Théorie des anciens astronautes

théorie pseudo-scientifique postulant qu'un contact entre d'anciennes civilisations et des « visiteurs » extraterrestres a eu lieu
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La théorie des anciens astronautes (TAA, ou astroarchéologie) est une théorie ufologique pseudo-historique selon laquelle plusieurs anciennes civilisations terrestres auraient été en contact avec des « visiteurs » extraterrestres venus apporter quelques savoirs dans les domaines de l'écriture, de l'architecture, de l'agriculture, des mathématiques, de l'astronomie et de la médecine. Ces « êtres » hypothétiques détenteurs d'une technologie supérieure à celle de l'Homme à ces époques seraient devenus, au fil des siècles, des « dieux », ces êtres supranaturels dont parlent les anciennes mythologies et dont l'archéologie met les cultes en évidence.

Hiéroglyphes d'Abydos interprétés comme aéronefs et véhicules modernes par des élucubrateurs, en opposition au consensus scientifique sur leur explication.
Peintures du Val Camonica (Italie, Xe millénaire av. J.-C.) figurant des divinités, ou des figures mythologiques, interprétées comme visiteurs extraterrestres avec leurs casques par les tenants de la théorie des anciens astronautes.
Dogū de la période Jōmon (Xe millénaire av. J.-C. à IIIe siècle av. J.-C., Japon). Des partisans de la théorie des anciens astronautes voient en ces statuettes la représentation de visiteurs d'un autre monde munis de combinaisons spatiales.

La théorie s'appuie sur une interprétation littérale de textes religieux, ou de découvertes insolites comme les lignes de Nazca, ou encore de majoritairement faux artéfacts comme les crânes de cristal.

Terminologie

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La dénomination « Anciens astronautes » provient de l'ouvrage de Jacques Bergier et Georges H. Gallet publié en 1977, Le Livre des anciens astronautes[1] (et les concepts du cosmisme ou du père Pierre Teilhard de Chardin furent en leur temps évoqués dans la revue Planète).

La théorie est qualifiée de « néo-évhémérisme » par le sociologue Jean-Bruno Renard en 1980[2].

Origines

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Selon Jason Colavito, l'écrivain de science-fiction américain Howard Phillips Lovecraft est à l'origine de la diffusion de la théorie des anciens astronautes dans la culture populaire tout au long du XXe siècle. Par le biais de ses récits fictionnels dépeignant des entités extraterrestres — assimilées parfois à des anciens dieux ou démons — descendues sur Terre en des temps infiniment lointains (L'Appel de Cthulhu, Les Montagnes hallucinées). Lovecraft aurait eu une influence déterminante sur Louis Pauwels et Jacques Bergier, lesquels ont largement contribué à lancer le thème des anciens astronautes en France[3].

La théorie est souvent attribuée à Erich von Däniken mais, si ce dernier l'a amplement popularisée en 1968 avec Erinnerungen an die Zukunft (titre français : Présence des extra-terrestres, 1969 ; titre anglais : Chariots of the Gods. Unsolved Mysteries of the Past, 1968), elle reprend de nombreux éléments déjà présents dans les doctrines théosophiques publiées par Helena Blavatsky dans les années 1880, ainsi que d'autres publiés par Louis Pauwels et Jacques Bergier dans Le Matin des magiciens, introduction au réalisme fantastique (Gallimard, 1960), par Robert Charroux dans Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans (Robert Laffont, 1962) et par Jean Sendy dans Ces Dieux qui firent le Ciel et la Terre, Le Roman de la Bible (Robert Laffont, 1969), (précédé par La Lune clé de la Bible en 1965). Sans compter de nombreux textes littéraires relevant de la science-fiction, comme À l'aube de l'histoire ou La Sentinelle, publiés par Arthur C. Clarke en 1951 et 1953 [4], ou des récits d'avant-guerre tels ceux de l'américain Charles Hoy Fort, ou du français Henri Lhote (pétroglyphes sahariens).

Fondements de la théorie

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La théorie repose sur les affirmations et interprétations suivantes :

Démystification

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Bas-relief de la dalle scellant le sarcophage de K'inich Janaab' Pakal Ier dans le « Temple des Inscriptions » de Palenque (représentant prétendument un humain dans un aéronef).

Pour la communauté scientifique, la théorie des anciens astronautes n'a aucun fondement et ne repose que sur un amalgame de prétendus mystères historiques ou préhistoriques. Les éléments archéologiques réputés inexpliqués ont aussi une explication rationnelle déjà exposée par les archéologues.

Ainsi, Jean-Pierre Adam, dans L'archéologie devant l'imposture (1975), démontre que la construction de la grande pyramide repose non pas sur un savoir étranger à l'espèce humaine mais bien sur les techniques de l'époque[9]. La récente découverte de comptes de campagne, datant de Chéops, a abondé dans le sens de l'origine uniquement humaine de la pyramide.

La fabrication des géoglyphes de Nazca s'explique par des procédés strictement humains[10], consistant en un simple déplacement des cailloux de surface et l'emploi des techniques d'arpentage ; l'absence de précipitations permet d'expliquer leur longévité.

La machine d'Anticythère s'est révélée être un planétarium remarquablement complexe, mais fondé sur un modèle géocentrique (le Soleil et les planètes tournant autour de la Terre), erreur que d'anciens astronautes n'auraient pu faire.

Les statues de l'Île de Pâques paraissent intransportables en l'absence d'arbres, mais les études palynologiques ont révélé qu'autrefois, l'île en abritait plusieurs espèces en assez grand nombre.

Ainsi l'interprétation de certains faits à laquelle se sont livrés les auteurs de la théorie dans les années 1960 ne résiste pas aux progrès de l'archéologie (datations au carbone 14, par exemple) et d'autres sciences, comme la géophysique (dérive des continents pour contester un pseudo continent effondré dans l'Atlantique au large des colonnes d'Hercule, etc.).

Retombées

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Sculpté en 1992, lors d'une restauration, l'astronaute en impesanteur de la porte de Ramos, à la cathédrale de Salamanque, est une œuvre de type OOPArt[11].

La théorie a eu un fort retentissement médiatique. Si elle n'a jamais été sérieusement considérée comme une théorie scientifique par les historiens ou les archéologues, elle a donné lieu à de nombreuses retombées :

Prétendues représentations d'engins volants et d'extraterrestres du passé

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Préhistoire et Antiquité

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Une double roue d'Ezekiel (voir livre de Joseph Blumrich).

D'après certains auteurs, par exemple Robert Charroux, dans Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans (Robert Laffont, 1963), ou encore Guy Tarade, dans Les Archives du savoir perdu. Les Énigmes de l'univers (Robert Laffont, 1972), des représentations étranges visibles dans quelques grottes ornées, telles celle d'Altamira en Espagne ou celle de Cougnac en France, seraient des représentations d’ovnis[13]. De même, des statuettes ou des peintures (comme les fresques du Tassili, en Algérie) ressembleraient étrangement à certaines représentations d'extraterrestres du XXe siècle, preuve, selon certains courants ufologiques, de l'ancienneté du phénomène.

Certaines de ces apparitions étranges peuvent avoir été des phénomènes astronomiques (comme des comètes ou des météores) ou optiques atmosphériques. L'analyse de ces faits passés est dénommée couramment rétro-ufologie. En voici quelques exemples :

  • une description remontant au règne du pharaon Thoutmôsis III vers 1450 av. J.-C. fait état de multiples « cercles de feu plus brillants que le Soleil » d'environ 5 mètres d'envergure, qui seraient apparus durant de nombreux jours. Ils ont finalement disparu après « être montés haut dans le ciel[14] » ;
  • dans la Bible, le prophète Ézéchiel décrit une vision qu'on appelle le char divin : quatre êtres, munis chacun de quatre ailes, pilotent des sortes de roues flamboyantes, capables de se déplacer comme l'éclair, changeant de direction brusquement, sans se retourner ; leurs jantes sont garnies d'yeux tout autour (comme des hublots ?) ; au-dessus de leurs têtes, quelque chose comme des dômes de cristal[15].
  • l'auteur romain Julius Obsequens écrit, en 99 av. J.-C., que « dans Tarquinia, pendant le coucher du Soleil, un objet rond comme un globe a pris son chemin dans le ciel d'ouest en est[16] ».

Moyen Âge et Renaissance

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Spectacle céleste de Bâle en 1566, feuillet imprimé, Samuel Apiarius et Samuel Coccius.

À ces époques, il est surtout question de phénomènes occultes, chez des théoriciens comme Agrippa de Netessheim ou Paracelse. L'influence de la religion est réelle puisque les phénomènes célestes sont considérés comme des avertissements divins ou des expressions maléfiques imputables aux sorciers et sorcières :

  • au Japon, dans la nuit du , le général Yoritsume et son armée observent près de Kyoto des sphères de lumière non identifiées, aux mouvements erratiques. Ses conseillers lui disent de « ne pas s'inquiéter car c'était simplement le vent qui faisait osciller les étoiles[17] ».
 
Phénomène céleste de Nuremberg en 1561, feuillet imprimé et gravure sur bois par Hans Glaser.
  • gravure sur bois par Hans Glaser (1561), Nuremberg. Un feuillet imprimé rapporte que le , le ciel de la ville de Nuremberg est parcouru par une multitude d'objets décrits comme étant engagés dans une bataille. On y mentionne que de petits globes et disques sortaient de grands cylindres. Ces observations sont alors interprétées comme des prodiges surnaturels, des anges et autres présages religieux. Les historiens y voient la fusion imagée de plusieurs événements historiques et phénomènes naturels non reliés entre eux et embellis par une interprétation religieuse et une transmission orale[18],[19]. En météorologie, on y voit la représentation artistique d'un effet de halo[20].

De nos jours, ces témoignages sont parfois interprétés comme l'équivalent ancien de rapports d'ovnis modernes. Pour les cas les plus souvent cités, une explication simple est fournie par les historiens de l'art :

La théorie des anciens astronautes dans la culture

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De nombreuses œuvres littéraires, cinématographiques, télévisuelles et autres se sont inspirées de la théorie des anciens astronautes.

Cette section ne traite que des œuvres montrant des traces d'extraterrestres anciens dans l'archéologie ou dans l'OOPArt. Les œuvres inspirées par les Grands Anciens se trouvent dans cet article.

Littérature

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Un prisonnier martien enseignant aux terriens son langage (1898).
  • Edison à la conquête de Mars, en 1898 aux USA est une suite au roman d'Herbert George Wells La Guerre des monde, par l'astronome Garret Putnam Serviss, où -entre autres- des extraterrestres auraient bâti les pyramides d'Égypte (publiée en France en 2017 par les éditions Encrage).
  • Le jour où moururent les dieux, roman-document de Jimmy Guieu en 1971 (Der Tag, an dem die Götter starben, traduction Jacqueline H. Osterrath, Marion von Schröder Verlag, publié en France en 1979).
  • Le Testament de la Vierge (2009), roman de Anton Parks.

Bande dessinée

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Cinéma

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Un monolithe "instructeur".

Télévision

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Fiction

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  • Ulysse 31 (1981-1982), épisode 15, La Deuxieme Arche (référence aux lignes de Nazca et, implicitement, à la théorie des anciens astronautes).
  • Il était une fois… l'Espace (1982), série d'animation française, notamment les épisodes 5, 7, 13 et 18.
  • Futurama : épisode 17, saison 3, Un pharaon inoubliable/La Huitième Plaie (2002) (parodie de la théorie de construction des pyramides égyptiennes par des extra-terrestres en présentant l'inverse), épisode 8, saison 6, Les Chats savants (2010) (fait le lien entre l'idée populaire de la vénération des chats dans l'ancienne Égypte et la théorie des anciens astronautes).
  • L'univers Stargate (1994-2011): Stargate SG-1, Stargate Infinity, Stargate Atlantis et Stargate Universe.
  • Métal Hurlant Chronicles (2012), série française, notamment l'épisode Seconde Chance.
  • OVNI(s) (2021) (référence aux Hommes-Lune, anciens astronautes transmettant leur technologie avancée aux Terriens).

Documentaires

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  • Civilisations perdues (1972) (Losten zivilisationen) de Harald Reinl (documentaire inédit en France, diffusé aux Dossiers de l'écran du 27 septembre 1972, narrateur Wilhelm Roggersdorf, d'après l'ouvrage Présences extra-terrestres de Érich von Däniken).
  • Mysteries of the gods (1976) (de) (Botschaft der Götter) de Harald Reinl (narrateur William Shatner).
  • Alien Theory (2010–2024), série annuelle documentaire télévisée américaine de Kevin Burns.

Principaux ouvrages propagateurs de la théorie

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  • George Hunt Williamson, Other tongues — other flesh, Amherst Press., 1953.
  • Morris K. Jessup, UFOs and the Bible, Citadel Press., 1956.
  • Marc Thirouin dans sa revue ufologique Ouranos numéro 22 de 1957 (article Les fresques de Tassili... et nous d'après Henri Lhôte), mais également le professeur Matest M. Agrest[23] en 1959 (article Космонавты древности, Literaturnaya Gazeta -The Astronauts of Yore-, repris en 1962 dans la revue Planète n°7 -Des cosmonautes dans l'Antiquité?- entre autres), puis depuis la Caroline du Sud où il émigra en 1992.
  • Brinsley Le Poer Trench, The sky people : Ancient Aliens and the Supernatural, Neville Spearman, 1960.
  • Peter Kolosimo, Non è terrestre, Sugar, Milano, 1968. Astronavi sulla preistoria, Sugar, Milano, 1972.
  • Erich von Däniken, Erinnerungen an die Zukunft, Souvenir du futur, 1968 / Présence des extraterrestres, Éditions Robert Laffont, 1969 / Chariots of the Gods. Unsolved Mysteries of the Past, 1969.
  • Erich von Däniken, Vers un retour aux étoiles, J'ai lu no A322, « collection L'Aventure mystérieuse », 1975.
  • Erich von Däniken, L'or des Dieux, J'ai lu no A365, « collection L'Aventure mystérieuse », 1974.
  • Michel-Claude Touchard, L'Archéologie mystérieuse, Retz, 1972.
  • Michel Granger, Terriens ou extra-terrestres ?, Albin Michel, 1973.
  • Paul Chwat et Jacques Bergier, Les nouveaux mystères de l'archéologie, collection "Bibliothèque de l'irrationnel et des grands mystères", Celt, 1974.
  • Robert Charroux, L'énigme des Andes, Robert Laffont, 1974.
  • Maurice Châtelain, Nos ancêtres venus du cosmos, Robert Laffont, 1975.
  • Zecharia Sitchin, The 12th Planet, Harper, 1976.
  • Simone Waisbard, Les Pistes de Nazca : Pour qui ? pourquoi, et comment ?, Robert Laffont, 1977.
  • Christine Dequerlor, Ces dieux venus d'ailleurs, Albin Michel, 1977.
  • Christiane Piens, Les OVNIs du passé, Marabout, 1977.

Organismes internationaux

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Les bijoux Quimbayas colombiens ont servi d'emblême pour l'Ancient Astronaut Society, avec le "subaquaplane" d'Ivan T. Sanderson.
  • Fortean Society, créée en 1931 à New York par Theodore Dreiser.
  • Ancient Astronaut Society (A.A.S.), créée le 14 septembre 1973 par le juriste américain Gene M. Phillips (attorney de Park Ridge, Illinois) et son épouse Doris, sur l'impulsion d'Erich von Däniken et d'Andrew Thomas (qui jette les bases de la théorie en 1971 depuis Chico en Californie). Active durant 25 ans jusqu'en 1999 (publication Ancient Skies - Come search with us! à partir de mars 1974, jusqu'à 10 000 abonnés dans 35 pays - adhérents français Charroux, Sendy, Chatelain, Granger,.. entre autres). Concepts repris par Giorgio Tsoukalos en 2004 pour la création de l'émission TV Alien theory.
  • Le projet SETA (Search for Extraterrestrial Artéfacts) créé en 1983 par Robert Freitas du Xenology Research Institute de Californie (resté éphémère).
  • Archeology Astronautics & SETI Research Association (AAS RA) (1998), Ithaca, état de New York, sous l'impulsion notamment d'Ulrich Dopatka (publication bimensuelle Legendary Times, et antenne européenne à Beatenberg en Suisse).

Notes et références

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  1. Le Livre des anciens astronautes, Albin Michel, collection Les Chemins de l'Impossible, 1977 (les Américains producteurs de l'émission Alien Theory et von Däniken n'ont jamais déposé de copyright ou d'appellation d'origine contrôlée pour ce terme).
  2. Jean-Bruno Renard, « Religion, Science-Fiction et Extraterrestres. Bibliographie thématique [De la littérature à la croyance] », Archives de sciences sociales des religions, no 50,‎ , p. 161 (lire en ligne).
  3. (en) Jason Colavito, Charioteer of the Gods, sur le site Lost Civilizations Uncovered (publication initiale : Skeptic, 10.4, 2004.
  4. Wiktor Stoczkowski, Des hommes, des dieux et des extraterrestres : Ethnologie d'une croyance moderne, Paris, Flammarion, (ISBN 2-08-067211-8).
  5. Francis Mazière, Fantastique île de Pâques, Robert Laffont, 1965.
  6. Devenus un pin's emblématique des auteurs du magazine Legendary Times de Giorgio Tsoukalos.
  7. Elohim de Roger Vigneron.
  8. Ces Dieux qui firent le Ciel et la Terre.
  9. Jean-Pierre Adam, L'archéologie devant l'imposture, éditions Robert Laffont, 1975, 267 p., p. 153-183.
  10. Nazca et ses mystères, dossier de zététique.
  11. Jeff Yates, « Oui, il y a un astronaute sur cette cathédrale vieille de 500 ans », sur Metro, (consulté le ).
  12. (es) Laura Sanz Cruzado, Un astronauta en la catedral, diariodenavarra,  : « en la Puerta de Ramos de la catedral nueva de Salamanca, construida entre los siglos XVI y XVIII, puede verse un astronauta labrado en piedra durante una restauración hecha en 1992 por el cantero Miguel Romero ».
  13. Ovni dans l'art et l'histoire.
  14. Journal du professeur Alberto Tulli, ancien directeur de la section « Égypte » du musée du Vatican.
  15. Ezéchiel, ch. 1, versets 4 à 28. Ces êtres évoquent les quatre Chérubins, qui supportent le trône de Dieu.
  16. Julius Obsequens, Liber de prodigiis.
  17. Observation du général Yoritsume en 1235.
  18. (de) [PDF] Ulrich Magin: Ein Ufo im Jahr 1561?.
  19. (en) Carl Gustav Jung, Ein moderner Mythus, p. 94–97.
  20. (en) Robert Greenler, Rainbows, Halos and Glories, CUP Archive, 1989, p. 106-109.
  21. (it) Ufo nel dipinto? No, solo simboli divini.
  22. Diego Cuogi, Arts et ovnis ? (analyse critique de prétendus « ovnis » figurés dans des œuvres d'art du passé).
  23. (docteur ès sciences physico-mathématiques en U.R.S.S à l'Université de Moscou en 1946, thèse aux éditions géographiques d'État)

Annexes

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Bibliographie critique

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Articles connexes

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Liens externes

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