Zamenhof-Esperanto-Objekto
ZEO est un acronyme qui signifie Zamenhof-Esperanto-Objekto. Il s'agit de tout objet (rue, arbre, statue, etc.) baptisé avec le nom de l'espéranto ou de son initiateur Louis-Lazare Zamenhof, ou qui leur sont liés[1].
Le pays qui possède[Quand ?] le plus de ZEO est le Brésil suivi par la France[2].
La Bulgarie possède le plus grand nombre de ZEO par habitant avec 7,56 objets par million d'habitants[2].
Le plus ancien ZEO est le bateau espagnol Esperanto, inauguré en 1896[1],[2].
Le ZEO le plus nordique se situe à 1 250 km du pôle Nord. Il s’agit de la presqu’île de l’espéranto « Esperantoneset » dans l’île norvégienne de Spitzberg[1].
Les ZEO qui nous sont les plus éloignés sont les astéroïdes (1421) Esperanto et (1462) Zamenhof[1],[2].
Un genre de lichen a reçu le nom Zamenhofia, une espèce de radiolaire fossile a été nommée Aphetocyrtis zamenhofi[3] et une espèce d'hémiptère chinois porte le nom Gergithus esperanto. Ce dernier se distingue par cinq points verts disposés en étoile, comme le symbole de l’espéranto[1] (Expression ambigüe, le symbole de l'espéranto étant une étoile verte et non cinq points verts disposés en étoile !).
Bibliographie
modifier- Hugo Röllinger, Monumente pri Esperanto, Rotterdam, Universala Esperanto-Asocio, , 111 p.
Notes et références
modifier- « Les “ZEO” dans le monde », sur SAT AMIKARO, (consulté le )
- Röllinger 1997, p. 11.
- ↑ (en) MEUNIER Mathias, « Progress in understanding middle Eocene nassellarian (Radiolaria, Polycystinea) diversity; new insights from the western equatorial Atlantic Ocean », Journal of Paleontology, vol. 97, no 1, , p. 1-25 (lire en ligne [PDF])