Wikipédia:Pastiches/Homo vandalus

L'homo vandalus (vandale en français[1]) est la seule espèce animale encore vivante du genre homo avec l'être humain (homo sapiens). Certains anthropologues minoritaires en font une sous-espèce d'homo sapiens sous le nom d'homo sapiens vandalus (Laurentius Cantator, 2006).

Physiologie

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D'une taille debout typiquement comprise entre 1,40 et 2,00 m, cet omnivore nécessite une ration alimentaire allant de 8 000 à 13 000 kJ à l'âge adulte. Il se distingue des autres hominidés par :

  • l'expansion de la boîte crânienne et du volume du cerveau, bien qu'un volume inférieur à celui d'homo sapiens ait été rapporté ;
  • une diminution de la taille des canines ;
  • la descente du larynx, ce qui permet le langage articulé.

La sous-espèce homo vandalus celeris se distingue en outre des autres sous-espèces H. vandalus antipubis et H. vandalus racaiense par

  • une bipédie et une marche quadrupède limitées, l'animal préférant la station assise ;
  • une grande agilité au niveau des doigts qui permet de taper au clavier.

Les autres sous-espèces favorisent la bipédie.

Interaction biologique

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L'homo vandalus est généralement considéré comme un parasite de l'homo sapiens, mais l'avantage immédiat ou évolutif tiré par H. vandalus reste controversé. D'après Blaise Pascal[2], la déprédation est un divertissement nécessaire au vandale pour ne pas sombrer dans la dépression :

«  Quand je m'y suis mis quelquefois, à considérer les diverses agitations des vandales et les périls et les peines où ils s'exposent, dans la cour, dans la guerre, d'où naissent tant de querelles, de passions, d'entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre. Un vandale qui a assez de bien pour vivre, s'il savait demeurer chez soi avec plaisir, n'en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d'une place. On n'achètera une charge à l'armée si cher, que parce qu'on trouverait insupportable de ne bouger de la ville ; et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu'on ne peut demeurer chez soi avec plaisir.

Mais quand j'ai pensé de plus près, et qu'après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j'ai voulu en découvrir la raison, j'ai trouvé qu'il y en a une bien effective, qui consiste dans le malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable, que rien ne peut nous consoler, lorsque nous y pensons de près. »

En l'absence d'accord du bénéfice tiré par H. vandalus, l'interaction biologique entre les deux espèces est considérée comme amensalisme par certains auteurs. Ce cas relativement rare en zoologie porte le nom de vandalisme.

Classification scientifique

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Sous-espèces

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Il existe trois sous-espèces :

Position dans le classement des hominoidea

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Classement controversé

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Selon Laurentius Cantator 2006, il s'agit de trois sous-espèce d'homo sapiens sous le nom d'homo sapiens vandalus, homo sapiens antipubis et homo sapiens racaiense. D'autres auteurs suggèrent qu'il s'agit d'une espèce unique du genre australopithèque australopithecus metecus composée de plusieurs races (Johannus Marius Caput, 2007).

La difficulté du classement provient de l'absence de vérification expérimentale d'interfécondité entre vandales et humains : le comportement social des premiers rend improbable leur accouplement à l'homme en liberté ; les lois de protection du bien-être animal (par ex. Convention européenne sur la protection des animaux dans les élevages) interdit leur fécondation par l'homme en captivité ; enfin, les diverses lois régissant la bioéthiques empêchent la fécondation in vitro potentiellement hybride humain-vandale. Le groupe NTM relate la tentative d'un de ses membres d'obtenir une descendance avec des vandales[4] :

J'ai passé la journée avec une meuf terrible
Une bitch de magazine, beaucoup plus bonne que la plus bonne de tes copines !
Donc, je te laisse imaginer la suite,
Je te fais pas de dessin, ça risque d'être censuré dans le clip,
Mais bon, il n'y eut pas de répit, pas de trêve…
Pendant des heures et des heures.

Annexes

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Liens internes

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Liste d’espèces d'hominines (voir également « évolution des hominines »)
Sahelanthropus tchadensis (Toumaï) • Orrorin tugenensis (Millenium Ancestor)
Ardipithèques : A. kadabbaA. ramidus
Australopithèques et Paranthropes : A. afarensis (Lucy, Selam) • A. africanus • A. anamensis • A. bahrelghazali (Abel) • A. garhi • P. aethiopicus • P. boisei • P. robustus
Kenyanthropus platyops
Homo : H. antecessor • H. habilis • H. rudolfensis • H. rhodesiensis • H. georgicus • H. cepranensis • H. erectus • H. ergaster • H. heidelbergensis (Homme de Tautavel) • H. neanderthalensis • H. floresiensis • H. sapiens (Homme de Cro-Magnon) • H. vandalus

Références

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  1. D'après le Trésor de la langue française informatisé, « vandale » désigne une ethnie d'homo sapiens ayant vécu du IIIe au VIe siècles aussi bien que des individus dont le comportement est semblable à l'homo vandalus
  2. Blaise Pascal, Pensées, 3e édition, 1671
  3. « Arrêt sur images » du 6 novembre 2005 (voir l'extrait vidéo).
  4. La Fièvre, piste n°4 de l'album Paris sous les bombes du groupe NTM, Epic Records, mars 1995