée du cartulaire de Laval et de Vitré, Tome 1 : 1020-1234, Paris, Alphonse Picard et fils, 1895, 320 p., Lire en ligne, p. 202.
- Bertrand de Broussillon, La maison de Laval, 1020-1605 : étude historique accompagnée du cartulaire de Laval et de Vitré, Tome 1 : 1020-1234, Paris, Alphonse Picard et fils, 1895, 320 p., Lire en ligne, p. 237.
- Aurélien de Courson, La Bretagne du Ve au XIIe siècle, Paris, Imprimerie impériale, 1863, 404 p., Lire en ligne, p. 350 (date), 351.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 978-2-7084-0299-7, OCLC 15314425, présentation en ligne), p. 86.
- Françoise Le Boulanger, "Bréal-sous-Vitré, "Le Bourg" (Ille-et-Vilaine) : Rapport de fouilles : Approche d'un cimetière du haut Moyen Âge au début de l'époque Moderne", 2005, Cesson-Sévigné, voir http://dolia.inrap.fr/flora/jsp/portal/index.jsp?record=default:UNIMARC:946&action=opac_direct_view&success=/jsp/portal/index.jsp&profile=anonymous_fr
- Ogée 1778, p. 103.
- « Bréal-sous-Vitré : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Vitré) », sur infobretagne.com (consulté le ).
- Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », , 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244).
- A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 1, 1843, lire en ligne
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=37958
- Journal L'Ouest-Éclair no 7425 du 3 mars 1922, lire en ligne
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- https://www.ouest-france.fr/bretagne/breal-sous-vitre-35370/lancienne-maire-fete-ses-noces-de-diamant-2593837
- « Les premières élections de maires », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Premier mandat de maire pour Pascale Cartron », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Municipales à Bréal-sous-Vitré. Second mandat pour Pascale Cartron », Ouest-France, 5 avril 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
Bibliographie
modifier- Rozenn Colleter, Françoise Le Boulanger et Daniel Pichot, Eglise, cimetière et paroissiens Bréal-sous-Vitré (Ille-et-Vilaine) : étude historique, archéologique et anthropologique (VIIe-XVIIIe, Paris, Editions Errance, coll. « Collection Archéologie Aujourd'hui », , 279 p. (ISBN 978-2-87772-490-6)
- Jean-Baptiste Ogée, « Bréal », dans Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, (lire en ligne).