Verrue (Vienne)

commune française du département de la Vienne

Verrue est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Verrue
Verrue (Vienne)
Château de Purnon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Francis Siclet
2020-2026
Code postal 86420
Code commune 86286
Démographie
Gentilé Verruquois, verruquoise
Population
municipale
384 hab. (2021 en évolution de −4 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 50″ nord, 0° 10′ 23″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 140 m
Superficie 28,44 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Verrue
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Verrue
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Verrue
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Verrue

Géographie

modifier

Localisation

modifier
Représentations cartographiques de la commune
 
  Mairie
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Géologie et relief

modifier

La région de Verrue présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de champs ouverts.

Le terroir se compose[1]:

  • de sables verts pour 95 % et d'argile pour un peu moins de 5 % sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien
  • de champagnes ou aubues (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour moins de 1 % sur les autres collines.

En 2006, 58 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 40 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

La forêt privée représente, en 2007, 1 124 hectares soit 40 % du territoire communal[3]. Les espaces boisés (la moyenne sur la région Poitou-Charentes est de 15 %, et 29,2 % pour la France) sur le territoire communal contribuent à assurer des fonctions de production (bois d’œuvre mais aussi bois énergie), de protection (espèces, qualité des eaux) et sociales (accueil du public). Les forêts les plus anciennes ou implantées dans des conditions écologiques particulières (pentes, bords de cours d'eau, etc.) abritent en général la biodiversité la plus forte. Mais, au cours de l’histoire, pour répondre aux besoins d'une population rurale importante, la forêt poitevine a été intensément défrichée et surexploitée jusqu’à la révolution industrielle. Environ la moitié des forêts actuelles du Poitou n'existait pas il y a 200 ans[4].

La forêt de Scévolles recouvre en partie le territoire de la commune. C'est un massif forestier d'environ 5 000 hectares. Il est possible d'y faire de nombreuses randonnées balisées et découvrir la faune.

Communes limitrophes

modifier

Hydrographie

modifier

La commune est traversée par 4 km de cours d'eau. Comme pour l'ensemble de la région Poitou-Charentes, la commune a vu la qualité de son eau se dégrader ces dernières années. Au déficit récurrent s'ajoute une pollution engendrée par les diverses activités humaines, notamment agricoles. Ainsi, la commune se situe en zone de répartition des eaux, où l'on observe une insuffisance chronique des ressources en eau par rapport aux besoins. Par ailleurs, elle est concernée par le classement en zones sensibles, où une élimination plus poussée des paramètres azote et/ou phosphore présents dans les eaux usées est nécessaire pour lutter contre les phénomènes d’eutrophisation[2].

63 mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal (30 000 recensées dans la région de Poitou-Charentes). Les mares de Poitou-Charentes ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[5].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 659 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Martaizé à 10,33 km à vol d'oiseau[9], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Verrue est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,9 %), forêts (39,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), prairies (2,9 %), zones urbanisées (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Verrue est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

modifier
 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Verrue.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2010 et 2013, par la sécheresse en 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[18].

Toponymie

modifier

Attestée sous la forme Verruca en 931.

Le nom a la même origine latine (verruca) que le mot verrue en langue standard. L'excroissance de la peau a pu développer un sens toponymique de "(petite) hauteur" ou "éminence"[24]. La situation locale permet cette explication.

Verruyes (Deux-Sèvres) a la même origine et la même signification ; mentionnée Verruca en 1041.

Histoire

modifier

En 1369, Louis de Sancerre et sa troupe surprirent Jean de Hastings, comte de Pembroke, à Purnon.

Le , les communes de Dandesigny et Ligniers-Langoust fusionnent avec la commune de Verrue.

La commune de Verrue et celle de Coussay se partagent le territoire du hameau de Brizay, situé à 3 km.

Politique et administration

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Joseph-Étienne Fey   † 1863
Les données manquantes sont à compléter.
    Édouard Achard de la Haye   Châtelain de Purnon
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1830 1851 (†) Charles Adrien Paul Victoric, baron de Goyon   Châtelain de Purnon
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1947 1965 Alfred Roy   conseiller général
Les données manquantes sont à compléter.
1965 2001 Gilbert Roy   conseiller général
mars 2001[25] En cours Roland Leboucher    

Instances judiciaires et administratives

modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics

modifier

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien[non neutre][réf. nécessaire].

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 384 habitants[Note 2], en évolution de −4 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
526620623619667677686727972
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9969961 0281 0071 0069941 0409761 003
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
954921876784812842770814707
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
625541463399369351371374398
2017 2021 - - - - - - -
391384-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l'INSEE, la densité de population de la commune était de 13 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie

modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[30], on dénombre 21 exploitations agricoles en 2010 contre 33 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont stagné et sont passées de 1 433 hectares en 2000 à 1 444 hectares en 2010[30]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d'exploitations. Cette tendance est conforme à l'évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque, de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[31].

52 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 25 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 10 % pour le fourrage et 3 % restent en herbe. En 2000, 3 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne[30].

Quatre exploitations en 2010 (contre sept en 2000) abritent un élevage de bovins (339 têtes en 2010 contre 470 têtes en 2000)[30].

Les élevages de caprins ont disparu au cours de cette décennie (126 têtes réparties sur 3 fermes)[30]. Cette disparition est révélatrice de l'évolution qu'a connue, en région Poitou-Charentes, cet élevage au cours des deux dernières décennies : division par trois du nombre d'exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par six des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution des structures de production caprine a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d'éleveurs en préretraite[32].

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Patrimoine civil

modifier
  • Le château de Purnon : le château en tant que tel, les communs, les douves les terrasses et la grille d'entrée sont classés monument historique depuis 1995. Le portail de la cour d'honneur, le moulin Bigeard et son enclos, les parcelles du potager, l'éolienne Bollée et son réservoir sont inscrits comme monuments historiques depuis 1992 (confirmé en 2023)[33].
  • Usine de chaux, briqueterie, tuilerie (désaffectée) au Milleron[34].

Patrimoine religieux

modifier
  • L'église Saint-Hilaire de Verrue date du XIXe siècle[35]. Le premier édifice a été vendu comme bien national au moment de la Révolution française et a été détruit. Le nouveau bâtiment a été construit de 1822 à 1830, Édouard Achard de la Haye (1778-1844) commanditaire[35].
    Une cloche de 1707 en provenance de Dandesigny est classée monument historique à titre d'objet depuis le [36].
  • Église Saint-Abdon-et-Saint-Sennen de Dandesigny[35] : désacralisé et affecté à la fonction de grange, le bâtiment se remarque par un vestige de clocher-peigne ; une cloche de 1707 fondue par Pierre Aubry est notée par l'historien de l'art campanaire Joseph Berthelé en 1903 au titre des cloches du Poitou ; l'auteur précise qu'elle se trouve transférée à Saint-Hilaire (texte en ligne, p. 112).

Patrimoine naturel

modifier

La commune contient deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) qui couvrent 68 % de la surface communale :

Arbres remarquables

modifier

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[38], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un frêne commun.

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Frédéric Godet (1850-1932), homme politique, maire d'Orches, député de la Vienne de 1902 à 1910 et de 1914 à 1919.
  • Michel Foucault y acheta une maison à la fin de sa vie, sans avoir le temps de vraiment l'habiter[39].

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
  2. a et b Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
  3. Centre Régional de la Propriété Forestière de Poitou-Charente - 2007
  4. IFEN-BD CORINE Land Cover® 2006, toutes couches « Forêt », hors espace vert artificialisé non agricole
  5. Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Verrue et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Martaizé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Martaizé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune de Verrue »..
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Verrue », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Verrue », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  25. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  31. Agreste – Enquête Structure 2007.
  32. Agreste – Bulletin n°11 de décembre 2005.
  33. Notice no PA00105768, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Notice no IA86000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. a b et c L'église Saint-Hilaire, Centre théologique de Poitiers, 2021.
  36. Notice no PM86000902, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. Forêt de Scévolles, ZNIEFF.
  38. Poitou-Charentes Nature, 2000
  39. Eribon, Didier, (1953-...)., Michel Foucault, Paris, Flammarion, dl 2011, 646 p. (ISBN 978-2-08-121800-0 et 2081218003, OCLC 758769924, lire en ligne).