Divion
Divion est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Divionnais.
Divion | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arrondissement de Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Jacky Lemoine 2020-2026 |
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Code postal | 62460 | ||||
Code commune | 62270 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Divionnais | ||||
Population municipale |
6 893 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 629 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 28′ 23″ nord, 2° 30′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 138 m |
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Superficie | 10,96 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Auchel - Lillers (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auchel | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.
La Compagnie des mines de Bruay y a installé sa fosse no 5 - 5 bis et son puits d'aérage no 5 ter, la Compagnie des mines de La Clarence sa fosse no 1 - 1 bis, dont le puits no 1, de 1 186 mètres, est le plus profond du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
La commune est proche du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Divion est limitrophe, au nord-est, de Bruay-la-Buissière et à 12 km au sud-ouest de Béthune (chef-lieu d'arrondissement.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 10,96 km2 ; son altitude varie de 37 à 138 m[1].
On distingue dans la commune (également visible sur la carte géologique) quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région à Aumerval, Burbure, Bourecq, Fléchin. Ces affleurements du cénozoïques peuvent abriter une flore originale.
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par deux cours d'eau :
- la Lawe, cours d'eau naturel de 41 km, qui prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[3].
- la Biette, d'une longueur de 9 km, qui prend sa source dans la commune de Diéval et qui se jette dans la Lawe au niveau de la commune de Bruay-la-Buissière[4].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 819 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : les coteaux et bois d'Ourton. Situé dans la région de Béthune (Artois septentrional), ce site fait partie des derniers paysages naturels et semi-naturels de ce territoire très marqué par l’agriculture intensive, l’urbanisation et l’exploitation minière[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Divion est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[14]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,7 %), zones urbanisées (28,2 %), forêts (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), mines, décharges et chantiers (2,8 %), prairies (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierVoies de communication
modifierLa commune est desservie par la route départementale 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne. Cependant l'agglomération n'est pas sur le tracé de la chaussée Brunehaut (ancienne voie romaine), mais sur une dérivation.
Transports
modifierLa commune est desservie par plusieurs lignes des réseaux Tadao et Oscar[18],[19].
La gare TER la plus proche est celle de Calonne-Ricouart située à 2 kilomètres. La gare TGV la plus proche est celle de Béthune située à 17 kilomètres.
Les aérodromes les plus proches de la commune sont ceux de Lens-Bénifontaine, situé à 27 kilomètres, et de Merville-Calonne situé à 33 kilomètres.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Divions (1058) ; Divion (1131) ; Dyvion (1223) ; Dovion (1250) ; Divio (1315) ; Divyon (1515) ; Devion (1469)[20].
Ce toponyme a le sens de « la croisée des chemins », du latin duœ (deux) et vion (« je vais »), le village se trouvait à l'intersection des chemins que forme la route romaine de Arras à Thérouanne avec celle de Saint-Pol à Béthune[21].
Histoire
modifierEn 1579, la seigneurie de Divion fait partie des possessions d'Oudard de Bournonville, nommé comte d'Hénin-Liétard, lequel possède de nombreux autres biens et titres : gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[22].
Divion a donné son nom à une famille de nobles. En 1600, Ponthus de Divion est fait chevalier[23].
Ponthus de Divion, écuyer, seigneur d'Oppy, Cantherine et Gouvernyes est fait chevalier le par lettres données à Bruxelles. Il effectue une carrière militaire : il a été à la suite du comte de Fuentes à la prise du Châtelet, à la bataille devant la ville de Doullens, aux prises de Cambrai, de Calais et d'Ardres. Servant à ses frais, avec 4 ou 5 chevaux, il a été au secours d'Amiens comme guidon de la compagnie d'ordonnances du duc d'Aerschot, et nommé ensuite enseigne de cette compagnie de 50 hommes d'armes. Il est, en 1600, commandant en qualité de lieutenant du comte de Bucquoy[23].
En 1912, au niveau de la fosse n° 1 - 1 bis des mines de La Clarence située sur le territoire de la commune se produit une explosion de grisou entraînant la mort de 79 personnes[24]. Le député-maire de Lens, Émile Basly, dénonce alors « la mine féroce, la mine hideuse »[25].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton d'Auchel.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierÉlections municipales 2020
modifier- Maire sortant : Jacky Lemoine (DVG)
- 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 6 978 habitants)
- 3 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane)
Tête de liste | Liste | Premier tour | Sièges | ||||||
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Voix | % | CM | CC | ||||||
Jacky Lemoine[Note 6] | DVG | 1 376 | 59,98 | 24 | 2 | ||||
Danièle Seux[26] | DVG | 700 | 30,51 | 4 | 1 | ||||
Benoît Penet[27] | SE | 218 | 9,51 | 1 | 0 | ||||
Votes valides | 2 294 | 97,80 | |||||||
Votes blancs | 16 | 0,68 | |||||||
Votes nuls | 38 | 1,52 | |||||||
Total | 2 348 | 100 | 29 | 3 | |||||
Abstention | 2 775 | 54,17 | |||||||
Inscrits / participation | 5 123 | 45,83 |
Liste des maires
modifierJumelages
modifierVille | Pays | Période | ||
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Kościelisko[34] | Pologne | depuis |
Équipements et services publics
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Divionnais[35].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2021, la commune comptait 6 893 habitants[Note 9], en évolution de +0,88 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 360 hommes pour 3 617 femmes, soit un taux de 51,84 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine mondial
modifierDepuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 94 de Divion est constitué de la cité pavillonnaire des musiciens bis à Divion et Bruay-la-Buissière, des cités de la fosse no 5 - 5 bis des mines de Bruay[41],[42].
Monument historique
modifier- La croix de grès, datant du XVIe siècle, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [43].
Autres monuments
modifier- Le monument aux morts[44].
- L'église Saint-Martin.
-
L'église.
-
La croix de grès.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jeanne de Divion, XIVe siècle, aventurière, morte sur le bûcher.
- Simon Zimny (1927-2007), footballeur, né à Divion.
- Jacques Accambray (1950-), athlète, né à Divion.
Héraldique
modifierBlason | De gueules au lion d'argent[45]. |
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Détails | Hugues, chevalier, seigneur de Divion, portait sur son sceau, en 1342, un écu au lion. Contrairement à ce que commente l'Armorial du Pas-de-Calais (1996, tome II), ce lion n'est pas le lion d'Artois et le blason de Divion est bien un blason d'inspiration seigneuriale. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierOuvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[46] :
- E. Bourgeois, Histoire de Divion, Arras, Laroche, 1895.
- G. Leclercq, Divion et son canton, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2005.
- R. Leprêtre et F. Fairon, Divion regarde son histoire (1146-2000), Divion, Association sociale économique et culturelle de Divion, 2000.
- J. Ratel, Monographie de la commune de Divion, 2002.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 10]
- « Divion » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Liste du maire sortant ou de la maire sortante
- La liste UPRA soutenue par la PCF l'emporte avec une moyenne de 52,24 % des suffrages face à une liste soutenue par la SFIO (47,76 %)
- Alliance entre la SFIO et le MRP
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Biette (E3660620 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Divion et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030050 - Les Coteaux et bois d'Ourton », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Divion ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Votre trajet sur mesure », sur tadao.fr (consulté le ).
- « Horaires », sur transports.hautsdefrance.fr (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Le puits artésien : revue du Pas-de-Calais, , p. 409.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
- Amédée le Boucq de Ternois, Recueil de la noblesse des Pays Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 19.
- « C'est un coup de mine qui a fait exploser le grisou », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
- Anne-Sophie Hache, « Émile Basly, le galibot devenu tsar », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
- « L’ancienne maire Danièle Seux se représente à Divion mais sans l’étiquette communiste », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « - Une troisième liste sans étiquette et issue des conseils de quartier à Divion », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Notice CHATELAIN Ambroise par Yves Le Maner, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 25 octobre 2008
- « Gaz de couche : un sujet polémique, la commune demande un référendum », L'Abeille de la Ternoise, no 8464, , p. 29.
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Cécile Rubichon, « Les projets du maire de Divion «restent dans les cartons» en attendant l’équilibre budgétaire : Jacky Lemoine s’attendait peut-être à l’éventualité d’une victoire ce 23 mars. N’empêche, les résultats l’ont sonné. Première d’une longue série de surprises parfois moins réjouissantes. Dans les placards, il a ainsi découvert plusieurs centaines de milliers d’euros d’impayés. Sa priorité : retrouver un équilibre budgétaire. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « https://www.lavoixdunord.fr/452382/article/2018-09-20/c-est-officiel-divion-est-jumelee-avec-koscielisko »
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Divion (62270) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « Croix de grès », notice no PA00108263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « 62270 », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune de Divion », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).