Écaquelon

commune française du département de l'Eure

Écaquelon est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Écaquelon
Écaquelon
L’église Saint-Jacques Logo monument historique Inscrit MH (1926).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle
Maire
Mandat
Jean-François Dumesnil
2020-2026
Code postal 27290
Code commune 27209
Démographie
Gentilé Écaquelonais
Population
municipale
603 hab. (2021 en évolution de −1,15 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 31″ nord, 0° 43′ 35″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 144 m
Superficie 13,04 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-Audemer
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Écaquelon
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Écaquelon
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Écaquelon

Ses habitants sont appelés les Écaquelonais.

Géographie

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Localisation

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Écaquelon est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure en région Normandie. Située sur la rive droite de la Risle, elle appartient à la région naturelle du Roumois[1].

Le bourg d'Écaquelon est à 16,7 km au sud-est de Pont-Audemer[2], à 31,2 km au sud-ouest de Rouen[3], à 39,5 km au nord-est de Lisieux[4] et à 43,3 km au nord-ouest d'Évreux[5].

Boisement

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Le Nord-Ouest de la commune d'Écaquelon est couverte par la forêt de Montfort.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brionne à 11 km à vol d'oiseau[10], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,7 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Écaquelon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), terres arables (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), prairies (5,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Scacherlun (charte de Henri II) et Schacherlon en 1174[19], Escaquernon en 1203, Escacallon en 1214 (feoda Normanniæ), Esquaquelon en 1248, Escaquelon en 1419, Esquaquelon en 1717 (Claude d’Aubigné), Équaquelon en 1738[20].

Il s'agit d'un type toponymique fréquent issu de l'ancien scandinave ou d'une forme d'anglo-scandinave dont Jean Renaud dresse la liste à propos de l'appellatif vieux norrois lundr « petit bois, bosquet » qui a précisément abouti à la terminaison -lon, ron, voire -non en Normandie[21],[22]. La comparaison avec les nombreux Ecaquelon permet d'identifier cet élément, par exemple Écaquelon (Seine-Maritime, Rainfreville, Escaquelond milieu 1260); Ecaquelon ou Ecatelonde (Seine-Maritime, Smermesnil, Scakerlonde 1165), etc.

L'étymologie du premier élément Ecaque- ne fait pas l'unanimité chez les toponymistes : Gillian Fellows Jensen y voit le nom de personne Skakari de type rare, mais que l'on pourrait reconnaître dans Ecaquetot (Seine-Maritime, Saint-Denis-de-Héricourt, Escaquetot 1503), cependant François de Beaurepaire préfère reprendre la suggestion de Jean Adigard des Gautries et proposer le vieil anglais sceacre (sic) que l'on identifie dans Shackerstone ou Shackerley en Grande-Bretagne. Ecaquelon serait dans cette perspective le « bois des voleurs »[23]. Jean Renaud reprend cette théorie et propose également l'anthroponyme Skakarri, l'appellatif skaggi « langue de terre » ou encore skekill « extrémité d'un champ »[24].

Remarque : Si le rejet du nom de personne Skakar(r)i par François de Beaurepaire semble justifié, car on ne voit pas pourquoi cet anthroponyme rare aurait été (presque) exclusivement combiné avec lundr, sceacre (comprendre sċeacre) ne convient pas davantage phonétiquement, à moins d'imaginer un *skakker anglo-scandinave de même sens. Quant aux appellatifs proposés par Jean Renaud, ils ne sont soutenus par aucune forme ancienne montrant une évolution (non régulière) de /g/ à /k/ ou encore de /e/ à /a/. L'origine du premier élément reste donc obscure.

Histoire

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Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1943   Emmanuel de Bartillat   Nommé conseiller départemental en 1943[25]
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 3 juin 2009 Jean-Louis Renverseau[26]    
juillet 2009 2020 Christiane Dupont DVG Retraitée de l'enseignement
2020 En cours Jean-François Dumesnil    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 603 habitants[Note 2], en évolution de −1,15 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0158999761 012956964949929893
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
800964722700656582572544479
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
467417386389432402376385337
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
361372300357426428449443513
2014 2019 2021 - - - - - -
601601603------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Fête de la Saint-Jacques : premier dimanche de mai.

Culture locale et patrimoine

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L'église Notre-Dame.
 
La récompense "Ville Fleurie", également connue sous le nom de "Villes et Villages fleuris, anciennement appelée concours, a été créée en 1959 en France pour promouvoir le fleurissement, l'environnement de vie et les espaces verts.

Lieux et monuments

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La commune d'Écaquelon compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

  • L'église Notre-Dame et Saint-Jacques (ou Notre-Dame-de-l'Assomption) (XIIIe, XIVe, XVIe et XVIIIe)   Inscrit MH (1926)[31],[32]

Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • Le château du Bois-Héroult (XVIe (?) et XVIIIe)[33] et sa chapelle ;
  • Une croix de cimetière du XVIIIe siècle dans le cimetière de l'église Notre-Dame et Saint-Jacques[34] ;
  • Le manoir de la Hennière, du XVIIIe siècle au lieu-dit Les Épinais[35].

Autres lieux :

  • Château de la Ferté [2].

Patrimoine naturel

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ZNIEFF de type 1

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  • La mare d'Itot[36] ;
  • La mare du bois des loups[37] ;
  • La petite vallée[38].

ZNIEFF de type 2

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Site classé

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Personnalités liées à la commune

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  • Henri Lavedan (1859-1940), journaliste et auteur dramatique français, mort le 4 septembre 1940 à Écaquelon.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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  • Ouvrage collectif, La Normandie monumentale et pittoresque… : Eure, t. 2, Le Havre, Lemale, , 398 p. (lire en ligne), Église d'Écaquelon, par A. Montier, p. 155 & s..

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le Roumois », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  2. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Pont-Audemer »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  3. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Rouen »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  4. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Lisieux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  5. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Évreux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  6. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  10. « Orthodromie entre Écaquelon et Brionne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Brionne » (commune de Brionne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Brionne » (commune de Brionne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 102.
  20. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 74
  21. François de Beaurepaire, op. cit., p. 33.
  22. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 59.
  23. François de Beaurepaire, op. cit., p. 102.
  24. Jean Renaud, op. cit..
  25. Journal officiel de la République française. Lois et décrets, parution 2 mai 1943, (en ligne).
  26. décédé le 3 juin 2009.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Église », notice no PA00099394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. op. cit., lire en ligne [1].
  33. « Château du Bois Héroult », notice no IA00019647, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Croix de cimetière », notice no IA00019648, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Manoir », notice no IA00019646, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « La mare d'Itot », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  37. « La mare du bois des loups », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  38. « La petite vallée », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  39. « La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  40. « L'église et le cimetière d'Écaquelon », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
  41. « La vallée de la Risle à Appeville-Annebault, Écaquelon, Freneuse-sur-Risle, Glos-sur-Risle, Illeville-sur-Montfort, Montfort-sur-Risle, Pont-Authou, Saint-Philbert-sur-Risle, Thierville », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).