Baâlons
Baâlons est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est.
Baâlons | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Ardennes |
Arrondissement | Charleville-Mézières |
Intercommunalité | Communauté de communes des crêtes préardennaises |
Maire Mandat |
Régis Chopin 2024-2026 |
Code postal | 08430 |
Code commune | 08041 |
Démographie | |
Gentilé | Baâlonnais |
Population municipale |
206 hab. (2021 ) |
Densité | 14 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 35′ 42″ nord, 4° 40′ 16″ est |
Altitude | 220 m |
Superficie | 14,72 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Charleville-Mézières (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Nouvion-sur-Meuse |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Géographie
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Localisation
modifierBaâlons se situe dans une légère dépression (alt. 238 mètres à l'église), à proximité nord de la ligne ardennaise de partage des eaux. Deuxième étage du terrain jurassique : marnes et calcaires argilo-siliceux durs, exploitables pour moellons.
Géologie et relief
modifierHydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie, par le BRGM :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
modifierCommune située dans une zone de sismicité faible[1].
Hydrographie
modifierLa commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Rhin-Meuse et Seine-Normandie. Elle est drainée par le ruisseau de Bairon, le ruisseau de Saint-Lambert, le ruisseau de Baalons, le ruisseau des Puiselets et le Fossé 02 de la commune de Saint-Loup-Terrier[2],[Carte 1].
Le ruisseau de Bairon, d'une longueur de 25 km, prend sa source dans la commune de La Horgne et se jette dans la Bar à Tannay, après avoir traversé neuf communes[3].
Le ruisseau de Saint-Lambert, d'une longueur de 21 km, prend sa source dans la commune de Baâlon et se jette dans l'Aisne à Attigny, après avoir traversé neuf communes[4].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 958 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launois-sur-Vence_sapc », sur la commune de Launois-sur-Vence à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,8 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifierTransports en commun
modifierSNCF
modifier- Gare de Nouvion-sur-Meuse.
- Gare d'Amagne - Lucquy.
- Gare de Vrigne-Meuse.
- Gare de Lumes.
- Gare de Mohon.
Intercommunalité
modifierCommune membre de la Communauté de communes des crêtes préardennaises
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Baâlons est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,2 %), prairies (41 %), terres arables (13,9 %), zones urbanisées (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierHistoire
modifier- Découvertes archéologiques :
- Outils et éclats de silex probablement néolithiques
- Statuettes de Mars et Jupiter en bronze gallo-romaines
- Cimetière mérovingien et carolingien
Le Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France(Archives MAE)[18], de Cl. Marin Saugrain[19], en 1726, indique :
- « BAALON, dans la Champagne, Diocèse de Reims, Parlement de Paris, Intendance de Châlons, Élection de Rhetel, a 419 habitans. La Cure vaut neuf cens livres. »
Deux habitants ont été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[20] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy :
Commanderie hospitalière de Sainte-Croix
modifierLes Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem tenaient un établissement nommé Sainte-Croix[23],[24], déjà au commencement du XIIIe siècle, qui se composait d'une maison avec plus de 400 arpents de terre. C'était un ancien fief amorti où la commanderie avait la haute, moyenne et basse justice. Cette maison se trouvait sur le chemin de Mézières à Attigny.
- Au mois d', Salomon de Baâlons, chevalier, par devant l'archevêque de Reims, renonce aux revendications qu'il soulevait au sujet de l'usage d'un bois au dit Baâlons : il en laisse aux religieux, habitant la maison de Sainte-Croix, l'usage pour leur chauffage et la construction, en ne conservant que des hêtres et des chênes, et ajoute le pâturage moyennant un cens de deux septiers d'avoine.
- La maison avait été en partie rebâtie, d’après un marché dressé le , pour la construction d'un corps de logis de 48 pas de long sur 30 de large.
- La cense comprenait 112 arpents ; elle était louée en 1497 pour 4 livres tournois, pour 130 livres en 1698 ; pour 200 livres tournois, 15 livres de chanvre et 30 livres de beurre, en 1732 ; 400 livres en 1788. Il y avait en outre 32 arpents de bois exploités à part.
Il n'en reste, aujourd'hui, rien d'autre que le toponyme.
Politique et administration
modifierBudget et fiscalité 2021
modifierEn 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :
- total des produits de fonctionnement : 136 000 €, soit 630 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 123 000 €, soit 572 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 55 000 €, soit 258 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 13 000 €, soit 60 € par habitant ;
- endettement : 17 000 €, soit 79 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 15,05 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 33,83 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 18,76 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 200 €[27].
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Élevage de vaches laitières.
- Culture et élevage associés.
- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
Tourisme
modifier- Hébergements et restauration à Poix-Terron, La Sabotterie, Hagnicourt, Lametz.
Commerces
modifier- Commerces et services de proximité à Bairon, Faissault, Villers-Semeuse, Boulzicourt.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierPyramide des âges
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 206 habitants[Note 3], en évolution de −11,59 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[32] :
- Écoles maternelles à Saint-Loup Terrier, Poix-Terron, Tourteron, Guignicourt-sur-Vence.
- Écoles primaires à Poix-Terron, Guignicourt-sur-Vence.
- Collèges à Nouvion-sur-Meuse, Attigny, Charleville-Mézière, Villers-Semeuse.
- Lycées à Charleville-Mézière.
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[33] :
- Médecins à Poix-Terron, Le Chesne, Boulzicourt, Saulces-Monclin, Flize, Attigny.
- Pharmacies à Poix-Terron, Sorcy-Bauthémont, Le Chesne, Saul Monclin, Flize.
- Hôpitaux à Charleville-Mézières, Sedan.
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse Notre Dame des Crêtes[34], Diocèse de Reims.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église paroissiale Saint-Rémi[35]. Remarquable église des XIIIe et XIVe siècles, de style roman tardif, doté d'un tympan de porte du Xe siècle, représentant un homme avec une crosse et un livre ouvert, entouré de deux anges[36].
- Harmonium[37].
- Chapelle Sainte-Anne[38], érigée en 1911 sur l'emplacement d'une chapelle datant de 1807, près de la source de sainte Anne, lieu de pèlerinage. La procession de Sainte-Anne se tient le de chaque année[39],[40].
- Ancien fief de Géraumont. S'y dresse encore un château, aujourd'hui exploitation agricole.
- Monument aux morts[41] Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de 1914-1918.
-
Vue globale de l'église Saint-Rémi.
-
Tympan de l'église[42]
-
Chapelle de Sainte-Anne.
-
Le château de Géraumont.
-
Ancienne gare ferroviaire de Baâlons.
Les hameaux et lieux-dits
modifierLa Folie et la Grangette
modifierLa Folie est un ancien fief. Son seigneur féodal, Definfe, demeurant en sa terre de Bussy-lès-Séchault, le proposa à la vente, le , dans Les Affiches de Reims[43]:
- « A vendre les terres et seigneuries de la Grangette et de la Folie, qui tiennent ensemble, avec haute, moyenne et basse justice. Elles sont situées entre Omont et Balon, à 3 lieues de Mézières, 4 de Sedan et 5 de Rethel dont elles ressortissent. Celle de la Grangette consiste en un tiers des droits seigneuriaux, terres, prés, bois. Celle de la Folie en un château bâti en pierre de taille, entouré de grange, écuries et murs, jardin et fossés, terres, prés, bois, etc. ».
- La mise en vente dut être infructueuse, car le , il réitère l'offre par la même gazette.
Il n'en reste, aujourd'hui, rien d'autre que le toponyme.
Les Puiselets
modifierÉcart en deux parties, vers la limite du ban de Mazerny. Il est aujourd'hui fort peu peuplé. Le Dictionnaire général des villes bourgs, villages, hameaux et fermes de la France, de Duclos[44], indique, en 1846, 70 habitants. On peut y visiter les vieux chênes dans le chemin creux et l'ancien lavoir.
Beauvois
modifierHameau peuplé.
Personnalités liées à la commune
modifier- Eugène Houssière, émigré en Louisiane, États-Unis, en 1883 et y fait fortune dans le pétrole, donateur de la chapelle Sainte-Anne en 1911[45],[46],[47].
Héraldique
modifierBlason | Parti : au 1er d'or au lion de sable, au 2e d'argent à trois fasces de sable, le tout sommé d'un chef de gueules chargé de trois étoiles d'or[48]. |
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Détails | Création Jean-Jacques Baron. Adopté le 19 décembre 2008. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Le tympan préroman de l' église romane de Baâlons, sur www.visitardennes.e-monsite.com/
- Insolite. La Louisiane célèbre les Ardennes, L'Union
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Baâlons sur le site de l'Institut géographique national
- Baâlons sur le site de l'Insee
- Église paroissiale et mobilier. site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Baâlons » sur Géoportail (consulté le 15 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Schéma Départemental d’Analyse et de Couverture des Risques du département des Ardennes.
- « Fiche communale de Baâlons », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le ruisseau de Bairon »
- Sandre, « le ruisseau de Saint-Lambert »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Baâlons et Launois-sur-Vence », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Launois-sur-Vence_sapc », sur la commune de Launois-sur-Vence - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Launois-sur-Vence_sapc », sur la commune de Launois-sur-Vence - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michèle Benoît et Claude Michel, Noms de lieux du Département de la Meuse, Éditions régionalismes, , p. 134.
- GA0107 FR MAESA GA 55/1
- Cl. Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, Paris, 1726, t.1, p. 271 [1]
- Baâlons en 1939-1945
- Nestor Prime
- Roger Prime
- Eugène Mannier, Ordre de Malte: les commanderies du grand prieuré de France, Paris : Auguste Aubry & Dumoulin, 1872, pp.288-289 [2]
- Édouard de Barthélemy, Notes sur les établissements des ordres religieux & militaires du Temple de Saint-Jean de Jérusalem & de Saint-Antoine de Viennois, dans l'ancien archi-diocèse de Reims, dans les Travaux de l'Académie nationale de Reims, Reims : imprimerie de l'Académie, 1880-1881, vol.70, n°2&3, p.38 [3].
- « Municipales 2020. Enjeux et résultats. Baâlons », sur Le Monde.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Notre Dame des Crêtes
- Église Saint-Rémi, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
- Église paroissiale Saint-Rémi
- Église paroissiale Saint-Rémi : Harmonium
- L'on peut voir quelques photographies de l'édifice dans Commons = Category:Sainte Anne à Baâlons.
- Procession et pique-nique pour la fête dela Sainte-Anne à Baâlons, sur L'Ardennais (journal)
- Topoguide Hauts Crêtes
- Monument aux morts
- Bas-relief : saint évêque et deux anges. Église paroissiale Saint-Rémi.
- Topographie ardennaise, dans la Revue de Champagne et de Brie, Paris : H. Menu & Arcis-sur-Aube : L. Frémont, 1894, 2e série, tome 6, p. 830 [4]
- Duclos, Dictionnaire général des villes bourgs, villages, hameaux et fermes de la France, 4e éd., Paris & Limoges : Martial Ardent frères, p. 387 [5]
- Caroline Jouret, « De l'ardoise à l'or noir: leur aïeul Ardennais fait fortune en Amérique, ils reviennent au bercail », France 3, (lire en ligne)
- (en) « Eugene Houssiere », sur findagrave.com.
- (en) Tonja Koob Marking et Jennifer Snape, Louisiana's Oil Heritage, Arcadia Publishing, (lire en ligne), p. 22
- Blqson