Werner Kogler
Werner Kogler, né le à Hartberg, est un homme politique autrichien.
Werner Kogler | |
Werner Kogler en 2020. | |
Fonctions | |
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Vice-chancelier d'Autriche Ministre fédéral des Arts, de la Culture, de la Fonction publique et des Sports | |
En fonction depuis le (4 ans, 10 mois et 18 jours) |
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Chancelier | Sebastian Kurz Alexander Schallenberg Karl Nehammer |
Gouvernement | Kurz II Schallenberg Nehammer |
Prédécesseur | Clemens Jabloner (vice-chancelier) Alexander Schallenberg (Arts et Culture) Eduard Müller (Fonction publique et Sports) |
Porte-parole des Verts - L'Alternative verte | |
En fonction depuis le (7 ans, 1 mois et 8 jours) |
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Prédécesseur | Ingrid Felipe |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Hartberg (Autriche) |
Nationalité | Autrichienne |
Parti politique | Die Grünen |
Diplômé de | Université de Graz |
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Il est porte-parole des Verts - L'Alternative verte depuis 2017, ainsi que vice-chancelier, ministre fédéral des Arts, de la Culture, de la Fonction publique et des Sports depuis 2020.
Biographie
modifierWerner Kogler grandit dans une famille d'entrepreneurs de l'est de l'Autriche[1].
Il entend représenter au sein de son parti un courant « pragmatique » et en remporte en 2017 la direction contre les tenants d'une ligne plus à gauche. Il se revendique aussi du catholicisme social[1].
Il est l'un des artisans de l'accord de gouvernement avec les conservateurs de Sebastian Kurz en 2020. Écologiste modéré, il estime que l'Autriche est « une petite économie en Europe. On ne peut pas risquer de faire fuir notre industrie de l'acier dans un autre pays moins-disant en prenant des mesures trop dures. » Sur la question de l’accueil des réfugiés il a interpellé le chancelier Sebastian Kurz en 2021 après la prise de Kaboul par les Talibans, l'appelant à faire preuve « de plus d'humanité »[1].
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
Notes et références
modifier- « Les Verts autrichiens, bien acclimatés à la droite dure », Le Monde.fr, (lire en ligne)