153e régiment d'infanterie (France)
Le 153e régiment d'infanterie (153e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous le Premier Empire à partir de quatre cohortes du premier ban de la garde nationale.
153e Régiment d'Infanterie | ||
Insigne régimentaire du 153e Régiment d’Infanterie | ||
Insigne régimentaire du 153e régiment d'infanterie de forteresse (1937) | ||
Création | 1813 | |
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Dissolution | 1993 | |
Pays | France | |
Branche | Armée de terre | |
Type | régiment d'infanterie | |
Rôle | infanterie | |
Garnison | Mutzig | |
Ancienne dénomination | Le régiment de la Sarre | |
Surnom | Quinze-Trois | |
Devise | Partout où se trouve le 15-3, l'ennemi ne passe pas : il recule | |
Inscriptions sur l’emblème |
Weissig 1813 Goldberg 1813 Lorraine 1914 Picardie 1914 Verdun 1916 Flandres 1918 L'Aisne 1918 La Marne 1918 Saint-Mihiel 1918 AFN 1952-1962 |
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Anniversaire | Saint-Maurice | |
Guerres | Campagne d'Allemagne Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale Guerre d'Algérie |
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Batailles | 1914 - Bataille de Morhange 1914 - Première bataille d'Ypres 1915 - Bataille d'Artois 1915 - Bataille de Champagne 1916 - Bataille de Verdun 1916 - Bataille de la Somme 1917 - Bataille du Chemin des Dames 1918 - 2e Bataille de la Marne |
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Fourragères | A la couleur du ruban de la Croix de la Légion d'Honneur | |
Décorations | Légion d'honneur Croix de guerre 1914-1918 Six palmes |
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Création et différentes dénominations
modifier- 1813 : Création du 153e régiment d'infanterie de ligne
- 1814 : dissous
- 1887 : formation du 153e régiment d'infanterie
- 1923-1935 : 153e régiment d'infanterie
- 1935 : 153e régiment d'infanterie de forteresse de la Sarre
- 1940 : 153e régiment d'infanterie alpine
- 1942 : disloqué
- 1945 : 153e régiment d'infanterie
- 1945 : dissous
- 1955 : 153e régiment d'infanterie motorisée
- 1963 : 153e régiment d'infanterie mécanisée
- 1976 : 153e régiment d'infanterie
- 1984 : 153e régiment d'infanterie de division blindée
- 1990 : 153e régiment d'infanterie de corps d'armée
- 1993 : dissous
Colonels et chefs-de-brigade
modifier- 1813 - 1814 : Colonel Mathieu
- - : Colonel Deckherr***
- 1900 - 1905 : Charles Louis Marie Joseph Rousset (1847-1922) **
- - : Colonel Loyzeau de Grandmaison***
- - : Commandant Belin
- - : Commandant Notel
- - : Lieutenant-colonel Hoff
- - : Commandant Notel
- - : Commandant Gauthier
- - : Lieutenant-colonel Charrier
- - : Commandant Gauthier
- - : Lieutenant-colonel Peschart d'Ambly***
- - : Commandant Gauthier
- - : Lieutenant-colonel Peschart d'Ambly***
- - : Lieutenant-colonel Biesse
- - : Colonel Luyt
- - : Commandant Albert-Roulhac
- : Lieutenant-colonel Matter
- 1920 : Colonel Carrière
- 1923 : Colonel Violette
- 1924-1925 : Lieutenant-colonel Pierre Guizard
- 1927 : Colonel Castilla
- 1928 : Colonel Mignon
- 1933 : Colonel Herique
- - : Colonel A. Alaurent
- - : Colonel J.M. Reyx
- - : Lieutenant-colonel Delivre
- - : Lieutenant-colonel Mauvin
- 8 juillet 1941 - 27 novembre 1942 : Colonel Bierre
- 1945 : Colonel Constant
- 1955 : Colonel d'Esclaibes
- 1956 : Colonel Simoneau
- 1957 : Colonel Girard
- 1958 : Colonel Delgros
- 1960 : Colonel Usureau
- 1960 : Colonel Blanc
- 1961 : Colonel de Bois Heraud
- 1962 : Colonel Degas
- 1963 : Colonel Richard
- 1965 - 1967 : Colonel Aléon
- 1967 - 1969 : Colonel Génesteix
- 1969 - 1971 : Colonel Boone Arbod Borssat de la Perouse *****
- 1971 - 1973 : Colonel le Guyader
- 1973 - 1975 : Colonel de Broca
- 1975 - 1977: Lieutenant-Colonel puis Colonel Clarke de Dromantin****
- 1977-1979 : Lieutenant-Colonel Mathonière
- 1979 - 1981 : Colonel Tardy
- 1981 - 1983 : Lieutenant-Colonel Moufle
- 1983 - 1985 : Colonel Pintoux
- 1985 - 1987 : Colonel de Warren
- 1987 - 1989 : Colonel de Rotalier
- 1989 - 1991 : Colonel Reau
- 1991 - 1993 : Colonel Georgelin *****
** devint par la suite général de brigade.*** devint par la suite général de division.
**** devint par la suite général de corps d'armée ***** devint par la suite général d'armée.
Historique des garnisons, combats et batailles du 153e RI de ligne
modifierPremier Empire
modifierLe 153e régiment d'infanterie de ligne est formé, à Brême en Allemagne, le 22 février 1813, avec les :
- 55e cohorte du premier ban de la garde nationale formée dans le département de l'Yonne[1]
- 56e cohorte du premier ban de la garde nationale formée dans les départements du Rhône et de la Loire
- 57e cohorte du premier ban de la garde nationale formée dans les départements du Cantal et de Haute-Loire
- 58e cohorte du premier ban de la garde nationale formée dans le département du Puy-de-Dôme
- 1814 : la campagne de France :
Le , les alliés pénètrent sur notre territoire, la campagne de France commence. Les faibles effectifs du Régiment expliquent le rôle modeste qu’il va jouer au cours des derniers combats de l'Empire. On le retrouve à Liège le , à Givet le 22, le à Chalons que le 5e corps reçoit l'ordre de tenir. Les 4 et écrasé par le nombre, Chalons est évacué. Nos troupes épuisées atteignent Épernay puis Château-Thierry. Le régiment ne compte plus qu'une centaine d’hommes lorsqu'il arrive à Meaux.
Le , il quittait le combat. La troupe était versée au 14e de ligne, les cadres et l'Aigle avaient ordre de se rendre à Paris. En fait, ils rejoindront Orléans, point de regroupement de ce qui reste du 153e de ligne.
Le , le 153e régiment d'infanterie de ligne est licencié, et conformément à l'article 5 de l'ordonnance du 12 mai 1814 :
- Le 1er bataillon est amalgamé, le à Montmédy, dans le 52e régiment d'infanterie de ligne.
- Le 2e bataillon est amalgamé, le au Havre, dans le 88e régiment d'infanterie de ligne.
- Le 5e bataillon est amalgamé, le à Dunkerque, dans le 51e régiment d'infanterie de ligne.
De 1887 à 1914
modifierLe 153e RI, est formé le à 3 bataillons provenant des 2e régiment d'infanterie, 19e régiment d'infanterie et 114e régiment d'infanterie, à Paris
En garnison au Fort de Nogent à Fontenay-sous-Bois puis à Toul[réf. nécessaire]
Première Guerre mondiale
modifierEn 1914 ; Casernement : Toul ; 77e Brigade d'infanterie ; 39e division d'infanterie ; 20e corps d'armée
À la 39e division d'infanterie d' à
1914
modifier1915
modifier1916
modifier- Verdun
- Février : côte du Poivre, Carrières d'Haudremont
- Avril : Cote 304
- Bataille de la Somme
- Fin septembre : Maurepas
1917
modifier- Chemin des Dames
: Arrivée dans les tranchées dans le secteur de Vendresse à Moussy, préparation : Assaut en première ligne >> secteurs occupés : Chivy, Ferme des Grelines, Braye en Laonnois, Ferme de Froidemont >> 25 jours de première ligne. : Repli à Longeval-Barbonval au sud de l'Aisne puis départ vers Nancy.
- Front au nord de Nancy
: Ravitaillement à Jeandelaincourt au Nord de Nancy puis montée en première ligne près de Nonemy
- Deuxième Bataille de Verdun
1918
modifierJanvier, arrivée à Bras-sur-Meuse. Première ligne jusqu'au dans les Secteurs de la Cote-de-Poivre, Ravin du Cul-brulé, Ravin du Cul-de-Chien, Carrière des Anglais près de Vacherauville-sur-Meuse au Nord de Verdun, coups de main allemands baïonnette au canon et lance-flammes repoussés. Montée dans le Nord à pied durant 6 jours (Reims, Saint-Quentin, Arras et Hazebrouck).
- Bataille des monts de Flandres
Offensive allemande du (utilisation d'obus à ypérite et 150 avions). Contenue. Mi-avril défense du mont Kemmel (Belgique) et du mont Rouge en renfort des 28e et 39e RI. Offensive allemande du 25 au contenue par le 153e. Mai : Cantonné à Couderkerque près de Dunkerque ensuite défense de Poperinge (Belgique). Juin : départ pour le nord de Paris, cantonné à Gonesse.
Utilisation des taxis parisiens jusqu'à l'Est de Château-Thierry. Première ligne dans les tranchées de Bonneuil, Mont Bonneuil, Charly, Essomes et de la ferme de la Borde. Intégration des troupes américaines (15 soldats/compagnie). Attaque de la cote 204 par 3 fois avec succès (beaucoup de prisonniers). Prise de Château-Thierry et des villages environnants, l'ennemi s'étant replié. Contact avec l'ennemi à Verdilly qui est fait prisonnier, poursuite de l'avance jusqu'à la forêt de Fère-en-Tardenois. En réserve des troupes américaines qui passent à l'assaut. Départ ensuite en Lorraine à Saint-Mihiel.
- Bataille de Saint-Mihiel.
En août, déploiement sur le secteur de la plaine de la Woevre à l'est du fleuve Meuse. Prise des villages de Gironville et de son fort, Girauvoisin, Saint-Agnant-les-Côtes et Woinville. Offensive du sur les côtes de Saint-Mihiel, prise des villages Creue, Hattonchatel, Hattonville, ferme Saint-Louis, bois de Hauteville. Derniers bombardements allemands, armistice. Repli sur Nancy caserne Molitor et ensuite relève des Américains dans la forêt de Facq, le secteur de Nonemy, Port-sur-Seille. : Traversée des lignes ennemies et entrée triomphale dans la ville de Metz.
Entre-deux-guerres
modifierIl est dissous à Sarreguemines en 1922. Le 153e RI est reconstitué en Sarre le [réf. souhaitée] et rentre en France à partir de 1927[2] à Forbach et à Morhange. À la fin de l'année 1929, il est en garnison à Bitche où se trouve l'état-major régimentaire (EM), les 2e et 3e bataillons. Puis à Saint-Avold le 1er bataillon. Le régiment est regroupé en 1931 à Bitche-ville, puis une compagnie à Bitche-camp. En 1933 avec le 23e RI, il forme l'infanterie de la région fortifiée de la Lauter. En 1934, le 153e RI passe à six bataillons.
En 1935, il se dédouble pour donner naissance au 37e RIF.
Seconde Guerre mondiale
modifierÀ la mobilisation du par le CMI 204 (Saint-Nicolas-de-Port) à partir du noyau actif du lII/153e régiment d'infanterie de forteresse « régiment de la Sarre » se détriple pour former l'infanterie du secteur fortifié de Rohrbach. Il compte trois bataillons de mitrailleurs, une compagnie d'équipages d'ouvrages, une compagnie d'équipages de casemates. Avec le 133e RIF, le 166e RIF d'ouest en est.
Le 153e RIF est engagé dans le sous-secteur du Légeret, en Moselle, ce qui inclut l'entière garnison du fort du Simserhof (876 hommes) issus du 3e bataillon, deux casemates, un observatoire, et trois abris.
Les unités d'intervalle comme le 37e, 153e et 166e RIF quittent leurs positions le pour se replier avec la Division de marche Chastenet. Le 153e s'installe face au nord sur le canal de la Marne au Rhin. Il se replie sur les Vosges, il doit déposer les armes le 21 et . Les équipages d'ouvrages, restés sur places, doivent se rendre sur ordre le .
Le régiment est recréé à Lyon comme 153e régiment d'infanterie alpine dans l'Armée d'Armistice. L'Armée d'Armistice est dissoute en novembre 1942.
Le 153e RI est engagé dans les Vosges et en Allemagne pendant l’hiver 1944-1945. Au printemps 1945 le 153e RI forme ses hommes comme skieurs dans les Pyrénées à Luz, Barèges et Argelès-Gazost.
Guerre d'Algérie
modifierLe 153e RIM (Régiment d'infanterie motorisée) à Munier il appartient à la 2e D.I.M. Bône Zone Nord-Est Constantinois 1961. Au village tunisien de Sakiet Sidi Youssef, un poste tenu par le 153e Régiment d’infanterie motorisée (RIM), il assure la surveillance de la frontière dans la région de Souk Ahras, région de Constantine.
Au cessez-le-feu du en Algérie, le 153e RIM constitue comme 91 autres régiments, les 114 unités de la Force locale. Le 153e RIM forme deux unités de la Force locale de l'ordre Algérienne, la 407e UFL-UFO et la 409e UFLUFO composés de 10 % de militaires métropolitains et de 90 % de Militaires Musulmans à Lapaine et a Zarouria, qui pendant la période transitoire devaient être au service de l'exécutif Algérien, jusqu'à l'indépendance de l'Algérie. (Accords d'Evian du ).
De la Guerre d'Algérie à nos jours
modifierAu retour d'Algérie il prend garnison à Mutzig le [3] aux quartiers Moussy et Clerc. Il gère également un dépôt de munitions à Romanswiller. Le 153e RI est transformé en régiment mécanisé et intégré dans la 6e brigade mécanisée d'abord selon l’organigramme de la division type 59 puis celui type 67. Dans la division type 59, le 153e RI est composé de la compagnie de commandement et des services (section de commandement, section état-major, section transmissions, section des services, section entretien dépannage, section sanitaire et section de canons de 106 mm sur Jeep avec 6 pièces) et de quatre compagnies mécanisées. L'effectif est de 35 officiers, 102 sous-officiers et 708 hommes de troupe. Les véhicules sont au nombre de 80 à roues, 68 VTT et 8 motos.Dans la division 67, le régiment conserve la compagnie de commandement et des services mais les unités de combat sont profondément restructurées. Le régiment mécanisé, comme tous les régiments mécanisés, devient un régiment interarmes avec deux compagnies mécanisées (infanterie) sur VTT AMX 13 et deux escadrons de chars (arme blindée) sur chars AMX 13. Certains régiments d'infanterie[Lesquels ?] sont motorisés dans l'attente de l'équipement en véhicules blindés.
La réorganisation de l'Armée de terre de 1984 se traduit par la création de la 6e division légère blindée dans le sud-est. Les unités de la 6e division blindée sont formées selon l'organisation des divisions blindées type 84. Le 153e régiment d'infanterie devient régiment motorisé de division blindée rattaché à la 1ère division blindée avec deux compagnies sur VAB, une compagnie sur camionnettes tactiques (unité de réserve) et la compagnie anti char sur VAB HOT. La dissolution de la plupart des unités en garnison en Allemagne permet pour un temps au 153e RI d'être encore à l'ordre de bataille en devenant régiment d'infanterie de corps d'armée le 1er juillet 1990.
En Yougoslavie d'avril 1992 à . La 1re compagnie du 153e RI, composée de 74 casques bleus et commandée par le capitaine Lassallette, est la première unité française envoyée à Sarajevo. Elle a pour mission de protéger le QG de la FORPRONU, situé dans l'ancien PTT Building et d'escorter les observateurs de l’ONU ainsi que les négociateurs serbes et bosniaques.
Le 153e régiment d'infanterie à Mutzig au quartier Moussy est dissous le , sous le commandement du Colonel Jean-Louis Georgelin remettant au général Arnold gouverneur militaire de Lille et commandant du 3e corps d'armée, le drapeau du régiment. Une stèle et un square porteront le nom du régiment[4]. Le régiment était partie intégrante du plan de restructuration « Armées 2000 ».
Les deux quartiers Moussy à l'entrée de la ville, Clerc de l'autre côté de la ligne de chemin de fer, sont actuellement occupés par le 44e régiment de transmissions, régiment spécialisé dans la Guerre électronique, chargé en particulier de la mise en œuvre du CGEAT (Centre de guerre électronique de l'Armée de Terre) dont le gros des installations est situé sur la « Colline » qui domine la ville.
Drapeau
modifierLes noms de huit batailles s'inscrivent en lettres d'or sur le drapeau, ainsi que l'inscription A.F.N[5],[6].
- Weissig 1813
- Goldberg 1813
- Lorraine 1914
- Picardie 1914
- Verdun 1916
- Flandres 1918[7]
- L'Aisne 1918
- La Marne 1918
- Saint-Mihiel 1918
- AFN 1952-1962
Le drapeau du régiment est brûlé par son chef de corps en 1940 afin que celui-ci ne tombe pas dans les mains de l'ennemi. Les restes du drapeau ont été exposés dans la salle d'honneur du régiment. Lors de sa refabrication, la bataille de Goldberg 1813 est oubliée. Cependant dans les documents d'avant guerre, celle-ci était bien mentionnée.
Décorations
modifierSa cravate est décorée de la Croix de la Légion d'honneur reçu le [8] comme son frère d'arme le 152e RI, de la Croix de guerre 1914-1918 avec six citations à l'ordre de l'armée. Il a le droit au port de la fourragère à la couleur du ruban de la croix de la légion d'honneur décernée le .
Insigne
modifierLa pucelle du régiment écusson métallique, fond blanc, avec une ligne rouge diagonale un trèfle à 4 feuilles de couleur vert et surmonté de 3 petits triangles, qui représente les fortifications.
Le dernier insigne du 1.53, créé à la demande du Colonel d'Esclaibes. Ecu ancien à bordure d'argent, couleur de la cavalerie, eu égard à la présence de l'escadron antichar du 15.3, formé par le 31e Dragons.
D'émail blanc à bande d'émail rouge : Armes de la ville de Strasbourg. en cœur, trèfle à quatre feuilles d'émail vert, hérité des marques des véhicules du Régiment en 1914-1918, et l'on trouve sur tous les insignes portés au 15.3. En chef, le bastion d'argent à la Vauban rappelle que le Régiment fut unité de forteresse de 1935-1940.
Insigne homologué le sous le N° G 1173.
Fabricant : A. Mardini, Arthus Bertrand, Drago, Fraisse, Y. Delsart
Personnalités ayant servi au sein du régiment
modifier- Pierre Hortala (1880-1926), poète
- Marcel Faure (1906-1999), résistant français, Compagnon de la Libération.
- Dominique Venner (1935-2013), essayiste et historien français[9].
Notes et références
modifier- « PROJET DE DÉCRET Sur l’Organisation de la Garde nationale. », sur napoleonica.org (consulté le ).
- Emmanuel Pénicaut, « L’armée française en Sarre, 1918-1930 », Revue historique des armées, no 254, , p. 20–28 (ISSN 0035-3299, lire en ligne, consulté le )
- « LE 153e RÉGIMENT D'INFANTERIE S'INSTALLE A MUTZIG », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Témoignages du 15.3
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
- Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
- L'offensive des Flandres, dans le Nord et en Belgique en octobre 1918.
- france-phaleristique.com Unités et décorations militaires. La hampe du drapeau ou de l’étendard des unités suivantes, a été décorée de la croix de la Légion d’honneur .
- Carnets rebelles - volume I, Dominique VENNER, 2021, La Nouvelle Librairie éditions
Bibliographie
modifier- Émile Simond : Historique des nouveaux régiments créés par la loi du
- Journal de marche du 153e RI déposé au SHAT à Vincennes.
- Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française (Général Andolenko - Eurimprim 1969).
- L'Encyclopédie de l'Armée Française - Hommes et Ouvrages de la Ligne Maginot - Tome 1 (J.Y. Mary et A. Hohnadel - Histoire & Collections 2005)
- Historique du 153e Régiment d'Infanterie (D. Leclercq, Amicale des Anciens et Amis du 15.3)
- Aide-mémoire de l'Officier du Train, Ecole d'Application du Train, REGENT - PARIS - MODELE N° 99.048
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
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