Méharin

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques
(Redirigé depuis Vicomte de Méharin)

Méharin est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Méharin
Méharin
Le château.
Blason de Méharin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Sylvie Betat
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64375
Démographie
Gentilé Mehaindar
Population
municipale
282 hab. (2021 en évolution de +4,83 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 03″ nord, 1° 08′ 38″ ouest
Altitude Min. 87 m
Max. 280 m
Superficie 12,73 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Méharin
Géolocalisation sur la carte : France
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Méharin
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Méharin
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Méharin

Le gentilé est Mehaindar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Méharin se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 100 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 41 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 12 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Armendarits (4,2 km), Saint-Martin-d'Arberoue (4,4 km), Amorots-Succos (4,5 km), Saint-Esteben (5,2 km), Béguios (5,6 km), Beyrie-sur-Joyeuse (5,7 km), Luxe-Sumberraute (5,7 km), Isturits (6,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Méharin fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Amorots-Succos, Armendarits, Beyrie-sur-Joyeuse, Orègue et Saint-Martin-d'Arberoue.

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Méharin.

La commune est drainée par le Lihoury, Argazuriko erreka, un bras de Béhobiko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[12],[Carte 1].

Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 400 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 10 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Méharin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (66 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,5 %), prairies (13,3 %), forêts (6,2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

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  • Barnetchia ;
  • Erramundéguia ;
  • Teïléria.

Voies de communication et transports

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Méharin est desservie par la route départementale D 14, entre Saint-Esteben et Garris.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Méharin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Lihoury. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[30],[28].

Méharin est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[31]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[32],[33].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Méharin.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[34]. 92,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[35].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2014[28].

Toponymie

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Son nom basque est Mehaine.

Le toponyme Méharin apparaît[36] sous les formes :

  • Mearin (1513, titres de Pampelune[37]) et
  • Sanctus-Laurentius de Méharin (1770, collations du diocèse de Bayonne[38]).

Histoire

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Fronton place libre.

Paul Raymond[36] note que la vicomté de Méharin était vassale du royaume de Navarre.

Héraldique

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  Blason
D'or au lion d'azur armé vilené et lampassé de gueules[39].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Amédée Aphécetche    
2014 2020 Jean-Pierre Delgue    
2020 2026 Sylvie Bétat    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Méharin fait partie de six structures intercommunales[40] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal de transport scolaire du regroupement pédagogique de Méharin et Armendarits ;
  • le syndicat intercommunal pour la réalisation d'une maison d'une maison de retraite dans la vallée de l'Arberoue ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 282 habitants[Note 6], en évolution de +4,83 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
502288530549595611621672601
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
608644577536542524534521531
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
516491471443435398400387354
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
322308305302283261259259259
2017 2021 - - - - - - -
273282-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose d'une école maternelle publique[45].

Économie

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La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Laurent.

Patrimoine civil

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Le château de Belzunce (ou Belsunce[36]), date du XVIe siècle et appartenait aux vicomtes de Macaye.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Laurent[46] date du XIXe siècle.

Patrimoine environnemental

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Équipements

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Enseignement

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La commune dispose d'une école maternelle.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Méharin » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Méharin », sur geoportail.gouv.fr.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. - Académie de la langue basque
  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Méharin ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Méharin et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Méharin et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Méharin et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Méharin », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale de Méharin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. Sandre, « le Lihoury ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Méharin et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Méharin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Méharin », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  36. a b et c Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  37. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
  38. Manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. http://www.armorial-communes-basques.com/communes-l-m-o-p.html
  40. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=M%C3%A9harin%20%2864%29}}.
  46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent

Voir aussi

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Article connexe

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Liens externes

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