Barlin
Barlin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Barlinois.
Barlin | |||||
La mairie, l'église et le monument aux morts. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Julien Dagbert 2020-2026 |
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Code postal | 62620 | ||||
Code commune | 62083 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barlinois | ||||
Population municipale |
7 366 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 192 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 27′ 21″ nord, 2° 37′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 51 m Max. 131 m |
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Superficie | 6,18 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nœux-les-Mines (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nœux-les-Mines | ||||
Législatives | 10e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.barlin.fr/ | ||||
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierBarlin est une commune du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais dans le Pas-de-Calais située à 6 km au sud-est de Bruay-la-Buissière, 8 km au sud-ouest de Béthune, 32 km au sud-ouest de Lille et à 24 km de la frontière entre la Belgique et la France.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 6,18 km2 ; l'altitude varie entre 51 à 131 mètres[1].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le fossé de Barlin, le fossé du Prêtre et un autre petit cours d'eau[2],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 945 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le coteau et la forêt domaniale d'Olhain, d'une superficie de 614 ha et d'une altitude variant de 103 à 180 mètres. Cette ZNIEFF est située au niveau de la première ligne de crête de la partie nord des collines de l'Artois[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Barlin est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,3 %), zones urbanisées (44,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %), forêts (3,3 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Logement
modifierEn 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 3 391, alors qu'il était de 3 166 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 94,4 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,6 % des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 38,5 %, en légère hausse par rapport à 1999 (36,5 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 46,3 % contre 26,8 % en 1999[a 3].
Voies de communication et transports
modifierVoies de communication
modifierLa commune est traversée par la RD 179 et est tangentée au sud par la RD 301 (Rocade minière).
Transport ferroviaire
modifierLa commune est desservie par le bus à haut niveau de service (BHNS) du réseau d'autobus de Lens-Béthune appelé Tadao.
Un projet de réouverture de la ligne ferroviaire Bruay-Lens est défendu[réf. nécessaire], qui placerait Barlin en connexion au nœud géographique régional en la reliant à Lille via Lens.
La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.
Politique de développement durable
modifierLa commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[17].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Ballin en 1141, Barling en 1253[18], Bellin en 1438 (archives du Nord, B. 1604) et Barlaing en 1556[réf. nécessaire].
Histoire
modifierAu XIIe siècle, le territoire de Barlin se divisait en plusieurs seigneuries qui dépendaient du château de Saint-Pol-sur-Ternoise, d'Arras ou de Béthune. .
Le 7 septembre 1579, la ville d'Hénin-Liétard est érigée en comté, avec adjonction de la baillie et fief de Gouy-Servain, au bénéfice d'Oudard de Bournonville, chevalier, baron de Barlin et Houllefort, seigneur de Capres, Divion, Ranchicourt, Tournes, Bandas, du Maisnil, gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[19].
Au milieu du XIXe siècle, l'activité charbonnière a commencé à Barlin et la ville a alors connu un essor démographique très important.
La commune est desservie par une gare sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, qui est déclarée d'utilité publique en 1876 et classée dans le réseau d'intérêt général par une loi de 1884. La gare n'accueille plus de trafic voyageur depuis 1958 et le trafic fret, qui permettait la desserte de la zone industrielle de Ruitz et des Ciments Français de la Loisne, cesse en 1990. La gare est démolie à la fin des années 1970[20]
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Les Fosses n°5 et 5bis des Mines de Nœux
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Les Fosses n°7 et 7bis des Mines de Nœux
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Les Fosses n°7 et 7bis des Mines de Nœux
Le 16 avril 1917, un coup de grisou à la fosse 9 de Barlin fait 42 morts[21].
Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes ont pris leur cantonnement en janvier 1915 sur Barlin[22], ou encore en avril 1915[23].
La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [24].
En 1922, Désiré Hermary, ancien maire, critique la décision de son successeur d'ouvrir une maison de tolérance à Barlin[25].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierBarlin était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune faisait partie de 1801 à 1962 du canton de Houdain , année où elle intègre le du canton de Bruay-en-Artois. Elle devient en 1984 le chef-lieu du canton de Barlin[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nœux-les-Mines.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierLors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Pas-de-Calais, la liste PS menée par le maire sortant Michel Dagbert obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 836 voix (52,56 %, 22 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[26] :
- Jean-Michel Cavigneaux (DVG, 964 voix, 27,59 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Philippe Reszel (DVG, 693 voix, 19,83 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 37,64 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, la liste PS menée par le maire sortant Julien Dagbert — qui avait succédé à Gérard Paillard après sa démission en 2018, et qui lui-même avait succédé au maire réélu de 2014 Michel Dagbert — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 732 voix (65,71 %, 24 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[27],[28] :
- Rémy Majorczyk[29] (SE, 700 voix, 26,56 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
- Patricia Ricart (SE, 204 voix, 7,74 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France , 53,51 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
modifierJumelages
modifierVille | Pays | Période | ||
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Marklowice[42] | Pologne | depuis |
Équipements et services publics
modifierEnseignement
modifierBarlin est située dans l'académie de Lille.
En 2013, elle administre quatre écoles maternelles et cinq écoles élémentaires communales[43].
Toujours en 2013, le département gère un collège : le collège Jean-Moulin[44].
Sports et loisirs
modifierLe cercle laïque de Barlin regroupe diverses activités sportives : le basketball, le tennis, le volley-ball, le cyclisme, le javelot tir sur cible, le football, le futsal, le handball. De plus, la commune possède une piscine municipale, Le Nautilud, dans laquelle il existe une école de natation.
- Basketball[45]
Le club de basket-ball est nommé C.L.B Basket-ball. Il a été fondé en 1948. Il est passé d'une dizaine de licenciés dans les années 1990 à près de 180 aujourd'hui[Quand ?].
Les entraînements se déroulent au COSEC Joseph Brahant et à la Salle Jules Mercier.
Durant l'année 2016-2017, le club contient une équipe de baby U7 (5/6ans), U9 (7/8ans), U11 (9/10ans), U13 garçons (11/12ans), U13 filles (11/12ans), U15 mixte ufolep (13/14/15ans), senior A (20ans et plus) et senior B (20ans et plus, -20ans possible avec surclassement).
Au début des années 1970, sous l'impulsion de F. Wojtaszak, le club de basket du Cercle Laïque connut un nouvel essor grâce à l'arrivée de nombreux licenciés.
La construction de la salle des sports Jules Mercier permit aux jeunes de pratiquer une activité sportive dans de meilleures conditions.
Quelques années auparavant, les basketteurs jouaient dans la cour de l'école Pasteur où il fallait parfois balayer le terrain ou jeter du sel pour dégeler la surface de jeu.
Les années suivantes, il y a eu encore pas mal de nouveautés comme l'ascension fulgurante de l'ancienne joueuse barlinoise Claire Stievenard, licenciée au club de 2000 à 2004.
Beau parcours pour une ancienne « baby basketteuse » de Barlin qui doit être entraîneuse maintenant.
La commune est traversée par un chemin de randonnée PR qui la relie au GR de Pays du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
Justice, sécurité, secours et défense
modifierLa commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[46].
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Barlinois[47].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2021, la commune comptait 7 366 habitants[Note 6], en évolution de −4,81 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 612 hommes pour 3 991 femmes, soit un taux de 52,49 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEn 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 816 €, ce qui plaçait Barlin au 29 413e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[53].
Emploi
modifierEn 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 4 874 personnes, parmi lesquelles on comptait 63,1 % d'actifs dont 52,5 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs[a 4].
On comptait 11 241 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 319 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 569, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 7] est de 48,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu moins d'un emploi pour deux habitants actifs[a 5].
Entreprises et commerces
modifierAu 31 décembre 2010, Barlin comptait 229 établissements : 8 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 8 dans l'industrie, 20 dans la construction, 142 dans le commerce-transports-services divers et 51 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].
En 2011, 29 entreprises ont été créées à Barlin[a 7], dont 14 par des autoentrepreneurs[a 8].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine mondial
modifierDepuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l'UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 89 est constitué de la cité-jardin Jeanne d'Arc et de son école, d'un cavalier minier, à Barlin, et de la cité pavillonnaire de la Loisne et de la cité-jardin no 9 à Barlin et Hersin-Coupigny, ces éléments ont été bâtis pour la fosse no 9 - 9 bis des mines de Nœux ; le site no 91 est constitué de la fosse no 7 - 7 bis des mines de Nœux à Barlin et de sa cité pavillonnaire no 7, à Barlin et Maisnil-lès-Ruitz[54],[55].
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La cité Jeanne d'Arc.
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La cité no 9.
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La cité no 9.
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La fosse no 7 - 7 bis.
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La fosse no 7 - 7 bis.
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La cité pavillonnaire no 7.
-
La cité pavillonnaire no 7.
Autres lieux et monuments
modifierMonument historique
modifierLa Fosse n° 7 - 7 bis des mines de Nœux, en partie, soit l'ancien bâtiment des pendus-bains-douches, en totalité et les façades et toitures des anciens ateliers font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [56].
Autres lieux et monuments
modifier- L'église Saint-Pierre.
- Le monument aux morts, rue Ferrer[57].
- Le monument aux morts, au cimetière.
- Barlin Communal Cemetery Extension, cimetière de la Commonwealth War Graves Commission, au hameau de Saint-Bertin.
- La stèle à Léopold Gourdin (1923-1945), mort au camp de Kochendorf le (localisation : cité no 5).
-
Tour de l'église Saint-Pierre.
-
Le monument aux morts.
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Le dos du monument aux morts.
-
Le cimetière militaire britannique.
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Le lac de la Fossette.
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Corons de la cité des Roulettes.
La commune dans les arts
modifier- 2004 : Joyeux Noël, film réalisé par Christian Carion avec Diane Kruger, Guillaume Canet, Daniel Brühl et Dany Boon. Scènes tournées dans le centre Dumas, l'ancienne école de musique[58].
Personnalités liées à la commune
modifier- Jules Hermary (1834-1914), homme politique, né et mort à Barlin.
- Raymond Derancy (1906-1983), homme politique, maire de Barlin, mort à Barlin.
- Émile Genevois (1918-1962), acteur, né à Barlin
- Marcel Barrois (1926-2012), syndicaliste et mineur, a vécu son enfance à Barlin. Une rue de la ville porte son nom.
- Jean Mankowski (1927-1966), footballeur, né à Barlin.
- Henri Lewandowicz (1936-), footballeur, né à Barlin.
- Jean Boin (1949-2020), footballeur, né à Barlin.
- Didier Dufour (1952-), footballeur français, né à Barlin.
- Michel Dagbert (1962-), homme politique, maire de Barlin, né à Barlin.
Héraldique
modifierBlason | Écartelé: aux 1er et 4e de gueules à la frette d'or, aux 2e et 3e fascé d'argent et de gueules de huit pièces au sautoir de sable brochant sur le tout[59].
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Détails | Ce sont celles de la famille de Gosson. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierOuvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[60] :
- Leclercq Gérard, Barlin, Hersin-Coupigny, Sains-en-Gohelle et les alentours, Joué-lès-Tours, Alan Sutton, 2007.
- Notes historiques sur le vieux Barlin et sur le château d'Olhain, 1947.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « Barlin » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Dossier relatif à la commune
modifier- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Barlin » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Barlin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Lys », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Barlin et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013736 - Coteau et forêt domaniale d'Olhain », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Barlin ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noeux-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Barlin, consultée le 25 octobre 2017
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2 : Formations non-romanes, Librairie Droz, Genève, 1990
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
- « La gare de Barlin », Barlin souvenirs, (consulté le ).
- Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 39
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
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- Journal officiel du 28 septembre 1920, p. 14314.
- (Source : réglementation de la prostitution durant l'entre-deux guerres. L'exemple du Nord de la France, de Hélène Duffuler-Vialle, 2015 - https://www.geneanet.org/archives/ouvrages/?action=detail&book_type=livre&livre_id=6851366&page=289&name=HERMARY&with_variantes=0&tk=2df5b86b9bd5cf48
- Résultats officiels pour la commune Barlin
- « Pas-de-Calais (62) - Barlin », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Jean-Pierre Glorian, « À Barlin, le maire Julien Dagbert fait mieux que son père en 2014 : Pas de second tour à Barlin, le maire sortant Julien Dagbert a été élu dès le premier tour avec plus de 65 % des voix. Un opposant va déposer un recours en annulation en raison du coronavirus », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Barlin: Rémy Majorczyk, campagne d'un… « petit maire » ? », sur L'Avenir de l'Artois, .
- Y. Le Maner, « MONSAURET Alfred », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- « CAPIAUX Auguste : Né le 16 décembre 1893 ; docteur en médecine ; militant socialiste SFIO du Pas-de-Calais ; maire de Barlin (Pas-de-Calais) », Le Maitron en ligne, 25/10/2008 mis à jour=9/4/2017 (consulté le ).
- « Raymond Derancy (1906-1983) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- Gilles Morin, « DERANCY Raymond : Né le 8 avril 1906 à Hersin-Coupigny (Pas-de-Calais), mort le 26 avril 1983 à Barlin (Pas-de-Calais) ; ouvrier, puis contrôleur des Houillères nationales ; militant et élu socialiste du Pas-de-Calais ; maire de Barlin (1947-1976) ; conseiller général de Bruay-en-Artois (1964-1970) ; député (1959-1967) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- « Hommage à Joseph Brabant, maire de Barlin de 1976 à 2002 : Un hommage à Joseph Brabant a été rendu jeudi, au columbarium du cimetière », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Son fils unique Marc, Michel Dagbert, maire, Serge Janquin, député, ont tour à tour pris la parole à la mémoire de celui qui a été « au service de la population barloinoise » durant 49 ans, 23 ans comme premier adjoint (de 1953 à 1976), et 26 ans comme maire (de 1976 à 2002) ».
- « Barlin : Michel Dagbert passe la main, Gérard Paillard élu maire : Moi, je viens toujours une demi-heure à l'avance pour avoir une bonne place… » Mardi soir, il fait beau et il y a match mais, à l'heure de la « volta », les Barlinois préfèrent se poser en famille au conseil municipal plutôt qu'en terrasse », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Pour la première fois depuis douze ans, il ne préside pas la séance : élu président du conseil général du Pas-de-Calais lundi 23 juin, il a de fait démissionné de son mandat de maire ».
- « M. Michel Dagbert : Aide-soignant
Sénateur du Pas-de-Calais (Hauts-de-France) », sur senat.fr (consulté le ). - « Michel Dagbert élu président du Conseil Général du Pas-de-Calais : Le maire PS de Barlin a été élu avec 60 voix contre 13 pour l'UMP Michel Petit. Quatre conseillers généraux ont voté blanc », France 3 Hauts-de-France, 23/6/2014 mis à jour le 10/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
- Ruben Muller, « Gérard Paillard, maire de Barlin : « Pas un cheveu de ma tête n'aurait pensé que j'aurais pu être maire » : Quand il a ceint l'écharpe de premier adjoint en mars, « il n'était pas prévu que je sois maire ». Trois mois plus tard, Gérard Paillard, 68 ans, adjoint aux travaux pendant près de vingt ans, a pourtant succédé à Michel Dagbert, promu président du conseil général du Pas-de-Calais. Il enfile ainsi un costume longtemps porté par son beau-frère, un certain Joseph Brabant. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Barlin: le maire Gérard Paillard annonce sa démission à la cérémonie des vœux : Après le traditionnel discours, le maire Gérard Paillard a annoncé sa démission pour des raisons « personnelles et familiales », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ) « Il est élu à Barlin depuis 1989 et est maire depuis 2014 ».
- Ruben Muller, « Élu maire, Julien Dagbert, fils de Michel, a deux ans pour se faire un prénom : l y a dix jours, Gérard Paillard a annoncé sa démission lors de la cérémonie des vœux. Dimanche, les conseillers municipaux ont élu maire un des leurs, Julien Dagbert. Le candidat du groupe majoritaire a recueilli 21 voix contre 4 à David Carton (Dynamisme et démocratie) et 3 à Jean-Paul Courchelle (D'abord l'humain). », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoît Fauconnier, « Julien Dagbert installé dans ses fonctions de maire de Barlin avec masques, visières et quelques invités : La première réunion du conseil municipal, celle de l'installation, s'est déroulée dans une ambiance inédite, propre à celle d'une crise sanitaire sans précédent. Le décor ? L'espace culturel, à Actigreen, de bonne dimension pour respecter les distances », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Ru. Mu., « Barlin : Un week-end franco-polonais pour inaugurer une année en blanc et rouge », La Voix du Nord, : « Le comité de jumelage avec Marklowice va également être réactivé. »
- « Pas-de-Calais (62), Barlin, écoles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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- « Basket Ball Barlin », sur quodomo.com, (consulté le ).
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- Il fait bon vivre à Barlin
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Barlin (62083) », (consulté le ).
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- « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « Fosse n° 7 de la compagnie des mines de Vicoigne-Nœux-Drocourt et du groupe de Béthune des Houillères du Bassin du Nord et du Pas-de-Calais », notice no PA62000111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- Anne-Claire Guilain (photogr. Ludovic Maillard), « Paroles d’archives : Il y a tout juste 20 ans, Dany Boon était à Barlin pour le tournage de « Joyeux Noël » », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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