Arrigny
Commune
Arrigny | |
L'église Saint-Maurice d'Arrigny. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Marne |
Arrondissement | Vitry-le-François |
Intercommunalité | CC Perthois-Bocage et Der |
Maire Mandat |
Laurent Bouquet 2020-2026 |
Code postal | 51290 |
Code commune | 51016 |
Démographie | |
Gentilé | Arrignyens, Arrignyennes |
Population municipale |
240 hab. (2021 ) |
Densité | 15 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 37′ 28″ nord, 4° 42′ 27″ est |
Superficie | 16,08 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Vitry-le-François (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Sermaize-les-Bains |
Législatives | 5e circonscription de la Marne |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.arrigny.fr/ |
modifier |
Arrigny (prononcé [aʁiɲi]) est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.
Géographie
modifierLe village se situe entre la Blaise et le canal de restitution du Der à la Marne.
Le sud de la commune est occupée par le bois de l'Argentolle..
Hydrographie
modifierLa commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Marne, la Blaise, l'Isson, le canal de Restitution, la Fausse Blaise, le Fossé des Ajots, la Varanne, le cours d'eau 01 du Moulion d'Isle, le Fossé 05 de l'Étang Neuf, le Fossé Bordé, divers bras du Fossé des Rouliers et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].
La Marne prend sa source sur le plateau de Langres, dans la commune de Saints-Geosmes (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne) dans le quartier de Conflans-l'Archevêque[2].
La Blaise, d'une longueur de 86 km, prend sa source dans la commune de Gillancourt et se jette dans la Marne à Isle-sur-Marne, après avoir traversé 34 communes[3].
L'Isson, d'une longueur de 20 km, prend sa source dans la commune de Drosnay et se jette dans la Marne à Frignicourt, après avoir traversé sept communes[4].
Quatre plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le lac du Der-Chantecoq, plus grand plan d'eau artificiel de France, d'une superficie totale de 4 166,5 ha (205,8 ha sur la commune), le Petit étang (1,4 ha), l'étang des Landres, d'une superficie totale de 76,4 ha (23,5 ha sur la commune) et l'étang Neuf (1,6 ha)[Carte 1],[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Lorraine, plateau de Langres, Morvan »[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Frignicourt », sur la commune de Frignicourt à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Arrigny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitry-le-François, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac du Der-Chantecoq, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (30,7 %), eaux continentales[Note 4] (9,4 %), zones humides intérieures (4 %), prairies (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones urbanisées (2,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 155, alors qu'il était de 156 en 2013 et de 154 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 69,7 % étaient des résidences principales, 17,4 % des résidences secondaires et 12,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,8 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arrigny en 2018 en comparaison avec celle de la Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,4 %) supérieure à celle du département (2,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,8 % en 2013), contre 51,7 % pour la Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Arrigny[I 2] | Marne[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 69,7 | 88,1 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 17,4 | 2,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12,9 | 9 | 8,2 |
Toponymie
modifierD'après l’ouvrage "Les extraits topographiques de la Marne" d’Auguste Longnon., en règle générale, le suffixe gaulois "acos", employé à l’époque romaine, sous la forme "acus", et qui se combine presque toujours avec des noms propres de personnes, revêt aujourd’hui, deux formes principales en "ay" et "y" pour "iacus" (c'est le cas de 121 communes dans la Marne). Ainsi, Arrigny, seule commune dénommée de la sorte, fut déjà Ariniacus dans le passé - mais aussi:
- Arneium, en 1122.
- Argneyum' en 1187.
- Argnei vers 1222.
- Arni, vers 1222.
- Argneium, en 1223.
- Argney, vers 1252.
- Argny, Argné, vers 1300.
- Arigny, en 1509.
- Argny les Larzicourt, en 1539.
- Arrigny, en 1563.
Histoire
modifierPolitique et administration
modifierIntercommunalité
modifierLa commune, antérieurement membre de la communauté de communes du Bocage champenois, est membre, depuis le , de la communauté de communes Perthois-Bocage et Der.
En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du [19], trois petites communautés de communes préexistantes :
- la communauté de communes du Bocage Champenois ;
- la communauté de communes Marne et Orconte ;
- la communauté de communes du Perthois ;
ont fusionné pour créer la nouvelle communauté de communes Perthois-Bocage et Der, à laquelle se sont également jointes une commune détachée de la communauté de communes de Val de Bruxenelle (Favresse) et la commune isolée de Gigny-Bussy[20].
Liste des maires
modifier
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 5], en évolution de −6,98 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Cultes
modifierL’église catholique d’Arrigny est située au nord du lac Der-Chantecoq et dépend du diocèse de Châlons-en-Champagne.
Économie
modifierLa Commune est traversée par les RD 13 et RD 57, elle est située à un carrefour viaire et constitue l'une des principales porte d'accès au Lac du Der.
Son économie est basée essentiellement sur des secteurs d'activités liés au tourisme, Arrigny étant une des 6 Communes littorales du Lac du Der. On dénombre sur son territoire: une boulangerie, un bar-tabac-presse-restaurant, une pizzeria-crêperie, une poterie d'art, une maroquinerie d'art, un coach de yoga, de nombreux gites, un camping, un swing-golf et son bar-club house.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Maurice date du XIVe siècle. Elle fait partie des églises à pans de bois du pays du Der[32].
- Maurice d’Agaune ou Saint Maurice et ses compagnons soldats thébéens, martyrs du Valais, sont morts pour leur foi vers la fin du IIIe siècle. Il est fêté le , ou parfois le par confusion avec Maurice d’Apamée.
- Ils avaient reçu l’ordre de tuer tous les habitants près d’Octodure (Martigny) au Nord des Alpes car ils étaient tous déjà chrétiens, grâce à saint Materne. Son refus et celui de sa légion furent la cause du célèbre martyre.
- Saint Sigismond, burgonde, est le premier roi saint chrétien au Nord des Alpes. Il fonde un monastère qu’il dote, puis le , y inaugure la louange perpétuelle de saint Maurice.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | De sinople à la fasce ondée d'argent chargée de trois tourteaux de gueules, accompagnée, en chef, d'une double burèle potencée et contre-potencée d'or et, en pointe, de trois roses du même ordonnées 2 et 1[33]. |
|
---|---|---|
Détails | Ce blason reprend la fasce, les tourteaux et les roses de la famille Bourlon dont Gilles Bernard était seigneur d’Arrigny en 1785. Les tourteaux se retrouvent également dans les armoiries de la famille Jacquinot, seigneur de Chavanges et d’Arrigny au XVIIIe siècle La face ondée et l’argent symbolisent l’eau, donc le lac du Der proche d’Arrigny. Le sinople correspond aux bois d’Arrigny. La double cotice potensée et contre potencée rappelle la région de la Champagne. Blason dessiné par Jean-Paul Denise |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Arrigny Site de la mairie
- Arrigny sur le site du lac du Der
- « Dossier complet : Commune d'Arrigny (51016) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Arrigny »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Arrigny » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique d'Arrigny » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Arrigny » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Arrigny - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Arrigny - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Marne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Fiche communale d'Arrigny », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
- Sandre, « la Marne »
- Sandre, « la Blaise »
- Sandre, « l'Isson »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arrigny et Frignicourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Frignicourt », sur la commune de Frignicourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Frignicourt », sur la commune de Frignicourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vitry-le-François », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
- « Arrêté préfectoral du 17 avril 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes du Bocage Champenois, de la Communauté de communes du Perthois et de la Communauté de communes de Marne et Orconté en y incluant les communes de Favresse et de Gigny-Bussy », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 5, , p. 25-30 (lire en ligne [PDF]).
- « Les maires de la commune (1800 - 2020) », sur arrigny.fr (consulté le ).
- Damien Engrand, « Maire d’Arrigny, Marie-France Bouquet, l’épouse du maire de Vitry-le-François, est décédée », L'Union, 20/8/2019 mis à jour le 21/8/2019 (lire en ligne, consulté le ).
- « Hommage à Marie-France Bouquet », La mairie, sur arrigny.fr (consulté le ) « Élue conseillère municipale en 1989, tu deviens maire d’Arrigny en 2001 et tu seras réélue jusqu’à aujourd’hui ».
- Annuaire des mairies de la Marne, EIP/ Les Editions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 978-2-35258-151-2), p. 21.
- Philippe Launay, « Arrigny: Jean-Yves Loppin élu maire », L'Union, 2/12/2019 https://www.lunion.fr/id113363/article/2019-12-02/arrigny-jean-yves-loppin-elu-maire.
- Philippe Launay, « À Arrigny, Jean-Yves Loppin est en mission intérim : Élu en décembre, trois mois après le décès de Marie-France Bouquet, le maire arrignyen achève un mandat riche. Il prépare aussi le terrain pour l’équipe à venir dans cette petite commune à 20 km au sud de Vitry-le-François », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte-rendu du conseil municipal du 27 mai 2020 » [PDF], Les comptes rendus du Conseil Municipal, sur arrigny.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L’église du village », sur arrigny.fr (consulté le ).
- « Le blason de la commune », sur arrigny.fr, (consulté le ).